Portail:Abitibi-Témiscamingue/Municipalité

Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Église St-Jacques-le-Majeur
Église St-Jacques-le-Majeur

Barraute est une municipalité située dans la MRC d'Abitibi.

Son nom rappelle Pierre-Jean Bachoie (Bachois), dit Barraute (1723-1760), l'un des officiers du régiment de Béarn de l'armée de Montcalm.

Le recensement de 2006 y dénombre 3 062 habitants.

Suite à l’avancée du chemin de fer transcontinental, est fondée le sur les rives de la rivière Natagan la municipalité des Cantons Unis de Fiedmont et Barraute.

En 1948, le village de Barraute se détache de la municipalité des cantons unis de Fiedmont-et-Barraute.

Municipalités[modifier le code]

1
Construction de l'église de Normétal, 1943
Construction de l'église de Normétal, 1943

Normétal est une municipalité située dans la MRC d'Abitibi-Ouest.

Normétal est bordée au nord par la municipalité de la Baie-James, au sud-est par la municipalité de canton de Clermont, et au sud-ouest par la municipalité de paroisse de Saint-Lambert.

Le nom de la municipalité tire ses origines de la Normetal Mining Corporation, qui s'est portée acquéreur, en 1937, de la mine de cuivre et de zinc qui avait été découverte à cet endroit en 1923. Par extension ou emprunt, Normétal, dont l'apparition remonte à 1931, tirerait son appellation du télescopage des mots nord et métallurgique, en raison de la situation géographique de cette localité et des mines qu'elle compte.

Le recensement de 2011 y dénombre 856 Normétaliens.

2
Église de Rapide-Danseur
Église de Rapide-Danseur

Rapide-Danseur est une municipalité située dans la MRC d'Abitibi-Ouest. Elle est à environ 35 km au sud de La Sarre entre Duparquet et Roquemaure, sur la rive ouest de la rivière Duparquet.

Rapide-Danseur doit son nom à une modeste cascade que l'on retrouve au confluent des rivières Cachée et Duparquet, à mi-chemin entre les lacs Duparquet et Abitibi.

Colonisée dès 1928, la municipalité de Rapide-Danseur n'a été constituée que le 1er janvier 1981.

Le recensement de 2011 y dénombre 312 habitants.

L'emplacement de son église, construite avec des pierres des champs pendant les années 1940, a été classé site historique le .

3
Preissac
Preissac

Preissac est une municipalité située dans la MRC d'Abitibi.

Le nom de Preissac perpétue la mémoire d'un lieutenant du régiment de Berry, qui a servi sous Montcalm à Québec, lors de la guerre de Sept Ans.

En 1906 eut lieu l'ouverture de la première mine de molybdénite. En 1916 est fondé le canton de Preissac. 1934 voit l'arrivée des premiers colons lors du plan Vautrin. En 1936 débute la construction de l'église St-Raphaël de Preissac. Le 1er janvier 1979, le canton de Preissac devient la municipalité de Preissac. En 1979, on ouvre la mine Bousquet, en 1980, la mine Doyon et en 1988, la mine Dumagami (maintenant La Ronde), exploitée par Agnico-Eagle qui a sorti lors des années 1990 plus de la moitié de l'or québécois.

4
Laverlochère
Laverlochère

Laverlochère est une municipalité située dans la MRC de Témiscamingue, à 15 km au nord-est de Ville-Marie.

Elle est nommée en l'honneur du père Jean-Nicolas Laverlochère, un missionnaire catholique français du XIXe siècle.

Elle couvre une superficie de 107,01 km² et est traversée par la route 382.

  • 1895 : Fondation du canton de Laverlochère.
  • 3 octobre 1912 : Le canton de Laverlochère devient la paroisse de Saint-Isidore.
  • 1977 : La paroisse de Saint-Isidore devient la paroisse de Laverlochère.
  • 21 septembre 2002 : La paroisse de Laverlochère devient une municipalité.
5
Bearn, Québec
Bearn, Québec

Béarn est une municipalité située dans la MRC de Témiscamingue.

Le nom de Béarn vient du régiment de Béarn, un détachement militaire ayant pris part à divers conflits dont la Bataille de Fort Carillon en 1758 avec le général Montcalm.

La municipalité de Béarn couvre plus de 500 km2. Dans ce territoire on retrouve de nombreux lacs situés et un relief typique du bouclier canadien oscillant entre 150 et 350 m d'altitude. Sur le territoire municipal, la région écoforestière présent est l'érablière à bouleau jaune.

