Chambellay
Chambellay | |||||
Héraldique |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Maine-et-Loire | ||||
Arrondissement | Segré | ||||
Intercommunalité | C.C. région du Lion-d'Angers | ||||
Maire Mandat |
Jean Pagis 2014-2020 |
||||
Code postal | 49220 | ||||
Code commune | 49064 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Cambolitains | ||||
Population municipale |
368 hab. (2014) | ||||
Densité | 29 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 41′ 28″ nord, 0° 40′ 56″ ouest | ||||
Altitude | Min. 17 m Max. 76 m |
||||
Superficie | 12,86 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Lion-d'Angers | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
| |||||
modifier |
Chambellay est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire en région Pays de la Loire.
La commune fait partie de la communauté de communes de la région du Lion-d'Angers ainsi que du syndicat mixte Pays du Haut-Anjou Segréen.
Géographie
Chambellay se situe à 10 km du Lion-d'Angers, à 15 km de Segré, à 16 km de Château-Gontier et à 30 km d'Angers.
La commune s'étend de part et d'autre de la Mayenne, sur une superficie de 1287 hectares. Elle est parcourue par quelques ruisseaux : celui du Grand Saulaie qui constitue la limite nord de la commune, celui du Maudeux qui passe au nord du bourg et celui de la Baconne sur la rive gauche de la Mayenne. Seuls le bois des Défais et le parc du château de Bois-Montbourcher constituent des zones boisées sur la commune. Outre la N. 162, la commune est parcourue par deux axes principaux de communication : un nord/sud : C.D. 187 et un est/ouest : C.D. 78.
Toponymie
La ville s'appelait Cambriliacus Villa à la fin de l'Antiquité, Camberliacus au XIe siècle, Chambelleyum au XIIIe siècle.
Histoire
Au Moyen Âge, la châtellenie de Chambellay relevait, pour une partie, de la baronnie de Candé et pour partie du château d'Angers. La seigneurie de Chambellay appartenait à la famille de Montalais (du XIVe à la fin du XVIIe siècle), avant d'être cédée en 1696 à la famille de Racapé, puis de passer, jusqu'à la Révolution, par succession en 1734 aux Héliand d'Ampoigné et enfin par alliance en 1770 aux Juigné du Parvis.
Sous l'Ancien Régime, Chambellay faisait partie de la sénéchaussée d'Angers.
Pendant la Première Guerre mondiale, 33 habitants perdent la vie. Lors de la Seconde Guerre mondiale, deux habitants sont tués[1].
Politique et administration
Liste des maires
Intercommunalité
La commune est membre de la communauté de communes de la région du Lion-d'Angers[3], elle-même membre du syndicat mixte Pays de l'Anjou bleu, Pays segréen.
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[4]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[5],[Note 1].
En 2014, la commune comptait 368 habitants, en augmentation de 11,18 % par rapport à 2009 (Maine-et-Loire : 3,2 %, France hors Mayotte : 2,49 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (25,1 %) est en effet supérieur au taux national (21,8 %) et au taux départemental (21,4 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (52,5 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,9 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2008, la suivante :
- 47,5 % d’hommes (0 à 14 ans = 21,8 %, 15 à 29 ans = 14,1 %, 30 à 44 ans = 19 %, 45 à 59 ans = 22,5 %, plus de 60 ans = 22,5 %) ;
- 52,5 % de femmes (0 à 14 ans = 22,9 %, 15 à 29 ans = 12,7 %, 30 à 44 ans = 18,5 %, 45 à 59 ans = 18,5 %, plus de 60 ans = 27,4 %).
Enseignement
Économie
Sur 39 établissements présents sur la commune à fin 2010, 44 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 5 % du secteur de l'industrie, 8 % du secteur de la construction, 33 % de celui du commerce et des services et 10 % du secteur de l'administration et de la santé[10].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Château du Bois-Montbourcher
* Église Saint-Aubin (avec les toiles classées d'Adeline Neveux)
Tessier Alfred (architecte) et Lemesle Prosper (architecte).
L'église actuelle, du 3e quart du XIXe siècle, remplace une église romane qui contenait, selon Célestin Port, de très belles peintures murales. La reconstruction est confiée en 1858 à Tessier. Les travaux sont menés jusqu'en 1861 sous la direction de Prosper Lemesle. En 1911, des travaux ont lieu pour consolider la flèche. Les peintures murales d'Adeline Neveu y sont installées en 1941.
