Langon (Gironde)

Langon | |||||
![]() Le bâtiment de la mairie en septembre 2011. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Gironde (sous-préfecture) |
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Arrondissement | Langon (chef-lieu) |
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Canton | Le Sud-Gironde (bureau centralisateur) |
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Intercommunalité | Communauté de communes du Sud Gironde | ||||
Maire Mandat |
Philippe Plagnol 2014-2020 |
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Code postal | 33210 | ||||
Code commune | 33227 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Langonnais | ||||
Population municipale |
7 377 hab. (2016 ![]() |
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Densité | 538 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 33′ 14″ nord, 0° 14′ 54″ ouest | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 73 m |
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Superficie | 13,71 km2 | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine Géolocalisation sur la carte : Gironde Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France | |||||
Liens | |||||
Site web | www.langon33.fr/ | ||||
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Langon est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde et dans la région Nouvelle-Aquitaine. Elle est le chef-lieu d'un arrondissement.
Sommaire
Géographie[modifier | modifier le code]
Étape traditionnelle de la route Bordeaux-Toulouse, la ville de Langon et son aire urbaine dans le Sud-Gironde, se trouve sur la rive gauche de la Garonne, près de la limite entre le vignoble des Graves et la lisière de la forêt des Landes, à 48 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département[1].
Communes limitrophes[modifier | modifier le code]
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Les communes limitrophes en sont Saint-Pierre-de-Mons à l'est, Coimères au sud-est, Mazères au sud, Roaillan au sud-ouest sur environ un kilomètre, Fargues à l'ouest et Toulenne à l'ouest. Sur la rive droite de la Garonne, se trouvent les communes de Saint-Maixant au nord et Saint-Macaire au nord-est.
Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]
La ville est traversée par la route départementale D1113, ancienne route nationale 113, qui mène vers le nord-est à Saint-Macaire et au-delà à La Réole et vers le nord-ouest à Toulenne et en direction de Bordeaux. La D1113 franchit la Garonne par le pont routier de Langon. Plusieurs routes commencent dans le territoire communal, la route départementale D116, à l'ouest, en direction du Sauternais et de Landiras, la route départementale D8, au sud-ouest, en direction de Fargues et Villandraut, la route départementale D222, au sud-sud-ouest, en direction de Roaillan, la route nationale N524 (anciennement route départementale D932), au sud, en direction de Bazas, la route départementale D10, au sud-ouest, en direction d'Auros, la route départementale D224, à l'est, en direction de Saint-Pierre-de-Mons et Castets-en-Dorthe.
L'accès no 3, dit de Langon, à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) se situe sur le territoire communal.
L'accès no 1, dit de Bazas, à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 13 km vers le sud.
La ville est desservie par la SNCF, à la gare de Langon, dans l'ouest de la commune, sur la ligne Bordeaux - Sète du TER Nouvelle-Aquitaine qui franchit la Garonne ici par le pont ferroviaire de Langon.
Toponymie[modifier | modifier le code]
Selon la chronique de Benjamin Fillon sur la commune « Le Langon » dans la Vendée, Le Langon, Véluire et le Poiré (imprimerie de Robuchon, Fontenay-le-Comte, 1867) « Le nom celtique de ce très ancien bourg, situé sur les confins de la plaine et du marais méridional de la Vendée, était vraisemblablement Alingo, comme celui de Langon sur Gironde. On en fit d’abord l’Alingon, puis l’Alangon, et enfin le Langon. »[3].
Le nom celtique « Alingo » figure ici et là autour de Langon, mais de moins en moins. Il y a encore le club Rando Alingo de randonnée pédestre[4], mais l'ancien Café Alingo[5] est devenu « Le Cochon Volant »[6],[7].
Histoire[modifier | modifier le code]
L'histoire de la ville est indissociable de celle de Bazas, à une quinzaine de kilomètres au sud, important centre militaire et religieux de l'Antiquité jusqu'au XVIIIe siècle, dont Langon est le port sur la Garonne, rivalisant un temps avec celui de Bordeaux. Profitant de sa situation privilégiée autour d'un coude du fleuve, au confluent avec le Brion, Langon devient une ville de marchés, sur la route entre Bordeaux et Agen. Elle compte deux paroisses dès le XIIe siècle, Notre-Dame et Saint-Gervais, formant deux bourgs dont la ville est la réunion. Pour plus d'information sur la situation de la commune au XVIIIe siècle, voir l'ouvrage de Jacques Baurein[8].
À la Révolution, la paroisse Saint-Gervais de Langon forme la commune de Langon[9].
