Saint-Georges (Gers)

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Saint-Georges
Saint-Georges (Gers)
Le château du Bartas
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Condom
Intercommunalité Communauté de communes Bastides de Lomagne
Maire
Mandat
Monique Mességué
2020-2026
Code postal 32430
Code commune 32377
Démographie
Gentilé Saint-Georgeois
Population
municipale
190 hab. (2021 en augmentation de 6,15 % par rapport à 2015)
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 43′ 43″ nord, 0° 56′ 13″ est
Altitude Min. 120 m
Max. 212 m
Superficie 15,82 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gimone-Arrats
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Georges
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Saint-Georges
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Saint-Georges

Saint-Georges (Sent Jòrdi en gascon) est une commune française située dans l'est du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Fézensaguet, un petit pays gascon, ancienne vicomté se situant entre l'Armagnac et la Lomagne. Ses habitants sont appelés les Saint-Georgeois ou Saint-Georgeoises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Saint-Georges est une commune située à 35 km à l'est d'Auch.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Cologne, Labrihe, Mauvezin, Sainte-Anne, Saint-Orens, Sarrant et Sirac.

Communes limitrophes de Saint-Georges[1]
Labrihe Sarrant
Mauvezin Saint-Georges Sainte-Anne
Saint-Orens Sirac Cologne

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Saint-Georges se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Georges.

La commune est située dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par la Gimone, le Sarrampion, le ruisseau de Gironne, le ruisseau de la Mort, le ruisseau de Lugat et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 0 km de longueur totale[4],[Carte 1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 700 mm, avec 9,8 jours de précipitations en janvier et 5,8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Sainte-Anne à 3 km à vol d'oiseau[7], est de 13,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 676,2 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux de ces zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique :

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Georges est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[14],[I 1],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 2],[I 3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (87,9 %), zones agricoles hétérogènes (9,9 %), forêts (2,3 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Georges est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Gimone et le Sarrampion. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[19]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999, 2009 et 2018[20],[17].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Georges.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 95 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 95 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 2016 et par des mouvements de terrain en 1999[17].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval du barrage de la Gimone, un ouvrage de classe A[Note 5] disposant d'une retenue de 25 millions de mètres cubes. La fiche réflexe du PPI définit le temps d'arrivée de l'onde et la zone d'accueil selon la position des habitants concernés par rapport à la Gimone (rive droite ou gauche)[24],[25],. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[26],[25]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

La paroisse de Saint-Georges est déjà mentionnée dans un acte du XIIe siècle entre les abbayes de Gimont et de Grand Selve.

Le village est surtout connu pour abriter le château du Bartas, propriété du poète gascon Guillaume de Saluste du Bartas (1544-1590).

Avant la Révolution de 1789, la paroisse de Saint-Georges est une annexe de la paroisse voisine de Saint-Pierre-de-Vinsac. L'ensemble constitue une partie du territoire des « Granges de Terride » appartenant à l'abbaye de Grand Selve, et dépend de la juridiction de Cologne.

En 1790, la Révolution créé les communes de Saint-Georges et de Saint-Pierre-de-Vinsac et les sépare de Cologne. Vers 1791-1792, la commune de Saint-Pierre-de-Vinsac est supprimée et son territoire est rattaché à Saint-Georges.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1971 1995 André Cadours PS  
1995 2014 Daniel Labissy[27] PS  
2014 En cours Monique Mességué DVG Agricultrice
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Saint-Georges a connu un pic de population de 802 habitants en 1841.L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].

En 2021, la commune comptait 190 habitants[Note 6], en augmentation de 6,15 % par rapport à 2015 (Gers : +0,79 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
638642691720728802731650647
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
596554565552527516503460426
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
435387331334312314257253236
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
195180162181154165176180190
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 72 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 186 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 550 [I 4] (20 820  dans le département[I 5]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 8 % 8,8 % 4,8 %
Département[I 7] 6,1 % 7,5 % 8,2 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 105 personnes, parmi lesquelles on compte 82,9 % d'actifs (78,1 % ayant un emploi et 4,8 % de chômeurs) et 17,1 % d'inactifs[Note 8],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département et inférieur à celui de la France.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 9]. Elle compte 20 emplois en 2018, contre 19 en 2013 et 30 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 83, soit un indicateur de concentration d'emploi de 24,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 63,3 %[I 10].

Sur ces 83 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 18 travaillent dans la commune, soit 22 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 91,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,6 % les transports en commun, 1,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

10 établissements[Note 9] sont implantés à Saint-Georges au [I 13]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 50 % du nombre total d'établissements de la commune (5 sur les 10 entreprises implantées à Saint-Georges), contre 14,6 % au niveau départemental[I 14].

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans les « Coteaux du Gers », une petite région agricole occupant l'est du département du Gers[32]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est l'exploitation de grandes cultures (hors céréales et oléoprotéagineuses)[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 25 19 7 11
SAU[Note 11] (ha) 1 154 1 175 688 1 079

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 25 lors du recensement agricole de 1988[Note 12] à 19 en 2000 puis à 7 en 2010[34] et enfin à 11 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 56 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[35],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 154 ha en 1988 à 1 079 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 46 à 98 ha[34].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[23].
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d'habitation.
  8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  9. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  10. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  11. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[33].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Saint-Georges » sur Géoportail (consulté le 12 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Georges » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gers » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Georges » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gers » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Georges » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Georges » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. Plan séisme
  3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
  4. « Fiche communale de Saint-Georges », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  7. « Orthodromie entre Saint-Georges et Sainte-Anne », sur fr.distance.to (consulté le ).
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  9. « Station Météo-France « Ste-Anne » (commune de Sainte-Anne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Georges », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « ZNIEFF les « prairies humides de la Gimone à Touget » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « ZNIEFF le « cours de la Gimone et de la Marcaoue » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  17. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Georges », sur Géorisques (consulté le )
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  19. DREAL Occitanie, « CIZI », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
  20. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gers », sur www.gers.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  22. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Georges », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
  23. Article R214-112 du code de l’environnement
  24. « Barrage de la Gimone », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
  25. a et b « Fiche réflexe du barrage de la Gimone », sur www.gers.gouv.fr (consulté le )
  26. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gers », sur www.gers.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  27. Site de la préfecture - Fiche de Saint-Georges
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  33. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  34. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Saint-Georges - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  35. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Gers » (consulté le ).
  36. « Grange cistercienne de Terride, ou Les Granges », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
  37. http://www.saintgeorges32.sitew.fr/fs/Nouveau_dossier/cv5gz-bulletin_communal_2_trimestre_2015_PDF.pdf