Description : L' église en croix latine possède un clocher-porche hors-œuvre en façade. Le clocher est en pierre à trois étages couronnés d'une flèche polygonale. La nef unique est composée de cinq travées voûtées d'ogives en brique, d'une travée de chœur et d'une abside à cinq pans. L' église est éclairée par des baies à deux lancettes excepté les pignons des bras du transept percés de roses. L'église abrite quinze toiles marouflées d'Adeline Neveu représentant des scènes de l'Ancien et du Nouveau Testament. Des peintures de H. Fournier et de René Rabault ornent aussi l'intérieur de l'église[11].
Personnalités liées à la commune
XVIIIe – XIXe siècle
- comte Auguste d'Andigné de Mayneuf (1763-1839), magistrat et homme politique: conseiller au Parlement de Bretagne (1788-1790), président du Conseil général de Maine-et-Loire (1807-1809, 1818-1819, 1822-1823, 1825-1827,1829-1831), maire de Chambellay (1808-1818), député de Maine-et-Loire (1815-1827), Premier président de la Cour royale d'Angers (1824-1830), chevalier de la Légion d'honneur. Il n'émigra pas lors de la Révolution, fut incarcéré au Bouffray à Nantes sous la Terreur, puis arrêté à nouveau sous le Directoire. C'est en son manoir de la Jonchère qu'il avait accueilli, en décembre 1799, les "conférences de Pouancé" aux cours desquelles les chefs de la chouannerie décidèrent l'ouverture des négociations avec Bonaparte qui conduisirent à la pacification de janvier 1800. Il résidait au château des Halliers (terre advenue à sa famille au XVIe siècle), route de Montreuil-sur-Maine, qui sera acquis en 1865 par le vicomte Paul-Louis Syette de Villette (1814-1885), époux d'Elisabeth Victoire de la Tullaye (1830-1925). Marié quatre fois (en 1791, 1800, 1803 et 1812), Auguste d'Andigné eut six enfants: Louise-Agathe-Rosalie (1805-1839), Sophie-Charlotte-Pauline (1807-1859), Rosalie (+1899), Noémie (1826-1837), Emmanuel (1817-1871) et Marie-Charlotte (1820-1885). C'est son fils, Emmanuel d'Andigné de Mayneuf, qui cédera à la commune en 1844 les bâtiments de l'ancien Prieuré de Chambellay pour y établir le presbytère, rénovera la ferme des Halliers en 1856 (primée comme ferme modèle) et élèvera la chapelle funéraire de la famille d'Andigné dans le cimetière de Chambellay en 1858, tout en agrandissant le château et le domaine de l'Isle-Briand au Lion d'Angers, ville dont il sera maire de 1848 à 1871.
- Toussaint Grille (1766-1850), collectionneur d'ouvrages et d'antiquités angevines : avant de devenir directeur de la bibliothèque municipale d'Angers (1805-1837), il avait été curé assermenté de Chambellay (1792-1793). Son neveu, François Grille (1782-1853), qui lui succéda comme bibliothécaire de la ville d'Angers, fréquentait le salon que Rosalie Barbot (1771-1863), la tante de Prosper Barbot (cf. infra), tenait cour Saint-Aubin à Angers.
- vicomte Emmanuel Dambray (1785-1868), conseiller d'État, homme politique: conseiller général de la Seine-Inférieure, pair de France (1815-1830), député de la Mayenne (1849-1851), il était le fils du chancelier de France de Louis XVIII, président de la Chambre des pairs (1814-1829), ministre de la Justice et garde des Sceaux (1814-1815, 1816-1818). En 1854, il fit construire avec son épouse, née Caroline Deshaies de Cry (1792-1870), sur l'emplacement de la Maison de la Roche Chesneau où avait vécu le comte Louis Deshaies de Cry (1754-1848, maire de Chambellay de 1818 à 1830), le château de la Régale (qui revint à leur mort à leurs neveux Charnacé et sera finalement acquis en 1985 par la commune de Chambellay pour y construire le lotissement éponyme). En 1858, les époux Dambray furent également les principaux souscripteurs à l'origine de la construction, en remplacement de l'ancienne église prieurale du XIe ou XIIe siècle, de la nouvelle église Saint-Aubin de Chambellay par les architectes Alfred Tessier et Prosper Le Mesle (1823-1912), lui-même originaire du Perray à Chambellay.
