Noailhac (Tarn)

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Noailhac
Noailhac (Tarn)
Église Notre-Dame à Noailhac
Blason de Noailhac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Tarn
Arrondissement Castres
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Castres - Mazamet
Maire
Mandat
Francis Mathieu
2020-2026
Code postal 81490
Code commune 81196
Démographie
Gentilé Noailhacois
Population
municipale
843 hab. (2021 en diminution de 2,43 % par rapport à 2015)
Densité 41 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 34′ 29″ nord, 2° 21′ 11″ est
Altitude Min. 212 m
Max. 475 m
Superficie 20,77 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Castres
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mazamet-1
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Noailhac
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Noailhac
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Noailhac
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Noailhac
Liens
Site web mairie-noailhac81.fr

Noailhac est une commune française située dans le sud-est du département du Tarn, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Castrais, un territoire essentiellement agricole, entre la rive droite de l'Agout au sud et son affluent, le Dadou, au nord.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Durenque, la Durencuse et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Noailhac est une commune rurale qui compte 843 habitants en 2021. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Castres. Ses habitants sont appelés les Noailhacois ou Noailhacoises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune située dans l'aire urbaine de Castres, à 8,5 kilomètres à l'est de Castres[1].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Saint-Salvy-de-la-Balme, Boissezon, Castres, Payrin-Augmontel, Pont-de-Larn et Valdurenque.

Noailhac est limitrophe de six autres communes.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La ligne de transport à la demande 106 du réseau urbain Libellus assure la desserte de la commune, en la reliant à Valdurenque (permettant des correspondances avec les lignes régulières vers Castres) et à Boissezon[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[4]. Elle est drainée par la Durenque, la Durencuse, un bras de la Durenque, le ruisseau de Balazou, le ruisseau de Ganoubre, le ruisseau de la Blazié, le ruisseau de la Mengararié, le ruisseau de la Vergnole, le ruisseau de Puech du Fau, le ruisseau de Puech-Pitou, le ruisseau des Pradailles, le ruisseau du Chien et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 36 km de longueur totale[5],[Carte 1].

La Durenque, d'une longueur totale de 31,5 km, prend sa source dans la commune du Bez et s'écoule d'est en ouest. Elle traverse la commune et se jette dans l'Agout à Castres, après avoir traversé 8 communes[6].

La Durencuse, d'une longueur totale de 17,7 km, prend sa source dans la commune du Bez et s'écoule d'est en ouest. Elle traverse la commune et se jette dans la Durenque à Boissezon, après avoir traversé 5 communes[7].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Noailhac.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 960 mm, avec 9,5 jours de précipitations en janvier et 5,6 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Laguiole à 511 km à vol d'oiseau[10], est de 8,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 441,2 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 1] sont recensées sur la commune[14] :

  • les « bois de Gasquignoles et Grand bois » (570 ha), couvrant 3 communes du département[15] ;
  • le « causse de Caucalières - Labruguière » (2 478 ha), couvrant 7 communes du département[16] ;
  • la « forêt du puech du Fau et du Baile de Sarrettes » (1 110 ha), couvrant 3 communes du département[17] ;

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Noailhac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[18],[I 1],[19].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Castres, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 55 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (54,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (56,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,2 %), prairies (24,6 %), zones agricoles hétérogènes (19,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2 %), zones urbanisées (1,8 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Noailhac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Durenque et la Durencuse. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[23]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1999, 2013, 2018, 2019 et 2020[24],[21].

Noailhac est exposée au risque de feu de forêt. En 2022, il n'existe pas de Plan de Prévention des Risques incendie de forêt (PPRif). Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 4],[25].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Noailhac.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[26]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 71,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (76,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 449 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 366 sont en aléa moyen ou fort, soit 82 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[28].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[29].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Noailhac est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[30].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Noailhac s'est développé autour de l'église Notre-Dame de Noailhac (classée monument historique en 1972) bâtie au XIIe siècle. Noailhac dépend du couvent bénédictin de Castres (relevant de l'abbaye Saint-Victor de Marseille) jusqu'en 1317, lorsqu'il devient chapitre cathédral. La paroisse a eu deux annexes durant son histoire, Saint-Michel-de-Perrin (ou Payrin, 1569) et Saint-Salvi-de-la-Balme (1682). C'est en 1546 qu'une chapellenie est créée dans l'église, qui fut restaurée au XIXe siècle.