La municipalité a créé un jardin communautaire sur le terrain du pionnier fondateur de Béarn, M. Bellehumeur. Il est accessible via la cour de la salle municipale. La construction a débuté en 2008. Le jardin a été agrandi en 2009 et sa clôture en bois finalisée.

6
Notre-Dame-du-Nord
Notre-Dame-du-Nord

Notre-Dame-du-Nord est une municipalité située dans la MRC de Témiscamingue. Le recensement de 2006 y dénombre 1 116 habitants.

Son histoire débute avec l'arrivée d'un missionnaire résident à la Tête-du-Lac, en 1896.

La municipalité a été constituée le sous l'appellation de municipalité du canton de Nedelec-Partie-Sud. Elle est renommée municipalité de Notre-Dame-du-Nord, en 1928, en référence à sa situation au nord-est du lac Témiscamingue.

Dès le départ, l'histoire de cette communauté se caractérise par les relations entre les différents groupes ethniques en présence: les Algonquins, les Canadiens-français et les Anglophones, d'origine écossaise et irlandaise.

Au fil des ans, la paroisse prend de l'ampleur. Un presbytère est construit en 1921 et l'église l'est en 1922 pour remplacer la chapelle de Tête-du-Lac. Tous deux été épargnés lors du Grand Feu de 1922.

7
Palmarolle
Palmarolle

Palmarolle est une municipalité située dans la MRC d'Abitibi-Ouest.

Palmarolle est à l'est du lac Abitibi, à 20 km au sud de La Sarre et à 25 km au nord de Duparquet. Elle est traversée par la route 393.

Son nom commémore un militaire français, François-Pierre-André Bertrand de Palmarolle, mort à la bataille de Sainte-Foy en 1760.

C'est en que Guimond Roy, un jeune homme originaire de Cap-Chat en Gaspésie, remonte la rivière Dagenais pour y ouvrir un premier lot et, de ce fait, y entreprendre le défrichage et la coupe de bois. Dix ans plus tard, était créée la paroisse Notre-Dame-de-la-Merci de Palmarolle.

Le recensement de 2006 y dénombre 1 527 habitants.

Est originaire de Palmarolle, Rogatien Vachon, gardien de but des Kings de Los Angeles de la LNH.

8
Gallichan
Gallichan

Gallichan est une municipalité située dans la MRC d'Abitibi-Ouest.

En 1922, des colons des comtés de Bellechasse, Montmagny et L'Islet allaient s'installer dans le territoire abitibien, en un endroit situé dans le canton de Palmarolle, à l'est de Roquemaure, à environ 20 km au sud de La Sarre.

Ces lieux avoisinant la rivière Duparquet dans le nord-ouest du canton du même nom reçurent l'appellation de Saint-Laurent-sur-Rivière-Duparquet, parce que la rivière à cet endroit présente une configuration qui rappelle fortement le fleuve Saint-Laurent.

Ce phénomène est par ailleurs accrédités par la fondation en 1926, de la paroisse de Saint-Laurent, érigée canoniquement en 1937 et dénommée dans l'usage courant Saint-Laurent-de-Gallichan.

9
Vue panoramique de Témiscaming
Vue panoramique de Témiscaming

Témiscaming est une ville située dans la MRC de Témiscamingue. Le recensement de 2006 y dénombre 2 697 habitants.

Témiscaming est située au bord de la rivière des Outaouais, séparant l'Ontario du Québec même. De cette rivière, il est facilement possible d'accéder au Témiscaming en bateau, à partir de grandes villes du Québec, notamment Montréal et Gatineau. Cette petite ville n'est toutefois pas accessible par grand réseau routier du Québec, à moins de passer par l'Ontario (en prenant la route 63). Le Témiscaming a une élévation de près de 200 m par rapport au niveau de la mer. Par ailleurs, cette ville et Ville-Marie détiennent le record de chaleur enregistré au Québec (40°C durant l'été de 1921), malgré leur situation géographique.

10 Pikogan est une réserve indienne algonquine bordée par la rivière Harricana et enclavée dans la ville d'Amos. La réserve fut constituée en 1956 sous le nom de Village-Pikogan.

En 1964, plusieurs résidents vivaient encore dans des tentes, expliquant ainsi l'origine du nom qui signifie tente de peau ou tipi en langue algonquine. Une petite église, dirigée par les Oblats, fut érigée en 1967 en forme de tipi.

