Saint-Ybard
Saint-Ybard | |||||
La place et l'église. | |||||
Héraldique |
Logo |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Corrèze | ||||
Arrondissement | Tulle | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du pays d'Uzerche | ||||
Maire Mandat |
Jean-Jacques Dumas 2020-2026 |
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Code postal | 19140 | ||||
Code commune | 19248 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Ybartois | ||||
Population municipale |
698 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 23 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 26′ 56″ nord, 1° 31′ 21″ est | ||||
Altitude | Min. 270 m Max. 497 m |
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Superficie | 30,05 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Uzerche (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Uzerche | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Corrèze
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.saint-ybard.fr | ||||
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Saint-Ybard est une commune française située dans le département de la Corrèze et la région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie
Localisation
Saint-Ybard est une commune rurale située au bord de la Vézère, au centre-ouest de la France, en bordure ouest du Massif central.
Saint-Ybard est à 7 km au nord-ouest d’Uzerche, à 36 km au nord-ouest de la préfecture Tulle, à 49 km au nord de Brive-la-Gaillarde et à 55 km au sud de Limoges.
Communes voisines
Montgibaud Benayes |
Masseret Salon la Tour |
Meilhards Lamongerie |
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Saint-Pardoux-Corbier Saint-Martin-Sepert |
N | Condat-sur-Ganaveix Eyburie | ||
O Saint-Ybard E | ||||
S | ||||
Troche | Vigeois | Uzerche Espartignac |
Géologie et relief
Le territoire de la commune, qui s'étend sur 3 005 ha, est vallonné, recouvert de bocages, de bois et bosquets.
Saint-Ybard, comme l’ensemble du canton d’Uzerche, est assis sur un sol essentiellement composé de gneiss[1].
Hydrographie
La commune est parcourue par de nombreux cours d'eau[2],[3] :
- la Vézère ;
- l'Auvézère ;
- le Bradascou et le ruisseau de baby affluents de la Vézère ;
- le ruisseau de la Brune et le ruisseau de Chastre affluents de l'Auvézère.
Climat
Saint-Ybard n'ayant pas de station météo, le tableau suivant recense les données climatique de Limoges, distante de 47,4 kilomètres à vol d'oiseau[4].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,4 | 1,8 | 3,4 | 5,3 | 8,9 | 11,9 | 13,8 | 13,8 | 11,2 | 8,4 | 4 | 1,9 | 7,2 |
Température moyenne (°C) | 4,2 | 5 | 7,2 | 9,5 | 13,3 | 16,5 | 18,7 | 18,6 | 15,7 | 12,3 | 7,2 | 4,7 | 11,1 |
Température maximale moyenne (°C) | 7 | 8,3 | 11,1 | 13,7 | 17,7 | 21,2 | 23,7 | 23,5 | 20,3 | 16,2 | 10,4 | 7,5 | 15,1 |
Ensoleillement (h) | 83 | 101 | 145 | 173 | 192 | 227 | 250 | 237 | 198 | 140 | 99 | 86 | 1 931 |
Précipitations (mm) | 89,9 | 77,3 | 80,8 | 84 | 89,2 | 70,1 | 62,8 | 78,1 | 80 | 89,3 | 93,9 | 97,1 | 992,5 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
7 1,4 89,9 | 8,3 1,8 77,3 | 11,1 3,4 80,8 | 13,7 5,3 84 | 17,7 8,9 89,2 | 21,2 11,9 70,1 | 23,7 13,8 62,8 | 23,5 13,8 78,1 | 20,3 11,2 80 | 16,2 8,4 89,3 | 10,4 4 93,9 | 7,5 1,9 97,1 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Voies de communication et transports
Pour accéder à Saint-Ybard par la route, emprunter la sortie 44 de l’autoroute A20, (échangeur à 5 km).
Les accès en train les plus proches sont : la gare ferroviaire d’Uzerche à 6 km (voir Gare d'Uzerche) et la halte de Masseret à 12 km (voir Gare de Masseret).
Les aéroports sont ceux de Limoges-Bellegarde (63 km) et de Brive-Vallée de la Dordogne (50 km).
Urbanisme
Typologie
Saint-Ybard est une commune rurale[Note 1],[5]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[6],[7].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Uzerche, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 8 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[8],[9].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (61,5 %), zones agricoles hétérogènes (26,4 %), forêts (11 %), terres arables (1,1 %)[10].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Ybard est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[11]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[12].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vézère, le Bradascou et l'Auvézère. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999[13],[11]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques (PPR) inondation « Vézère », approuvé le [14].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 10,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 391 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 29 sont en en aléa moyen ou fort, soit 7 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[15],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[16].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[11].