- Prosper Barbot (1798-1878), artiste-peintre paysagiste et orientaliste: compagnon de Camille Corot en Italie (1824-1828), récompensé d'une médaille d'or au Salon de 1827, peignant ensuite en Algérie (1842) et en Égypte (1844-1846). Ses œuvres figurent principalement dans les collections des musées des Beaux-Arts d'Angers (périodes italienne et angevine), où sont exposés dans la galerie consacrée aux paysagistes du XIXe siècle : Vue du théâtre de Traormine en Sicile, Rochers à Civita Castellane, Ruines à Rome, Procession au Forum et du Louvre (dessins). Il habitait à Chambellay, dont il fut conseiller municipal de nombreuses années, la maison aujourd'hui sise 4 route de Saint-Martin, longtemps appelée l'ancien Vergé, compte tenu de la construction, en 1909, du nouveau Verger par l'architecte Georges Le Chatelier (1857-1935), frère du savant Henry Le Chatelier (1850-1936) et époux de la petite-fille et dernière héritière de Posper Barbot, née Henriette Garnon.
- marquis Guy de Charnacé (1825-1909), écrivain et musicologue : il se marie en 1849 à Claire d'Agoult (1830-1912), fille de Marie d'Agoult (1805-1876), en littérature Daniel Stern, dont il était devenu un habitué du salon littéraire après avoir rencontré Honoré de Balzac à Dresde dans le salon de la comtesse Hanska. Œuvres : Drames mystérieux, Une parvenue, Un homme fatal, Le baron vampire, Vaincu, Expiation, L'amour et l'argent, Journal d'un amoureux, L'esclave, Les femmes d'aujourd'hui, Nouveaux portraits, Aventures et portraits, Sur le vif, Causeries sur nos contemporains, Notes d'un philosophe provincial, Réponse à l'homme-femme de Dumas, L'amour dans le roman et chez les philosophes, Musique et musiciens, Les étoiles du chant, Gluck et Weber, Les théâtres lyriques subventionnés, Wagner jugé par un allemand, Souvenirs d'une jument de chasse, Les veneurs ennemis, Portraits de chiens courants, Le chasseur noir, Étude d'économie rurale, Études sur les animaux domestiques, Les races chevalines françaises, Les races bovines françaises, Les œuvres posthumes de Baudement, Les femmes d'à présent, Hommes et choses du temps présent… Il vint habiter au château du Bois-Monbourcher (terre acquise en 1711 par la famille de Girard de Charnacé) de 1880 à la mort de sa mère en 1899. Son fils, Daniel de Charnacé (1851-1942), se fixera au Bois-Montbourcher en 1876, auprès de son grand-père, le marquis Ernest de Charnacé (1800-1884), qui venait d'achever la restauration du château et auquel il succédera comme maire de Chambellay de 1884-1942, détenant ainsi le record de longévité à cette fonction municipale. Son petit-fils, Bertrand de Charnacé (1885-1967), sera également maire de Chambellay de 1942 à 1967 et sera l'auteur, en 1958, des Notes sur la maison de Girard de Charnacé.
XXe – XXIe siècle
- Jean-Claude Brialy (1933-2007), artiste dramatique: directeur du théâtre Hébertot (1977) puis du théâtre des Bouffes-Parisiens (1986-2007), longtemps directeur artistique du Festival d'Anjou (1985-2001) et créateur du Festival de Ramatuelle, il a été l'interprète de très nombreux films (cinéma et télévision) et pièces de théâtre. Il a également réalisé plusieurs films, dont Églantine son premier film, l'histoire de la vente d'une maison de famille inspirée de la vente de la maison de ses grandS-parents sise à Chambellay. En 1979, il demeure à Chambellay pendant le tournage d'un autre de ses films "les Malheurs de Sophie" (tourné au château de Lorie, situé à La Chapelle-sur-Oudon près de Segré). Commandeur de la Légion d'honneur, de l'Ordre national du Mérite et de l'Ordre des arts et lettres, il est l'auteur de livres de souvenirs, notamment : Le ruisseau des singes (2000) et J'ai oublié de vous dire (2004), y évoquant plus particulièrement les bons moments de son enfance passés à Chambellay, chez ses grands-parents paternels dont il avait racheté la maison, située rue du Commerce.
