Aller au contenu

Saint-Hilaire-de-Chaléons

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ceci est une version archivée de cette page, en date du 4 mai 2022 à 07:46 et modifiée en dernier par Arthirob (discuter | contributions). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.

Saint-Hilaire-de-Chaléons
Saint-Hilaire-de-Chaléons
L'église.
Blason de Saint-Hilaire-de-Chaléons
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Saint-Nazaire
Intercommunalité Pornic Agglo Pays de Retz
Maire
Mandat
Françoise Relandeau
2020-2026
Code postal 44680
Code commune 44164
Démographie
Gentilé Chaléonnais
Population
municipale
2 353 hab. (2021 en augmentation de 5,28 % par rapport à 2015)
Densité 67 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 06′ 14″ nord, 1° 51′ 49″ ouest
Altitude Min. 1 m
Max. 32 m
Superficie 34,98 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nantes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Machecoul
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Hilaire-de-Chaléons
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Hilaire-de-Chaléons
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Voir sur la carte topographique de la Loire-Atlantique
Saint-Hilaire-de-Chaléons
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Voir sur la carte administrative des Pays de la Loire
Saint-Hilaire-de-Chaléons
Liens
Site web saint-hilaire-de-chaleons.fr

Saint-Hilaire-de-Chaléons [sɛ̃.t‿ilɛʁ də ʃaleɔ̃] Écouter est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

Ses habitants s'appellent les Chaléonnais et les Chaléonnaises. La population de Saint-Hilaire-de-Chaléons s'élève à 2 235 habitants pour l'année 2015.

Géographie

Situation

La commune fait partie de la Bretagne historique, dans le pays traditionnel du pays de Retz et dans le pays historique du Pays nantais. La commune a aussi fait partie des Marches Communes de Bretagne-Poitou, entre pays de Retz et Vendée historique.

Saint-Hilaire-de-Chaléons est située entre le lac de Grand-Lieu et la baie de Bourgneuf, à 25 km au sud-ouest de Nantes et 3 km à l'ouest de Sainte-Pazanne.


La commune se trouve dans le canton de Bourgneuf-en-Retz et est membre de la Communauté de communes Cœur Pays de Retz avec celles de Sainte-Pazanne, Chaumes-en-Retz, Rouans, Cheix-en-Retz, Vue et Port-Saint-Père.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Communes limitrophes de Saint-Hilaire-de-Chaléons
Chaumes-en-Retz Rouans
Port-Saint-Père
Pornic Saint-Hilaire-de-Chaléons
Villeneuve-en-Retz Sainte-Pazanne

Géologie, relief et hydrographie

Le nord de la commune est traversée par un petit cours d'eau, la Blanche, qui se jette ensuite dans l'Acheneau, rivière qui relie le lac de Grand-Lieu à la Loire[1].

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

  • Moyenne annuelle de température : 12,3 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,4 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,4 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,1 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 848 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,4 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,3 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pornic », sur la commune de Pornic, mise en service en 1919[8] et qui se trouve à 18 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de précipitations de 738,1 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, mise en service en 1945 et à 20 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,5 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[14].

Urbanisme

Typologie

Saint-Hilaire-de-Chaléons est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[18],[19].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (97,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (39,7 %), terres arables (29,5 %), prairies (24,5 %), zones urbanisées (3,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,5 %), forêts (1 %), mines, décharges et chantiers (0,2 %)[20].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes San Heliren et Sancti Hylarii au XIIe siècle[22].

Le nom de Saint-Hilaire-de-Chaléons vient de Hilaire de Poitiers, évêque de Poitiers au IVe siècle ; Chaléons viendrait de calma, terme d'origine pré-celtique qui signifiait « espace dénudé » ou « plateau en friche »[23].
La commune de Saint-Hilaire-de-Chaléons possède en effet un plateau qui se poursuit au sud-ouest sur la commune de Villeneuve-en-Retz, jusqu'à dominer le Marais breton et la plaine littorale[24].

Pendant la période révolutionnaire, la commune prit le nom de La Fraternité.

En breton, son nom est Sant-Eler-Kaleon[22].

Histoire

Saint-Hilaire-de-Chaléons est mentionné pour la première fois en 1079, époque où son église est donnée aux religieuses de Notre-Dame d'Angers[25]. L'église de Saint-Hilaire de Chaléons appartenait alors au prieuré Sainte Marie de Prigny[26].

Durant le Moyen Âge, la paroisse de Saint-Hilaire se développe à proximité du château du Bois-Rouaud.