Langon a été marquée par la vigne, qui fit sa richesse en tant que port, au carrefour du vignoble des Graves et de celui du Sauternais. La commune elle-même est sur le territoire des Graves. Tandis que Bazas entre dans un déclin relatif à partir du XVIIIe siècle, perdant son diocèse après la Révolution, son tribunal de grande instance au XXe siècle, et une bonne partie de son artisanat, Langon connaît un essor commercial et industriel. En 1926, les arrondissements de Bazas et de La Réole fusionnent avec celui de Langon, et c'est Langon, légèrement plus peuplée[Note 1], qui récupère la sous-préfecture.
Culturellement, Langon se situe dans l'aire gasconne. Le nom de la ville en occitan est Lengon (prononcer Lengoun). Elle fait partie de la région historique du Bazadais.
- Quelques vues anciennes
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Jumelages [11][modifier | modifier le code]
Intercommunalité[modifier | modifier le code]
Le 1er janvier 2014, la communauté de communes du Pays de Langon ayant été supprimée, la commune de Langon s'est retrouvée intégrée à la communauté de communes du Sud Gironde siégeant à Mazères.
Population et société[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
Les habitants sont appelés les Langonnais[14].
L'unité urbaine de Langon compte, à périmètre identique à 1999, 10 568 habitants en 2006 contre 8 975 habitants au recensement de 1999 soit une augmentation de 18 %. Les autres communes de l'unité urbaine sont Toulenne (2 405 habitants), Fargues (1 532 habitants), Saint-Pierre-de-Mons (1 028 habitants), Saint-Pardon-de-Conques (568 habitants) et Saint-Loubert (230 habitants).
L'aire urbaine compte quant à elle, à périmètre identique à 1999, 13 687 habitants en 2006 contre 11 423 habitants au recensement de 1999 soit une augmentation de 20 % et trois communes de plus : Fargues (1 526 habitants), Roaillan (1 096 habitants) et Saint-Pardon-de-Conques (497 habitants). La croissance démographique, due à l'étalement de l'agglomération bordelaise, est actuellement très soutenue et devrait se traduire par des chiffres en hausse lors du prochain recensement.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[16].
En 2016, la commune comptait 7 377 habitants[Note 2], en diminution de 0,16 % par rapport à 2011 (Gironde : +7,04 %, France hors Mayotte : +2,44 %).
Services publics[modifier | modifier le code]
Langon héberge une sous-préfecture, un centre hospitalier du Sud-Gironde dont le siège administratif se trouve à La Réole après la fusion des deux hôpitaux la partie chirurgicale étant située à Langon, un service départemental d'incendie et de secours, une gendarmerie, une poste, un centre des impôts, une maison de retraite, un office de tourisme, un pôle emploi, une CPAM.
Enseignement[modifier | modifier le code]
- L'éducation est assurée sur la commune de Langon depuis la crèche, en passant par l'école maternelle (EM Anne-Frank et Ste-Marie Jeanne d'Arc), l'école élémentaire (EP Antoine-de-Saint-Éxupéry et Ste-Marie Jeanne d'Arc) et le collège (collège Jules-Ferry et collège Toulouse-Lautrec ainsi que le collège Ste-Marie Jeanne d'Arc), jusqu'au lycée aussi bien d'enseignement général (lycée mixte Jean-Moulin) que d'enseignement professionnel (lycée des Métiers Sud-Gironde), une antenne du Greta et un lycée d'enseignement professionnel privé: le LP AGIR.
- Une bibliothèque municipale complète cet aspect éducation, manifestations culturelles et festivités
- Le festival de musique Nuits atypiques a pour projet de valoriser la diversité culturelle en faisant découvrir des « musiques du monde » tous les ans en juillet.
- L'association L'Ours polar a pour vocation d'assurer la promotion du roman policier et du roman noir.
Médias[modifier | modifier le code]
- Le Républicain Sud-Gironde, journal de presse hebdomadaire régionale, est installé à Langon depuis le début des années 1990.
- La radio ARL (Aquitaine Radio Live) a ses studios à Langon.
Sports[modifier | modifier le code]
- Le Stade langonnais athlétisme, club d'athlétisme
- Le Stade langonnais, club de rugby à XV de Fédérale 1
- Le Langon Football Club, club de football
- Le CN Marsouins de Langon, club de natation estivale affilié à la Ligue de Nouvelle Aquitaine de Natation
- La section gymnastique de l'Amicale laïque La Vaillante
- Duros Escalade[19], club d'escalade
- Le Judo-Jujitsu langonnais
- Ville étape du tour de France à deux reprises : 1976 et 1984.