Les résidents de la réserve de Pikogan sont des membres de la bande de Abitibiwini d'origines algonquiennes. Ils furent identifiés pour la première fois sous la dénomination de Nation des Abbittibbis dans des documents datant du XVIIIe siècle. Le recensement de 2006 y dénombre 487 habitants, soit 9,9% de plus qu'en 2001.

Les activités principales sur la réserve sont le piégeage, le tourisme, la foresterie et les mines.

Les langues parlées dans la réserve sont : le français, l'anglais et l'algonquin, encore parlé par quelques anciens.

11
Village de Launay
Village de Launay

Launay est une municipalité de canton située dans la MRC d'Abitibi. D'une superficie de 252,44 km², on y compte quelque 226 habitants (2006).

Son nom rappelle celui du militaire identifié Jean-Baptiste Leporquier de Launay, commandant de bataillon au début de 1759, décrit par Lévis comme un homme ferme et courageux.

En 1913, on y construit la gare ferroviaire. Le 9 décembre 1916 eut lieu la proclamation du canton de Launay. Les premiers colons arrivent en 1918-1920. La municipalité du canton de Launay est proclamée le 18 mai 1921. On ouvre un bureau de poste en 1923 et en 1928 est érigé canoniquement la paroisse Saint-Léon-le-Grand.

12
Vue du secteur Villemontel
Vue du secteur Villemontel

Trécesson est une municipalité de canton située dans la MRC d'Abitibi. Elle est nommée en l'honneur du militaire Marie-Joseph Toussaint de Carnay, vicomte de Trécesson.

Le canton de Trécesson se compose de deux villages, soit Villemontel et La Ferme.

Trécesson fut fondé lors de la Première Guerre mondiale comme camp de détention pour les civils sans citoyenneté soupçonnés de représenter un danger pour la sécurité nationale.

L'Église de Saint-Simon-de-Villemontel a été érigée sur la ligne de partage des eaux qui délimite les bassins hydrographique du Saint-Laurent et de la Baie d'Hudson.

Le recensement de 2006 y dénombre 1 195 habitants.

13
Dupuy
Dupuy

Dupuy est située dans la MRC d'Abitibi-Ouest à l'ouest de La Sarre et à l'est de La Reine. Vaste espace peu peuplé, baigné par la rivière Desmeloizes dans sa partie est, l'endroit répondait au début au nom de Calamity Creek, tiré de celui du ruisseau Calamité.

Née au début du XXe siècle, à l'instar des autres localités abitibiennes, Saint-Jacques-de-Dupuy, devenue Dupuy en 1995, reçoit ses premiers colons en 1912 venus de Saint-Gabriel-de-Brandon. Elle comportait au début le statut de paroisse et répondait à l'appellation de Saint-Jacques-le-Mineur. Fondée en 1916, cette paroisse dont le statut fut confirmé en 1919, obtenait une reconnaissance sur le plan civil en 1920. Entre-temps, on avait procédé à la création de la municipalité des cantons unis de La Reine-et-Desmeloizes-Partie-Est (1918), qui allait devenir la municipalité de Saint-Jacques-de-Dupuy en 1922.

14
Église St-Jacques-le-Majeur
Église St-Jacques-le-Majeur

Barraute est une municipalité située dans la MRC d'Abitibi.

Son nom rappelle Pierre-Jean Bachoie (Bachois), dit Barraute (1723-1760), l'un des officiers du régiment de Béarn de l'armée de Montcalm.

Le recensement de 2006 y dénombre 3 062 habitants.

Suite à l’avancée du chemin de fer transcontinental, est fondée le sur les rives de la rivière Natagan la municipalité des Cantons Unis de Fiedmont et Barraute.

En 1948, le village de Barraute se détache de la municipalité des cantons unis de Fiedmont-et-Barraute.

15

Ville-Marie est le chef-lieu de la MRC de Témiscamingue. Le recensement de 2006 y dénombre 2 696 habitants.

Ville-Marie a été établie à la fin du XIXe siècle. Elle se développe autour de la colonie missionnaire des Oblats et des postes de compagnies forestières qui exploitent les grandes forêts du lac Témiscamingue. La mission des Oblats s'était déjà établie en 1863 près du fort Témiscamingue.

La colonisation des terres autour du lac par des familles des régions plus anciennes du Québec conduit à la fondation de Ville-Marie en 1888. Le nom rend hommage à la patronne des Oblats de Marie-Immaculée, communauté religieuse à l'origine de la localité. Ville-Marie est constituée en village en 1897 puis en ville en 1962.

