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Celles-sur-Belle

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Celles-sur-Belle
Celles-sur-Belle
L'abbaye royale Notre-Dame.
Blason de Celles-sur-Belle
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Deux-Sèvres
Arrondissement Niort
Intercommunalité Communauté de communes Mellois en Poitou
Maire
Mandat
Sylvie Brunet
2020-2026
Code postal 79370
Code commune 79061
Démographie
Gentilé Celloise, Cellois
Population
municipale
3 858 hab. (2021 en évolution de +2,83 % par rapport à 2015)
Densité 104 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 15′ 46″ nord, 0° 12′ 36″ ouest
Altitude Min. 60 m
Max. 162 m
Superficie 37,24 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Celles-sur-Belle
(ville isolée)
Aire d'attraction Niort
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Celles-sur-Belle
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Celles-sur-Belle
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Celles-sur-Belle
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Celles-sur-Belle
Liens
Site web http://www.ville-celles-sur-belle.com

Celles-sur-Belle est une commune du Centre-Ouest de la France située dans le département des Deux-Sèvres, en région Nouvelle-Aquitaine.

Le , elle prend le statut de commune nouvelle par sa fusion avec Saint-Médard.

Ses habitants sont appelés les Celloises et Cellois[1].

Géographie

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Localisation

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Celles-sur-Belle se trouve dans le Pays mellois à 22 Km au sud-est de Niort, préfecture des Deux-Sèvres par la route départementale D 948 reliant cette dernière à Limoges. La commune est depuis 2009, devenue la commune la plus peuplée de la communauté de communes Mellois en Poitou devançant par la même occasion, Melle, son centre historique. Son bourg reste actif avec environ 2 500 habitants, et a gardé notamment, depuis la construction de la déviation, son aspect de petite ville tranquille.

Elle est située sur l'un des chemins de Compostelle, entre Poitiers et Bordeaux : la via Turonensis.

Celles-sur-Belle est située sur l'ancienne route nationale 148 qui reliait Sainte-Hermine à Étagnac en passant par Niort et Limoges. Cette route s'appelle désormais la départementale 948.

Un aérodrome privé, LF7926 - Verrines sous Celles La Jonchè est en activité sur le territoire de la commune. Piste en herbe 03-19 de 538 m, ouvert aux ULM[2]

Hydrographie

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Un cours d'eau référencé par le Sandre traverse la commune. Il s'agit de la Belle[3], affluent de la Boutonne.

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

  • Moyenne annuelle de température : 12,2 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,7 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,3 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,8 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 899 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,2 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1959 à 2014 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[10]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records CELLES-SUR-BELLE (79) - alt : 118 m 46° 15′ 36″ N, 0° 12′ 54″ O
Records établis sur la période du 01-01-1959 au 31-12-2014
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2 1,8 3,6 5,4 9,2 12,1 14 13,8 11,4 9 4,7 2,5 7,5
Température moyenne (°C) 5,2 5,9 8,7 10,9 14,8 18,1 20,2 20,1 17,2 13,5 8,4 5,6 12,4
Température maximale moyenne (°C) 8,3 10 13,7 16,4 20,4 24 26,5 26,5 23 18,1 12,1 8,7 17,3
Record de froid (°C)
date du record
−15,7
16.01.1985
−14
05.02.1963
−11
02.03.05
−5
07.04.08
−1,5
03.05.1963
2
01.06.1965
4
06.07.1965
4,5
30.08.1986
2
26.09.10
−3
25.10.03
−8
21.11.1993
−11
31.12.1996
−15,7
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
17
05.01.1999
23
15.02.1998
26
20.03.05
32,5
30.04.05
34,5
24.05.10
39
22.06.05
40
13.07.03
42,5
09.08.03
35
08.09.12
32
02.10.11
21,5
02.11.1970
18,5
07.12.00
42,5
2003
Précipitations (mm) 85,1 68,1 65,3 73 71,2 52,2 56,7 54,7 64,4 92,9 93,6 100,4 877,6
Source : « Fiche 79061001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Au , Celles-sur-Belle est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Celles-sur-Belle[Note 3], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Niort, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[13]. Cette aire, qui regroupe 91 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Celles-sur-Belle est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Belle. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2010[18],[16].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Celles-sur-Belle.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de terrains, notamment des tassements différentiels[19]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[20]. 65,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,9 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[21]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[22].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2005, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1993, 1999 et 2010[16].

Appelée d'abord Celles (ou Celle), la commune a pris le nom de Celles-sur-Belle en 1892[23].

