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Famille de Cardaillac (Végennes)

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Famille de Cardaillac
Image illustrative de l’article Famille de Cardaillac (Végennes)
Armes de la famille.

Blasonnement De gueules, au lion d'argent, armé, lampassé et couronné d'or ; à l'orle de treize besants d'argent.
Devise • Devise : « Toto noscuntur in orbe »
• Cri : « Cardaillac, Cardaillac, Cardaillac »
Branches Cardaillac-Végennes, Cardaillac-Lacapelle, Cardaillac-Bioule, Cardaillac-Thémines, Cardaillac-Brengues, Cardaillac-Lomné, Lozières-Thémines
Période XIe - XXIe siècle
Pays ou province d’origine Quercy - Cardaillac
Allégeance Raymond IV de Toulouse, Simon IV de Montfort, Philippe-Auguste, Philippe de Valois, Comte d'Armagnac,Louis XIII, Louis XIV.
Fiefs tenus Cardaillac, Thémines
Charges chef du parlement de Paris, gouverneur et sénéchal
Fonctions militaires lieutenant du roi
Fonctions ecclésiastiques évêques, archevêque

La famille de Cardaillac est une famille de la noblesse française subsistante d'un lignage noble français assez prolifique qui est très anciennement attesté, qui est originaire du fief de Cardaillac dans le Quercy et qui a donné plusieurs branches importantes.

Histoire

Le premier représentant de la famille de Cardaillac, le chevalier Bertrand, est mentionné par Delpon[1] dès le VIIIe siècle mais cette information n'est pas confirmée par d'autres sources à ce jour.

Cette famille porta le nom du lieu de son fief : Cardaillac. Par la suite, ses descendants furent les seigneurs d'autres lieux mais s'intitulèrent toujours baron ou co-barons de Cardaillac en ajoutant à leurs titres les noms des seigneuries acquises.

Régis Valette dans Catalogue de la noblesse française subsistante mentionne cette famille comme de noblesse d'extraction sur preuves de 1549[2].

Héraldique, devise et cri de guerre

  • Les branches de la famille de Cardaillac ont adopté différents blasons : à la Révolution une partie de la famille est partie en Belgique et a pris le patronyme de Cavraine, il s'agirait de descendants de la Branche majeure, et s'établirent vers Sprimont et Theux, en Ardenne
    • Branche aînée : « De gueules, au lion d'argent, armé, lampassé et couronné d'or ; à l'orle de treize besants d'argent »[3],[4],[5].
    • Branche Cardaillac de La Capelle. Le marquis de Cardaillac de cette branche obtint du roi Louis XIV le droit de vêtir le lion d'une « cotte d'armes d'azur, semée de fleurs-de-lys d'or », la branche de Saint-Cirq Lapopie l'avait obtenu de Louis XII un peu plus tôt[5].
    • « D’or à une épée de gueules garnie d’argent accostée de deux grenades de guerre de sable allumées de gueules à la bande d’azur brochant sur le tout chargée de trois étoiles d’argent à la champagne de gueules »[6].
    • Du Faur : Seigneur de Saint-Jory, de Pibrac, de Bioule, de Cardaillac : « Écartelé : aux 1 et 4, d'azur, à deux fasces d'or, accompagnées de six besants d'argent, 3 en chef, 3 en pointe (du Faur) ; aux 2 et 3, de gueules, au lion couronné d'or, à l'orle de treize besants d'argent (Cardaillac) »[7].

Sa devise était : « Toto noscuntur in orbe »[1] qui signifie : « Ils sont connus du monde entier ».

Son cri de guerre était : « Cardaillac, Cardaillac, Cardaillac »[1].

Filiation non prouvée

  • Bertrand de Cardaillac, autour de 768, aurait combattu pour Pépin le Bref contre le dernier duc d'Aquitaine[1] : Waïfre. Forestié affirme même que Pépin répartit ses terres entre ses compagnons et qu'il aurait donné à Bertrand celles de Cardaillac en Haut Quercy. Sa famille aurait pris le nom de ce lieu[5],[8].

Principaux membres

Branche aînée

Autres membres de la branche ainée

Branche des Cardaillac-Végennes

Cette branche, qui commence avec le fils puîné de Bertrand II de Cardailac et de Comtors de Turenne, s'installa au château de Végennes.

