Frédéric Back
Naissance |
Sarrebruck, Sarre (Allemagne) |
---|---|
Nationalité |
Française Canadienne |
Décès |
(à 89 ans) Montréal, Québec (Canada) |
Profession | Artiste peintre, illustrateur, muraliste, réalisateur de films d'animation, maquettiste |
Films notables | Crac ! L'Homme qui plantait des arbres |
Site internet | http://www.fredericback.com |
Frédéric Back né le à Sarrebruck et mort le à Montréal[1] est un peintre, illustrateur et réalisateur de films d'animation québécois[2] d'origine française.
Il est surtout connu pour ses deux Oscars du meilleur court métrage d'animation (1982, 1988), pour ses films Crac! et L'Homme qui plantait des arbres.
Biographie
[modifier | modifier le code]Frédéric Back est né le à Sankt Arnual, une paroisse en banlieue de la ville de Saarbrücken, dans le territoire de la Sarre qui est alors rattaché à la France[3], d’un père musicien percussionniste (timbalier) et d’une mère dessinatrice, tous deux alsaciens. Il grandit et étudie à Strasbourg[4], puis de 1937 à 1938 à l'école de dessin de la rue Madame[5], qui prépare l'entrée à l’École Estienne de Paris[6]. Il habite alors au numéro 1 de la rue Garancière[7]. Il intègre ensuite l'École régionale des beaux-arts de Rennes où il reçoit l’enseignement de Mathurin Méheut pour le dessin et la peinture et celui de l'architecte Raymond Cornon (1908-1982), pour la perspective[8], artiste peintre et illustrateur. Cette rencontre marquera durablement Frédéric, au niveau humain et artistique[9]. C'est à cette époque qu’il commence sa carrière de peintre et expose notamment ses œuvres au Salon de la Marine, à Paris en 1946[10] et 1947. Parmi ses condisciples nous trouvons : Joseph Archepel, Jeanne Baglin, née Hue ; Jean Brand'honneur, Geoffroy Dauvergne, Roland Guillaumel, Jean-Marie Martin, Roger Marage, Guillemette Lelardoux-Chanu, Henri Thomas qui restèrent des amis[11], auprès de qui il avait une certaine notoriété puisque ayant déjà, à 18 ans, illustré le Du Guesclin de Roger Vercel.
Établi à Montréal en 1948[12], il enseigne à l’École du Meuble, où il succède à Paul-Émile Borduas[12], et à l'École des beaux-arts de Montréal où il rencontre Alfred Pellan[13].
Il entre au service de Radio-Canada en 1952 comme illustrateur, créateur d’effets visuels, de décors et de maquettes pour de nombreuses émissions culturelles, éducatives et scientifiques[14].
Dans les années 1960, il réalise plusieurs verrières d’églises et de lieux publics[14], telle celle de la station de métro Place-des-Arts à Montréal, en 1967[15], assisté de René Derouin[16].
En 1968, il rejoint l'équipe du studio d'animation de Radio-Canada, créé par Hubert Tison[17]. De 1968 à 1993 il réalise dix courts-métrages[6], ainsi que diverses présentations spéciales pour les programmes de la Société Radio-Canada[17]. Les films de Frédéric Back sont acclamés sur tous les continents, les reconnaissances et les nombreux prix consacrent le talent et le travail mis à contribution pour chaque film. Frédéric Back est nommé quatre fois aux Oscars du cinéma et remporte deux fois l'Oscar du meilleur court métrage d'animation : le premier (1982) pour Crac ! (82) et le second (1988) pour L'Homme qui plantait des arbres[18]. À lui seul, le film L'Homme qui plantait des arbres a gagné plus de quarante prix dans des festivals de films, un peu partout dans le monde[19].
Le cinéma d’animation lui est aussi un moyen pour transmettre son message écologiste et sensibiliser le public du monde entier aux causes environnementales qui lui tiennent à cœur[20]. Partout où ils sont présentés, ses films recueillent l’admiration du milieu du cinéma mais surtout celle du grand public qui y trouve des raisons d’espérer et des motivations à agir[21]. L'Homme qui plantait des arbres suscite partout sur la planète des mouvements spontanés de citoyens qui se mettent à planter des arbres eux aussi, ou bien s’en inspirent pour des initiatives locales appropriées.