La période de la Révolution française est une période très difficile pour la commune qui a laissé des traces durables dans les mentalités[27]. Saint-Hilaire est alors un lieu de cantonnement pour l'armée républicaine[25] qui combat les Armées catholiques et royales de Vendée et de Bretagne. En raison de la déchristianisation, la commune est renommée La Fraternité. Il y eut à La Fraternité, entre l’an I et l’an IV, 316 tués et 167 décès par maladie pour une population de 1 150 habitants d'après le recensement de 1789[28]. Les familles les plus éprouvées furent la famille Briand, de la Petite Davière, où il y eut onze décès ; la famille Loquai, de Maubusson, où il y eut six tués et quatre décès par maladie ; et la famille de Louis Guérin, où il y eut trois tués et cinq autres décès[28].

En 1793, le curé de la paroisse, l'abbé Violet, âgé de 24 ans, est blessé au visage alors qu'il sert dans l'armée vendéenne en tant que porte drapeau de François Charette de la Contrie. En 1825, il décide d'ériger un calvaire à Saint Hilaire pour rendre hommage aux victimes de la répression pendant la révolution. Le cimetière actuel situé autour du calvaire est inauguré en 1869 par le maire, le comte Gustave de Juigné[29].

L'église actuelle remplace une ancienne église ruinée à la Révolution française. Lors de la construction de l'église en 1897, trois sarcophages mérovingiens sont découverts[30].

La commune a rénové le clocher en 2000, une équipe de jeunes cinéastes a profité de l'occasion pour refaire l'histoire de ce clocher avec les anciens qui l'avaient vu construire[31].

Héraldique

Blason Blasonnement :
Écartelé : au premier, d'or aux trois tours de gueules, ouvertes et ajourées du champ, maçonnées de sable ; au deuxième, d'argent aux six mouchetures d'hermine de sable ordonnées 3, 2 et 1 ; au troisième, d'azur aux trois fleurs de lys d'or ; au quatrième, de gueules à la mitre épiscopale d'or posée en bande, soutenue d'une crosse du même posée en barre ; à la croix de sable brochant sur l'écartelé, chargée en cœur d'un écusson d'argent aux trois croix du Calvaire de sable.
Commentaires : La croix de sable est celle du blasonnement du pays de Retz : d'or à la croix de sable, rappelant l'appartenance de Saint-Hilaire-de-Chaléons au pays de Retz. Les mouchetures d'hermine évoquent le blasonnement d'hermine plain de la Bretagne, rappelant l'appartenance passée de la ville au duché de Bretagne. Blason conçu par M.-R. Prat en 1946.

Politique et administration

Gustave de Juigné (1828-1900), maire de Saint-Hilaire-de-Chaléons de 1865 à 1870.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1947 Jean-Marie Loquai    
1947 1953 Pierre Chauvet    
1953 1971 Pierre Leduc DVD Conseiller général (1962-1982)
1971 1974 Joseph Sorin    
1974 1978 Ange Rialland    
1978 1982 Pierre Leduc DVD Directeur de l'hôpital de Nantes
Conseiller général (1962-1982)
1982 1983 Camille Recoquillé    
1983 1989 Jean Dupont    
mars 1989 mars 2008 François Loquais[Note 6] UDF Agriculteur
mars 2008 En cours Françoise Relandeau[Note 7] DVD Attachée de direction
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

Démographie

Selon le classement établi par l'Insee, Saint-Hilaire-de-Chaléons fait partie de l'aire urbaine et de la zone d'emploi de Nantes et du bassin de vie de Sainte-Pazanne. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine[33]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 79 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 21 % dans des zones « très peu denses »[34].

Évolution démographique

Les données concernant 1793 sont perdues.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[36].

En 2021, la commune comptait 2 353 habitants[Note 8], en augmentation de 5,28 % par rapport à 2015 (Loire-Atlantique : +6,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
8441 1891 4291 4671 2401 0921 2001 3171 329
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 4111 5291 4591 5421 5461 4801 5501 5631 580
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 5681 5081 3621 3151 2691 2491 2151 2421 304
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
1 3111 2551 3621 3331 5511 7211 7911 9402 197
2019 2021 - - - - - - -
2 3222 353-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,5 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 133 hommes pour 1 171 femmes, soit un taux de 50,82 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,42 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
3,2 
5,2 
75-89 ans
8,1 
12,3 
60-74 ans
11,5 
21,1 
45-59 ans
18,0 
21,8 
30-44 ans
22,3 
15,7 
15-29 ans
14,0 
23,4 
0-14 ans
22,9 
Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2020 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,7 
5,9 
75-89 ans
8,5 
15 
60-74 ans
16,3 
19,5 
45-59 ans
18,9 
20,1 
30-44 ans
19,3 
19,2 
15-29 ans
17,5 
19,8 
0-14 ans
17,8 

