Lublé

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Lublé
Lublé
De gauche à droite et de haut en bas, la mairie et les tours de l'Hôpital, le lavoir et le plan d'eau.
Blason de Lublé
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre-et-Loire
Arrondissement Chinon
Intercommunalité Communauté de communes Touraine Ouest Val de Loire
Maire
Mandat
Daniel Meunier
2020-2026
Code postal 37330
Code commune 37137
Démographie
Gentilé Lubléens, Lubléennes
Population
municipale
139 hab. (2021 en diminution de 4,79 % par rapport à 2015)
Densité 11 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 30′ 53″ nord, 0° 14′ 56″ est
Altitude Min. 57 m m
Max. 118 m m
Superficie 12,60 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Tours
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Langeais
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Lublé
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Lublé
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Lublé

Lublé est une commune française située dans le département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune de Lublé est située dans le nord-ouest du département d'Indre-et-Loire près du département de Maine-et-Loire, entre Château-la-Vallière et Noyant.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique de Lublé.

Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 10,99 km, comprend un cours d'eau notable, la Maulne (2,772 km), et quatre petits cours d'eau pour certains temporaires[1],[2].

La Maulne, d'une longueur totale de 28,7 km, prend sa source au nord de Courcelles-de-Touraine et se jette dans le Loir à La Chapelle-aux-Choux, après avoir traversé 10 communes[3]. Sur le plan piscicole, la Maulne est classée en première catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de salmonidés (truite, omble chevalier, ombre commun, huchon)[4].

Quatre zones humides[Note 1] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la vallée de la Maulne du Moulin aux Moines à Marcilly-sur-Maulne », « la vallée de la Maulne du Tertre aux Cartes », « la vallée du Ruisseau de Lin » et « les étangs de la Fontaine du Gros Puits »[5],[6].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 703 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Channay-sur-Lathan à 4 km à vol d'oiseau[9], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 708,7 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Lublé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[13],[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (68,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (38,8 %), forêts (29,9 %), prairies (15,2 %), zones agricoles hétérogènes (14,7 %), zones urbanisées (1,3 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Lublé est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible)[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans le massif de Bourgueil, est classée au niveau de risque 1, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[21].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lublé.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 99 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 99 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[23].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[19].

Toponymie[modifier | modifier le code]

L' étymologie de son nom (Lubleins ou Lubli dans une charte de 1242[24]) est probablement basée sur l'anthroponyme romain Lupillus[25].

Histoire[modifier | modifier le code]

La terre du Tanchet, à gauche de la route, évoque la présence d'un village antique et notamment une villa romaine. Des vestiges à fleur de terre, mis au jour à chaque labour. « Autrefois, les paysans cassaient le soc de leur charrue sur des objets mal identifiés. »

À Lublé, les tuiles gallo-romaines affleurent mais aussi des plaques de marbre, des clous forgés, voire des fibules. « La découverte de tessons de poteries sigillées a permis de dater le site avec plus de précision. Cette production étant caractéristique du Ier siècle de notre ère. »

Au Moyen Âge et sous l'Ancien Régime, la paroisse faisait partie de l'Anjou et dépendait de la sénéchaussée angevine de Baugé. Aujourd'hui elle est située dans la Touraine angevine.

Lublé, qui s'étend sur 1260 ha, est la moins peuplée des communes du canton de Château-la-Vallière (126 habitants en 1999). Elle est mentionnée en 1242 sous la forme Lubli. Certains fiefs de la paroisse relevaient de Marcilly, du Plessis le Vicomte (Meigné), de Ramefort (Blou), de Rillé ou de l'abbaye de Bourgueil.

Mais le château de la Cour de Lublé dépendait de Châteaux (la Vallière) et de Vaujours. Il fut acheté avec ses fermes et ses terres en 1681 par Louise de la Vallière qui y installa l'hôpital de son duché. Cet hôpital transféré à Château-la-Vallière en 1783 est devenu l'actuelle Maison de retraite. Le château fut démoli en 1831 malgré l'opposition des habitants. Ses matériaux servirent à la construction de deux fermes : La Baugellerie et la Basse Cour.

Un autre fief, nommé Launay ou Launoy, encore Launay-Trousseau, appartenait aux Trousseau, famille tourangelle qui acquit aussi Chasteaux, St-Christophe et Vaujours sur les Parthenay, seigneuries passées ensuite à leurs descendants de Bueil qui les vendirent en 1666 à Louis XIV pour former en mai 1667 le duché dévolu à sa maîtresse, ladite Louise de la Vallière. Les Trousseau de Touraine avaient aussi Véretz[26] , qui passa à leurs descendants d'Avoir puis Bueil, puis cette terre connut un autre sort que celles qu'on vient d'évoquer car elle échut par mariage aux L'Ile-Bouchard suivis des La Trémoïlle[27] ; et ils furent aussi brièvement vicomtes de Bruniquel.

La partie ouest de la commune repose sur l'ancienne mer des faluns.

On peut voir sous ce lien le plan cadastral napoléonien. On notera l'absence de la D66 et de la ligne de chemin de fer qui ne sera construite qu'en 1885.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie de Lublé publie un bulletin annuel téléchargeable à cette adresse: https://app.box.com/bulletinsdeluble

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1971 Maurice Vigné    
1971 2010 André Morne    
2010 2011 Françoise Brunet   décédée en 2011
mai 2011 2016 Martine Bach   démission fin 2016
mars 2017 En cours Daniel Meunier    

Population et société[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].

En 2021, la commune comptait 139 habitants[Note 4], en diminution de 4,79 % par rapport à 2015 (Indre-et-Loire : +1,19 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
355370310332314312300273262
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
280265260246232227253296302
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
300286280298292298284250224
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
194204204163124125133134142
2017 2021 - - - - - - -
144139-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La place Saint martin avec l'église et la halle

L'église dédiée à Saint-Martin-de-Vertou est un témoin intéressant de l'architecture du XIe siècle avec sa charpente refaite en 1710. Elle a été inscrite à l'Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques le .

Elle conserve un retable du XVIIIe siècle avec trois statues: un Saint Martin, un Saint Roch avec son chien et une Vierge à l'enfant.

Deux statues du XVe siècle (un Saint Jean l'Evangéliste et une Vierge), d'une facture assez fruste, sont cependant classées.

Le jeu de boules place Saint Martin

Le clocher, qui avait été déstabilisé lors de la tempête de 1999, a été restauré en 2005.

Autour de l'église, était un ancien cimetière qui a été relevé par des prisonniers allemands après la seconde guerre mondiale.

Place Saint martin (à côté de l'église), un ancien bâtiment avicole, racheté par la commune, a été converti en jeu de boules de fort pour le plus grand plaisir des passionnés de ce jeu de boules traditionnel de Val de Loire.

En face, de l'autre côté de la rue des érables, un square avec jeux pour enfants.

Dans la partie ouest de la commune, se situe un plan d'eau avec aire de pique-nique.

le lavoir du ruisseau du Gros Puits

A l'entrée du plan d'eau, situé sur le ruisseau du Gros Puits, un vieux lavoir muni d'une cheminée restauré en 1989 ——►

La gare en activité vers 1960

Dans sa partie nord, la commune est traversée par la ligne de chemin de fer Paris-Bordeaux (par Château-du-Loir et Saumur) construite en 1885 et désaffectée depuis 1970, avec une ancienne gare en pierres de taille (devenue habitation privée) sise au passage à niveau de la D66 (Le Tanchet, anciennement l'Étanchet) et deux ponts enjambant des chemins ruraux.

À la sortie sud de la commune, sur la route de Saint-Laurent-de-Lin, se situe Le Calvaire de la Croix Mousseau.

Érigé aux environs de 1850, il est constitué d’un socle de pierres, qui au vu de sa taille a dû servir de reposoir lors de processions, d’une croix en bois et d’un Christ en fonte moulée de la fonderie d’art du Château de Pocé-sur-Cisse (près d’Amboise).

Abattu en 1979 par une tornade, il a été restauré en 1996 sous l’égide du Conseil municipal de l’époque grâce à une subvention du Conseil Général et l’aimable concours d’artisans locaux.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Lublé Blason
De sinople aux trois monuments du lieu d'argent, l'hôpital à dextre, l'église à senestre et le moulin à vent en pointe, accompagnés en chef d'une coquille d'or ; au chef cousu d'azur chargé d'un dauphin couché contourné d'argent.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
  2. « Carte hydrologique de Lublé », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Fiche Sandre - la Maulne », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
  4. (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  5. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur terresdeloire.net (consulté le ).
  6. « L'inventaire départemental des zones humides », sur indre-et-loire.gouv.fr, (consulté le ).
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  9. « Orthodromie entre Lublé et Channay-sur-Lathan », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Channay-sur-Lathan », sur la commune de Channay-sur-Lathan - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Station Météo-France « Channay-sur-Lathan », sur la commune de Channay-sur-Lathan - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  13. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Lublé », sur Géorisques (consulté le ).
  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  21. « Atlas du risque de feux de forêt en Centre – Val de Loire », sur centre-val-de-loire.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le ).
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  24. Jacques-Xavier Carré de Busserolle, Dictionnaire géographique, historique et biographique d'Indre-et-Loire et de l'ancienne province de Touraine, t. IV, Société archéologique de Touraine, , 430 p. (lire en ligne), p. 119.
  25. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 193), , 1869 p. (ISBN 978-2-600-02884-4, lire en ligne).
  26. Voir à l'article Véretz des précisions généalogiques et historiques sur les Trousseau de Touraine et d'Anjou (avec la référence Carré de Busserolle : Dictionnaire d'Indre-et-Loire et de Touraine, t. VI), aussi à l'article Vaujours. Compléter par l'historien R. C. Famiglietti, le rénovateur de la généalogie des Bueil, abondamment cité et référencé à cet article (auteur des Recherches sur la Maison de Bueil, Picardy Press, Providence (Rhode Island), 2018 : p. 17 et 23 notamment). Armes : De gueules à la bande de vair : cf. La Chesnaye des Bois, Dictionnaire généalogique, héraldique, historique et chronologique, t. VI, chez Duchesne, à Paris, 1761 : Trousseau, p. 507.
  27. La généalogie des Trousseau de Touraine est précisée à l'article Véretz, avec pour sources le Dictionnaire d'Indre-et-Loire et de Touraine de Carré de Busserolle, et l'ouvrage de R. C. Famiglietti (Recherches sur la Maison de Bueil, 2018).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.