Gontaud-de-Nogaret

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Gontaud-de-Nogaret
Gontaud-de-Nogaret
Une maison de Gontaud.
Blason de Gontaud-de-Nogaret
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Marmande
Intercommunalité Val de Garonne Agglomération
Maire
Mandat
Christian Jambon
2020-2026
Code postal 47400
Code commune 47110
Démographie
Population
municipale
1 625 hab. (2021 en diminution de 3,1 % par rapport à 2015)
Densité 55 hab./km2
Population
agglomération
3 664 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 44° 27′ 25″ nord, 0° 17′ 44″ est
Altitude 45 m
Min. 26 m
Max. 132 m
Superficie 29,51 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Gontaud-de-Nogaret
(ville-centre)
Aire d'attraction Marmande
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Marmande-2
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Gontaud-de-Nogaret
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Gontaud-de-Nogaret

Gontaud-de-Nogaret (Gontaut en gascon, prononcé Gountàwt lou Nougarétt ) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune située sur l'ancienne route nationale 641 entre Puymiclan et Fauillet, et sur ligne Bordeaux-Saint-Jean - Sète-Ville accès gare de Gontaud-Fauguerolles (désormais inactive).

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Agmé, Birac-sur-Trec, Fauguerolles, Fauillet, Hautesvignes, Longueville, Puymiclan et Varès.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 763 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Verteuil-d'Agenais à 10 km à vol d'oiseau[5], est de 13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 821,3 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Gontaud-de-Nogaret est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Gontaud-de-Nogaret, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[12] et 3 664 habitants en 2021, dont elle est ville-centre[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marmande, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 48 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (93,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,5 %), zones agricoles hétérogènes (10,7 %), prairies (4,4 %), zones urbanisées (4,3 %), forêts (4,1 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Gontaud-de-Nogaret est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à  débordement lent de cours d'eau, notamment la Canaule. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[20],[18].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[21].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Gontaud-de-Nogaret.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[22]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[23].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2005 et 2009 et par des mouvements de terrain en 1999[18].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme Nogaret (en occitan moderne, nogaret signifie « noiseraie ») renvoie soit à un noyer, arbre distinctif d'une ferme ou d'un lieu, soit à la noiseraie, productrice d'huile[24].

Histoire[modifier | modifier le code]

D'après la Chanson de la Croisade contre les Albigeois, la ville est détruite par le feu en 1209, ce qui explique que l'église Notre-Dame a dû être presque entièrement reconstruite après cette guerre.

D'après un document du /1253, le feu prend dans les cornières de Gontaud et huit maisons sont détruites par les flammes[25]

À la fin de la guerre de Cent Ans, Gontaud était partagé entre plusieurs co-seigneurs (dont les Gontaut, parmi bien d'autres). Jean de Melet, écuyer, rendit hommage au roi le pour sa part et portion de la seigneurie de Gontaut, mouvant du duché de Guienne (BNF, Fonds Périgord, tome 11, cote 257).

Le , la ville est prise par l'armée royale commandée par le maréchal de Gontaud. Elle est mise à sac sauf la maison de Cancon (château actuel, du nom de deux des familles seigneuriales, les Verdun puis leurs héritiers Montferrand de Cancon) et la population massacrée[26].

Un incendie, le , a détruit tout un quartier de la ville.

Réunion des communes de Gontaud et de Saint-Pierre-de-Nogaret en 1965.

Le château de Gontaud-de-Nogaret[modifier | modifier le code]

Château de Gontaud-de-Nogaret.
Le corps de logis est couvert de chaume.

Un document daté de 1473, après la fin de la guerre de Cent Ans, dit au sujet de Gontaud : « il n’y avait point alors ni château, ni maison pour le seigneur ». Puis on apprend dans le « Nobiliaire de Guyenne et Gascogne » en date du que l’écuyer Jean de Melet s’est vu accorder par le roi Charles VII la faculté de racheter le « Castel et seigneurie de Gontaud » qui avaient été vendus pour 2 500 livres à Catherine d’Anglade et son fils Jean de Verdun.

C’est donc entre 1473 et 1495 que fut construit cet édifice. Pendant les guerres de religion, le , le maréchal Armand de Gontaud, baron de Biron, à la tête de l’armée catholique, attaque Gontaud qui est aux mains des protestants. Le château sera la seule maison épargnée par ce pillage et l’incendie du village. En effet, il appartient alors à un noble catholique : Jean de Montferrand, baron de Cancon, héritier des Verdun. Le lendemain, le château sera occupé par les soldats catholiques.

Pendant les troubles de la Fronde, le , Gontaud sera à nouveau assiégé et pillé par deux régiments de cavalerie et d’infanterie du marquis de Biron. Là encore, le château du seigneur de Montferrand sera épargné par l’armée de Condé mais pour payer cette grâce le comptable de la communauté devra donner aux assiégeants 20 boisseaux d’Avoine et neuf d’orge.

