Buire-sur-l'Ancre
Buire-sur-l'Ancre | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Péronne | ||||
Intercommunalité | CC du Pays du Coquelicot | ||||
Maire Mandat |
Jean-Christian Ruin 2020-2026 |
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Code postal | 80300 | ||||
Code commune | 80151 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Buirois | ||||
Population municipale |
300 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 57 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 57′ 56″ nord, 2° 35′ 35″ est | ||||
Altitude | Min. 38 m Max. 102 m |
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Superficie | 5,28 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Amiens (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Albert | ||||
Législatives | 5e circonscription de la Somme | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://buiresurancre.fr | ||||
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Buire-sur-l'Ancre est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.
Le nom de la commune en picard est Buire-su-l'Inque.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Description
[modifier | modifier le code]Buire-sur-l'Ancre est un village rural picard de l'Amienois situé à 23 km au nord-est d'Amiens, 9 km au nord-est de Corbie et 6 km au sud-ouest d'Albert. L'ex-route nationale 29 (actuelle RD 929) traverse le nord du territoire communal.
La commune est traversée par la ligne de Paris-Nord à Lille sur laquelle elle dispose de la Gare de Buire-sur-l'Ancre, desservie par des trains TER Hauts-de-France qui effectuent des missions entre les gares d'Amiens et de Lille-Flandres. En 2019, elle est desservie par les lignes d'autocars du réseau interurbain Trans'80 Hauts-de-France (ligne no 37)[1].
Le relief de la commune est celui d'un plateau traversé par une vallée. Le point culminant se situe au nord de la commune au lieu-dit, les Vignes (91 m d'altitude). La vallée se situe à 40 m d'altitude[2].
Le territoire de la commune est constitué pour une large part de terrains calcaires. Sous une mince couche de terre végétale, se rencontre de la marne recouverte d'alluvions, dans la vallée ; le marais communal ayant un sol tourbeux. Les coteaux sont composés de calcaire siliceux recouverte d'argile. On trouve du sable au nord-ouest[2].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par l'Ancre, la rivière l'Ancre[3] et le Méricourt-l'Abbé[4],[Carte 1].
L'Ancre, d'une longueur de 37 km, prend sa source dans la commune de Miraumont et se jette dans la Somme canalisée à Aubigny, après avoir traversé 21 communes[5].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Somme aval et Cours d'eau côtiers ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 835 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Somme canalisée. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[6].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 686 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Méaulte à 5 km à vol d'oiseau[9], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 730,3 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,1 | 1,2 | 3,3 | 5,1 | 8,2 | 11 | 12,9 | 13 | 10,5 | 7,6 | 4,3 | 1,8 | 6,7 |
Température moyenne (°C) | 3,6 | 4,2 | 7,2 | 9,9 | 13,2 | 16,1 | 18,3 | 18,5 | 15,2 | 11,2 | 7 | 4,1 | 10,7 |
Température maximale moyenne (°C) | 6 | 7,1 | 11,1 | 14,7 | 18,2 | 21,2 | 23,6 | 23,9 | 20 | 14,9 | 9,7 | 6,4 | 14,7 |
Record de froid (°C) date du record |
−13,7 17.01.13 |
−13 07.02.1991 |
−9,1 13.03.13 |
−4,7 07.04.21 |
−1,6 07.05.1997 |
1,4 05.06.1991 |
4,8 04.07.1990 |
5,7 24.08.1993 |
2,1 30.09.18 |
−4,3 29.10.03 |
−8,5 24.11.1998 |
−13,6 18.12.10 |
−13,7 2013 |
Record de chaleur (°C) date du record |
14,8 09.01.15 |
18,5 26.02.19 |
23,1 31.03.21 |
26,6 29.04.10 |
30,3 27.05.05 |
34,1 18.06.22 |
40,8 25.07.19 |
38,2 06.08.03 |
34 15.09.20 |
28 01.10.11 |
19,8 06.11.18 |
15,8 30.12.22 |
40,8 2019 |
Précipitations (mm) | 61,2 | 49,9 | 53,5 | 43,3 | 58,7 | 56,7 | 60,7 | 64,7 | 55,9 | 69,6 | 72,1 | 84 | 730,3 |
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Buire-sur-l'Ancre est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[14]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (92,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (87,6 %), zones urbanisées (5,4 %), prairies (4 %), zones humides intérieures (3 %)[17]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Bubseria en 1168 ; Buires en 1279 ; Buires vers Encre en 1284 ; Buyr en 1579 ; Buyres en 1648 ; Buire en 1733 ; Buire-sous-Corbie en 1801[18].