Risques technologiques
La commune est en outre située en aval du barrage de Monceaux la Virolle, un ouvrage de classe A[Note 3] situé dans le Cantal et disposant d'une retenue de 20,5 millions de mètres cubes[18]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[19].
Toponymie
Sancti Eparchii doit son nom à Eparchius, moine périgourdin reclus à Angoulème au VIe siècle[20],[21].
Le nom de la commune est Sanch Ibarch en occitan.
Histoire
La paroisse de Saint-Ybard[1],[20] est connue sous ce nom dès 987 dans le cartulaire d’Uzerche. Son patron, Eparchius, a supplanté le toponyme antérieur. Pourtant le territoire a gardé de nombreuses traces d’une occupation très ancienne : tumulus de Montfumat et de la Vernouille, constructions gallo-romaines au bourg et au Cloup.
Il est, de plus, traversé par deux antiques chemins de long parcours qui se croisent à la Rade : le plus ancien du nord-ouest au sud-est dit Route des Métaux Précieux ; l’autre, chemin de crête (ou de pouge) reliant le Haut-Limousin au bassin de Brive, fréquenté jusqu’au XIXe siècle (route de la Vinade).
Dès le Xe siècle, la paroisse fait partie de la vicomté de Limoges et de la baronnie de Bret. À partir du XIIe siècle, les Pérusse en sont les feudataires principaux et leurs diverses branches se succèdent, à Garaboeuf et à la Vernouille jusqu’au XVIIIe siècle. La baronnie de Saint-Ybard fait alors partie du Bas-Limousin.
À la prééminence féodale des Pérusse des Cars correspond la prééminence religieuse de l’abbaye d’Uzerche qui y possède de puissants intérêts et y crée une prévôté distincte de la cure. Jusqu’en 1761 les prêtres sont à la nomination du prévôt ou de son supérieur l’abbé d’Uzerche. Quant à la fête patronale, elle passe au XIXe siècle de saint Cybard (1er juillet) à saint Roch (), ce dernier étant, dit-on, souverain contre la peste et les épizooties.
Aux XVIIe siècle et XVIIIe siècle, Saint-Ybard a la réputation de pays riche où les impôts rentrent mieux que dans les paroisses voisines. De plus, les Pérusse y ont installé des forges sur la Vézère puis sur l’Auvézère et même un moulin à papier.
La Révolution française n’y est point sanglante même si le château de Garaboeuf est démoli et si un bref instant (1792-94) la commune est rébaptisée L'Union-sur-Vézère, pour suivre un décret de la Convention.
Le XIXe siècle est pour Saint-Ybard un sommet démographique (1 636 habitants en 1846). La vie politique voit durant la première moitié, l’influence prépondérante des Descubes de la Vernouille et durant la seconde, les Brugère. À partir de 1881, la querelle scolaire à Saint-Ybard comme ailleurs, constitue la ligne de clivage entre les républicains et leurs adversaires. Mais deux fléaux vont amoindrir, malgré des réussites agricoles certaines au XXe siècle, la vie de la commune : les ravages des deux guerres et une forte émigration. L’autoroute réussira-t-elle là où le chemin de fer a échoué ?
Politique et administration
Administration municipale
La commune dispose d'un conseil municipal de 15 membres (article L2121-2 du Code général des collectivités territoriales[22]).
Liste des maires
Intercommunalité
Saint-Ybard est membre de la communauté de communes du Pays d'Uzerche, qui est constituée de douze communes.
Politique environnementale
Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris a attribué deux fleurs à la commune[24].
Environnement
Des conteneurs de tri sélectif sont accessibles sur la place du Foyer Rural, au cœur du bourg de Saint-Ybard.
La déchèterie la plus proche est celle d'Uzerche à 9,4 km[25].
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].
En 2021, la commune comptait 698 habitants[Note 4], en évolution de +2,65 % par rapport à 2015 (Corrèze : −0,86 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 27 %, soit en dessous de la moyenne départementale (28,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 34,2 % la même année, alors qu'il est de 34,7 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 332 hommes pour 357 femmes, soit un taux de 51,81 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,47 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
La commune est en regroupement pédagogique intercommunal (RPI) avec les communes de Saint-Martin-Sepert et Saint-Pardoux-Corbier : les enfants vont de l'école maternelle au CP à Saint-Ybard [32], puis au CE1 à l'école élémentaire publique de Saint-Martin-Sepert[32], et enfin du CE2 au CM2 à l'école de Saint-Pardoux-Corbier[32].