Économie

En 2010, l'endettement de la commune (encours de la dette) s'élève à 750 euros par habitant. Ce chiffre concerne le budget principal seul[41]. Les ressources et les dépenses de fonctionnement sont dans la moyenne des communes alentour (Cheix, Chéméré, Port-Saint-Père, Rouans, Sainte-Pazanne, Vue), tandis que les emprunts pèsent lourdement sur la commune de Saint-Hilaire-de-Chaléons[42].

Lieux et monuments

  • Saint-Hilaire-de-Chaléons se caractérise par son église, dont le carillon sonne « La Paimpolaise », une chanson de Théodore Botrel au fil des heures.
Calvaire dans le cimetière de Saint-Hilaire-de-Chaléons
  • Le cimetière, également, se distingue de par sa forme circulaire.
    • Au centre de celui-ci, se trouve un calvaire et une petite réplique d'un chemin de croix. On y trouve des plaques portant les noms d’habitants massacrés pendant la guerre de Vendée. La balustrade du calvaire est surmontée par un chapelet du Rosaire donné au XIIIe siècle par la Vierge Marie à saint Dominique de Guzmán. Un des symboles rattachés à ce saint est l'étoile rouge que sa mère vit en songe sur son front accompagné d'un chien portant un flambeau dans la gueule.

Personnalités liées à la commune

Associations liées à la commune

L'association « Éoliennes en Retz » milite pour la valorisation des énergies renouvelables et sensibilisation aux économies d'énergie. Son fondateur, Serge Pintout, est un fervent défenseur des projets éoliens sur le pays de Retz[44]. Une association « PEPR » (Protection de l'environnement du pays de Retz), a été créée pour remettre en cause ces projets d'implantations éoliens[45].

Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
  3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Réélu en 1995 et 2001.
  7. Réélue en 2014.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

  1. « La blanche [M8305400] - Cours d'eau | Sandre - Portail national d'accès aux référentiels sur l'eau », SANDRE (consulté le )
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
  5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  8. « Station Météo-France Pornic - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Orthodromie entre Saint-Hilaire-de-Chaléons et Pornic », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France Pornic - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Saint-Hilaire-de-Chaléons et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  13. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  14. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  22. a et b Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
  23. Toponymie générale de la France, Par Ernest Nègre
  24. http://www.shc44.fr/?Second-rapport-sur-les-eoliennes
  25. a et b http://www.infobretagne.com/saint-hilaire-de-chaleons.htm
  26. http://www.shpr.fr/?Le-prieure-Sainte-Marie-de-Prigny
  27. http://www.shc44.org/-La-periode-revolutionnaire-
  28. a et b « Le soulèvement de 1793 au cœur du Pays de Retz - Saint Hilaire de Chaléons par Eloi Guitteny », sur Société des Historiens du Pays de Retz, (consulté le ).
  29. http://www.shc44.org/Inauguration-du-cimetiere-actuel
  30. http://lafrancedesclochers.xooit.com/t198-Saint-Hilaire-de-Chaleons-44680.htm
  31. Documentaire de 2001 sur l'histoire du village
  32. Né en 1760 à Saint-Hilaire-de-Chaléons, il est enrôlé dans les Armées catholiques et royales de 1793 à 1796, "brave et dévoué défenseur de la monarchie légitime", il a perdu son père, son frère et sa sœur, tué par les révolutionnaires
  33. « Commune de Saint-Hilaire-de-Chaléons (44164) », Insee (consulté le ).
  34. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Hilaire-de-Chaléons (44164) », (consulté le ).
  40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
  41. Site des comptes des communes : http://alize2.finances.gouv.fr/communes/eneuro/tableau.php?icom=164&dep=044&type=BPS&param=5&exercice=2010
  42. http://www.shc44.org/Les-finances-2010-un-poids-accru
  43. http://www.shc44.org/Louise-Thomas-Patersi-La-grande
  44. www.eoliennes-en-retz.com, consulté le 5 mars 2010.
  45. Association Protection de l'Environnement du Pays de Retz, consulté le 5 mars 2010.