On trouve d'autres formes pour désigner Buire-sur-l'Ancre, dans les textes anciens : Buriacum, Buyres, Buires-sur-Corbie, Buires versus Encram en 1279[19].
Buire semble reproduire un Buria, formé sur le vieux haut-allemand bûr : « hutte , habitation »[20], du germanique burja, qui signifie « cabane » (puis sans doute hameau).
L'Ancre est une rivière du nord du département de la Somme et du Pas-de-Calais, dans la nouvelle région Hauts-de-France, affluent droit du fleuve la Somme.
Histoire
[modifier | modifier le code]Le père Daire signale que le chapitre de Fouilloy possédait, à Buire, une portion de dîme en 1203.
-
La gare.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Penvénan était membre de la communauté de communes du Pays du Coquelicot, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2001 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Les habitants de la commune s'appellent des Buirois(es)[25].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[27].
En 2021, la commune comptait 300 habitants[Note 3], en évolution de −2,91 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Les communes de Buire-sur-l'Ancre, Treux Morlancourt et Ville-sur-Ancre se sont associées en regroupement pédagogique intercommunal. Le regroupement compte 70 élèves pour l'année scolaire 2020-2021, répartis sur les trois communes. Un espace numérique de travail est prévu en 2020[30].
Autres équipements
[modifier | modifier le code]Économie
[modifier | modifier le code]L'activité dominante de la commune reste l'agriculture. Une activité artisanale subsiste dans la commune.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]-
L'église Saint-Hilaire.
-
Monument aux morts.
-
Stèle du monument aux morts en hommage aux soldats tués le 20 mai 1940 en défendant la commune
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- En 1279, Robert Waubert, bourgeois de Corbie, légue des terres aux templiers. En 1284, les héritiers de sa fille Agnès vendent 250 journaux de terre au commandeur des templiers du Ponthieu.
- En 1372, Gilles de Buire se voit accorder par bail à cens, 44 journaux de terre appartenant aux templiers de Belle-Église[19].
- La seigneurie de Buire-sur-l'Ancre passe sous l'Ancien Régime à la famille Béry d'Essertaux[19].
- Vincent Lemaire dit Hardoc[pourquoi ?], auteur bandes dessinées (B.D.) et illustrateur : Vincent Lemaire a commencé sa carrière comme illustrateur pour la chaîne de télévision Antenne 2 (aujourd'hui France 2) à l'âge de 16 ans, puis, après des études d'arts plastiques, il publia ses premiers albums de B.D. aux Éditions Paquet (éditeur Suisse) en 2004. Il a travaillé depuis sur une nouvelle série d'albums, en 2010, pour les Éditions Casterman, éditeur historique de Tintin et de Corto Maltesse, Adèle Blansec etc.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | Tiercé en pairle renversé : au 1er de gueules à la volute de crosse d'or, au 2e d'or à trois coquelicots au naturel, posés 2 et 1, au 3e d'azur à deux burelles ondées d'argent et à la fleur de lis d'or brochant sur celles-ci. |
|
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Détails | La commune a adopté ce blason créé par Jean-François Binon, le 29 juillet 2015. Les burelles ondées symbolisent l'Ancre qui traverse la commune ; la volute de crosse d'évêque rappelle que l'église du village est dédiée à saint Hilaire ; la fleurs de lys se retrouve dans le blason de la Picardie et dans celui de mainte communes ; les coquelicots rappellent appartenance de Buire à la Communauté de communes du Pays du Coquelicot[32]. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne ou recherche sur les villes, bourgs et hameaux qui le composent, 1844, réédition Paris, Rassorts Lorisse, 1999, (ISBN 2 - 87 760 - 937 - 5)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- « Dossier complet : Commune de Buire-sur-l'Ancre (80151) », Recensement général de la population de 2017, INSEE, (consulté le ).
