Seyches

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Seyches
Seyches
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Marmande
Intercommunalité Val de Garonne Agglomération
Maire
Mandat
Emmanuel Vigo
2021-2026
Code postal 47350
Code commune 47301
Démographie
Gentilé Seychois
Population
municipale
1 053 hab. (2021 en augmentation de 3,64 % par rapport à 2015)
Densité 43 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 33′ 02″ nord, 0° 18′ 21″ est
Altitude Min. 46 m
Max. 133 m
Superficie 24,69 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Marmande
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Coteaux de Guyenne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Seyches
Liens
Site web https://www.mairie-seyches.fr

Seyches est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune située sur la route nationale 133 entre Bergerac et Marmande.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Peyrière, Escassefort, Lachapelle, Miramont-de-Guyenne, Montignac-Toupinerie, Puymiclan et Virazeil.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 770 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Verteuil-d'Agenais à 13 km à vol d'oiseau[5], est de 13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 821,3 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Seyches est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marmande, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 48 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (87,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (86,1 %), forêts (9,6 %), zones urbanisées (2,5 %), zones agricoles hétérogènes (1,8 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Seyches est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le Trec de la Greffière et le Manet. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2009[17],[15].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[18].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Seyches.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[19]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[20].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la commune viendrait d’un patronyme gallo-romain Seppius ou, à la suite d'invasions de tribus barbares, de celui d'une colonie de ces dernières qui s'était établie dans la région[21].

Histoire[modifier | modifier le code]

À l'époque gallo-romaine, des thermes se trouvaient à l'emplacement d'une source aujourd'hui tarie ou détournée. La source était située au lieu-dit « Aigua Cauda » (eau chaude) dans un pré de la propriété de « Soumaille ». Cette source, venue d'Auvergne, était connue à Rome. Elle guérissait (toutes) les maladies. Un notable romain venu s'y soigner, guérit et décida de créer des thermes en ce lieu. Un parchemin a été retrouvé, attestant la guérison d'une personne venue faire une cure mais aujourd'hui même les thermes n'existent plus.

Ainsi que la plupart des villes et villages de la région, Seyches fut longtemps sous la dépendance du roi d'Angleterre, duc d'Aquitaine, depuis le remariage d'Aliénor d'Aquitaine avec Henri II Plantagenêt.

La commune fut desservie par le chemin de fer (ligne de Magnac - Touvre à Marmande) de 1886 à 1953.
ON voit ici la gare, photographiée vers 1903.

Seyches, se tourne aujourd'hui résolument vers l'avenir et le tourisme. Une école maternelle a été créée dans l'ancienne gare qui desservait autrefois la ligne Marmande-Bergerac. Le style a été conservé. La halle du marché (ancien marché aux veaux) a été restaurée et accueille les marchés aux fruits, légumes, fleurs, vêtements, chaises, fromages, volailles, poissons... le vendredi matin. Comme on le verra plus loin, Seyches occupe dans la Communauté de Communes, une place majeure en ce qui concerne la diversité des commerces, artisans, professions libérales, services publics et associations de toutes sortes.[non pertinent]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Lors des élections municipales de 2014 en Lot-et-Garonne, la liste DVG menée par le maire sortant Serge Cadret était la seule candidate et a donc été élue en totalité, lors d'un scrutin marqué par 32,10 % d'abstention[22]

Lors du premier tour des élections municipales de 2020 en Lot-et-Garonne, la liste menée par le maire sortant Serge Cadret[23] obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 259 voix (58,47 %), devançant largement celle menée par André Coriou[24], qui a obtenu 184 voix (41,53 %), lors d'un scrutin marqué par un taux d'abstention de 41,61 % dans un contexte marquié par la Pandémie de Covid-19 en France[25]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1983 1985 Claude Garry    
1985 décembre 1997 Jacques Constant   Démissionnaire
décembre 1997 août 2011[26] Jean-François Boufferon UMP Négociant en grains
Démissionnaire
30 septembre 2011 décembre 2020[27] Serge Cadret DVG Responsable voirie de Val de Garonne Agglomération
Décédé en fonction
janvier 2021[28] En cours
(au 6 janvier 2021)
Emmanuel Vigo    

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants sont appelés les Seychois[29]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].