  • Bertrand de Cardaillac, (ca 1210), marié à Anseline, qui fut père de:
  • Guillaume-Helie de Cardaillac (? - 1299), seigneur de Végennes (...)
  • Edme de Cardaillac, seigneur de Végennes, se maria
    • une première fois avec Françoise de Boussac, dont Jean de Cardaillac qui continue la branche de Végennes,
    • une seconde fois le 20 janvier 1620 avec Anne de Venye, dame de Freix-Anglards et de Saint-Cernin (Cantal), nièce du président Jehan de Vernyes, qui donnent la branche de Chassaing fixée en Haute-Auvergne[29].
  • Jean de Cardaillac (? - 1752), seigneur de Végennes, capitaine d'artillerie, chevalier de Saint-Louis, épousa en 1711, Marie de La Ramière, héritière du Château de la Treyne à Lacave, dont il eut un fils:
  • François de Cardaillac de La Treyne (? - 1782) fut fait marquis de Cardaillac par lettres patentes de Louis XV datées du 29 décembre 1759. Il épousa le 28 février 1748 Jeanne de Montalembert[29], qui lui donna six enfants, dont :

Branche des Cardaillac-Lacapelle

Cette branche s'installa au château de Lacapelle-Marival. La généalogie rapportée par le Docteur Labat[30] ne correspond pas à celle du site Falissard[31].

  • Géraud Ier, (? - 1299), hérite en 1266, s'installe à Lacapelle-Marival en 1270, fils de Bertrand III de Cardaillac et de Almod de Périgord[30],[31]. En 1294, il confirma les franchises accordées en 1250 par son père aux habitants de Lacapelle-Marival.
  • Géraud II de Cardaillac, seigneur de Lacapelle-Marival succéda très jeune à son père Géraud Ier en 1299. Il confirma les franchises accordées en 1294 par son père[30]. Il eut six fils : Bertrand Ier, Guillaume (évêque de Saint-Papoul de 1328 à 1347), Hugues, Gaillard, Guy, Bertrand II (évêque de Rieux de 1321 à 1324, puis évêque et comte de Cahors de 1324-1367, familier du pape Jean XXII).
  • Bertrand Ier de Cardaillac, fils aîné de Géraud II, lui succéda vers 1325. Il donna à cens aux consuls de Rudelle en 1328 tous les fours de ce lieu et restitua par testament les amendes levées à Lacapelle-Marival, Saint-Maurice, Rudelle, Saint-Cernin et Soulomès[30].
  • Bertrand II de Cadaillac, fils ainé de Bertrand Ier, lui succéda vers 1340, assista avec une petite troupe sous les ordres du Comte d'Armagnac pour le roi de France Philippe de Valois. Il en reçut une rente annuelle de 50 livres[30].
  • Bertrand III de Cardaillac, deuxième fils de Bertrand II, resta fidèle au roi de France et lutta contre les Anglais[30].
  • Guillaume II de Cardaillac, fils unique de Bertrand III, lui succéda vers 1400. Il eut deux fils et quatre filles[30].
  • Guisbert de Cardaillac, fils aîné ou petit-fils de Guillaume II, lui succéda le . Il fit hommage au roi de France le , rédigea son testament le .
  • Astorg de Cardaillac, fils aîné de Guisbert, lui succéda vers 1475, comme son père, encouragea une verrerie[30].
  • Jean de Cardaillac, fils aîné d'Astorg, lui succéda vers 1500, mort en 1521[30].
  • Gilbert de Cardaillac, deuxième fils d'Astorg, lui succéda en 1521, mort en 1536[30].
  • Antoine de Cardaillac, deuxième fils de Gilibert, lui succéda en 1536, teste en 1586[30]. Seigneur de Lacapelle, de Saint-Cernin en Auvergne. Gouverneur de Figeac, gentilhomme ordinaire de la Chambre de Charles IX, chevalier des ordres du roi, conseiller au parlement de Toulouse, sénéchal de Quercy. Il épouse le 15 février Victoire d'Aquino, fille d'Antoine, prince de Castillon et d'Isabelle Caracciolo, qui lui donna pour fils et héritier qui lui succéda en 1586:
  • Gilbert II de Cardaillac dit aussi François, seigneur de Lacapelle, Saint-Cernin, Rudelle, gentilhomme ordinaire de la Chambre du roi. Il lutta contre les calvinistes et fut tué à Fons, et mourut au château du Roc, le [30]. Il a épousé le 15 août 1595 Madeleine de Bourbon, fille d'Henri, vicomte de Lavedan, et de Françoise de Saint-Exupéry, qui était calvinistes. De cette union sont nés sept enfants: François, qui suit; Henri-Victor, Rose mariée à Antoine de Durfort, Claude mariée à Antoine de Moret, Madeleine et Béraud, seigneur de Marival.
  • François de Cardaillac, fils cadet de François, seigneur de Saint-Cernin et de Clavières en Auvergne, capitaine, épousa le 22 janvier 1658 Marguerite de Montal, qui lui donna deux garçons sans postérité et une fille Claude, dame de La Sepouse, mariée à François Brachet
  • Henry-Victor de Cardaillac, fils ainé de François, lui succéda en 1622, le vengea et passa une grande partie de sa vie à la cour de Louis XIII, puis de Louis XIV. Il épousa Elisabeth de Pluvinel, fille d'Antoine de Pluvinel, écuyer principal de Louis XIII. La seigneurie de Lacapelle fut érigée en marquisat le par le roi pour ses services lors des opérations militaires. Il avait dirigé le ban et l'arrière-ban de la noblesse du Quercy dans le Roussillon sous le prince de Condé[1]. Il décéda vers 1693[30].
  • Thomas Jean-Baptiste de Cardaillac, 3e fils d'Henry-Victor, lui succède en 1622. Il fut Capitaine d'une compagnie de chevau-légers, puis commandant d'un régiment de cavalerie. Il se brouille avec ses parents, et engage de nombreux procès, assiège le château de ceux-ci. Il meurt le sans enfants de son mariage en 1673 avec Paule de Pardaillan de Gondrin, cousine germaine de Louis-Henri : c'est la fin de la lignée directe des Cardaillac-Lacapelle. Après sa veuve, c'est Bertrand de Cardaillac de Sérignac qui hérita du marquisat de Lacapelle en 1719. Il fut suivi de son frère Thomas Jean-Baptiste II qui, ruiné, vendit titres et terres le [30].