Après les Montferrand, c’est la famille Luppe d’Arblade qui possédera le château en 1661 puis Timothée de Bacalan en 1694 qui y fera effectuer les premières réparations connues. Puis ce sera messire Jean Pellet.

Le , les biens de la famille Pellet seront saisis et le château de Gontaud sera adjugé aux enchères publiques à la citoyenne Marguerite Degalz, veuve Martineau. Le château restera la propriété de la famille Martineau jusqu’au , date à laquelle il sera vendu à monsieur Armand de Gontaud-Biron, marquis de Gontaud et de Saint-Blancard.

Mais le château manque alors cruellement d’entretien et le la petite tour du côté nord s’écroule sur la rue, entraînant avec elle la moitié du corps de logis.

À partir de 1955 de nombreux propriétaires se sont succédé sans engager de grands travaux. Un travail de restauration des parties existantes a été entrepris depuis 1997 par de nouveaux propriétaires. Depuis mi-2007, la moitié du corps de logis, écroulée en 1949, a été reconstruite par des entreprises locales.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
février 1986 mars 2001 Gilberte Larrieu[27] UDF Conseillère générale du canton de Marmande-Est (1985-2004)
mars 2001 mai 2020 Thierry Constans SE Vice Président Val de Garonne Agglomération 2008-2020; juge consulaire 1997-2008
mai 2020 En cours Christian Jambon SE  
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Drapeau de la France Bantzenheim (France) depuis 1974

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].

En 2021, la commune comptait 1 625 habitants[Note 4], en diminution de 3,1 % par rapport à 2015 (Lot-et-Garonne : −0,66 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 4161 0171 5101 1841 2681 3241 3571 3701 363
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4141 3851 4541 3791 4001 3171 2471 2571 186
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1281 1431 068926953926943913944
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
9611 5501 4881 5171 5181 5371 5651 5811 634
2015 2020 2021 - - - - - -
1 6771 6301 625------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Vie locale[modifier | modifier le code]

  • Distributeur de billets;
  • Bureau de poste;
  • Tous commerces: épicerie, boucherie-charcuterie, boulangerie-pâtisserie;
  • Bureau de tabac-presse, salon de coiffure, garages automobiles, agricoles et jardinage;
  • Quincaillerie, droguerie;
  • Cabinet médical;
  • cabinet paramédicaux: kinésithérapeutique, infirmier (2), podologue;
  • activités paramédicales douces: kinésiologue, réflexologue, Sophrologue;
  • Pharmacie;
  • Relais d'Assistance Maternelle Intercommunal, crèche familiale, MAM;
  • Marché le mercredi matin sous la halle (activité momentanément suspendue);
  • Marchés fermiers nocturnes et gustatifs en juillet et août;

Enseignement[modifier | modifier le code]

  • École Maternelle : 3 classes et 80 enfants environ;
  • École Primaire : 5 classes et 120 enfants environ;

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Banderole annonçant la fête médiévale en 2011 sur l'une des maisons du village.
  • Fête de la musique;
  • Concerts musicaux de printemps dans l'espace de verdure de la mairie et d'automne en l'église classée Notre-Dame-de-Gontaud ;
  • Journées du moulin de Gibra;
  • Messe un dimanche sur deux
  • Bibliothèque municipale.

Sports et loisirs[modifier | modifier le code]

Associations sportives: foot, basket, vtt, cyclo, trail, tennis, gym pour tous âges, yoga, billard,

Économie[modifier | modifier le code]

Cette commune à vocation agricole compte soixante-trois fermes.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Gontaud-de-Nogaret Blason
Écartelé d’or et de gueules[35].
Détails
Ces armoiries sont celle des Gontaut-Biron
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Gontaud-de-Nogaret et Verteuil-d'Agenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Verteuil » (commune de Verteuil-d'Agenais) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Verteuil » (commune de Verteuil-d'Agenais) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Gontaud-de-Nogaret », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Gontaud-de-Nogaret », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  24. Jacques Astor, Dictionnaire des noms de familles et des noms de lieux du Midi de la France, Éditions du Beffroi, 2002, pp. 549-550 (rubrique « Nougaret »).
  25. Note : Voir notes dans l'article de Philippe Tamizey de Larroque sur la prise de Gontaud en 1580.
  26. Philippe Tamizey de Larroque, Le maréchal de Biron et la prise de Gontaud en 1580, p. 485-495, Revue de l'Agenais, 1896, tome 23 (lire en ligne), p. 5-13, Revue de l'Agenais, 1897, tome 24 (lire en ligne)
  27. http://www.francegenweb.org/mairesgenweb/resultcommune.php?id=8207 sur le site MairesGenWeb
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. « Eglise Notre-Dame », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  33. « Eglise paroissiale Saint-Pierre-de-Gajac dite Eglise Saint-Pierre le Vieux », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  34. « Eglise paroissiale Saint-Symphorien dite église Saint-Siforin de Leu », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  35. Armorial de France