- « Buire-sur-l'Ancre », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
- « Liste des documents numérisés concernant la commune », Mémoires de la Somme - Archives en Somme, Archives départementales de la Somme (consulté le ).
- Buire-sur-l'Ancre sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Buire-sur-l'Ancre » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Le réseau Trans'80 en ligne ».
- Notice géographique et historique sur la commune de Buire-sur-l'Ancre, rédigée par M. Wattelet, instituteur, 1898, Archives départementales de la Somme
- Sandre, « la rivière l'Ancre »
- Sandre, « le Méricourt-l'Abbé »
- Sandre, « l'Ancre »
- « SAGE Somme aval et Cours d'eau côtiers », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Buire-sur-l'Ancre et Méaulte », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Meaulte » (commune de Méaulte) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Meaulte » (commune de Méaulte) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Buire-sur-l'Ancre ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 182 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
- Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne ou recherche sur les villes, bourgs et hameaux qui le composent, 1844, réédition Paris, Rassorts Lorisse, 1999, p. 100 (ISBN 2 - 87 760 - 937 - 5).
- Marie-Thérèse Morlet, Toponymie de la Thiérache, Editions D'Artrey, , p. 46.
- Emmanuelle Bobineau, « Pour Jean-Christian Ruin, à Buire-sur-l'Ancre, la fonction de maire qu'il occupe depuis 46 ans est une drogue douce : L'édile est candidat à sa succession. La mairie est devenue sa deuxième maison. En 46 ans, la fonction de premier magistrat a évolué, et pas pour le meilleur selon lui », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Il est pourtant arrivé en politique un peu par hasard, à 23 ans, en 1971. Il manquait un nom pour boucler la liste emmenée par Eugène-Marcel Tarin. (...), il a été élu dès le premier tour et s'est vu confier le poste de premier adjoint. Trois ans plus tard, au décès du maire Eugène-Marcel Tarin, il a pris sa place. Il n'a jamais quitté son écharpe tricolore depuis ».
- « La vente de 119 peupliers finance une partie des travaux à Buire-sur-l'Ancre : Le maire de Buire-sur-l'Ancre, Jean-Christian Ruin, détaille les projets et chantiers qui jalonneront 2021 », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Emmanuelle Bobineau, « Jean-Christian Ruin, président du Sivom du canton d'Albert: Réussir le mariage entre le Sivom et le CCAS d'Albert : Réélu président du Sivom d'aide à domicile, Jean-Christian Ruin a trois ans pour réussir la mutualisation entre les deux structures », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Composé de 25 communes hors Albert (soit environ 7 800 habitants), le Sivom (syndicat intercommunal à vocations multiples) d'aides à domicile du canton d'Albert est entré en groupement de coopération sociale et médico-sociale avec le CCAS d'Albert en décembre 2018. Ce groupement, nommé Bien vieillir au coquelicot, sera opérationnel au et pourra intervenir sur l'ensemble des 65 communes du Pays du coquelicot ».
- « Jean-Christian Ruin entame un 9e mandat à Buire-sur-l'Ancre », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- habitants.fr, « Somme > Buire-sur-l'Ancre (80300) » (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Vincent Hery, « Le syndicat scolaire de Ville-sur-Ancre veut se mettre au numérique », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Jean-Christian Ruin, le maire de Buire-sur-l'Ancre, a été réélu, le 30 juillet, à la tête du syndicat scolaire (Sisco) qui comprend sa commune ainsi que Ville-sur-Ancre, Treux et Morlancourt. Il sera notamment épaulé par Francis Bourguignon, maire de Ville-sur-Ancre, élu vice-président ».
- clochers.org, « Église Saint-Hilaire » (consulté le ).
- « Blason… », sur armorialdefrance.fr.