Puceul

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Puceul
Puceul
Mairie de Puceul
Blason de Puceul
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Châteaubriant-Ancenis
Intercommunalité Communauté de communes de Nozay
Maire
Mandat
Claire Theveniau
2020-2026
Code postal 44390
Code commune 44138
Démographie
Gentilé Puceulois
Population
municipale
1 136 hab. (2021 en augmentation de 3,46 % par rapport à 2015)
Densité 57 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 31′ 22″ nord, 1° 36′ 56″ ouest
Altitude Min. 26 m
Max. 82 m
Superficie 20,09 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nantes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Guémené-Penfao
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Puceul
Géolocalisation sur la carte : France
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Puceul
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Puceul
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Puceul
Liens
Site web http://www.puceul.fr/

Puceul est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation de la commune de Puceul dans le département de la Loire-Atlantique.

Puceul est situé à 37 km au nord de Nantes et à 5 km au sud de Nozay, à proximité de la voie express Nantes-Rennes, dont l'achèvement à deux fois deux voies en [1] a grandement contribué au développement démographique de la commune. Celle-ci se situe depuis à 20 minutes du nord de l'agglomération nantaise et ce rapprochement a permis l'installation de jeunes couples travaillant dans cette ville.

Les communes limitrophes sont Abbaretz, Nozay, Saffré, La Chevallerais et La Grigonnais.

Communes limitrophes de Puceul
Nozay
La Grigonnais Puceul Abbaretz
La Chevallerais Saffré
Relief des environs de Puceul
Topographie des environs de Puceul

Relief et hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune de Puceul se situe en lisière sud du plateau nozéen qui se prolonge par la dorsale Abbaretz-La Meilleraye-de-Bretagne. Le territoire est partagé entre les hauteurs du plateau nozéen, qui s'étendent au nord-ouest de la commune et la plaine de Saffré au sud-est, occupée par la rivière Isac et ses affluents. L'un des affluents occupe à Bel-Air le point le plus bas à 28 mètres, tandis que le point le plus haut culmine à Jahan à 81 mètres. L'ensemble est situé entièrement dans le bassin versant de la rivière Isac, elle-même affluent de la Vilaine. Plusieurs bassins versants secondaires viennent entailler le plateau de Nozay, ils sont tous drainés par des affluents de L'Isac.

Géologie et pédologie[modifier | modifier le code]

La nature géologique du territoire dépend en grande partie de l'évolution géomorphologique du plateau nozéen. À la suite de son soulèvement, l'érosion linéaire des affluents de l'Isac a commencé à disséquer le plateau. La morphologie de l'ensemble permet de distinguer plusieurs terroirs. Le sommet du plateau et la partie sud de la commune présentent des sols argileux épais alors que les coteaux intermédiaires se caractérisent par des sols minces et bien égouttés avec un intérêt agronomique indéniable. À noter : Présence d'un gisement intéressant d'argiles gonflantes de type attapulgite au sud-est du bourg.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 738 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Blain à 12 km à vol d'oiseau[4], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 837,6 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Puceul est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (98,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (67,7 %), zones agricoles hétérogènes (12,5 %), prairies (11,7 %), forêts (4,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,5 %), zones urbanisées (1,5 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Puceul s'appelait Puceol en 1243[14]; ce nom viendrait du latin Puteus : « puits », avec le suffixe diminutif -eolum : « petit-puits », soit Puteolum et par suite Puceolum [15].

Le puits fait référence à la fontaine Saint-Clair, lieu d'un culte druidique[16], ainsi nommée en relation avec Saint Clair, évêque de Nantes au IIIe siècle, de passage sur les lieux selon la tradition.

Puceul possède un nom en gallo, la langue d'oïl locale : Puczoe selon l'écriture ELG[17], ou Puçeu ou Piçeu selon l'écriture MOGA, deux graphies qui reflètent les variations de prononciation relevées : [pysœ] ou [pisœ][18].

En breton, son nom est Puñsel[14].

Histoire[modifier | modifier le code]

Période antique[modifier | modifier le code]

Même si la première mention écrite de Puceul remonte seulement au XIIIe siècle, Puceol dans un écrit de 1243[19], le territoire de la commune est occupé dès l'Antiquité, comme en témoigne le passage d'une voie romaine, attestée au XIXe siècle, dont il ne reste aujourd'hui plus de traces, appelée localement « Levée de Saumur »[20].

L'archéologue Louis Bizeul a pu, vers 1836, en mesurer sa largeur dans une commune voisine : elle atteignait pas moins de 20 m avec les accotements, à l'image d'une voie impériale[21]. Une portion de cette voie Vannes-Blain-Angers, véritable « autoroute » de l'époque, a été fouillée par les archéologues dans la région d'Allaire[22] (Morbihan).

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Mairie de Puceul.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1995 ? Prosper Saffre    
mars 2001 mars 2008 Raphaël Lebreton    
mars 2008 En cours Claire Theveniau[Note 3] SE mère au foyer, présidente de la Communauté de communes de la région de Nozay (CCRN)
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Selon le classement établi par l'Insee, Puceul fait partie de l'aire urbaine et de la zone d'emploi de Nantes et du bassin de vie de Nozay. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine[23]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 81 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 19 % dans des zones « très peu denses »[24].