Une légende nous renseigne que le premier pèlerinage vers Notre-Dame-de-Celles se serait effectué en 507, par le roi Clovis, après sa victoire à la bataille de Vouillé sur les Wisigoths[24]. Notre-Dame-de-Celles était un prieuré de l’abbaye de Lesterps, érigé en abbaye vers 1137 par l'évêque de Poitiers. L'abbaye royale de Celles-sur-Belle suit la règle de Saint Augustin jusqu'en 1651, lorsque l'abbaye est rattachée à la congrégation des génovéfains.

Vers 1460-1477, le roi Louis XI fait reconstruire l'abbaye. Parfois en faisant la déviation, Louis XI effectuait plusieurs pèlerinages vers cette abbaye (9 fois au minimum), notamment le dimanche 22 avril 1470 pour célébrer Pâques[25]. En octobre 1472, par ses lettres patentes, Louis XI autorisa de nouveau plusieurs privilèges, à la suite de la mort du duc de Guyenne, son frère[26].

L'abbaye est détruite en 1568 par les protestants.

Il faut attendre l'intervention de l'architecte François le Duc dit Toscane pour voir l'église reconstruite à nouveau. Une inscription peinte dans le chœur rappelle les malheurs de l'église : « Constructa sub Ludovico XI Destructa ab Hereticis Anno 1568 Anno 1669 restaurata Le Duc dit Toscane »[27].

Par arrêté préfectoral du 10 novembre 1972 prenant effet au 1er janvier 1973, les communes de Montigné et Verrines-sous-Celles entrent en fusion-association avec Celles-sur-Belle[28].

Le , Saint-Médard fusionne au sein de Celles-sur-Belle, qui prend le statut de commune nouvelle[29],[30]. Les anciennes communes associées de Montigné et Verrines-sous-Celles deviennent des communes déléguées et s'ajoutent à celles de Celles-sur-Belle et de Saint-Médard.

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Niort du département des Deux-Sèvres. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la deuxième circonscription des Deux-Sèvres.

Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Celles-sur-Belle[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est désormais le bureau centralisateur, est modifié, passant de 9 à 27 communes.

Intercommunalité

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La commune était le siège de la communauté cantonale de Celles-sur-Belle, une communauté de communes créée fin 1992.

Celle-ci fusionne avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes Mellois en Poitou, dont la commune est désormais membre.

Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs avant la fusion de 2019
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1971 juin 1995 Pierre Billard[31] UDF Chef d'entreprise industrielle retraité
Conseiller régional de Poitou-Charentes (1985 → 1998)
Vice-président du conseil régional de Poitou-Charentes (1986 → 1998)
Conseiller général du canton de Celles-sur-Belle (1979 → 1998)
Vice-président du conseil général des Deux-Sèvres (1979 → 1998)
juin 1995 décembre 2018 Jean-Marie Roy[32] DVD Masseur-kinésithérapeute
Président de la communauté cantonale de Celles-sur-Belle (2015 → 2016)
Liste des maires de la commune nouvelle
Période Identité Étiquette Qualité
8 janvier 2019[33] 28 mai 2020 Jean-Marie Roy DVD Masseur-kinésithérapeute
28 mai 2020[34] En cours Sylvie Brunet DVC Pharmacienne, ancienne adjointe
5e vice-présidente de la CC Mellois en Poitou[N 1] (2020 → )

Politique environnementale

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Distinctions et labels

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Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué trois fleurs à la commune[35].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].

En 2021, la commune comptait 3 858 habitants[Note 6], en évolution de +2,83 % par rapport à 2015 (Deux-Sèvres : +0,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0521 1021 0931 3381 4611 4731 4791 5711 679
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 7121 5891 5531 4241 6121 6131 5991 6241 594
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5751 5621 5941 4341 4481 3891 4321 4021 409
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 5081 5552 8983 2743 4253 4803 5763 5913 736
2017 2021 - - - - - - -
3 9073 858-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 1973, les communes de Montigné et Verrines-sous-Celles fusionnent avec Celles-sur-Belle.

En 2019, une nouvelle fusion intervient entre Celles-sur-Belle et Saint-Médard. La population municipale 2018 du nouvel ensemble s'établit à 3 858 habitants, pour une population totale de 3 918 habitants[29].

  • le HBC Celles-sur-Belle, le club de handball local, est connu pour évoluer au niveau régional et même national avec son équipe féminine.

Celles-sur-Belle accueille plus d'une cinquantaine d'entreprises actives au service de sa population. Artisans, commerçants, services divers, tout est représenté à Celles-sur-Belle.

S'appuyant sur des traditions de savoir-faire, le tissu économique repose, pour l'essentiel, sur un maillage relativement dense de TPE (très petites entreprises) autour de deux plus importantes, du secteur agro-alimentaire (Sèvre-et-Belle et la SOCOPA) qui emploient plus de 400 salariés. Les petites entreprises personnelles, artisanales, industrielles, tertiaires et de services, très dynamiques, ont l'avantage d'être plus réactives en cas de crise.

