Sorel (Somme)

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Sorel
Sorel (Somme)
La mairie
Blason de Sorel
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC de la Haute Somme
Maire
Mandat
Jacques Decaux
2020-2026
Code postal 80240
Code commune 80737
Démographie
Population
municipale
161 hab. (2021 en diminution de 1,83 % par rapport à 2015)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 01′ 27″ nord, 3° 03′ 03″ est
Altitude Min. 99 m
Max. 148 m
Superficie 7,94 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Péronne
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
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Sorel
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Sorel
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Sorel
Liens
Site web https://sorel80.jimdofree.com/

Sorel est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Ambiance du village : Reflet de l'église dans la mare.

Sorel est un village rural picard de la Somme, limitrophe du Pas-de-Calais situé à 29 km à l'ouest d"Albert, 35 km au sud-est d'Arras, 21 km au nord-est de Cambrai et 27 km au nord-ouest de Saint-Quentin.

Situé par la route à une quinzaine de kilomètres au nord-est de Péronne, l'ouest du territoire communal est traversé par l'ancienne route nationale 17 (actuelle RD 917).

En 2019, la localité est desservie par la ligne d'autocars no 48 (Épehy - Villers-Faucon - Péronne) du réseau interurbain Trans'80 Hauts-de-France[1].

Localisation[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 724 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Épehy à 6 km à vol d'oiseau[4], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 752,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Sorel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (95,8 %), zones urbanisées (4,2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 88, alors qu'il était de 86 en 2013 et de 89 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 79,6 % étaient des résidences principales, 6,8 % des résidences secondaires et 13,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Sorel en 2018 en comparaison avec celle de la Somme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (6,8 %) inférieure à celle du département (8,3 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 78,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (74,3 % en 2013), contre 60,3 % pour la Somme et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Sorel en 2018.
Typologie Sorel[I 1] Somme[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 79,6 83,3 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 6,8 8,3 9,7
Logements vacants (en %) 13,6 8,4 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Sorel (1170) ; Sorellum versus Peronam (1267) ; Sorrel (1562) ; Sorez (1579)[14].

Le nom de la localité serait issu de l'adjectif de la langue d'oïl sorel (sol), « (sol) roux, fauve »[15].

Histoire[modifier | modifier le code]

Les Sohier de Vermand, possesseurs de vastes domaines, ont construit à Sorel une forteresse assez imposante mentionnée dans le dénombrement de 1214. Des habitations se sont élevées à l'abri de ce château fort et un noble chevalier à qui la garde fut confiée a donné naissance aux seigneurs du domaine. L’importante chapelle du château était desservie par des chanoines de l'abbaye de Revelon.

Les seigneurs de Sorel avaient fondé une maladrerie ou hôpital pour y soigner les malades ; l'hôpital est tombé en ruine vers 1550.

En 1748, la seigneurie est érigée en comté.

Le village est desservi de 1880 à 1955 par une gare, commune à Fins et Sorel, située au sud de Fins, après la dernière maison sur la route de Nurlu, sur le Chemin de fer de Vélu-Bertincourt à Saint-Quentin qui facilitait les déplacements des personnes et le transport des marchandises..

Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[16]. Il est décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [17].

Le village est reconstruit durant les années 1920 sous la direction de l'architecte Louis Faille, originaire de Nurlu, à la suite des dévastations de la Première Guerre mondiale. Il y réalise notamment la mairie-école ainsi que l'église (1932).

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Roisel[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Péronne

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de la Somme.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Sorel était membre de la communauté de communes du canton de Roisel, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1994 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Cette intercommunalité a fusionné le au sein de la communauté de communes de la Haute Somme, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1959 1995 Albert Bonniére    
mars 1995 2014 Bernard Dazin[19]    
2014[20] En cours
(au 2 décembre 2021)
Jacques Decaux   Réélu pour le mandat 2020-2026[21],[22]

Distinctions et labels[modifier | modifier le code]

La commune a obtenu en 2019 une fleur au concours des villes et villages fleuris, renouvelée en 2021[23] En 2022, une deuxième fleur confirme la qualité des efforts consentis[24].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].