Jusqu'à la fin, Frédéric Back continue à dessiner et s’implique plus que jamais dans des projets reflétant les valeurs auxquelles il a toujours adhéré : la défense des animaux et de la nature. Membre fondateur de la Société pour vaincre la pollution (SVP) et de la Société québécoise pour la défense des animaux[17], il répond aux questions relatives au cinéma d’animation et à l’environnement, intervient dans les écoles, illustre des livres, crée des affiches et continue de planter des arbres[19]. Membre de l'Association des amis du peintre Geoffroy Dauvergne, qui fut son condisciple aux Beaux-Arts de Rennes, en vue de la préservation du capital culturel pictural français. Membre de l'organisme Les artistes pour la paix, il a reçu, en 2010, un prix hommage célébrant son implication sociale[5], en particulier dans sa lutte contre le nucléaire.
Végétarien convaincu, il cite souvent Marguerite Yourcenar : « Les animaux sont mes amis et je ne mange pas mes amis. »[6]
Depuis 2005, il est directeur artistique du site Internet qui lui est consacré, Les Dessins d’une vie[22].
Il meurt à Montréal le , entouré de ses proches[23],[24].
Formation
[modifier | modifier le code]- 1937-1938 : école de la rue Madame à Paris. Dessin et reliure.
- 1938-1939 : École Estienne à Paris. Dessin lithographique.
- 1939-1944 : École régionale des beaux-arts de Rennes (1er prix d'études).
- 1941-1948 : élève de Mathurin Méheut, illustrateur et peintre de la Marine.
- 1963-1964 : boursier du Conseil des Arts du Canada. Séjour de perfectionnement en Europe dans le domaine du décor de film et du cinéma d'animation.
Enseignement
[modifier | modifier le code]- 1948-1952 : professeur de dessin et couleur à l'École du meuble, intégrée depuis au Cégep du Vieux Montréal.
- 1948-1952 : professeur d’illustration à École des beaux-arts de Montréal, devenue le département des arts plastiques de l'Université du Québec à Montréal.
Œuvre
[modifier | modifier le code]Filmographie
[modifier | modifier le code]Cinéma
[modifier | modifier le code]- 1970 : Abracadabra
- 1971 : Inon ou la conquête du feu
- 1972 : La Création des oiseaux
- 1975 : Illusion ?
- 1977 : Taratata
- 1978 : Tout-rien
- 1981 : Crac !
- 1987 : L'Homme qui plantait des arbres
- 1993 : Le Fleuve aux grandes eaux
Télévision
[modifier | modifier le code]- 1952 – 1953 : illustration et création de décors au service des Arts graphiques de la télévision de la Société Radio-Canada à Montréal.
- Chants et danses du monde, série hebdomadaire, réalisée par Roger Racine.
- Introductions pour plusieurs ballets. Téléthéâtre, réalisé par Jean Boisvert.
- Le Grenier aux images, série hebdomadaire, avec André Cailloux.
- Pépinot et Capucine, émissions pour enfants. Illustrations.
- 14, rue de Galais, réalisations de maquettes.
- 1953 - 1961 : illustrations, animations, dessins exécutés en direct, effets visuels, trucages, dessin animés, décors pour les émissions de télévision éducative, musicales et scientifiques de la Société Radio-Canada.
- Le Nez de Cléopâtre, série hebdomadaire, réalisée par Jean Boivert.
- Les Mystères de la planète, série hebdomadaire, réalisation de dessins animés.
- L'Heure du concert, réalisé par Pierre Mercure, Françoys Bernier et Guy Parent.
- La Science en pantoufles, série hebdomadaire, réalisée par Fernand Séguin. Réalisation de dessins animés.
- La Joie de connaître, série hebdomadaire, réalisée par Fernand Séguin. Réalisation de dessins animés.
- Concerts pour la jeunesse, sous la direction musicale de Wilfrid Pelletier.
- La Boîte à surprises, émissions pour enfants. Contes illustrés.
- Trio lyrique, série.
- Le Roman de la science, décors pour 99 émissions. Présenté par Fernand Seguin.
- Les Récits du Père Ambroise, émission pour enfants. Réalisé par Louis-Philippe Beaudoin.
- Signes de vie, émission religieuse pour enfants réalisée par Pierre Monette et animée par le père Ambroise Lafortune.
- Pierres Vivantes, émissions dominicales avec le Père Ambroise, réalisées par Pierre Monette.
- La Vie qui bat, série de découverte sur la nature, réalisée par Pierre Monette.
- Jazz pour Dieu, réalisation des animations.
- Fonfon, série pour enfants, réalisée par Hubert Blais.
- Le Corps humain.
- 1961 - 1963 : illustrateur aux émissions éducatives de la Société Radio-Canada.
- Le Secret des choses, émission éducative animée par Simone Bédard.