En 2021, la commune comptait 1 053 habitants[Note 4], en augmentation de 3,64 % par rapport à 2015 (Lot-et-Garonne : −0,66 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3051 1951 3281 5021 4321 3841 3281 4551 362
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4291 3971 3811 3781 3481 3251 2691 1621 084
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1001 0981 0928879529549499821 025
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 0151 0239539901 0218699659891 002
2018 2021 - - - - - - -
1 0521 053-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église du Martyre-de-Saint-Jean-Baptiste a été inscrite au titre des monuments historiques en 1998[34],[35].
  • Église Saint-Laurent de Seyches.
  • La porte de ville fortifiée : des quatre portes qui permettaient l'accès à l'intérieur du village, ne subsiste que celle attenante à l'église, route de Lévignac-de-Guyenne, qui a été transformée en clocher au XVIIe siècle[36] ; une deuxième porte sans doute située vers le pont du Stade fut détruite par une crue du Trec ; une troisième était située derrière la mairie, route de Marmande ; quant à la quatrième, aucune trace n'en a été retrouvée mais devait se situer vers la route de Miramont-de-Guyenne.
  • Le monument aux morts, placé devant une des arcades vitrée de l'hôtel de ville, est particulièrement imposant et remarquable.
  • L'ancien château : berceau de grandes familles comme au XIIe siècle, les Rudel et les d'Albret. Au XIVe siècle, les Ferrand, seigneurs de Mauvezin. Au XVIe siècle, les Lafargue, seigneurs de Lacassagne, près d'Agen (Boé), et les Ségur, barons de Pardaillan. Ces derniers étaient protestants et participèrent aux guerres de religion. L'important château qui se dressait dans le village, à l'emplacement de celui existant de nos jours, fut détruit par Blaise de Montluc.
  • La place du village était un ancien cimetière où furent enterrés de grands seigneurs dont le comte de Villepreux. Quelques souterrains, non encore explorés, existeraient sous certaines parties du village.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Seyches et Verteuil-d'Agenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Verteuil » (commune de Verteuil-d'Agenais) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Verteuil » (commune de Verteuil-d'Agenais) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Seyches », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  21. Seyches sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 13 juin 2015.
  22. Résultats officiels pour la commune Seyches
  23. Patricia Paties-Cassol, « Serge Cadret repart », Sud-Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. « Seyches. Elections municipales : Alain Boutelier et André Coriou entrent en lice : L'actuel premier adjoint au maire et le président du comité de jumelage se lancent dans la campagne pour mars 2020 », Le Républicain Lot-et-Garonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. « Seyches 47350 », Résultats aux municipales 2020, sur lemonde.fr (consulté le ).
  26. E. P., « Le maire démissionne », Sud-Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ) « La démission de Jean-François Boufferon intervient donc 14 ans après son élection, en 1997. À l’époque âgé de 55 ans et négociant en grain, il succédait à Jacques Constant, lui-même obligé de démissionner pour des raisons de santé (il avait été élu en 1985) ».
  27. « Lot-et-Garonne. Le maire de Seyches, Serge Cadret, est décédé subitement : Le maire de Seyches, Serge Cadret, est décédé ce samedi 26 décembre 2020. Il avait été réélu en mars dernier », Le Républicain Lot-et-Garonne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Élu conseiller municipal depuis 1995 et premier magistrat depuis 2011 (à la suite de la démission de Jean-François Boufferon) ».
  28. Patricia Paties-Cassol, « Seyches : Emmanuel Vigo est le nouveau maire : Il succède donc à Serge Cadret, décédé le 26 décembre », Sud-Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. Nom des habitants de la commune sur le site Habitants.fr, consulté le 13 juin 2015.
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. « Notice MH de l'église Saint-Jean-Baptiste », notice no PA47000037, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. L'église Saint-Jean-Baptiste sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 13 juin 2015.
  36. La porte de ville fortifiée sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 13 juin 2015.