À Celles-sur-Belle, 90 % des entreprises ont moins de 10 salariés.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Patrimoine culturel

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Patrimoine naturel

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  • La Talle à teurtous (châtaignier à tout le monde), arbre remarquable. Une « talle », dans le parler saintongeais, désigne un châtaignier greffé pour la production de fruits. Celui-ci a donné son nom au lieu où il se trouve sur le hameau de la Revêtizon. Le tronc principal dont la circonférence dépasse les 7 mètres à une hauteur de 1,80 m est mort depuis plusieurs années ; mais deux drageons qui l'entourent lui ont redonné une nouvelle jeunesse. L'ensemble fait 11,65 m de circonférence à une hauteur de 1 m.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason Blasonnement :
D’azur à cinq fusées d’or accolées en fasce, surmontées de trois oiseaux volants du même rangés en chef.
  1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
  3. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

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  1. Les gentilés des Deux-Sèvres
  2. Aérodrome de Verrines sous Celles La Jonchè sur le site Aero Break [lire en ligne]
  3. La Belle sur le site du sandre
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  6. « Définition d’une normale climatologique », sur meteofrance.fr (consulté le ).
  7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  10. « Fiche du Poste 79061001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Celles-sur-Belle », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Celles-sur-Belle ».
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Niort », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Celles-sur-Belle », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  19. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  22. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  23. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. « diocese-poitiers.com.fr/annee-… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  25. Joseph Vaesen et Étienne Charavay, Lettres de Louis XI, tome XI "itinéraire", Librairie Renouard, Paris 1909
  26. Lettres patentes de Louis XI, Abbaye royale Notre-Dame de Selles, octobre 1472 (lire en ligne).
  27. « Celles-sur-Belle - Abbaye Notre-Dame », Le canton de Celles-sur-Belle : les 1 620 éléments du patrimoine étudiés, Région Poitou-Charentes, inventaire général du patrimoine culturel, 2008-2013 (consulté le ).
  28. Code officiel géographique - Fiche de la commune de Celles-sur-Belle sur le site de l'Insee, consulté le 28 novembre 2010.
  29. a et b « Arrêté préfectoral du 25 octobre 2018 portant création de la commune nouvelle de Celles-sur-Belle »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], Préfecture des Deux-Sèvres, (consulté le ).
  30. « Hier, dix-sept nouvelles communes ont vu le jour », La Nouvelle République,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. « Dernier hommage à Pierre Billard », La Nouvelle République,‎ (lire en ligne, consulté le ) « L'ancien conseiller général s'est éteint mercredi 19 novembre dans sa 93e année. (...) Pierre Billard a été élu conseiller municipal de Celles-sur-Belle en 1965, puis maire de 1971 à 1995. Il a créé avec ses collègues du canton un des tout premiers districts ruraux de France, et présidé aux destinées du Syndicat mixte du Pays Mellois de 1979 à 1991. Conseiller général du canton de Celles-sur-Belle de 1979 à 1998, vice-président du conseil général puis de 1986 à 1998 conseiller régional, 2 evice-président de la Régio ».
  32. « Jean-Marie Roy se représente », La Nouvelle République,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Jean-Marie Roy, maire sortant, 66 ans, se représente sans étiquette avec une liste complète de 27 conseillers dont 15 sortants et 12 jeunes nouveaux ».
  33. « Le nouveau conseil municipal », La Nouvelle République,‎ (lire en ligne) « Lors de la première réunion du conseil municipal de la commune nouvelle de Celles-sur-Belle, Jean-Marie Roy a été élu maire de Celles-sur-Belle. »
  34. « Sylvie Brunet, première femme maire », La Nouvelle République,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Sylvie Brunet, 56 ans, pharmacienne, proposée au poste de maire, aucun autre candidat ne s’étant manifesté, avec 27 voix et deux bulletins blancs, a été élue nouveau maire de Celles-sur-Belle. »
  35. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris, consulté le .
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. Base Mérimée : Ancienne abbaye royale Notre-Dame
  40. « Un jour un Monument : La résilience de l'Ancienne abbaye royale Notre-Dame à Celles-sur-Belle », sur carte-du-patrimoine.gregoryalary.dev, (consulté le ).
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  42. « Vestiges de l'ancienne église paroissiale Saint-Hilaire », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  43. Georges Germond, Inventaire des mégalithes de la France : Deux-Sèvres, Paris, Éditions du CNRS, , 286 p. (ISBN 2-222-02469-2), p. 61.
  44. « Menhirs (trois) », notice no PA00101208, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  45. Salle Robert Dalban sur le site de la mairie
  1. chargée de l'animation du territoire.

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