- 1965 - 1969 : Quebec School Telecasts. Émission éducative réalisée par Leonard Weinstein et diffusée au réseau anglais de la Société Radio-Canada. Frédéric Back réalise les films d’animation.
- Jeunesse oblige, magazine pour la jeunesse réalisé par Jean Martinet et Jean-Guy Benjamin.
- 1967 : D’Iberville réalisée par Pierre Gauvreau et Rolland Guay. Frédéric Back réalise neuf maquettes pour cette série. Elles sont remises au Musée militaire et maritime de la Ville de Montréal, à l'Ile Sainte-Hélène.
- 1968 : Frédéric Back intègre l’équipe du studio d’animation de la Société Radio-Canada, dirigée par Hubert Tison.
- 1970 : présenté à l'Atelier des émissions jeunesse à l'Union européenne de radiodiffusion (UER) à Copenhague, Abracadabra a été vendu à neuf organismes étrangers : les télévisions de Hollande, de Suède, de France, de Suisse, de Belgique, de Monte-Carlo, de Finlande, d'Écosse et la National Education Television des États-Unis. Sept films de Frédéric Back ont participé à ces échanges pendant 14 ans.
- Réalisation des décors et des costumes pour la série Les Oraliens, diffusée par Radio-Québec.
- 1972 : illustrateur de l'émission Les Forges du Saint-Maurice, réalisée par Louis Bédard et Richard Martin.
- Réalisation du film d’animation Nos chers vieux téléromans, dans le cadre de l’émission Les beaux dimanches. Le film présente 47 téléromans de 1952 à 1972.
- Réalisation du générique de Bagatelle (la série de la SRC de 1973-1979, et non celle du même nom à la CBC).
- 1979 : réalisation de séquences animées pour le ballet L'Oiseau de feu d'Igor Stravinsky, de Jean-Yves Landry et diffusion dans le cadre des Beaux Dimanches, les et . Cette émission remporte le Prague d'or 1980 et le Emmy Award 1980, à New-York.
Peinture
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Laurent de Rennes en ruines, Rennes, musée de Bretagne. Représentation de l'édifice en ruines avec au premier plan un char américain[25].
Publications et illustrations
[modifier | modifier le code]- 1944 : Du Guesclin de Roger Vercel, Paris : Éditions Arc-en-Ciel.
- 1947 : L'Ami Fritz d'Erckmann et Chatrian, Paris : Société d’éditions françaises et internationales, Librairie Hachette.
- 1948 : La Caravane de Pâques de Roger Vercel, Ottawa : Le Cercle du Livre de France ; Paris : Albin Michel.
- 1954 : Le Navigateur de Jules Roy, Ottawa : Le Cercle du Livre de France ; Paris : Gallimard.
- 1958 : Fredon et couplets d'André Cailloux, Montréal : Beauchemin.
- 1959 - 1961 : L'Oncle 5 heure trente de Guy Maufette, Montréal : Fides, Collection des P'tits bouts de chou.
- Un Petit mousse (1959)
- Ildège de la pomme fameuse (1959)
- Le Petit âne (1961)
- Un Poème (1961).
- 1968 : Ulysse et Oscar d'André Cailloux. Montréal : Radio-Canada : Héritage.
- Ulysse rencontre Oscar
- Un cadeau d'Égypte
- Noises chinoises
- Corrida de vaches sacrées
- Hortense aviatrice
- Oscar fait du cinéma
- 1986 : Crac ! de Ghylaine Paquin et Fréderic Back. Montréal : Entreprises Radio Canada ; Paris : Centurion Jeunesse.
- 1989 : L'homme qui plantait des arbres de Jean Giono. Montréal :SRC ; Paris : Gallimard ; Saint-Laurent : Lacombe
- 1990 : L'animal, son bien-être et la loi au Québec de la Société québécoise pour la défense des animaux (SQDA). Montréal : Wilson et Lafleur Ltée : Québécor.
- 1995 : Le Fleuve aux grandes eaux de Claude Villeneuve. Montréal : Les éditions Québec/Amérique inc. : SRC.
- 1995: Inuit : les peuples du froid de Georges-Hébert Germain ; sous la direction scientifique de David Morrisson. Montréal : Éditions Libre expression ; Ottawa : Musée canadien des civilisations.
- 1995 : Québec, Paris : Gallimard, Collection « Encyclopédies du voyage ».
- 1996 : Les Bélugas, ou l'adieu aux baleines de Pierre Béland. Montréal : Éditions Libre Expression.
- 1996 : Alsace, Paris : Gallimard, Collection « Encyclopédies du voyage ».