Un premier projet de créer la commune de Noailhac, en 1897-1902, échoue à cause de l'avis défavorable du Conseil d’État. En 1927, le gouvernement passe outre un nouvel avis défavorable et présente le projet de loi. Un an plus tard la paroisse de Noailhac est enfin érigée en commune aux dépens de Boissezon, en vertu d'une loi du (JO du )[31].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2014 En cours Francis Mathieu    
mars 2008 mars 2014 Jean-Louis Gau PS  
avant 1988 ? Gaston Sagnes    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1931. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33]. En 2021, la commune comptait 843 habitants[Note 5], en diminution de 2,43 % par rapport à 2015 (Tarn : +1,82 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990
598596531606613628647650650
1999 2006 2007 2012 2017 2021 - - -
712796808836853843---
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018, la commune compte 379 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 857 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 840 [I 4] (20 400  dans le département[I 5]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 7,4 % 9,1 % 7,9 %
Département[I 7] 8,2 % 9,9 % 10 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 518 personnes, parmi lesquelles on compte 79 % d'actifs (71,1 % ayant un emploi et 7,9 % de chômeurs) et 21 % d'inactifs[Note 7],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Castres, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 9]. Elle compte 103 emplois en 2018, contre 146 en 2013 et 161 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 372, soit un indicateur de concentration d'emploi de 27,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 59,1 %[I 10].

Sur ces 372 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 55 travaillent dans la commune, soit 15 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 93 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,1 % les transports en commun, 4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 1,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

51 établissements[Note 8] sont implantés à Noailhac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 9],[I 13].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 51 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
6 11,8 % (13 %)
Construction 12 23,5 % (12,5 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
8 15,7 % (26,7 %)
Information et communication 3 5,9 % (2,1 %)
Activités financières et d'assurance 1 2 % (3,3 %)
Activités immobilières 2 3,9 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
7 13,7 % (13,8 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
9 17,6 % (15,5 %)
Autres activités de services 3 5,9 % (9 %)

Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 23,5 % du nombre total d'établissements de la commune (12 sur les 51 entreprises implantées à Noailhac), contre 12,5 % au niveau départemental[I 14].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[36] :

  • SAS Minage Travaux Publics & Speciaux - MTPS, travaux de terrassement spécialisés ou de grande masse (5 398 k€)
  • Maison Gousto, commerce de détail alimentaire sur éventaires et marchés (126 k€)

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

  • Une entreprise de menuisierie et
  • Une entreprise d'électricité générale
  • Une entreprise de plomberie
  • Une entreprise de peinture
  • Un granitier
  • Un hôtel

Agriculture[modifier | modifier le code]

1988 2000 2010 2020
Exploitations 26 12 7 7
SAU[Note 10] (ha) 1 088 713 684 639

La commune est dans la « plaine de l'Albigeois et du Castrais », une petite région agricole occupant le centre du département du Tarn[37]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est l'élevage bovin, orientation mixte lait et viande[Carte 5]. Sept exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 12] (26 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 639 ha[39],[Carte 6],[Carte 7].

Associations[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Tombe de l'abbé Pistre situé au chevet de l'église Notre-Dame de Noailhac dans le Tarn. La tombe indique 1980 comme année de décès.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Noailhac Blason
Tiercé en pairle renversé : au 1er de sinople à une hache et à un pic d'argent, tous deux emmanchés d'or et passés en sautoir, au 2e de gueules à une croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces d'or, au 3e d'argent à la divise ondée et abaissée d'azur et à une rose des jardins de gueules, tigée et feuillée de sinople brochant[42].
Détails
adopté le .

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  9. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  10. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  11. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[38].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Noailhac » sur Géoportail (consulté le 10 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Castres » (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Noailhac » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Noailhac » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Noailhac » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Noailhac » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. « Infos, distance et photos de Noailhac », sur voldoiseau.com (consulté le ).
  2. Carte IGN sous Géoportail
  3. « Plan général du réseau urbain Libellus ».
  4. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Fiche communale de Noailhac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  6. Sandre, « la Durenque »
  7. Sandre, « la Durencuse »
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre Noailhac et Laguiole », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Laguiole » (commune de Laguiole) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Laguiole » (commune de Laguiole) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  14. « Liste des ZNIEFF de la commune de Noailhac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « ZNIEFF les « bois de Gasquignoles et Grand bois » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « ZNIEFF le « causse de Caucalières - Labruguière » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « ZNIEFF la « forêt du puech du Fau et du Baile de Sarrettes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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