Pelleport (Haute-Garonne)

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Pelleport
Pelleport (Haute-Garonne)
Vue gènèrale sur le village
Blason de Pelleport
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Toulouse
Intercommunalité Communauté de communes des Hauts Tolosans
Maire
Mandat
Philippe Lasuye
2020-2026
Code postal 31480
Code commune 31413
Démographie
Gentilé Pelleportains
Population
municipale
531 hab. (2021 en augmentation de 0,95 % par rapport à 2015)
Densité 51 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 44′ 22″ nord, 1° 07′ 03″ est
Altitude Min. 157 m
Max. 275 m
Superficie 10,38 km2
Élections
Départementales Canton de Léguevin
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Pelleport
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Pelleport
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Pelleport
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Pelleport
Liens
Site web Site officiel

Pelleport (Pelapòrc en occitan) est une commune française située dans le nord du département de la Haute-Garonne en région Occitanie.

Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Rivière-Verdun, un petit pays d'élection de l'est de la Gascogne, à l'écart des grandes voies de communication, et s'étageant sur les terrasses de la rive gauche de la Garonne, entre la vallée de la Save et la Lomagne, et se prolongeant en Gascogne toulousaine. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le ruisseau de Marguestaud, le ruisseau de Saint-Pierre, le ruisseau de fontarrieu et par divers autres petits cours d'eau.

Pelleport est une commune rurale qui compte 531 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Pelleportiens ou Pelleportiennes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune de Pelleport se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 30 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, et à 18 km de Léguevin[2], bureau centralisateur du canton de Léguevin dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Cadours[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Drudas (2,2 km), Le Grès (2,2 km), Caubiac (3,7 km), Puysségur (4,5 km), Thil (4,6 km), Launac (5,2 km), Cadours (5,5 km), Garac (5,8 km).

Sur le plan historique et culturel, Pelleport fait partie du pays de Rivière-Verdun, un petit pays d'élection de l'est de la Gascogne sis à l'écart des grandes voies de communication. Ce territoire s'étage sur les terrasses de la rive gauche de la Garonne, entre la vallée de la Save et la Lomagne, et se prolonge plein est en Gascogne toulousaine[4].

Pelleport est limitrophe de six autres communes. Les communes limitrophes sont Launac, Cadours, Drudas, Le Grès, Puysségur et Thil.

Communes limitrophes de Pelleport[5]
Drudas Launac
Puysségur Pelleport[5]
Cadours Le Grès Thil

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 1 038 hectares ; son altitude varie de 157 à 275 mètres[6].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Pelleport.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le ruisseau de Marguestaud, le ruisseau de Saint-Pierre, le ruisseau de fontarrieu, le ruisseau de Claoué, le ruisseau de lahite, le ruisseau de la Pérengle, le ruisseau de la Reyre et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[8],[Carte 1].

Le ruisseau de Marguestaud, d'une longueur totale de 23,2 km, prend sa source dans la commune de Caubiac et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Verdun-sur-Garonne (82), après avoir traversé 10 communes[9].

Le ruisseau de Saint-Pierre, d'une longueur totale de 20,8 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans le ruisseau de Marguestaud à Aucamville (82), après avoir traversé 8 communes[10].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 734 mm, avec 10 jours de précipitations en janvier et 5,8 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Blagnac à 25 km à vol d'oiseau[13], est de 14,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 627,0 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[17],[18],[19].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (97,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,8 %), zones agricoles hétérogènes (35,3 %), zones urbanisées (3,5 %), forêts (2,5 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

La commune comprend un habitat dispersé.

Logement[modifier | modifier le code]

L'urbanisation croissante s'explique par la périurbanisation due à la proximité de Toulouse, Pelleport faisant partie de son aire urbaine[I 2].

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La ligne 326 du réseau Arc-en-Ciel relie le centre de la commune à la gare de Castelnau-d'Estrétefonds, en correspondance avec les TER Occitanie en direction de Toulouse-Matabiau, et la ligne 373 relie le centre de la commune à la gare routière de Toulouse depuis Cadours.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Selon la tradition populaire, le toponyme Pelleport serait issu de l'occitan « pèla pòrc », c'est-à-dire le village où l'on « pèle le cochon ». Une autre hypothèse plus vraisemblable suggère que ce serait plutôt une déformation de l'occitan « pè del pòrt », ce qui signifie « en bas du col », littéralement Pied-du-Port.

Histoire[modifier | modifier le code]

Il existait au Moyen Âge une co-seigneurie éponyme.

En 1275, Pierre de La Fite est co-seigneur de Pelleporc. Les autres co-seigneurs sont en 1275 : Raymond et Bernard d'Aurianelle, chevaliers et Pons Barrière, ainsi que Bertrand Assalhit, damoiseaux.

En 1498, Bernard de la Fite est co-seigneur de Pelleporc.

Les armoiries de la famille de LA FITE de PELLEPORC sont : d'azur, au lion d'or couronné d'argent lampassé et armé de gueules à la bordure d'or chargée de 11 merlettes affrontées de sable.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 500 habitants et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de quinze[21],[22].

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Commune faisant partie de la sixième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes des Hauts Tolosans et du canton de Léguevin (avant le redécoupage départemental de 2014, Pelleport faisait partie de l'ex-canton de Cadours) et avant le de la communauté de communes des Coteaux de Cadours.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 2008 André Cazalens    
mars 2008 2014 Ange Pardo    
mars 2014 2020 Serge Bagur SE Artisan
mars 2020 En cours Philippe Lasuye    
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].