- Point de contrôle volant pour le premier Tour de France de 1903 franchissant la Garonne par l'ancien pont suspendu[20].
- En , le Bordeaux–Langon est l'une des premières courses automobiles de l'histoire. Abel Bord s'impose sur une Peugeot. Ce fut la seule et unique session.
- Depuis 2016, l'association sportive multi-sports MUSCUL (basket, handball, foot en salle, volley...) se réunit au gymnase du collège Jules Ferry.
Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]
888 hectares de la commune ont un usage agricole dont 282 correspondent à des vignobles en appellation contrôlée produisant graves-supérieures (blancs moelleux) et graves (rouges et blancs)[21].
Commerce et industrie[modifier | modifier le code]
La commune totalise 77 hectares de zones économiques répartis ainsi[21] :
- Z.I. du Couloumey : 23 ha
- Z.I. de Baillan : 10 ha
- Z.I. de la Châtaigneraie : 30 ha
- Z.A. de Dumès : 14 ha
En matière de commerce, la commune héberge 192 entreprises réparties en commerce de gros (37), établissements multirayons (7), commerces alimentaires (26) et commerces non alimentaires (122)[21].
En matière d'industrie, la commune abrite une entreprise industrielle alimentaire, dix entreprises artisanales liées à l’équipement de la maison et de la personne, 29 entreprises artisanales de production et 36 entreprises de BTP[21].
En matière de services, 205 entreprises sont actives à savoir 32 cafés, hôtels, restaurants, 29 dans le domaine de la finance, de l'immobilier ou de l'assurance, 51 dans les services à caractère personnel et 93 dans des services autres[21].
La commune dispose d'une délégation de la Chambre de commerce et d'industrie de Bordeaux.
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
- Le crime de Langon est un fait-divers sordide : l'assassinat crapuleux de Jean-Théodore Monget, un agent d'assurances, dans le Café de la gare à Langon (Gironde), le 6 février 1907. Elle sort de l'ordinaire par sa couverture dans la presse nationale et des répercussions sur l'application effective de la peine de mort.
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
L'église Saint-Gervais-Saint-Protais, construite entre le XIIe et le XVe siècles en style gothique, fut détruite au XVIe et au XVIIe siècle puis reconstruite et agrandie au XIXe siècle dans le style néogothique. En 1966, on y découvrit un tableau du peintre espagnol Francisco de Zurbaran (1598-1664), L'Immaculée Conception (1661). L'église est inscrite au titre des monuments historiques depuis 2006[22].
- Vestiges de l'église Notre-Dame : église du XIIe, de nombreuses fois remaniée, qui a subi d'importantes destructions avant de devenir bien national pendant la Révolution et d'être transformée en lieu de réunion, de spectacles puis en cinéma. En 1926, le propriétaire décida de vendre la plupart des chapiteaux à un riche collectionneur américain, qui a fait don, en 1934, au Metropolitan Museum of Art, New-York.. La chapelle a été reconstruite et exposée au Musée des cloîtres à New York.
- Photos de l'église par Jean-Auguste Brutails vers 1890
- Ruines de l'église, Langon
- Reconstruction de l'église, New-York
Maison, 51 rue Maubec
- La mosquée du parc des Vergers. Construite au XIXe siècle par goût pour l'orientalisme, et non comme lieu de culte, elle n'a servi qu'au pesage des jockeys qui allaient courir sur l'ancien hippodrome.
- Les quais : le port de Langon a connu son apogée au XVIIe siècle, à l'époque où les vins partaient vers Bordeaux par le fleuve. Les quais sont devenus un peu delaissé depuis la fin de l'activité portaire. En 2016 la municipalité s'engage dans un projét d'aménagement des quais[23],[24],[25].
- Vers le stade de rugby, rue Abel-Gourgues, on peut remarquer un quartier d'architecture moderniste des années 1950 et 1960 avec certaines rues composées de maisons inspirées du style des Case Study Houses américaines.
- Plus en amont, Airbus a installé un quai de débarquement qui accueille la barge Breuil pour le transport des portions d'avions depuis Bordeaux ; à proximité de ce quai, se trouvent des hangars de stockage pour lesdites portions, avant leur départ, par l'Itinéraire à grand gabarit, jusqu'à l'agglomération toulousaine.
Pilier de l'ancien pont métallique
Équipements culturels[modifier | modifier le code]
- Le Centre culturel des Carmes[26] propose un calendrier varié de spectacles, des expositions d'art (libre d'entrée), des ateliers d'arts plastiques et héberge certaines associations culturelles (danse, chant…) ainsi qu'une partie de l'École de Musique intercommunale.