Branche des Cardaillac-Bioule

Cette branche tire son nom de la ville de Bioule.

  • Guillaume de Cardaillac, né vers 1315, mort après 1362, fils de Hugues IV de Cardaillac, seigneur de Bioule attesté en 1371[32].
  • Bertrand VI de Cardaillac, né vers 1340, mort après 1395, fils de Guillaume de Cardaillac, seigneur de Bioule, co-baron de Cardaillac, seigneur de Saint-Cirq-Lapopie et de Concots[33].
  • Hugues V de Cardaillac, mort après 1405, fils de Bertrand VI, seigneur de Bioule[34].

Branche des Cardaillac-Saint-Cirq

Le fief de Saint-Cirq-Lapopie appartenait à la famille de Cardaillac depuis 1229[35].

Branche des Cardaillac-Thémines

Bertrand II de Cardaillac pris en 1212 le titre de seigneur de Thémines[37].

  • Béranger, né vers 1200, frère de Bertrand II et fils de Hugues II, reçut en héritage la terre de Thémines[37],[38].
  • Géraud Ier, né vers 1235 et mort après 1299, fils de Béranger, se qualifiait de seigneur de Thémines, d'Espédaillac et co-seigneur de Cardaillac[37],[39].
  • Raymond, né autour de 1275 et mort après 1318, fils de Géraud Ier[40].
  • Géraud II, né vers 1310 et mort en 1370, fils de Raymond, n'a comme enfant que Hélène qui se mariera avec Ratier de Penne vers 1370. Ces derniers n'auront que deux filles, dont Catherine qui se maria avec Rostaing de Lauzières[41].

Descendants ou parents selon Delpon

  • Guisbert de Thémines fit avec succès appel devant Philippe de Valois contre une redevance de 6 sous par maison. Il s'opposa à nouveau à cet impôt en 1340[37].
  • Marques de Cardaillac, seigneur de Thémines, possédait la seigneurie de Gourdon dont il vendit la moitié au seigneur d'Armagnac en 1379. Sans héritier, la succession fut assurée par son neveu, Raymond de Penne. Ce dernier n'eut pas de descendant et c'est son neveu Dieu-donné de Lauzières qui hérita. Il fut la tige de la maison de Lozières-Thémines et portait les titres de seigneur de Lozières, de Thémines, d'Espédaillac, et de Milhac[37].

