Le Cambout

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Le Cambout
Le Cambout
Libre service.
Blason de Le Cambout
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Saint-Brieuc
Intercommunalité CC Loudéac Communauté - Bretagne Centre
Maire
Mandat
Pierrick Glais
2023-2026
Code postal 22210
Code commune 22027
Démographie
Gentilé Cambutiade
Population
municipale
411 hab. (2021 en diminution de 7,22 % par rapport à 2015)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 03′ 34″ nord, 2° 36′ 33″ ouest
Altitude 22 m
Min. 50 m
Max. 137 m
Superficie 18,02 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Loudéac
Législatives 3e circonscription des Côtes-d'Armor
Localisation
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Le Cambout

Le Cambout [ləkɑ̃bu] est une commune française du département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

La commune du Cambout, située dans les Côtes d'Armor et limitrophe du département du Morbihan, est située à la lisière de la forêt de Lanouée, au nord-ouest de celle-ci.

La commune se trouve à 28 km à l'est de Pontivy, à 45 km au nord de Vannes, à 52 km au sud de Saint-Brieuc et à 69 km à l'ouest de Rennes.

La commune appartient au pays Gallo. Cependant certains toponymes sont bretons, du moins en partie : Ker Joseph, La ville Jegu, La ville Mainguy, Pengréal, Penhouët, Trehorel. La Bretagne bretonnante est toute proche, à une dizaine de kilomètres à l'ouest.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Bréhan, Les Forges, Plumieux, Saint-Étienne-du-Gué-de-l'Isle et Forges de Lanouée.

Communes limitrophes du Cambout
Plumieux
Bréhan
(Morbihan)
Cambout
Saint-Étienne-du-Gué-de-l'Isle Forges de Lanouée
(Morbihan)

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte hydrographique et des infrastructures de transport de la commune en 2023

La limite sud-est du territoire communal est constituée par les ruisseaux de Dirbœuf et de Blaye dont les eaux alimentent le Canal de Nantes à Brest.

L'étang du Gué aux loups est apprécié des pécheurs[1]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Finistère nord  » et « Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée »[3]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur Est  », avec des hivers frais, des étés chauds et des pluies modérées)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 865 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Loudéac à 17 km à vol d'oiseau[5], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 922,6 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Carte topographique de la commune en 2022.

Typologie[modifier | modifier le code]

Le Cambout est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (79,5 %), zones agricoles hétérogènes (14,2 %), prairies (3,9 %), zones urbanisées (2 %), forêts (0,4 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 312, alors qu'il était de 309 en 2015 et de 300 en 2010[I 1].

Parmi ces logements, 65,4 % étaient des résidences principales, 12,5 % des résidences secondaires et 22,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 93,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 6,1 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements au Le Cambout en 2020 en comparaison avec celle des Côtes-d'Armor et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (12,5 %) inférieure à celle du département (16,3 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 84,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (85,1 % en 2015), contre 71 % pour les Côtes-d'Armor et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement au Le Cambout en 2020.
Typologie Le Cambout[I 1] Côtes-d'Armor[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 65,4 75,2 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 12,5 16,3 9,7
Logements vacants (en %) 22,1 8,5 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Quenbot[15] ou Quembot en 1275 [16], Combout en 1323[15] et Cambout en 1396[16].

Du bretons kamm (courbe) et bod (coat ou coët, « bois »). Ainsi le Cambout tirerait son nom de la configuration de l'endroit : « La courbe du bois »[16].

La commune est dénommée Ar C'hembod en breton[16].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Alain du Cambout possédait au XIIe siècle cette terre qui relevait du comté de Porhoët[réf. nécessaire].

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Avant la Révolution française, Le Cambout possédait encore, haute, moyenne et basse justice[réf. nécessaire]..

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Précédemment dépendante de Plumieux, la section de Sainte-Anne du Cambout a été érigée en spirituel par monseigneur Martial, évêque de Saint-Brieuc et Tréguier[C'est-à-dire ?] en vertu d'une ordonnance datée du 17 septembre 1860.

L'ancienne chapelle du château du Cambout, située devant le grand portail de l'actuelle église, a servi d'église paroissiale depuis l'érection de la section de Sainte Anne du Cambout en paroisse le 17 septembre 1860 et jusqu'en 1889, époque de sa démolition. Elle avait été bâtie en 1663. Avant la création de la paroisse, tous les 15 jours, le dimanche, un vicaire de Plumieux venait y dire la messe.

La première pierre de la nouvelle église a été bénite le 31 juillet 1887.

Par décret de l'empereur Napoléon III signé au palais des Tuileries le 13 janvier 1866, la section du Cambout est distraite de la commune de Plumieux pour former une commune distincte dont le chef-lieu est fixée au Cambout[17].

C'est le château du Cambout, anciennement fortifié, qui a donné son nom à la nouvelle paroisse.