- L'Espace Claude-Nougaro, ancien marché couvert, est une salle destinée aux spectacles de 1 000 m2, capable d'accueillir des manifestations de grande envergure[27].
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
- Pierre de La Montagne (1755-1820), homme de lettres et traducteur ;
- Pierre-Dominique Martin (1771-1855), ingénieur en chef des Ponts et Chaussées, concepteur du pont suspendu de Langon (1831) ;
- Louis Ducos du Hauron (1837 à Langon-1920), physicien, inventeur du procédé de trichromie pour la photographie couleur ;
- Louis Beaulieu (1840 à Langon-1866), prêtre des Missions étrangères de Paris, martyr de Corée, saint ;
- François Mauriac (1885-1970), qui y avait un oncle, situe à Langon l'action de son roman Genitrix (1923) ;
- Raymond Oliver (1909 à Langon-1990), cuisinier ;
- Robert Escarpit (1919-2000 à Langon), universitaire, journaliste et écrivain ;
- Martine Faure (1948 à Langon), députée de la Gironde, 9e circonscription, conseillère générale de la Gironde ;
- André Demptos (1953 à Langon), dramaturge ;
- Marie Récalde (1965 à Langon), députée de la 6e circonscription de la Gironde
- David Martimort (1967 à Langon), meilleur jeune économiste de France 2004, professeur à l’École d’Économie de Paris
- Henri-Pierre Vermis (1980 à Langon), joueur de rugby à XV ;
- Benjamin Sore (1987 à Langon), joueur de rugby à XV au SC Albi ;
- Benjamin Fall (1989 à Langon), joueur de rugby à XV.
- Pierre Lees-Melou (1993 à Langon), joueur de football professionnel.
- Thomas Boudat (1994 à Langon), coureur cycliste sur piste et sur route.
- Benjamin Sene (1994 à Langon), basketteur
Héraldique[modifier | modifier le code]
Les armes de Langon se blasonnent ainsi : D'or aux trois pals de gueules.
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Voir aussi[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Ressource relative à la géographie :
- Site officiel de la commune
- Résultats du recensement de la population de Langon sur le site de l'INSEE, consulté le 4 décembre 2011.
- Langon sur le site Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui de l'EHESS, consulté le 4 décembre 2011.
- Langon sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- En 1926, la population de Langon était de 4 731 habitants, celle de Bazas de 4 410 habitants et celle de La Réole de 3 695 habitants. Depuis, la population de Langon a presque doublé tandis que les populations des deux autres villes ont quasiment stagné (2015).
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.
Références[modifier | modifier le code]
- Distances les plus courtes par la route - La distance orthodromique est de 41,4 km pour Bordeaux. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 4 décembre 2011.
- Langon sur Géoportail, consulté le 18 juin 2015.
- Le Langon - entre plaine et marais poitevin - Accueil Vendée
- Ville de Langon : L'annuaire des associations (Sports individuels)
- La belle époque des cafés de Langon - Le Républicain, Sud-Gironde.
- Nouveau gérant du café Alingo - Le Républicain, Sud-Gironde.
- L’ouverture du « Cochon volant » - Le Républicain, Sud-Gironde.
- Jacques Baurein, Variétés Bordeloises, t. 3, Bordeaux, , 2e éd. (1re éd. 1786) (lire en ligne), article 6.I, pages 215-224
- Historique des communes, p. 28, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 7 avril 2013.
- « Philippe Plagnol élu triomphalement à Langon », Le Républicain, (lire en ligne, consulté le 1er mars 2018)
- Ville de Langon : Jumelage
- Comité de jumelage Langon-Penzberg sur le site officiel de la commune, consulté le 23 mars 2013.
- « Jumelage(s) de Langon », sur l'atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures du Ministère des Affaires étrangères (consulté le 23 mars 2013)
- Nom des habitants de la commune sur Habitants.fr, consulté le 4 décembre 2011.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.
- Duros Escalade.
- L'itinéraire du premier Tour de France cycliste
- Chiffres de 2002 fournis pas le site de la mairie.
- « Inscription de l'église Saint-Gervais-Saint-Protais », notice no PA33000092, base Mémoire, ministère français de la Culture, consulté le 4 décembre 2011.
- Esquisses des aménagements des futurs quais
- Réhabilitation des quais de Langon.
- L’esplanade des quais rénovée
- Centre culturel des Carmes.
- L'Espace Claude-Nougaro sur le site de la mairie.