En 2003, il crée un dessin pour la couverture et compose un texte inédit pour le livre collectif Lettres d'outre-mer pour en finir avec la guerre, dont les textes sont rassemblés par Andrée Parent. Le livre est publié chez Lanctot éditeur. Les profits des ventes ont été versés à l'organisme Développement et paix à Montréal.
Il signe la préface du recueil Mots de terre, publié en 2008.
Distinctions
[modifier | modifier le code]Décorations
[modifier | modifier le code]- Chevalier de l'ordre du Québec[26].
- Officier de l'ordre des Arts et des Lettres
- Officier de l'ordre du Canada.
- Commandeur de l'ordre de Montréal en 2016.
Récompenses
[modifier | modifier le code]- 1962 : prix du Congrès du Spectacle et du Art Director's Club, pour le meilleur graphique.
- 1982 : Crac ! reçoit l’Oscar du meilleur film d'animation décerné par l'Academy of Motion Picture Arts and Sciences de Los Angeles, aux États-Unis.
- 1986 : Annie Award, décerné à l'ensemble de l'œuvre de Frédéric Back pour sa contribution exceptionnelle à l'art de l'animation. Le prix a été décerné par ASIFA à Hollywood.
- 1988 : prix ASIFA International à l'Animafest Zagreb, rendant hommage à l'ensemble de son œuvre.
- Prix spécial décerné par l'Institut de radiotélévision pour enfants rendant hommage à l'ensemble de son œuvre.
- 1988 : L'Homme qui plantait des arbres remporte l’Oscar du meilleur court métrage décerné par l'Academy of Motion Picture Arts and Sciences de Los Angeles, aux États-Unis, le .
- 1991 : prix Albert-Tessier.
- 1992 : prix de l'excellence accordé par le ministère des Communautés culturelles et de l'Immigration du Québec. Ce prix lui est accordé pour son apport exceptionnel à l'intégration des activités culturelles dans la société québécoise.
- 1993 : Cristal d'Annecy pour Le Fleuve aux grandes eaux au Festival international du film d'animation d'Annecy.
- 1993 : prix Klingsor pour l'ensemble de son œuvre à la Biennale d'animation de Bratislava (BAB)[27]
- 1994 : prix du Gouverneur général du Canada pour les arts de la scène.
- 1995 : prix d'Excellence au Festival de télévision de Banff, Canada - Juin.
- 2000 : prix Iris-Hommage, de l’Académie du cinéma.
- 2005 : Physis d’honneur à l’occasion de Terrascope 2005 pour son rôle de pionnier, depuis près de 40 ans, dans la sensibilisation aux problèmes environnementaux et, avant l’heure, aux enjeux du développement durable, le .
Un parc de Montréal porte le nom de Frédéric Back[28],[29].
Autres
[modifier | modifier le code]- 1984 : Crac ! est sélectionné au sixième rang parmi les cinquante meilleurs films d'animation des quatre-vingt dernières années à Olympiad of Animation de Los Angeles, à l'occasion des Jeux olympiques.
- 1987 : The American Film Institute présente un hommage à l'ensemble de son œuvre dans le cadre de The Walter Lantz Conference on Animation à Los Angeles.
- 2003 : trois films de Frédéric Back sont sélectionnés au Best 150 World and Japanese animation films produced in the 20th century selected by professionnals, par Fusion Product Co, à Tokyo, au Japon : L'Homme qui plantait des arbres (4e rang), Crac ! (12e rang), Le Fleuve aux grandes eaux (127e rang).
- Frédéric Back est invité pour la 9th Marc Davis Lecture on Animation à l’Academy of Motion Picture Arts and Sciences de Los Angeles, aux États-Unis, le .
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Jean-Claude Raspiengeas, « Frédéric Back, la mort d’un homme bon », La Croix, (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le )
- Raphaël Lavoie, « 35 grands disparus québécois de la dernière décennie », sur Le Journal de Québec, (consulté le ).
- « Autobiographie : L'enfance 1924-1937 - Mes parents », sur fredericback.com (consulté le ).
- « Frédéric Back, illustrateur d'origine alsacienne, est décédé », sur dna.fr, (consulté le ).
- « Frédéric Back (1924-2013) – Celui qui planta », sur Le Devoir (consulté le ).
- « Frédéric Back ou l'humanisme par le cinéma d'animation », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
- « La rue Garancière », sur paristoric.com (consulté le ).
- « Frédéric Back, peintre, a laissé son empreinte à Saint-Melaine », sur ouest-france.fr, .
