Sauternes (Gironde)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Sauternes
Sauternes (Gironde)
La mairie (mai 2011)
Blason de Sauternes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes du Sud Gironde
Maire
Mandat
Yann Marot
2020-2026
Code postal 33210
Code commune 33504
Démographie
Gentilé Sauternais
Population
municipale
838 hab. (2021 en augmentation de 7,85 % par rapport à 2015)
Densité 74 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 31′ 58″ nord, 0° 20′ 29″ ouest
Altitude Min. 13 m
Max. 89 m
Superficie 11,32 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Sud-Gironde
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Sauternes
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Sauternes
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Voir sur la carte topographique de la Gironde
Sauternes
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Sauternes
Liens
Site web www.sauternes.com/

Sauternes (Sautèrnas en gascon) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés les Sauternais[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Située au cœur du vignoble de Sauternes, la commune se trouve à 44 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département et à 9,5 km à l'ouest-sud-ouest de Langon, chef-lieu d'arrondissement et de canton[2].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes en sont Preignac au nord-est, Fargues à l'est, Léogeats au sud, Budos à l'ouest et Bommes au nord-ouest.

Communes limitrophes de Sauternes
Bommes Preignac
Budos Sauternes Fargues
Léogeats

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

  • Moyenne annuelle de température : 13 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,8 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,7 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,2 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 852 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,4 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1896 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[9]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records SAUTERNES (33) - alt : 65 m 44° 32′ 36″ N, 0° 19′ 36″ O
Records établis sur la période du 01-10-1896 au 04-01-2022
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,4 2,6 4,8 6,7 10,4 13,4 15,2 15,1 12,3 9,6 5,4 3,1 8,4
Température moyenne (°C) 6 7 9,9 12,1 16 19,1 21,1 21,1 18,1 14,5 9,3 6,5 13,4
Température maximale moyenne (°C) 9,7 11,4 15,1 17,4 21,6 24,8 27 27 23,9 19,3 13,3 10 18,4
Record de froid (°C)
date du record
−15,1
19.01.1940
−15
15.02.1956
−9,7
31.03.1901
−5,8
06.04.1911
−2
02.05.1945
4
25.06.1958
3,5
10.07.1920
5,5
30.08.1986
1
30.09.1902
−3,5
29.10.1940
−9,9
28.11.1942
−15,2
18.12.1920
−15,2
1920
Record de chaleur (°C)
date du record
20
28.01.1920
25
27.02.19
29
30.03.1905
31,8
25.04.1947
37
12.05.1912
40,1
22.06.03
41,7
23.07.19
41,8
02.08.1906
37
12.09.16
32
02.10.1985
25
08.11.1985
22
16.12.1989
41,8
1906
Précipitations (mm) 73,3 60,5 57 77,7 74,5 51,3 49,6 65,8 66,9 78 89,4 81,2 825,2
Source : « Fiche 33504001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Sauternes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (69,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (51,8 %), forêts (22 %), prairies (10,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,6 %), zones agricoles hétérogènes (6,8 %), zones urbanisées (1,4 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La principale voie de communication routière est la route départementale D8 qui traverse l'est du territoire communal et mène vers le nord-ouest à Langon et vers le sud-sud-ouest à Villandraut. La route départementale D125 traverse la commune d'est en ouest et le bourg au niveau de la mairie, menant à Roaillan au sud-est et à Landiras au nord-ouest; l'une de ses extensions, la départementale D125e1 traverse le village et permet d'aller, en direction du nord, vers le Haut-Bommes et Pujols-sur-Ciron.

L'accès à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) le plus proche est celui de Sortie 02 Podensac situé à 9 km vers le nord-nord-ouest.

La gare SNCF la plus proche est celle de Preignac, distante de 7,5 km vers le nord-nord-est, sur la ligne Bordeaux - Sète du TER Nouvelle-Aquitaine mais le trafic est plus intense à celle de Langon, distante de 8,5 km vers l'est-nord-est.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Sauternes est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Ciron. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1995, 1997, 1999, 2009, 2018 et 2020[18],[16].