En 2021, la commune comptait 161 habitants[Note 2], en diminution de 1,83 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
552604613620684750758773754
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
748750713724691630594530512
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
509485473245268261270226224
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
236223197184187163163163173
2015 2020 2021 - - - - - -
164161161------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

  • Parc éolien du Douiche. Lors de son inauguration en 2019, c'est le plus puissant de la Somme, avec 20 éoliennes ayant une puissance totale de 60 MWatts[28].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Le cimetière militaire situé près de Fins comporte les tombes de 1 463 soldats britanniques et allemands tombés lors de combats de 1917 et 1918.
  • L'église Saint-Gervais, reconstruite en 1932 par Louis Faille, sur les ruines de l'église détruite en 1917. Ses vitraux sont l'œuvre de Louis Barillet.
  • Près de l'église, la chapelle Notre-Dame-de-Liesse-et-de-Sainte-Apolline a été construite en 1904[29].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Le premier seigneur connu est Gauthier de Sorel, chevalier du Santerre. Il est cité en 1187 comme l'un des principaux chevaliers d’un tournoi donné par Raoul Ier, sire de Coucy.

En 1214, Gauthier de Sorel tenait du roi sa maison, la forteresse et une partie du village plus une partie de Fins, village voisin. Il est rappelé dans une charte du roi Philippe Auguste en faveur de l’abbaye du mont Saint-Quentin.

Son fils nommé aussi Gauthier, figure avec distinction dans le célèbre tournoi de Hem, où, dit le trouvère sarrasin, monté sur un beau destrier (cheval) noir il jouta contre Piéron de Bailleul. Gérard de Sorel son frère parut également à ce tournoi.

Les Sorel sont nommés avec les d’Hangest, les Clari, au nombre des chevaliers bannerets (portant bannière et conduisant une troupe de chevaliers) et avaient pour armes : de gueules, à deux léopards d’argent passant, couronnés, lampassés et armés d’or. Le cri de guerre est Normandie.

En 1301 sont rappelés Hues de Sorel, pour un fief à Heudincourt ; et Jean de Sorel homme lige de l’évêché d’Amiens.

En 1414, Pierre de Sorel reçoit le château et la terre de Rémy-en-Beauvaisis. En 1421, Regnault est exécuteur testamentaire de Jean II d’Angest. Il devient, d'après Le Vasseur, l’époux d’Agnès Sorel future favorite de Charles VII et mourut en 1441 ; dans son blason il avait ajouté un orle d’or.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Sorel Blason
De gueules à deux léopards d'argent, armés, lampassé et couronnés d'or, l'un au-dessus de l'autre[30].
Ornements extérieurs
Croix de guerre 1914-1918
Détails
Armes de la famille de Sorel.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • Carte spéciale des régions dévastées : 13 SO, Cambrai [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Sorel » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Sorel - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Sorel - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Somme » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. « Le réseau Trans'80 en ligne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Sorel et Épehy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Epehy_sapc » (commune d'Épehy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Epehy_sapc » (commune d'Épehy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 320 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  15. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Genève, Droz, , p. 1293.
  16. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  17. Journal officiel du 30 octobre 1920, p. 16879.
  18. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Réélu pour le mandat 2008-2014 : [xls] « Liste des maires de la Somme »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  20. « Liste des maires de la Somme »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [xls], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  21. « Municipales 2020: Jacques Decaux motivé pour rester maire de Sorel », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Élu maire de Sorel en 2014 au premier tour, Jacques Decaux va se présenter pour un nouveau mandat aux Municipales 2020, avec une liste qui s’annonce assez similaire ».
  22. « Jacques Decaux repart pour un deuxième mandat à Sorel », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. Vincent Fouquet et Bernard Devillers, « Sorel, le village dont le maire est aussi le jardinier : Chaque année, beaucoup d’élus attendent le résultat des concours des villes et villages fleuris, une distinction qui assure à la commune une reconnaissance pour sa beauté et son cadre de vie. À Sorel, près de Roisel, Jacques Decaux s’occupe personnellement de l’amélioration de cet environnement. Une passion pour celui qui est aussi maire de la commune de 163 habitants », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Une première fleur est venue récompenser ses efforts au concours régional des villages et villages fleuris en 2019, mais nul doute que d’autres récompenses suivront ».
  24. « Sorel récompensée d’une deuxième fleur : Le jury régional des villes fleuries a choisi de décerner une deuxième fleur à Sorel, à la grande satisfaction du maire et des habitants, prêts à encore plus d’efforts pour décrocher la troisième fleur », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Ludovic Lascombe, « Bienvenue dans le parc éolien le plus puissant de la Somme : Ce vaste parc éolien sur le territoire du Douiche, au cœur de la Somme, sera inauguré en grande pompe jeudi 12 septembre et samedi 14 septembre. Mais sur le terrain, ce parc de 20 éoliennes, particulièrement visible dans le paysage, inquiète. Reportage », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 254 (ASIN B000WR15W8).
  30. « 80737 Sorel (Somme) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).