Le Castéra

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Le Castéra
Le Castéra
Entrée du village.
Blason de Le Castéra
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Toulouse
Intercommunalité Communauté de communes des Hauts Tolosans
Maire
Mandat
Yvan Gonzalez
2020-2026
Code postal 31530
Code commune 31120
Démographie
Gentilé Castérois, Castéroises
Population
municipale
771 hab. (2021 en diminution de 0,9 % par rapport à 2015)
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 40′ 24″ nord, 1° 08′ 18″ est
Altitude Min. 125 m
Max. 284 m
Superficie 16,71 km2
Élections
Départementales Canton de Léguevin
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Le Castéra
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Le Castéra
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Le Castéra
Liens
Site web Site officiel de la mairie

Le Castéra (Le Casterar en occitan) est une commune française située dans le nord du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Rivière-Verdun, un petit pays d'élection de l'est de la Gascogne, à l'écart des grandes voies de communication, et s'étageant sur les terrasses de la rive gauche de la Garonne, entre la vallée de la Save et la Lomagne, et se prolongeant en Gascogne toulousaine.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Save, le Cédat, le Rémoulin, le ruisseau de Tourrompe et par divers autres petits cours d'eau.

Le Castéra est une commune rurale qui compte 771 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Castérois ou Castéroises.

Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'église Saint-Jean-Baptiste de Larmont, inscrite en 1979.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune du Castéra se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 26 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, et à 11 km de Léguevin[2], bureau centralisateur du canton de Léguevin dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de L'Isle-Jourdain[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Bellegarde-Sainte-Marie (1,9 km), Sainte-Livrade (3,6 km), Pradère-les-Bourguets (4,2 km), Garac (4,5 km), Lasserre (4,5 km), Ségoufielle (4,6 km), Menville (4,6 km), Lévignac (4,6 km).

Sur le plan historique et culturel, Le Castéra fait partie du pays de Rivière-Verdun, un petit pays d'élection de l'est de la Gascogne sis à l'écart des grandes voies de communication. Ce territoire s'étage sur les terrasses de la rive gauche de la Garonne, entre la vallée de la Save et la Lomagne, et se prolonge plein est en Gascogne toulousaine[4].

Le Castéra est limitrophe de six autres communes. Les communes limitrophes sont Thil, Bellegarde-Sainte-Marie, Lévignac, Menville, Lasserre-Pradère, Sainte-Livrade et Pradère-les-Bourguets.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 1 671 hectares ; son altitude varie de 125 à 284 mètres[6].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier duCastéra.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Save, le Cédat, le Rémoulin, le ruisseau de Tourrompe, un bras de la Save, le ruisseau de carayon, le ruisseau de Fouchéry, le ruisseau de Garrosse, le ruisseau de Licart, le ruisseau de Sauzet, le ruisseau des pountils, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 19 km de longueur totale[8],[9].

La Save, d'une longueur totale de 143 km, prend sa source dans la commune de Lannemezan et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Grenade, après avoir traversé 46 communes[10].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 730 mm, avec 9,7 jours de précipitations en janvier et 5,7 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Blagnac à 21 km à vol d'oiseau[13], est de 14,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 627,0 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[17],[18],[19].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

Deux hameaux, Larmont et Pradère, font partie de la commune.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

En termes de route, la D24 permet de rejoindre Bellegarde-Sainte-Marie (à l'ouest) et Lévignac (à l'est). De plus, la D93 rejoint Thil (au nord).

Pour le train, la gare de Mérenvielle, sur la ligne Toulouse - Auch est accessible grâce à la D93, puis la D42 et enfin la D42b.

Enfin, pour l'avion, l'aéroport de Toulouse-Blagnac peut être rejoint depuis le Castéra grâce à la D93 puis la D1 ou encore en rejoignant l'Isle-Jourdain pour ensuite prendre la voie rapide jusqu'à Toulouse.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune duCastéra est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible)[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Save. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1999, 2000 et 2009[22],[20].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux duCastéra.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 328 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 328 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23],[Carte 1].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1998, 2000, 2002, 2003, 2008, 2011 et 2015 et par des mouvements de terrain en 1999[20].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Castrum, qui signifie place romaine fortifiée en latin vulgaire, est à l'origine du nom de la commune[25], le mot ayant évolué en occitan médiéval en Casterar, orthographié Castéra en français.

Histoire[modifier | modifier le code]

Église Saint-Jean-Baptiste de Larmont.

Le Castéra faisait partie du Comté de l’Isle Jourdain de 1040 à 1466 puis devient seigneurie du Castéra et Pradère sous la coupe d'Étienne de Vignolles[26].

Les Templiers et les Hospitaliers[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Jean-Baptiste de Larmont est une ancienne commanderie donnée en 1221 aux Templiers. Elle fût détruite par les Hospitaliers en 1544 pour en édifier une nouvelle. Datant du XIIe siècle, elle a été inscrite au titre des monuments historiques en 1979[27],[28].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La Mairie

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 500 habitants et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de quinze[29],[30].

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Commune faisant partie de la sixième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes des Hauts Tolosans et du canton de Léguevin (avant le redécoupage départemental de 2014, Le Castéra faisait partie de l'ex-canton de Cadours) et avant le de la communauté de communes des Coteaux de Cadours.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1933 1944 Urbain Guyon    
1944 1945 Jean-Marie Fourcassier    
1945 1970 Pierre Courtais    
1971 1989 Roger Auriol PS  
1989 2001 Fernand Sacareau    
2001 2008 Yvan Vignères    
2008 En cours Yvan Gonzalez PS Retraité

[31]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].