En 2021, la commune comptait 531 habitants[Note 2], en augmentation de 0,95 % par rapport à 2015 (Haute-Garonne : +7,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
192448458466528540553507523
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
497460500474429393362343325
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
324321288249240248261227230
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
190176163221310344459525517
2021 - - - - - - - -
531--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[27] 1975[27] 1982[27] 1990[27] 1999[27] 2006[28] 2009[29] 2013[30]
Rang de la commune dans le département 365 384 343 264 268 234 232 227
Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

Enseignement[modifier | modifier le code]

Pelleport fait partie de l'académie de Toulouse.

L'éducation est assurée sur la commune par un groupe scolaire[31] : maternelle et primaire.

Culture et festivité[modifier | modifier le code]

City Park, vide-grenier, fête locale (le premier week-end de juin), salle des fêtes.

Activités sportives[modifier | modifier le code]

Gymnastique volontaire, chasse, pétanque, randonnée pédestre.

Écologie et recyclage[modifier | modifier le code]

La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes des Coteaux de Cadours[32].

Une déchetterie est présente sur la commune de Cadours[33].

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 205 ménages fiscaux[Note 3], regroupant 522 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 23 550 [I 3] (23 140  dans le département[I 4]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 5] 6,4 % 8,3 % 8,6 %
Département[I 6] 7,7 % 9,6 % 9,3 %
France entière[I 7] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 348 personnes, parmi lesquelles on compte 78,4 % d'actifs (69,8 % ayant un emploi et 8,6 % de chômeurs) et 21,6 % d'inactifs[Note 4],[I 5]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 8]. Elle compte 53 emplois en 2018, contre 52 en 2013 et 33 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 243, soit un indicateur de concentration d'emploi de 21,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 65 %[I 9].

Sur ces 243 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 35 travaillent dans la commune, soit 14 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 96 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,4 % les transports en commun, 0,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

31 établissements[Note 5] sont implantés à Pelleport au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 6],[I 12].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 31
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
4 12,9 % (5,7 %)
Construction 7 22,6 % (12 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
3 9,7 % (25,9 %)
Information et communication 1 3,2 % (4,1 %)
Activités financières et d'assurance 2 6,5 % (3,8 %)
Activités immobilières 2 6,5 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
8 25,8 % (19,8 %)
Autres activités de services 4 12,9 % (7,9 %)

Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25,8 % du nombre total d'établissements de la commune (8 sur les 31 entreprises implantées à Pelleport), contre 19,8 % au niveau départemental[I 13].

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans les « Coteaux du Gers », une petite région agricole occupant une partie nord-ouest du département de la Haute-Garonne, caractérisée par une succession de coteaux peu accidentés, les surfaces cultivées étant entièrement dévolues aux grandes cultures[34]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 7] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 4].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 26 15 11 14
SAU[Note 8] (ha) 872 717 430 552

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 26 lors du recensement agricole de 1988[Note 9] à 15 en 2000 puis à 11 en 2010[36] et enfin à 14 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 46 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[37],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 872 ha en 1988 à 552 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 34 à 39 ha[36].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • "Le Pont Romain" : ancien pont de brique sur le ruisseau du Marguestaud. Il est situé au nord-ouest de la commune, face à l'endroit où le chemin dit "du Pont Romain" fait un angle aigu. A cet endroit, le ruisseau du Marguestaud fait office de limite avec la commune de Drudas au nord. C'est un pont large et solide, mais il est à l'abandon, des arbustes poussent dessus et une partie de son parement en briques a déjà été emporté par les eaux, sous l'arche côté nord, surtout (Drudas). Question : de quand date-t-il ?
  • l'église Notre-Dame
  • le monument aux morts
  • la chapelle Saint-Pé
  • L'école "Les Merlettes"
Ecole "LES MERLETTES"
Ecole "Les Merlettes"

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Pelleport Blason
De gueules au lion d'or ; à la bordure cousue d'azur chargée de douze merlettes d'argent.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Stephan Georg, « Distance entre Pelleport et Toulouse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Pelleport et Léguevin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. « Communes les plus proches de Pelleport », sur villorama.com (consulté le ).
  4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 364-365.
  5. Carte IGN sous Géoportail
  6. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  7. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Pelleport », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  9. Sandre, « le ruisseau de Marguestaud »
  10. Sandre, « le ruisseau de Saint-Pierre »
  11. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  12. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  13. « Orthodromie entre Pelleport et Blagnac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Toulouse-Blagnac » (commune de Blagnac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Toulouse-Blagnac » (commune de Blagnac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  17. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Pelleport », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « Liste des ZNIEFF de la commune de Pelleport », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Liste des espaces protégés sur la commune de Pelleport », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  22. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ). [2]https://www.mairie-pelleport31.fr/fr/la-mairie/le-conseil-municipal.html
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. a b c d et e INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
  28. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  29. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  30. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  31. « Vacances scolaires 2023-2024 », sur mairie-pelleport31.fr, (consulté le ).
  32. « http://www.coteauxcadours31.fr/fr/environnement/environnement.html »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?)
  33. « http://www.coteauxcadours31.fr/fr/environnement/dechetterie-de-cadours.html »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?)
  34. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  35. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  36. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Pelleport - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  37. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de la Haute-Garonne » (consulté le ).

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  3. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  4. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  5. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  6. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  7. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  8. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  9. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[35].
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Pelleport » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).