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Éclans-Nenon

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Éclans-Nenon
Éclans-Nenon
Église Saints-Pierre-et-Paul.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Jura
Arrondissement Dole
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Dole
Maire
Mandat
Gabriel Bremond
2020-2026
Code postal 39700
Code commune 39205
Démographie
Gentilé Éclanais-Nenonais
Population
municipale
376 hab. (2021 en évolution de −1,31 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 07′ 31″ nord, 5° 36′ 17″ est
Altitude Min. 205 m
Max. 261 m
Superficie 25,83 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Dole
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Authume
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Éclans-Nenon
Liens
Site web eclans-nenon.fr

Éclans-Nenon est une commune française située dans le département du Jura, dans la région culturelle et historique de Franche-Comté et la région administrative Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie

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Le village d'Éclans se situe dans une « reculée » rectangulaire de la forêt de Chaux. Il s'organise autour d'une route qui s'y enfonce, longe le château et rejoint plus haut une retenue d'eau dénommée « le grand étang ».

Lieux-dits et écarts

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  • Nenon, Éclangeot.

Hydrographie

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  • Le Doubs, en bordure nord de la commune.

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Jura, caractérisée par une forte pluviométrie en toutes saisons (1 000 à 1 500 mm/an), des hivers rigoureux et un ensoleillement médiocre[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 023 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Dole », sur la commune de Dole à 9 km à vol d'oiseau[3], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 023,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −24 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Éclans-Nenon est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dole, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 87 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (82,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (83,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (76,8 %), terres arables (11,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,1 %), zones agricoles hétérogènes (2,1 %), zones urbanisées (1,5 %), prairies (1,4 %), eaux continentales[Note 3] (0,7 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

La commune résulte de la fusion en 1973 d'Éclans et de Nenon.

Un tumulus est cité par divers historiens[13] comme le lieu où les Romains dirigés par Jules César, après leur victoire dans la Plaine de la Lune sur les Séquanais, dirigés par Arioviste, ont réuni leurs morts et les ont brûlés. La terre de ce tumulus était noire et légère alors que celle des environs est rougeâtre et compacte[14].

Le village d'Éclans, autrefois écrit Esclans ou parfois Exclans dans les registres paroissiaux, a été précédé dans l'histoire par celui d'Éclangeot, situé plus près du Doubs.

Parmi les cultures anciennement pratiquées, il y eut celle du chanvre et bien sûr de la vigne, comme en témoigne une vente de biens vers 1606.

L'église d'Eclangeot, placée sous le patronage de saint Germain semble avoir été au départ une dépendance des chevaliers de l'ordre du Temple, dont une commanderie était située non loin de là, à Falletans. Après la suppression de l'ordre des Templiers, leurs biens, ici comme ailleurs, furent récupérés par l’ordre de Malte. Le 11 janvier 1735, l'église et le cimetière de la paroisse d'Eclangeot sont « frappés d'interdit » du fait des inondations du Doubs. Les inhumations se font à Falletans et à Our. En 1780, l'église et le cimetière du village d'Éclans sont bénis. Éclans devient une paroisse à la place de celle d'Éclangeot. L'église d'Éclangeot s'écroula en 1782 et ce fut la chapelle du château voisin, érigée en église paroissiale, qui devint l'actuelle église d'Eclans. En 2006, subsiste sur les lieux du hameau d'Éclangeot un corps de ferme dont le linteau de porte, selon les propriétaires, provient de l'ancien hameau.

Le château des seigneurs d’Éclans a été détruit au XVe siècle par les troupes de Louis XI lors de la guerre de succession de Bourgogne. Le château actuel a été construit par Charles Petrey, conseiller au parlement de Dole au XVIIe siècle. Rodrigue-Thérèse Masson, baron d’Éclans et de Longvy, issu des Pétrey par son arrière-grand-mère Suzanne Pétrey, transforma le château dans le style de l’époque au XVIIIe. Le dernier seigneur d’Éclans fut Charles François Masson, amateur de chasse à courre, grand dépensier, il organisait de grandes fêtes dans le château et son parc. Ruiné, il dut vendre le château en 1820.

Un bac a relié jusqu'au début du XXe siècle, le lieu-dit d'Éclangeot à la rive d'en face, au lieu-dit Les Aijottes.

Des baraques de bûcherons, charbonniers... (« Les Baraques du IV ») étaient reliées à ce village, comme en témoignent des naissances, mariages et décès signalés dans les registres d'État Civil et Registres paroissiaux. En 1935, le dernier couple d'habitants a quitté la Baraque n° 1 du IV.

Eclangeot (1177 Asclanget)[15].

Eclangeot (Eclans) 1339 ecclesia de Esclangeat TOB XIV°; Esclanget PB ; de Eclans J 1338[16].