16
La Sarre
La Sarre

La Sarre est une ville québécoise située dans la MRC d'Abitibi-Ouest en Abitibi-Témiscamingue.

Le recensement de 2006 y dénombre 7 336 habitants, 5,1% de moins qu'en 2001. Les habitants de La Sarre sont appelés « Lasarrois » et « Lasarroises ».

Un régiment qui a servi sous Montcalm est à l'origine de la dénomination de la ville et du bureau de poste (1915).

La municipalité du canton de La Sarre fut d'abord créée en 1917, la même année que la paroisse de Saint-André-de-la-Sarre, et dénommée d'après le canton proclamé en 1916. La municipalité du village de La Sarre (1937) deviendra ville en 1949. En avril 1980, la ville et la municipalité de canton fusionnaient pour former l'actuelle municipalité.

17
Amos
Amos

Amos est une ville située dans la MRC d'Abitibi. Ses principales ressources sont l'eau de source, et les produits forestiers.

Première ville de l'Abitibi, elle fut baptisée à juste titre le « Berceau de l'Abitibi ». Située au cœur de l'Abitibi, Amos jouit, de par sa localisation, d'une situation privilégiée qui la place au centre des principales voies de circulation de la région. Elle est traversée par la rivière Harricana, voie de communication qui a joué un rôle prépondérant au début du XXe siècle dans le développement et la colonisation de la région, reliant les nouveaux centres miniers entre eux.

18
Sainte-Germaine-Boulé
Sainte-Germaine-Boulé

Sainte-Germaine-Boulé est une municipalité du Québec située dans la MRC d'Abitibi-Ouest en Abitibi-Témiscamingue. Les principales activités économiques de la municipalité sont liées à l'agriculture, à la forêt, aux mines et au transport. La paroisse de Sainte-Germaine est érigée sous l'invocation de sainte Germaine Cousin. "Boulé" est la désignation qui fut donnée au premier bureau de poste. C'est à la fois en l'honneur d'Hélène Boullé, épouse de Champlain, que la municipalité prit ce nom et pour rendre hommage à Mgr Auguste Boulet (Boulé), instigateur et responsable de la fondation de plusieurs paroisses de l'Abitibi dont Sainte-Germaine.

19
Rouyn-Noranda
Rouyn-Noranda

Rouyn-Noranda est une municipalité du Québec, la capitale de l'Abitibi-Témiscamingue. Elle est née de la fusion de Rouyn, de Noranda et d'autres municipalités entre 1986 et 2002. Le recensement de 2006 y dénombre près de 40 000 habitants.

Rouyn et Noranda furent fondées en 1926 sur les rives du lac Osisko suite à la découverte d'un riche gisement de cuivre en 1917 qui mena à la fondation de la mine Noranda. Suite aux réorganisations municipales québécoises de 2002, l'ensemble des municipalités de la MRC de Rouyn-Noranda fusionnent en une seule. Aujourd'hui la Ville de Rouyn-Noranda a le double statut de MRC et de municipalité locale.

20
Rue principale (3eme Avenue) Val-d'Or
Rue principale (3eme Avenue) Val-d'Or

Val-d'Or est une ville industrielle et notamment minière de l'ouest du Québec, dans la municipalité régionale de comté de La Vallée-de-l'Or de la région administrative Abitibi-Témiscamingue. Elle est la seconde ville en importance de l'Abitibi-Témiscamingue après Rouyn-Noranda. Son nom rappelle la présence d'or dans son sous-sol.

Ville créée à la fin des années 30 à la faveur du développement des mines d'or, elle compte l'un des plus riches sous-sols du Québec renfermant des minerais d'or, de zinc, de plomb de cuivre et d'argent. C'est au nord de la ville, sur les berges du lac Demontigny que la première mine d'or de l'Abitibi, la Sullivan Consolidated est découverte en 1911.

21 Portail:Abitibi-Témiscamingue/Municipalité/21
22 Portail:Abitibi-Témiscamingue/Municipalité/22
23 Portail:Abitibi-Témiscamingue/Municipalité/23
24 Portail:Abitibi-Témiscamingue/Municipalité/24
25 Portail:Abitibi-Témiscamingue/Municipalité/25
26 Portail:Abitibi-Témiscamingue/Municipalité/26
27 Portail:Abitibi-Témiscamingue/Municipalité/27
28 Portail:Abitibi-Témiscamingue/Municipalité/28
29 Portail:Abitibi-Témiscamingue/Municipalité/29
30 Portail:Abitibi-Témiscamingue/Municipalité/30