Branche des Cardaillac-Brengues

Le château de Brengues fut séparé des biens qui restaient à la branche ainée en 1227[42].

  • Hugues Ier de Cardaillac, mort après 1277, fils de Hugues II de Cardaillac de la branche ainée, fondateur de la branche[42],[43].
  • Marquès de Cardaillac, mort après 1265, fils de Hugues Ier, seigneur de Brengues[44].
  • Hugues II de Cardaillac (vers 1240- mort entre 1292 et 1299), seigneur de Brengues.
  • Hugues III de Cardaillac (1270-1334), un descendant du précédent, acheta une partie de la baronnie de Montbrun et le château de Balayer en 1333 à Arnaud Duèze, vicomte de Carmaing, neveu du pape Jean XXII[42].
  • Marquès II de Cardaillac (vers 1320-vers 1405), baron de Foissac et de Montbrun, seigneur de Brengues, co-seigneur de Montpezat. Il s'est marié avec Marguerite de Calmont, fille de Hugues de Calmont, baron de Castelnau-Bretenoux.
  • Marquès III de Cardaillac, marié à Isabelle de Montal.
  • Mathurin de Cardaillac, baron de Montbrun et de Foissac, sire de Brengues.

Branche des Cardaillac-Varayre-Privasac

Cette maison de Cardaillac-Varaire-Privasac fut fondée par Bertrand de Cardaillac, frère de Hugues, fondateur de la branche des Cardaillac-Brengues. Cette maison a donné plusieurs évêques[45].

  • Bertrand Ier de Cardaillac, né autour de 1190, fondateur de la branche et co-seigneur de Varaire[46].
  • Guillaume Ier, né autour de 1220, marié en 1230, mort après 1272, fils de Bertrand Ier[47].
  • Hugue Ier, né autour de 1250, marié en 1266, mort avant 1299, seigneur de Varaire fils de Guillaume Ier[48].
  • Bernard Hugues de Cardaillac, né vers 1250, décédé entre 1278 et 1299, co-seigneur de Cardaillac, seigneur de Varaire et de Valady[49].
  • Guillaume II, né autour de 1270, marié en 1275, mort autour de 1316, fils de Bernard Hugues de Cardaillac, coseigneur de Cardaillac, seigneur de Varaire, de Privezac, de Valady, de Previnquières et de Maleville[50] ou fils de Hugues Ier, seigneur de Varaire[51].
  • Bertrand II, né autour de 1300, marié en 1329, fils de Guillaume II, vicomte de Murat par son mariage le 13 mars 1329 avec Hellips de Murat, fille unique de Bégon, vicomte de Murat (1285-1359), et de Brayde de Caylus[52], La succession à la vicomté de Murat à la mort de son beau-père fut le début d'une guerre avec la famille de Murat[53].
  • Guillaume III (+1372), fils du précédent, baron de Varaire, marié en 1352 avec Anne de Gourdon, fille de Pons de Gourdon-Castelnau, seigneur de Lavercantière[54], seigneur de Varayre, coseigneur de Cardaillac, seigneur de Privezac (1371-1372), vicomte de Murat (1371-1372)[55].
  • Pons Ier, né vers 1352, fils du précédent, fut marié le , avec Ermengarde d'Estaing, fille de Raymond II d'Estaing et de Barane (ou Barave) de Castelnau[56],[57].
  • François Ier de Cardaillac, mort en 1404, évêque de Cavaillon de 1366 à 1387, puis évêque de Cahors de 1388 à 1404[45].
  • Bertrand de Cardaillac, neveu du précédent, prit le parti des Anglais et fut chancelier en Guyenne du prince de Galles qui le nomma évêque de Rodez en 1368, mais fut chassé par la population[45].
  • Jean de Cardaillac, frère du précédent, évêque de Rodez de 1371 à 1378. Selon Delpon[58], devant l'hostilité de la population, il devint administrateur perpétuel de l'archevêché de Toulouse[45].
  • A la Révolution? une partie de la famille se trouvant à Paris partit s'installer en Belgique entre Theux et Sprimont, elle prit le nom de Cavraine.