Ensuite, les élèves vont au collège Gaucelm-Faidit d'Uzerche[33]. Les lycées les plus proches sont ceux de Brive-la-Gaillarde[33],[34] et ceux de Tulle[33],[34].
Cultes
Pour le culte catholique, Saint-Ybard dépend du diocèse de Tulle, et fait partie de l'ensemble inter-paroissial d'Uzerche-Vigeois : le doyenné de Moyenne Vézère[35].
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2008, le revenu fiscal médian par ménage était de 16 137 €, ce qui plaçait Saint-Ybard au 21 501e rang parmi les 31 604 communes de plus de 50 ménages en métropole[36].
Population active
La population âgée de 15 à 64 ans s'élevait en 2007 à 372 personnes (330 en 1999), parmi lesquelles on comptait 76,3 % d'actifs dont 73,7 % ayant un emploi et 2,7 % de chômeurs[37].
Le taux d'activité en 2007 est de 49,2 % pour la tranche d'âge 15 - 24 ans, 94,4 % pour la tranche d'âge 25 - 54 ans, et 46,5 % pour la tranche d'âge 55 - 64 ans. En 2007, 77,4 % des hommes sont actifs pour 75,1 % des femmes[37].
En 2007, 31,2 % des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi et résidant dans la commune travaillaient à Saint-Ybard, 59,2 % dans une autre commune de la Corrèze et 7,1 % dans un autre département de la région Limousin[38].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La commune présente plusieurs sites et monuments remarquables :
- Église Saint-Cybard-d'Angoulême de Saint-Ybard ;
- les ruines du château de Garaboeuf ;
- la chapelle Saint-Roch ;
- les magnifiques cascades de Bialet (site classé) ;
- le viaduc autoroutier ;
- le viaduc ferroviaire sur la Vézère.
Personnalités liées à la commune
- Simone de Beauvoir, qui y passa régulièrement ses vacances étant jeune, chez son grand-père.
- Hortense Dufour, qui elle aussi passa des vacances dans le village.
- Bernard Comby, troubadour, poète né dans la commune mêlant chant et vers déclamés.
- André Dufour, né le à Saint-Ybard (Corrèze), mort le à Poitiers (Vienne) ; professeur agrégé d’histoire ; militant syndicaliste, membre de la CA du SNEPS (1937-1939), membre du bureau de la section académique (S2 puis S3) de Poitiers du SNES (1946-1968), puis secrétaire du S3 de 1961 à 1968 ; militant communiste, secrétaire du Mouvement de la Paix des Deux-Sèvres ; responsable pour la Vienne de l’ARAC.
Héraldique
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Jumelages
- Saint-Ybars (France), en Ariège.
Galerie d'images
-
Ruines du château de Garaboeuf.
Notes et références
Références
- Corinne Michel - CRDAP, Rayonnement d'une ville-paysage, Editions Les Ardents Editeurs
- « Service d’Administration National des Données et Référentiels sur l’Eau (Sandre) ».
- « Caractéristiques chiffrées des cours d'eau du Sandre ».
- « Distance orthodromique », sur lion1906.com.
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Ybard », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « PPRI Vézère », sur le site de la préfecture de Corrèze (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Ybard », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « barrage de Monceaux la Virole », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- Louis Bournazel, Histoire du Pays d'Uzerche Tome 2, Editions Lemouzi n°188bis (2009)
- Marcel Villoutreix, Les noms de lieux du Limousin
- « nombre des membres du conseil municipal des communes », Legifrance.
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- Site des villes et villages fleuris, consulté le 31 janvier 2021.
- « Informations utiles de Condat-sur-Ganaveix ; consulté le 29 juin 2011 », Annuaire des Mairies.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Ybard (19248) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Corrèze (19) », (consulté le ).
- (fr) « Écoles publiques de la Corrèze », Inspection académique de la Corrèze.
- (fr) « Établissements scolaires publiques de la Corrèze », Inspection académique de la Corrèze.
- (fr) « Établissements scolaires privés de la Corrèze », Inspection académique de la Corrèze.
- (fr) « Diocèses de Tulle », Église catholique de Corrèze (diocèses de Tulle).
- « CC-Résumé statistique/com,dep,zone empl », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population - 2007 - Thème : Emploi - Population active (Saint-Ybard) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population - 2007 - Thème : Formes et conditions d'emploi (Saint-Ybard) », sur site de l'Insee (consulté le ).
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[17].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )