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Lissac (Ariège)

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Lissac
Lissac (Ariège)
Église Saint-Jean.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Ariège
Arrondissement Pamiers
Intercommunalité Communauté de communes des Portes d'Ariège Pyrénées
Maire
Mandat
Monique Dupré-Godfrey
2020-2026
Code postal 09700
Code commune 09170
Démographie
Gentilé Lissacois
Population
municipale
245 hab. (2021 en augmentation de 4,7 % par rapport à 2015)
Densité 65 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 16′ 13″ nord, 1° 30′ 43″ est
Altitude 278 m
Min. 212 m
Max. 334 m
Superficie 3,77 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Portes d'Ariège
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Lissac
Géolocalisation sur la carte : France
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Lissac
Géolocalisation sur la carte : Ariège
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Lissac
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Lissac

Lissac est une commune française, située dans le département de l'Ariège en région Occitanie.

Ses habitants sont appelés les Lissacois.

Géographie

Localisation

Carte

La commune de Lissac se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 35 km à vol d'oiseau de Foix[1], préfecture du département, à 19 km de Pamiers[2], sous-préfecture, et à 6 km de Saverdun[3], bureau centralisateur du canton des Portes d'Ariège dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saverdun[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Labatut (1,0 km), Saint-Quirc (1,0 km), Canté (2,3 km), Gaillac-Toulza (3,7 km), Caujac (4,8 km), Cintegabelle (5,1 km), Marliac (5,5 km), Saverdun (6,4 km).

Sur le plan historique et culturel, Lissac fait partie du pays de l'Aguanaguès ou plaine d'Ariège, parfois appelé basse Ariège, ou piémont ariégeois. Ce pays, dont l'origine remonte probablement à l'époque carolingienne s'applique à la plaine de Pamiers et, par extension, à celle de Saverdun[5].

Lissac est limitrophe de quatre autres communes dont deux dans le département de la Haute-Garonne.

Carte de la commune de Lissac et de ses proches communes.

Commune de l'aire urbaine de Toulouse située dans le Nord du département de l'Ariège, Lissac est limitrophe du département de la Haute-Garonne. Elle est distante d'une quarantaine de kilomètres de Toulouse et d'environ le double de la frontière espagnole.

Hydrographie

Carte en couleur présentant les réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Lissac.

La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Jade, L'Aure de Canté, le ruisseau de la Palanquelle et par deux petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[8],[9].

La Jade, d'une longueur totale de 15,2 km, prend sa source dans la commune de Justiniac et s'écoule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans l'Ariège à Cintegabelle, après avoir traversé 9 communes[10].

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[12]. À l'est du département, l’influence méditerranéenne accentue les contrastes saisonniers, le climat y est plus sec[13].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[11].

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

  • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,9 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,7 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 753 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,5 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,7 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[15] complétée par des études régionales[16],[17] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Ybars », sur la commune de Saint-Ybars, mise en service en 1987[18] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[19],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 790,3 mm pour la période 1981-2010[20]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Toulouse-Francazal », sur la commune de Cugnaux, dans le département de la Haute-Garonne, mise en service en 1922 et à 33 km[21], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[22], à 14,1 °C pour 1981-2010[23], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[24].

Milieux naturels et biodiversité

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[25],[26],[27].

Urbanisme

Typologie

Lissac est une commune rurale[Note 5],[28]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 2],[29].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 3],[I 4].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (35,9 %), terres arables (35,1 %), forêts (20,3 %), zones agricoles hétérogènes (8,7 %)[30].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports

La commune est desservie par le réseau Arc-en-ciel et la route départementale D 27 qui relie Saverdun à Caujac.

Toponymie

Géologie

La superficie de la commune est de 377 hectares ; son altitude varie de 212 à 334 mètres[31].

Histoire

Politique et administration

Découpage territorial

La commune de Lissac est membre de la communauté de communes des Portes d'Ariège Pyrénées[I 5], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Pamiers. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[32].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Pamiers, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 5].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton des Portes d'Ariège pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 5], et de la deuxième circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[33].

Administration municipale

Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[34],[35].

Tendances politiques et résultats

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2014 En cours Monique Dupré-Godfrey    
mars 2008 2014 Rémi Gemignani    
mars 2001 2008 Clément Castex    
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[37].

En 2021, la commune comptait 245 habitants[Note 7], en augmentation de 4,7 % par rapport à 2015 (Ariège : +1,38 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
300276322309374402410403377
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
353368333345333316286270288
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
268246243218217207195181189
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
214187199136164176202208245
2021 - - - - - - - -
245--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[40] 1975[40] 1982[40] 1990[40] 1999[40] 2006[41] 2009[42] 2013[43]
Rang de la commune dans le département 98 125 148 153 144 130 135 133
Nombre de communes du département 340 328 330 332 332 332 332 332

Enseignement

Lissac fait partie de l'académie de Toulouse.

Culture et festivité

Activités sportives

Pétanque, randonnée pédestre,

Écologie et recyclage

La collecte et le traitement des déchets des ménagés et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre du SMECTOM du Plantaurel[44],[45].

Économie

Revenus

En 2018, la commune compte 89 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 217 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 480 [I 6] (19 820  dans le département[I 7]).

Emploi

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 8] 5,3 % 8,2 % 13,1 %
Département[I 9] 8,9 % 11,1 % 11,2 %
France entière[I 10] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 148 personnes, parmi lesquelles on compte 80,7 % d'actifs (67,6 % ayant un emploi et 13,1 % de chômeurs) et 19,3 % d'inactifs[Note 9],[I 8]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 11]. Elle compte 15 emplois en 2018, contre 20 en 2013 et 21 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 101, soit un indicateur de concentration d'emploi de 15,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 63,4 %[I 12].

Sur ces 101 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 14 travaillent dans la commune, soit 14 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 89,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5,1 % les transports en commun, 4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].

Activités hors agriculture

5 établissements[Note 10] sont implantés à Lissac au [I 15]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 80 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 5 entreprises implantées à Lissac), contre 14,2 % au niveau départemental[I 16].

Agriculture

1988 2000 2010
Exploitations 9 6 4
Superficie agricole utilisée (ha) 243 289 91

La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Plaine de l'Ariège »[46]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la production de céréales et oléoprotéagineux[47]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole[Note 12] de 2010 (neuf en 1988). La superficie agricole utilisée est de 91 ha[47].

Culture locale et patrimoine

Lieux et bâtiments

  • L'église Saint-Jean, construite sur les vestiges d'une chapelle du XIe siècle, dont la façade a été entièrement construite en briques rouges.
  • Le château du XVIIe siècle.
  • Le château médiéval, construit sur la colline, dont il ne reste aucun vestige.

Personnalités liées à la commune

Pour approfondir

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Les normales servent à représenter le climat dans lequel nous vivons. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[14].
  3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  11. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[48].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

  1. a b et c « Métadonnées de la commune de Lissac » (consulté le ).
  2. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  5. a b et c « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Lissac » (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Lissac » (consulté le ).
  7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 en Ariège » (consulté le ).
  8. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Lissac » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 en Ariège » (consulté le ).
  10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  12. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Lissac » (consulté le ).
  13. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  14. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Lissac » (consulté le ).
  16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 en Ariège » (consulté le ).

Autres sources

  1. Stephan Georg, « Distance entre Lissac et Foix », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Lissac et Pamiers », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Lissac et Saverdun », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Lissac », sur www.villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 271-272.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
  8. « Fiche communale de Lissac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
  9. « Carte hydrographique de Lissac » sur Géoportail (consulté le 29 octobre 2021).
  10. Sandre, « la Jade »
  11. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  12. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  13. [PDF]« Plan Local d’Urbanisme d’Allières – Rapport de présentation », sur wxs-gpu.mongeoportail.ign.fr, (consulté le ), p. 125
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  23. « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  24. « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  25. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Lissac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  26. « Liste des ZNIEFF de la commune de Lissac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  27. « Liste des espaces protégés sur la commune de Lissac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  28. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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