À l'époque tous les villages réunis pour constituer cette nouvelle commune comptaient 1 170 habitants. Le village de la Ville-Jégu à plus de 10 kilomètres du bourg de Plumieux totalisait à lui seul 300 habitants.

En 2024, la création d'une commune nouvelle qui serait constituée par la fusion de Plumieux, Coëtlogon et Le Cambout est envisagée[18],[19].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Saint-Brieuc du département des |Côtes-d'Armor.

Elle faisait partie depuis sa création du canton de La Chèze[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Loudéac

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription des Côtes-d'Armor.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Le Cambout était membre de la communauté intercommunale pour le développement de la région et des agglomérations de Loudéac (CIDERAL), un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1994 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes dénommée Loudéac Communauté − Bretagne Centre, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1866 1870 Mathurin Morel    
1870 1909 Yves-Marie Le Texier    
1909 1929 Jean Taloté    
1929 1964 Jean Baptiste Brajeul    
1964 1977 Edouard Michard    
1977 1991[20] Gilles Nizan PS Démissionnaire
1991 juin 1995 Marcel Connan[20]   Agriculteur
Président cantonal à la FDSEA
Responsable départemental de la Cuma.
juin 1995 juin 2023[21] Jean-Noël Lagueux DVD Agriculteur
Vice-président de la CC Loudéac Communauté − Bretagne Centre ( ? → 2023)
Président du Syndicat du Lié ( ? → 2023)
Mort en fonction
septembre 2023[22] En cours
(au 15 janvier 2024[23])
Pierrick Glais ? Agriculteur

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Fin 2023, un distributeur de pain est installé, alimenté par boulanger de La Chèze[24].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1872. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26].

En 2021, la commune comptait 411 habitants[Note 2], en diminution de 7,22 % par rapport à 2015 (Côtes-d'Armor : +1,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
9721 0171 0371 0381 0771 0621 0861 1301 131
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
1 016933887902837808811718599
1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019 2021
548549526557544476445417411
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Le Cambout Blason
De gueules, à trois fasces échiqueté d'argent et d'azur de deux tires.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2020 au Le Cambout » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2020 au Le Cambout - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2020 au Le Cambout - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans les Côtes-d'Armor » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. « Le Cambout : Le Cambout, la commune la plus au sud des Côtes d'Armor », Le territoire > Nos communes, sur https://www.bretagnecentre.bzh (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Le Cambout et Loudéac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Loudeac » (commune de Loudéac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Loudeac » (commune de Loudéac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
  16. a b c et d infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Le Cambout ».
  17. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. « Saint-Étienne-du-Gué-de-l’Isle se retire du projet de commune nouvelle : Alors qu’il était question de créer une commune nouvelle dans le pays de Loudéac avec les communes de Plumieux, Coëtlogon et Le Cambout, le conseil municipal de Saint-Étienne-du-Gué-de-l’Isle (Côtes-d’Armor) s’est prononcé en défaveur du projet, lundi 5 févier 2024 », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  19. « Le Cambout. Les élus valident l’idée de commune nouvell : À l’occasion du conseil municipal, vendredi 2 février, les conseillers ont voté favorablement en faveur du projet la commune nouvelle. L’idée va être approfondie », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. a et b « Le Cambout. Marcel Connan, ancien maire, s’en est allé : Ancien maire du Cambout, Marcel Connan est décédé dimanche 10 novembre 2019. Il résidait depuis 2014 à l’Ehpad de Loudéac », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Il fera ses premiers pas à la municipalité en 1963 en tant que conseil[ler] municipal. En 1991, à la suite de la démission de Gilles Nizan, maire depuis mars 1977, il devient premier magistrat de la commune, jusqu’en 1995 ».
  21. Pauline Bourdet, « Le maire du Cambout, Jean-Noël Lagueux, est décédé vendredi 9 juin : Jean-Noël Lagueux est décédé vendredi 9 juin 2023, à l’âge de 68 ans. Maire de la petite commune du Cambout (Côtes-d’Armor) depuis 1995, il était également élu à Loudéac communauté Bretagne centre (LCBC) », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. « Le Cambout : le nouveau maire est élu : Pierrick Glais est le nouveau maire du Cambout, près de Loudéac (Côtes-d'Armor) », Le Courrier indépendant,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. « Au Cambout, un hommage rendu à l’ancien maire lors de la cérémonie des vœux : La cérémonie des vœux du maire du Cambout, Pierrick Glais, et de son équipe municipale, qui s’est déroulée ce samedi 13 janvier, a débuté par une minute de silence en hommage au maire Jean-Noël Lagueux, décédé au cours de l’année 2023 », Le Télégramme,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  24. « Le Cambout. La commune se dote d’un distributeur à pains », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. « MémorialGenWeb Relevé », sur memorialgenweb.org (consulté le ).