Montpouillan

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Montpouillan
Montpouillan
La mairie (sept 2014).
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Marmande
Intercommunalité Val de Garonne Agglomération
Maire
Mandat
Didier Monpouillan
2020-2026
Code postal 47200
Code commune 47191
Démographie
Gentilé Montpouillanais
Population
municipale
827 hab. (2021 en augmentation de 8,67 % par rapport à 2015)
Densité 69 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 28′ 07″ nord, 0° 06′ 21″ est
Altitude Min. 18 m
Max. 133 m
Superficie 12,07 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Marmande
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Marmande-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Montpouillan
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Montpouillan
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Montpouillan

Montpouillan est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Située dans l'aire d'attraction de Marmande, en haut d'une butte en rive gauche de la Garonne, la commune se trouve à 61 km au nord-ouest d'Agen, chef-lieu du département, à 6,5 km au sud-ouest de Marmande, chef-lieu d'arrondissement et à 9 km au sud-est de Meilhan-sur-Garonne, chef-lieu de canton[1].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Gaujac, Cocumont, Fourques-sur-Garonne, Guérin, Marcellus, Marmande et Samazan.

Communes limitrophes de Montpouillan[2]
Gaujac Marmande
Marcellus Montpouillan Fourques-sur-Garonne
(sur 50 m)
Cocumont Guérin Samazan

Hydrographie[modifier | modifier le code]

L'Avance traverse l'est du territoire communal et le Sérac sert de limite territoriale avec la commune de Marcellus.

Le nord du territoire communal est traversé d'est en ouest par le canal latéral à la Garonne et abrite l'écluse no 45 dite de l'Avance.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 826 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Martin-Curton à 17 km à vol d'oiseau[6], est de 13,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 867,2 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Montpouillan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marmande, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 48 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (57 %), zones agricoles hétérogènes (17,5 %), forêts (16 %), eaux continentales[Note 3] (5,7 %), zones urbanisées (3,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,5 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Montpouillan est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Tonneins et Marmande, regroupant 19 communes concernées par un risque de débordement de la Garonne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[18]. Les événements antérieurs à 2014 les plus significatifs sont les crues de 1770, 1875, 1930 et 1952. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[19]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999, 2009, 2018 et 2021[20],[16].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[21]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[22].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Montpouillan.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[23]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[24].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[16].

Risque technologique[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval des barrages de Grandval dans le Cantal et de Sarrans en Aveyron, des ouvrages de classe A[Note 5]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[26].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La commune tire son nom du terme latin mons signifiant « mont » associé au nom gallo-romain Pulliani ou Pauliani, sans doute propriétaire du lieu au temps de la domination romaine[27].

Le nom gascon en est Montpolhan.

Ses habitants sont appelés les Montpouillanais[28].

Histoire[modifier | modifier le code]

Un ouvrage Montpouillan : 50 ans d'histoire 1920-1970 a été écrit par Roland Gajac, disponible à la Mairie de Montpouillan[29].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La nouvelle mairie (sept. 2014).
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
? ? Roland Gajac    
? juin 1995 Vidalou Jeanty    
juin 1995 En cours André-Didier Monpouillan[30] PCF[31] puis apparenté PCF Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].

En 2021, la commune comptait 827 habitants[Note 6], en augmentation de 8,67 % par rapport à 2015 (Lot-et-Garonne : −0,66 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
634683674723752746791767738
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
773720733701725704658636635
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
587605582506524504521517538
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
570537521605610557611690789
2021 - - - - - - - -
827--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Viticulture : Côtes-du-marmandais.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église paroissiale Saint-Étienne, dite église du Sendex puisque située dans le bourg qui lui a donné son nom et devenu le cœur du village, aurait été reconstruite au XVe ou au XVIe siècle est surmontée d'un clocher-mur bâti au XVIIe siècle ; devenue l'église principale de la commune, elle est entièrement restaurée en 1826 ; l’extérieur en est blanchi en 1923 pour masquer l’appareil de brique[36],[37].
  • L'église paroissiale Saint-Jean, dans l'ouest du territoire communal, citée en 1026 sous le nom de Saint-Jean-de-Launs, aurait été reconstruite au XIIe siècle puis a été agrandie et remaniée entre les XVIe et XVIIIe siècles, délabrée au cours de la Révolution, restaurée au XIXe siècle et finalement abandonnée à la fin du XIXe siècle ; aujourd'hui, il n'en reste que les murs gouttereaux de la nef et le clocher-mur à deux baies[38],[39].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason à dessiner Blason
Parti d'argent et de sinople, à la cotice de sable abaissée à dextre et haussée à senestre brochante; sur le tout, un écu en bannière parti de l'un en l'autre, accompagné de six oiseaux de sable ordonnés en orle et en pointe d'un casque du même taré de profil orné d'argent et surchargé d'un gantelet du même posé en pal sur le col, le tout brochant; sur le tout du tout, un lion de sable, armé et lampassé de gueules, brochant[40].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Jean Lepargneur, Les églises Saint-Jean et Saint-Étienne de Montpouillan, p. 1-11, Revue de l'Agenais, 1925, tome 52 (lire en ligne)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[25].
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 50,1 km pour Agen, 5,7 km pour Marmande et 8,2 km pour Meilhan-sur-Garonne. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 19 septembre 2014.
  2. Carte IGN sous Géoportail
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Montpouillan et Saint-Martin-Curton », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Saint-Martin-Curto » (commune de Saint-Martin-Curton) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Saint-Martin-Curto » (commune de Saint-Martin-Curton) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Montpouillan », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Cartographie des risques d'inondations du TRI de Tonneins et Marmande », sur nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  22. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Montpouillan », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  24. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  25. Article R214-112 du code de l’environnement
  26. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  27. Montpouillan sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 19 septembre 2014.
  28. Nom des habitants des communes françaises sur habitants.fr, consulté le 8 août 2011.
  29. Roland Gajac, Montpouillan : 50 ans d'histoire 1920-1970., Montpouillan, Mairie de Montpouillan, , 50 p..
  30. Montpouillan sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 8 août 2011.
  31. https://www.sudouest.fr/2016/02/22/la-poule-aux-oeufs-d-or-2280420-3755.php
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Église paroissiale Saint-Étienne dite église du Sendex sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 19 septembre 2014.
  37. « L'église Saint-Étienne sur l'inventaire général du patrimoine culturel », notice no IA00062306, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 19 septembre 2014.
  38. Église paroissiale Saint-Jean sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 19 septembre 2014.
  39. « L'église Saint-Jean sur l'inventaire général du patrimoine culturel », notice no IA00062245, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 19 septembre 2014.
  40. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).