Politique et administration

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Liste des maires

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Période Identité Etiquette Qualité
mars 2001 mars 2008 Jean Gallet DVD
mars 2008 mars 2014 Christiane Porteret PCF
mars 2014 mars 2018 Hervé Prat EÉLV Professeur d'Histoire-Géographie
mars 2018 juin 2018 Virginie Poigeaut (intérim) Infirmière
juin 2018 septembre 2021 Jacky Zasempa DVG Retraité
septembre 2021 octobre 2021 Sophie Combel
octobre 2021 février 2022 Nathalie Burtin (intérim)
février 2022 en cours Gabriel Bremond DVG Gérant de camping

Le 1er mars 2018, Hervé Prat démissionne de son poste de maire à la suite d'un désaccord au sein du conseil municipal sur un éventuel accueil de migrants[17],[18]. Virginie Poigeaut (alors première-adjointe) occupe le poste par intérim. Des élections partielles sont organisées le 14 juin 2018 ; elles sont remportées par Jacky Zasempa[19], qui, après avoir été réélu en 2020, démissionne en septembre 2021. Sophie Combel lui succède avant de démissionner un mois plus tard[20]. La préfecture missionne Nathalie Burtin comme maire par intérim[21], avant des élections partielles organisées en février 2022, qui voient l'élection de Gabriel Bremond comme maire[22].

Politique environnementale

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L'ancien maire Hervé Prat, membre des Verts jusqu'en 2008 et d'EÉLV à partir de 2014, était très impliqué en faveur de l'environnement.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].

En 2021, la commune comptait 376 habitants[Note 4], en évolution de −1,31 % par rapport à 2015 (Jura : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
520363365482484473458448417
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
385361342311304280259272241
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
255225219204220214166147173
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
154138198222329383388383410
2015 2020 2021 - - - - - -
381379376------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Notes historiques sur la démographie

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Après la guerre de Trente Ans, de nombreux villages étaient dévastés. Les recensements de la milice de 1644 signalent comme inhabités les villages d'Eclangeot et Nenon.

Recensement de la population, 9 février 1657[27] :

  • Esclangeot 16 personnes ;
  • Escland (Eclans) : 65 personnes ;
  • Nenon : 48 personnes ;

soit 129 personnes pour l'ensemble des trois lieux.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • La mairie, l'église, le monument aux morts et la bibliothèque, dans les années 2000, se situent tous sur le même lieu de l'autre côté de la route qui longe un flanc du château.
  • L'église d'Éclans au début du XXe siècle.
  • Château d'Éclans.
    • dans un rentier de 1578, rédigé alors que François de Vautravers était seigneur d'Eclans, on trouve une description très précise du château féodal. Sur la butte qui domine l'actuel château, un ensemble composé de 4 grosses tours rondes " aux quatre coins " reliées par des courtines. Au milieu d'une de ces courtines une grande tour carrée et face à celle ci " un vieux corps de logis édifié en pierre et couvert de lauzes". Ce "chastel fort" entouré pour partie d'un fossé "à moitié fossoyé"[28] avait été occupé tour à tour par les familles d'Antigny puis de Vienne au XIVe siècle.
  • La forêt de Chaux.

Personnalités liées à la commune

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  • Emmanuel de Toulongeon, membre de l'Institut.
  • Lionel de Toulongeon (1820-1868), homme politique, député du Jura de 1857 à 1868.
  • La famille de Marenches, originaire d'Italie (Raymond et François Marenchi reprennent en fief par acte du 17 des calendes de juin 1186 diverses terres de Frédéric Barberousse) dont on peut citer en 1562 l'écuyer Constance de Marenches, trésorier général de Bourgogne et Seigneur de Nenon, nommé par Philippe II premier Conseiller à la Cour des Comptes de Dole.

Douze de Marenche furent mayeurs ou maires de Dole entre le XVIe et le XVIIIe siècle.

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Bibliographie

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  • Armand Marquiset - Dole. Précis statistique de l'Arrondissement. Tome II. Res Universis, 1991.
  • Alfred Vieille - Orchamps et ses environs, Res Universis, 1990.
  • Jean-Claude Charnoz, La Forêt de Chaux. Historique et Généalogie, chez l'auteur.
  • Archives de la collégiale de Dole / Archives du Jura

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Éclans-Nenon et Dole », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Dole », sur la commune de Dole - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Dole », sur la commune de Dole - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Dole », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. Armand Marquiset - Dole. Précis statistique de l'Arrondissement. Tome II. Res Universis, 1991, p. 338 - 339
  14. Ibidem, p. 338
  15. Mémoires de la Société d'Emulation du Doubs, Soc. Emul. Doubs, Besançon, 1913, p. 440
  16. Auguste Vincent.-Toponymie de la France.- Names, Geographical, 1937, 418 p (p. 47)
  17. « Eclans Nenon : le maire Hervé Prat démissionne », Actu.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  18. « Eclans-Nenon et l'accueil des migrants », france 3 Franche-Comté,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  19. « Jacky Zasempa est le nouveau maire d'Éclans-Nenon », Le Progrès,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. « Dole. Valse des maires à Éclans-Nenon : enfin une stabilité politique ? », sur leprogres.fr (consulté le ).
  21. « Jura. Eclans-Nenon : la commune revote ce dimanche », sur leprogres.fr (consulté le ).
  22. « Jura. Gabriel Bremond est le nouveau maire d’Eclans-Nenon », sur leprogres.fr (consulté le ).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. La population de Franche-Comté au lendemain de la guerre de Trente Ans, Besançon, 1995, p. 57
  28. Terrier de la seigneurie d'Eclans ESE5 1 archives départementales du Doubs