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

En 1949, la commune est partiellement démembrée pour permettre la création de La Chevallerais.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].

En 2021, la commune comptait 1 136 habitants[Note 4], en augmentation de 3,46 % par rapport à 2015 (Loire-Atlantique : +6,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3379459761 2901 1391 2001 5551 6021 671
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 8001 7821 8151 7791 7671 8431 8521 7971 857
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 8601 9171 8311 5501 5041 4281 385728666
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
7246856095805996318799781 119
2021 - - - - - - - -
1 136--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 43,0 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 12,8 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 561 hommes pour 579 femmes, soit un taux de 50,79 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,42 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
0,7 
2,1 
75-89 ans
5,2 
9,1 
60-74 ans
8,2 
19,3 
45-59 ans
15,6 
27,3 
30-44 ans
26,3 
11,4 
15-29 ans
15,9 
30,4 
0-14 ans
28,2 
Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2020 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,7 
5,9 
75-89 ans
8,5 
15 
60-74 ans
16,3 
19,5 
45-59 ans
18,9 
20,1 
30-44 ans
19,3 
19,2 
15-29 ans
17,5 
19,8 
0-14 ans
17,8 

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Image panoramique
Le bourg de Puceul à flanc de coteau.
Voir le fichier

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

Église de Puceul.

L'église Saint-Martin, bâtie en 1885, recèle un tabernacle[31], en bois, du XVIIe siècle, restauré en 1955 par Henri Wagner, artiste local, avec une partie centrale très ouvragée, ornée de colonnettes corinthiennes. Deux panneaux, décorés de fruits, de feuilles et d’angelots équilibrent l’ensemble.

Patrimoine architectural du domaine privé[modifier | modifier le code]

Croix de la fontaine Saint-Clair.

Le château de Bohallard, reconstruit vers 1850, est de style « néo-château de la Loire » avec des chaînes d'angle et une partie centrale en tuffeau.

Le manoir de Bohallard, tout proche, est un des plus anciens bâtiments de la commune, il présente une tourelle cylindrique avec un escalier hélicoïdal en schiste.

Le « château des Montmorency » est une maison de caractère du XVIe siècle dans sa partie la plus ancienne ; elle a appartenu aux la Neuville, branche légitimée des Montmorency[32]. Une des fenêtres en schiste porte le blason des Le Sénéchal (3 rangées de macles) alliés aux La Neuville au XVIIIe siècle.

Le manoir de la Savinais était le centre d'une seigneurie autrefois dépendante de la Châtellenie de Nozay, et qui détenait droit de moyenne justice. De l’ancien manoir subsiste une tourelle quadrangulaire du XVIIe siècle.

Le manoir de la Bellière, coiffé d’une imposante toiture, est doté d'une vaste tour quadrangulaire.

Arbre remarquable[modifier | modifier le code]

Le séquoia géant de Puceul se dresse dans le jardin de l’ancien presbytère, juste à côté de l’église qu’il domine de sa hauteur. Il a été planté à la fin du XIXe siècle. C’est l’un des plus gros sujets de Loire-Atlantique, mais pas le plus haut. Sa circonférence à un mètre du sol était de 7,55 mètres en 2014, sa hauteur était de 28 mètres.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
De gueules à la fontaine d'argent, accostée de deux haches antiques adossées d'or, au chef de vair de deux tires.
Commentaires : La fontaine représente la fontaine Saint-Clair, les haches sont de l'époque de bronze. Le chef de vair est celui du roi des Bretons, Alain Ier de Bretagne « le Grand ». Blason conçu par l'héraldiste Michel Pressensé (délibération municipale du ).

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Réélue en 2014 et 2020
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Histoire du Plan routier breton - WikiSara – Wikia « Site ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Puceul et Blain », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Blain », sur la commune de Blain - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Blain », sur la commune de Blain - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a et b Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  15. Ernest Nègre. « Toponymie générale de la France ». Genève, 1990, page 304.
  16. Jean Anne Chalet. « Les Belles Heures du Comté Nantais ». Éditions Serge Godin 2 tomes 1980-1981.
  17. « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
  18. « ChubEndret — Motier d non d'endret », Chubri (consulté le ).
  19. Jean Anne Chalet. « Les Belles Heures du Comté Nantais », 1980-1981, deux tomes.
  20. Pitre de Lisle du Dréneuc. « Dictionnaire Archéologique de la Loire-Inférieure », in Bulletin de la Société Archéologique de Nantes et de la Loire-Inférieure, 1880
  21. Francis Legouais. « Au Pays des Namnètes ». Marcel Buffé éditeur, 1970.
  22. Gabriel Simon. « Une voie romaine en parfait état », in Archéologie, « Le Télégramme », . « Article »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  23. « Commune de Puceul (44138) », Insee (consulté le ).
  24. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Puceul (44138) », (consulté le ).
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
  31. Mobilier classé répertorié dans la base Palissy de la Médiathèque de l'architecture et du Patrimoine « Site ».
  32. Nobiliaire et armorial de Bretagne : (Tome 3) « Site ».