- Alfred Bour (1882-1973), administrateur de biens, homme politique, journaliste : docteur en droit, il rejoint, en 1906, l'étude d'administrateur de biens de son père qu'il reprend à son décès en 1912 et qu'il ne cédera qu'en 1962. Auteur en 1913 d'un ouvrage intitulé Comment loger les autres et se loger soi-même à bon marché, il s'inscrit un temps, au sortir de la Première Guerre mondiale, comme avocat au Barreau de Paris (1918-20). Journaliste et gestionnaire du Petit Démocrate, il fut l'un des fondateurs, en 1924, du Parti démocrate populaire (le PDP est l'ancêtre du MRP), qui réunissait les catholiques sociaux ou démocrates. Après avoir échoué aux législatives de 1924 en banlieue parisienne, il décide de se présenter en Anjou où, avec son épouse, ils ont des attaches familiales à Chambellay, et fut le premier président de la fédération angevine du PDP. Après avoir finalement renoncé à se présenter aux législatives à Angers en 1928, il ne réussit pas à être élu au Conseil d'arrondissement du canton du Lion-d'Angers en 1931, se retirant pour permettre l'élection de son colistier Georges Saulou. Il fut un temps conseiller municipal de Lempzours en Dordogne (1925-1931) avant d'être élu, en 1931, au Conseil municipal de Paris, dont il deviendra vice-président en 1936, et où, réélu en 1935 et 1945, il siégea seize ans jusqu'en 1947 (élection lors de laquelle la liste MRP qu'il menait n'eut aucun élu, comme cela se renouvellera en 1953). Entre temps, il avait été élu en 1947 membre de l'Assemblée de l'Union Française, troisième assemblée constitutionnelle de la 4e République, avant de siéger à ce titre, en 1958, au sein du Comité consultatif constitutionnel chargé par le général de Gaulle de préparer la nouvelle Constitution de 5e République. Commandeur de la Légion d'honneur, il fut également, à compter de 1946 jusqu'à sa mort, administrateur des Petites Affiches et du Courrier de l'Ouest où il publia de nombreux articles jusqu'à ses 90 ans. En 1935, ils avaient hérité avec son épouse, née Caroline Leroux (1884-1947) et nièce de Georges Le Chatelier (1857-1935) décédé sans enfant, de la propriété du Verger, sise aujourd'hui 8 route de Saint-Martin à Chambellay, voisine de celle des Soulez-Larivière auxquels Alfred Bour était par ailleurs lié par sa sœur Adèle, épouse d'Émile Soulez. Un mémoire de maîtrise en histoire politique lui fut consacré en 1976 par Dominique Nardin, épouse de son petit-fils Antoine Bour, sous la direction de René Rémond (université de Paris X Nanterre). Notons enfin que l'un de ses fils, Louis Bour (1909-1998), polytechnicien, qui fut député MRP de Paris (1946-1951) et membre du Conseil économique (1951-1959) puis du Conseil économique et social (1959-1974), publia en 1977 un livre sur son père: Alfred Bour, une vie, une époque, où figurent de nombreux souvenirs de sa vie à Chambellay, dont le récit de ses dernières années en Anjou.
Héraldique
Chambellay
|
Voir aussi
Bibliographie
- Célestin Port, Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : A-C, t. 1, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (BNF 33141105, lire en ligne)
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Références
- Port 1965, p. 622
- « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la Préfecture du département du Maine-et-Loire (consulté le ).
- Insee, Composition de l'EPCI de la Région du Lion d'Angers (244900585), consulté le 14 décembre 2013
- L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
- Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
- « Évolution et structure de la population à Chambellay en 2008 », sur le site de l'Insee (consulté le )
- « Résultats du recensement de la population de Maine-et-Loire en 2008 », sur le site de l'Insee (consulté le )
- Insee, Statistiques locales du territoire de Chambellay (49), consultées le 16 décembre 2012
- Église Saint-Aubin - Source Base Mérimée
- C’est aussi le blason des villes de Machecoul (Loire-Atlantique) et d’Haroué (Meurthe-et-Moselle).