- René Viau, « Frédéric Back : Une nature témoin », Vie des arts, vol. 53, no 215, , p. 29–36 (ISSN 0042-5435 et 1923-3183, lire en ligne, consulté le )
- « Montrealer Frédéric Back won Oscars for animated films », The Globe and mail, (lire en ligne, consulté le )
- Alain Valtat, Geoffroy Dauvergne, catalogue raisonné, éd. Lévana, Sceaux, 1996, 483 p.
- Jean, Marcel, 1963- et Coulombe, Michel, 1957-, Le dictionnaire du cinéma québécois, Montréal (Québec), Boréal, (ISBN 2-7646-0427-0 et 9782764604274, OCLC 1006893527, lire en ligne)
- Ministère de l'Économie et de l'Innovation, « Communiqué de presse / MM. Hubert Reeves et Frédéric Back font leur entrée dans le cercle des phénix de l’environnement - MEI », sur Ministère de l’Économie et de l’Innovation (consulté le ).
- Lepage, Françoise., Histoire de la littérature pour la jeunesse : Québec et francophonies du Canada ; suivie d'un Dictionnaire des auteurs et des illustrateurs, Orléans (Ont.), Éditions David, , 826 p. (ISBN 2-922109-24-0 et 9782922109245, OCLC 41661550, lire en ligne), p. 547
- « Place-des-Arts (Frédéric Back) », sur Société de transport de Montréal (consulté le ).
- « Frédéric Back et l’art dans le métro de Montréal | Archives de Montréal », sur archivesdemontreal.com (consulté le ).
- Frédéric Back sur L'Encyclopédie canadienne
- Nicolas Bérubé, « Hollywood fête Frédéric Back », La Presse, (lire en ligne, consulté le )
- « Frédéric Back », sur Ordre de Montréal, (consulté le ).
- Pierre Moreau, « HOMMAGE À FRÉDÉRIC BACK ».
- Philippe Bourke, « Après 2013, quelques raisons d’espérer… », Le Devoir,
- « Frédéric Back », sur Premiere.fr (consulté le ).
- « L'illustrateur et cinéaste Frédéric Back s'est éteint », sur Radio-Canada.ca, (consulté le ).
- (en) « Twotime Oscar winner Frederic Back dies », LA Times, (lire en ligne, consulté le ).
- Ruines de l'église Saint-Laurent de Rennes.
- « Frédéric Back (1924 – 2013) », sur ordre-national.gouv.qc.ca (consulté le ).
- (en) Archive des lauréats de la BAB, site officiel bibiana.sk.
- « Les secrets du parc Frédéric-Back », sur Tohu (consulté le ).
- (en) « Parc Frédéric-Back », sur Tourisme Montréal (consulté le ).
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- « Back, Frédéric » sur calindex.eu : index des articles de revues de cinéma portant sur cet auteur ou ses œuvres (en ligne).
- Jean-Pierre Pagliano, « Entretien avec Frédéric Back », Jeune Cinéma, n°226, février 1994.
- Olivier Cotte, Les Oscars du film d'animation : secrets de fabrication de 13 courts-métrages récompensés à Hollywood, Paris, Eyrolles, , 288 p. (ISBN 978-2-212-11568-0, BNF 40207182), « Les coulisses de L'Homme qui plantait des arbres »
- Anne Pélouas, « Frédérick Back ou l'humanisme par le cinéma d'animation », Le Monde, 26 décembre 2013, p.16.
- Xavier Kawa-Topor, Carnet de notes sur L'Homme qui plantait des arbres & Crac, sur la plateforme Nanouk éditée par Les Enfants de Cinéma, 2019.
Liens externes
[modifier | modifier le code]
- (fr + en + ja) Site officiel
- Ressources relatives aux beaux-arts :
- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Ressource relative à la musique :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- Réalisateur québécois
- Animateur québécois
- Peintre québécois
- Illustrateur québécois
- Artiste du métro de Montréal
- Personnalité de la Société Radio-Canada
- Écologiste québécois
- Personnalité végétarienne
- Chevalier de l'Ordre national du Québec
- Officier de l'Ordre du Canada
- Officier des Arts et des Lettres
- Commandeur de l'Ordre de Montréal
- Lauréat du prix Albert-Tessier
- Docteur honoris causa de l'Université Laval
- Docteur honoris causa de l'Université du Québec
- Élève de l'École Estienne
- Élève de l'École régionale des beaux-arts de Rennes
- Naissance en avril 1924
- Naissance à Sarrebruck
- Décès en décembre 2013
- Décès à Montréal
- Décès à 89 ans
- Mort d'un cancer au Canada
- Prix Iris-Hommage