En 2021, la commune comptait 771 habitants[Note 2], en diminution de 0,9 % par rapport à 2015 (Haute-Garonne : +7,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 120850983985954900890840808
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
805840840792732739686628569
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
512496495424458435413381371
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
362322305395455597715808750
2021 - - - - - - - -
771--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[36] 1975[36] 1982[36] 1990[36] 1999[36] 2006[37] 2009[38] 2013[39]
Rang de la commune dans le département 219 233 189 211 182 191 187 185
Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

Enseignement[modifier | modifier le code]

Le Castéra fait partie de l'académie de Toulouse.

L'éducation est assurée par un regroupement pédagogique intercommunal avec les communes de Bellegarde-Sainte-Marie et Garac pour les classes de la maternelle au primaire. Dans la commune se trouve l'école Jean-Louis Étienne qui accueille les enfants de la maternelle et du cours préparatoire[40]. De plus, les collégiens vont à Cadours.

Pour la rentrée scolaire 2021 une nouvelle école accueille les élèves sur la commune.

Santé[modifier | modifier le code]

Centre communal d'action sociale,

Activités sportives[modifier | modifier le code]

Pétanque, chasse, cyclisme, circuits de randonnées, centre de loisirs

Culture et festivité[modifier | modifier le code]

Belote, comité des fêtes, fête locale, vide-greniers,

Écologie et recyclage[modifier | modifier le code]

La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes des Coteaux de Cadours[41].

Une déchèterie est présente sur la commune de Cadours[42],[43].

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 293 ménages fiscaux[Note 3], regroupant 776 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 25 810 [I 2] (23 140  dans le département[I 3]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 4] 3 % 5,2 % 6,7 %
Département[I 5] 7,7 % 9,6 % 9,3 %
France entière[I 6] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 478 personnes, parmi lesquelles on compte 79,4 % d'actifs (72,7 % ayant un emploi et 6,7 % de chômeurs) et 20,6 % d'inactifs[Note 4],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 7]. Elle compte 92 emplois en 2018, contre 110 en 2013 et 85 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 352, soit un indicateur de concentration d'emploi de 26,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 65,7 %[I 8].

Sur ces 352 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 64 travaillent dans la commune, soit 18 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 89,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,2 % les transports en commun, 3,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

45 établissements[Note 5] sont implantés au Castéra au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 6],[I 11].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 45
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
6 13,3 % (5,7 %)
Construction 10 22,2 % (12 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
10 22,2 % (25,9 %)
Information et communication 1 2,2 % (4,1 %)
Activités immobilières 2 4,4 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
6 13,3 % (19,8 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
6 13,3 % (16,6 %)
Autres activités de services 4 8,9 % (7,9 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 22,2 % du nombre total d'établissements de la commune (10 sur les 45 entreprises implantées au Le Castéra), contre 25,9 % au niveau départemental[I 12].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Commune rurale avec une agriculture basée sur la culture de céréales (maïs, blé…) mais tend à diminuer en faveur de zones résidentielles liées à la proximité de l'agglomération toulousaine.

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans les « Coteaux du Gers », une petite région agricole occupant une partie nord-ouest du département de la Haute-Garonne, caractérisée par une succession de coteaux peu accidentés, les surfaces cultivées étant entièrement dévolues aux grandes cultures[44]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 7] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 3].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 28 22 15 15
SAU[Note 8] (ha) 1 063 1 338 1 537 1 342

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 28 lors du recensement agricole de 1988[Note 9] à 22 en 2000 puis à 15 en 2010[46] et enfin à 15 en 2020[Carte 4], soit une baisse de 46 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[47],[Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 1 063 ha en 1988 à 1 342 ha en 2020[Carte 6]. Parallèlement, la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 38 à 89 ha[46].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]


Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Le Castéra

Son blasonnement est : Dazur au lion d'or armé et lampassé d'argent, au chef cousu de gueules chargé de trois besants d'or.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Pierre Vidal, Hospitaliers et Templiers en France méridionale : Le Grand Prieuré de Toulouse de l’Ordre de Malte – Guide de recherche historique, archivistique et patrimoniale, Toulouse, CNRS FRAMESPA, (ISBN 978-2-9074-1624-5, présentation en ligne)
  • Antoine du Bourg, Ordre de Malte : Histoire du grand prieuré de Toulouse et des diverses possessions de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem dans le sud-ouest de la France..., Toulouse, L. Sistac et J. Boubée, (présentation en ligne), p. 237-245, lire en ligne sur Gallica

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  3. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  4. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  5. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  6. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  7. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  8. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  9. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[45].
  • Cartes
  1. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Stephan Georg, « Distance entre Le Castéra et Toulouse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Le Castéra et Léguevin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. « Communes les plus proches du Le Castéra », sur villorama.com (consulté le ).
  4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 364-365.
  5. Carte IGN sous Géoportail
  6. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  7. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale du Castéra », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  9. « Carte hydrographique du Castéra » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
  10. Sandre, « la Save »
  11. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  12. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  13. « Orthodromie entre Le Castéra et Blagnac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Toulouse-Blagnac » (commune de Blagnac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  15. « Station Météo-France « Toulouse-Blagnac » (commune de Blagnac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  17. « Liste des zones Natura 2000 de la commune duCastéra », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « Liste des ZNIEFF de la commune duCastéra », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Liste des espaces protégés sur la commune duCastéra », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. a b et c « Les risques près de chez moi - commune du Castéra », sur Géorisques (consulté le ).
  21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs dans la Haute-Garonne », sur haute-garonne.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune duCastéra », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  25. Site de la mairie.
  26. « Le Castéra en quelques dates.... », sur mairie-lecastera31.fr, (consulté le ).
  27. (Bourg 1883, p. 237,241)
  28. « Eglise de Larmont », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  29. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  30. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  31. Georges Aubrespin, Raconte moi Le Castéra.
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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