Sauternes est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt[19]. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[20],[21].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[22].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sauternes.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 387 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 387 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[16].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Rue du village (août 2005)

Le nom de Sauternes pourrait provenir du latin Saltus Ternis qui peut se traduire par Trois sauts, Saltüs signifiant saut et Ternis trois, c'est-à-dire trois vallées (Piquant, Pineau et Aygue Morte) entre trois coteaux importants (Arche d'altitude 70 m, Lamothe d'altitude 67 m et Commarque d'altitude 58 m).

Au XIe siècle, on trouve le nom de Salternas[24].

Histoire[modifier | modifier le code]

Pour l'état de la commune au XVIIIe siècle, voir l'ouvrage de Jacques Baurein[25].

À la Révolution, la paroisse Saint-Pierre de Sauternes forme la commune de Sauternes[26].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes

Les armes de Sauternes se blasonnent ainsi :

Parti, au premier palé de sinople et d'or, au second de sinople à la champagne burelée ondée d'argent et d'azur de dix pièces ; à la grappe de raisin d'or tigée et feuillée au naturel brochant sur le second de la partition et sur le pal d'or à senestre du premier ; le tout sommé d'un chef d'or chargé d'un soleil vidé d'argent.

statut officiel, présent sur le site internet de la commune[27]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1934 1971 Armand Bastit-Saint Martin DVD Viticulteur
Sénateur (1977-1980)
mars 1971 mars 1989 Alexandre de Lur-Saluces    
mars 1989 juin 1995 Pierre Boussicaut    
juin 1995 2020 Jean-Michel Descamps[28]   Salarié du secteur médical
2020 En cours Yann Marot    

Communauté de communes[modifier | modifier le code]

Le , la communauté de communes du Pays de Langon ayant été supprimée, la commune de Sauternes s'est retrouvée intégrée à la communauté de communes du Sud Gironde siégeant à Mazères.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30].

En 2021, la commune comptait 838 habitants[Note 6], en augmentation de 7,85 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9006286699481 0451 0601 0371 000901
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9489039909531 009966953952932
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
934877850717721689560553613
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
640582580578589586679706762
2018 2021 - - - - - - -
796838-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L' église Saint-Pierre-ès-Liens date du XIIe siècle et est remarquable par son abside. L'abside a été inscrite au titre des monuments historique en 1925[33].
  • Les bâtiments du château d'Yquem datent des XVIe et XVIIe siècles et forment un quadrilatère autour d'une vaste cour ; le château a été classé monument historique en 2003[34] pour ses décors et peintures (fresques de la chapelle, cheminées et fresques du corps de logis principal).
  • Le bâtiment de la mairie présente une curiosité relativement rare qui consiste en la présence d'une statue de la Vierge sur son fronton ; cette survivance est due au fait que ledit bâtiment a abrité une école religieuse de 1837 à 1902[24].

Viticulture[modifier | modifier le code]

Le Sauternes est probablement le vin blanc liquoreux le plus connu au monde. Mais sur la commune de Sauternes d'autres vins peuvent être produits, certes en moins grande quantité, citons: le crémant de Bordeaux, le bordeaux supérieur et le bordeaux[35].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 20 mai 2011.
  2. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 39 km pour Bordeaux et 7,7 km pour Langon. Données fournies par lion1906.com, consulté le 20 mai 2011.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  9. « Fiche du Poste 33504001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Sauternes », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  19. « Le risque feux de forêts. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  24. a et b Ces informations proviennent du site officiel de la commune, Tourisme > Le village> Histoire, consulté le 23 mai 2011.
  25. Jacques Baurein, Variétés Bordeloises, t. 3, Bordeaux, , 2e éd. (1re éd. 1786) (lire en ligne), article 6.V, pages 236-238
  26. Historique des communes, p. 62, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 7 avril 2013.
  27. Site internet de la commune
  28. Commune de Sauternes sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 26 octobre 2011.
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. « Classement de l'église », notice no PA00083831, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 23 mai 2011.
  34. « Classement du château », notice no PA00083831, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 23 mai 2011.
  35. Placido Llorca, « http://www.vin-vigne.com/commune/Sauternes-33210.html », sur Vin-Vigne, (consulté le ).