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Saint-André (Tarn)

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Saint-André
Saint-André (Tarn)
L'église Saint-André.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Tarn
Arrondissement Albi
Intercommunalité Communauté de communes des Monts d'Alban et du Villefranchois
Maire
Mandat
Jean-Luc Espitalier
2020-2026
Code postal 81250
Code commune 81240
Démographie
Population
municipale
101 hab. (2021 en évolution de +6,32 % par rapport à 2015)
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 56′ 02″ nord, 2° 27′ 38″ est
Altitude Min. 206 m
Max. 563 m
Superficie 7,27 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Albi
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Haut Dadou
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Saint-André
Géolocalisation sur la carte : France
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Saint-André
Géolocalisation sur la carte : Tarn
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Saint-André
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Saint-André
Liens
Site web Site officiel

Saint-André (en occitan Sent Andrieu), connu sous la Révolution sous le nom de Mont-Marat[1], est une commune française située dans le nord-est du département du Tarn, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Ségala, un territoire s'étendant sur les départements du Tarn et de l'Aveyron, constitué de longs plateaux schisteux, morcelés d'étroites vallées.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Tarn, le ruisseau de Cézens, le ruisseau de Malagousse et par deux autres cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Saint-André est une commune rurale qui compte 101 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 644 habitants en 1846. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Albi. Ses habitants sont appelés les Andrésiens ou Andrésiennes.

Géographie

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Localisation

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Saint-André est située dans le nord-est du département du Tarn, à une vingtaine de kilomètres à l'est d'Albi.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Alban, Ambialet, Assac, Cadix, Curvalle et Le Fraysse.

Saint-André est limitrophe de six autres communes.

Communes limitrophes de Saint-André[2]
Assac Cadix
Ambialet Saint-André Curvalle
Le Fraysse Alban

Voies de communication et transports

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La commune est accessible par la route départementale 999 (ancienne route nationale 99, qui reliait Montauban à Plan-d'Orgon) puis par la route départementale 53 depuis le sud, ou par la route départementale 77 depuis le nord.

Aucun service de transport en commun ne dessert Saint-André. La gare la plus proche est la gare d'Albi-Ville.

Hydrographie

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La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par le Tarn, le ruisseau de Cézens, le ruisseau de Malagousse, le ruisseau du Gazet et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[4],[Carte 1].

Le Tarn, d'une longueur totale de 380 km, prend sa source sur le mont Lozère, dans le nord de la commune du Pont de Montvert - Sud Mont Lozère en Lozère, et se jette dans la Garonne à Saint-Nicolas-de-la-Grave, en Tarn-et-Garonne.

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Saint-André.

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 808 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 5,9 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bastide Solages », sur la commune de La Bastide-Solages à 5 km à vol d'oiseau[7], est de 13,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 950,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −13 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Milieux naturels et biodiversité

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[12] : la « rivière Tarn (partie Aveyron) » (2 381 ha), couvrant 41 communes dont 25 dans l'Aveyron et 16 dans le Tarn[13], et la « vallée du Tarn de puech Mergou à Gaycre » (2 562 ha), couvrant 11 communes du département[14] et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[12] : la « vallée du Tarn, amont » (36 322 ha), couvrant 57 communes dont 31 dans l'Aveyron, une dans la Lozère et 25 dans le Tarn[15].

Au , Saint-André est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Albi, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[I 2]. Cette aire, qui regroupe 91 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 3],[I 4].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (60,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (56 %), forêts (43,9 %), prairies (0,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Saint-André est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Tarn. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[19]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994, 2012 et 2014[20],[17].

Saint-André est exposée au risque de feu de forêt. En 2022, il n'existe pas de Plan de Prévention des Risques incendie de forêt (PPRif). Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 5],[21].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-André.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[22]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 50,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (76,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 88 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 44 sont en aléa moyen ou fort, soit 50 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[25].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-André est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[26].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1981 ? Gaston Soulié PS  
mars 2001 En cours Jean-Luc Espitalier   Président de la Communauté de communes depuis 2020
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

En 2021, la commune comptait 101 habitants[Note 6], en évolution de +6,32 % par rapport à 2015 (Tarn : +1,82 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
346286384422394536544644585
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
511486497489526503508504482
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
440388377325288248247226193
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
18917913510710210610210198
2018 2021 - - - - - - -
102101-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique
Nef et chœur de l'église Saint-André
Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 5] 9,5 % 14,3 % 24,5 %
Département[I 6] 8,2 % 9,9 % 10 %
France entière[I 7] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 53 personnes, parmi lesquelles on compte 83 % d'actifs (58,5 % ayant un emploi et 24,5 % de chômeurs) et 17 % d'inactifs[Note 7],[I 5]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Albi, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 8]. Elle compte 6 emplois en 2018, contre 17 en 2013 et 17 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 31, soit un indicateur de concentration d'emploi de 19,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 50,6 %[I 9].

Sur ces 31 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 6 travaillent dans la commune, soit 19 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 77,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,2 % les transports en commun, 6,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 12,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].

Activités hors agriculture

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5 établissements[Note 8] sont implantés à Saint-André au [I 12]. Le secteur de l'administration publique, l'enseignement, la santé humaine et l'action sociale est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 40 % du nombre total d'établissements de la commune (2 sur les 5 entreprises implantées à Saint-André), contre 15,5 % au niveau départemental[I 13].

Agriculture

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1988 2000 2010 2020
Exploitations 18 13 11 7
SAU[Note 9] (ha) 357 376 296 309

La commune est dans le Segala, une petite région agricole située dans le nord-est du département du Tarn. C’est la relative pauvreté du sol de cette région où ne poussait jadis que le seigle qui a donné son nom à cette aire géographique. Situé en moyenne altitude, le Ségala s’étend sur des territoires vallonnés et riches en schiste[31]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 5]. Sept exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 11] (18 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 309 ha[33],[Carte 6],[Carte 7].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Saint-André de Saint-André. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 1971[34].
  • Sculpture "Quatre saisons", œuvre de Jean-Marc forgeron d'art (Cordes-sur-ciel)
  • Sculpture "L'horloge", œuvre de Jean-Marc, forgeron d'art (Cordes-sur-Ciel)
  • Sculpture "le Menhir", œuvre de Casimir Ferrer, artiste peintre et sculpteur
  • Château édifié au XVe siècle

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  9. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  10. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  11. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[32].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Saint-André » sur Géoportail (consulté le 10 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  2. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-André ».
  3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Albi », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  5. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-André » (consulté le ).
  6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  8. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  9. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-André » (consulté le ).
  10. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  11. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-André » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn » (consulté le ).

Autres sources

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  1. Roger de Figuères, Les noms révolutionnaires des communes de France : listes par départements et liste générale alphabétique, Paris, Société de l'histoire de la Révolution française, (BNF 35460306), p. 66
  2. Carte IGN sous Géoportail
  3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Fiche communale de Saint-André », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Saint-André et La Bastide-Solages », sur fr.distance.to (consulté le ).
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  9. « Station Météo-France « Bastide Solages », sur la commune de La Bastide-Solages - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
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  14. « ZNIEFF la « vallée du Tarn de puech Mergou à Gaycre » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  17. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-André », sur Géorisques (consulté le ).
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  21. « Les risques majeurs dans le Tarn », sur tarn.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  22. « Les risques majeurs dans le Tarn », sur tarn.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-André », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Les risques majeurs dans le Tarn », sur tarn.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  26. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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  33. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Saint-André - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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Articles connexes

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Liens externes

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