Châteaux

Les Cardaillac ont possédé de nombreux châteaux[1] dont ceux de :

Bibliographie

Notes et références

  1. a b c d e f g h i j k l m n o et p Jacques-Antoine Delpon, Statistique du département du Lot, t. 1, Cahors, Bachelier, (réimpr. 1979), 554 p. (ISBN 2-902422-00-8), « Du fort de Cardailhac », p. 467-471.
  2. Régis Valette, Catalogue de la Noblesse Française subsistante, Robert Laffont, Paris, 2007.
  3. Louis Esquieu, Essai d'un armorial quercynois (lire en ligne), p. 47
  4. (in Mémoires de la Société des lettres, sciences et arts de l'Aveyron tome VI (1846-1847)-https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57245199.langFR page 565
  5. a b c d et e Edgar Laparra, Cardaillac en Quercy et son histoire, , 196 p.
  6. « Blason de la famille de Cardaillac », sur Les quartiers des As, (consulté le ).
  7. « Blazon de Cardaillac Lomné », sur Armorial généroal, (consulté le ).
  8. E. Forestier, Un capitaine gascon au XVIe siècle : Corbeyran de Cardaillac, Paris, Sarlabous, .
  9. Famille Falissard, « de CARDAILLAC Hugues Ier (SOSA : 2648832) », sur falissard.com, (consulté le ).
  10. Anonyme, Généalogie de la famille de Cardaillac, Rue Saint Jacques, Paris, M. Martin, (authenticité contestée), rédigée à la demande de Louis de Cardaillac et Lévis, comte de Bioule.
  11. Famille Falissard, « de CARDAILLAC Géraud Ier (SOSA : 1324416) », sur falissard.com, (consulté le ).
  12. « Géraud Ier de CARDAILLAC », sur GeneaNet (consulté le ).
  13. Famille Falissard, « de CARDAILLAC Bertrand Ier (SOSA : 662208) », sur falissard.com, (consulté le ).
  14. « Bertrand Ier de CARDAILLAC », sur GeneaNet (consulté le ).
  15. Famille Falissard, « de CARDAILLAC Hugues II, Cité 1190 (SOSA : 331104) », sur falissard.com, (consulté le ).
  16. Famille Falissard, « de CARDAILLAC Bertrand II, Cité 1212 (SOSA : 755024) », sur falissard.com, (consulté le ).
  17. « Bertrand II de CARDAILLAC », sur GeneaNet (consulté le ).
  18. Famille Falissard, « de CARDAILLAC Hugues III, Cité 1250 (SOSA : 377512) », sur falissard.com, (consulté le ).
  19. « Hugues III de CARDAILLAC », sur GeneaNet (consulté le ).
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  21. « Bertrand III de CARDAILLAC », sur GeneaNet (consulté le ).
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  23. Famille Falissard, « de CARDAILLAC Bertrand V (SOSA : 94402) », sur falissard.com, (consulté le ).
  24. Famille Falissard, « de CARDAILLAC Hugues IV », sur falissard.com, (consulté le ).
  25. Règlement d'Hugues de Cardaillac, datant de 1348, qui prouve explicitement que les canons pouvaient être placés dans les tours, sur les terrasses sommitales. E.Forestié, Hugues de Cardaillac et la poudre à canon, in Bulletin de la Société archéologique de Tarn-et-Garonne, 1901, p. 203-216)
  26. « Hugues IV de CARDAILLAC », sur GeneaNet (consulté le ).
  27. Geoffroy du Breuil, Chronique de Geoffroi, prieur de Vigeois en Limousin.
  28. « Louis de Cardaillac sp », sur geneanet.org (consulté le )
  29. a et b Jacques de Roquemaurel, Généalogie de Cardaillac, Douillac, 2007, p. 1-41.
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  55. « Guillaume III de CARDAILLAC », sur GeneaNet (consulté le ).
  56. Famille Falissard, « de CARDAILLAC Pons Ier », sur falissard.com, (consulté le ).
  57. « Pons Ier de CARDAILLAC », sur GeneaNet (consulté le ).
  58. Risque de confusion avec un des nombreux homonymes de Jean de Cardaillac

Articles connexes