Couëtron-au-Perche

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Couëtron-au-Perche
Couëtron-au-Perche
Le château de Saint-Agil.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Loir-et-Cher
Arrondissement Vendôme
Intercommunalité Communauté de communes des Collines du Perche
Maire
Mandat
Jacques Granger
2020-2026
Code postal 41170
Code commune 41248
Démographie
Population
municipale
1 028 hab. (2021)
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 02′ 15″ nord, 0° 52′ 02″ est
Altitude Min. 106 m
Max. 240 m
Superficie 86,47 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Perche
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Couëtron-au-Perche
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Couëtron-au-Perche
Géolocalisation sur la carte : Loir-et-Cher
Voir sur la carte topographique de Loir-et-Cher
Couëtron-au-Perche
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Voir sur la carte administrative du Centre-Val de Loire
Couëtron-au-Perche
Liens
Site web couetronauperche.fr

Couëtron-au-Perche est une commune nouvelle française située dans le département de Loir-et-Cher en région Centre-Val de Loire. Elle a été créée le .

Elle est issue du regroupement de cinq communes : Souday, Arville, Oigny, Saint-Agil et Saint-Avit, qui sont devenues « communes déléguées »[1].

Son chef-lieu est fixé à Souday[2].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Carte

La commune de Couëtron-au-Perche se trouve au nord du département de Loir-et-Cher, dans la région naturelle du Perche[3],[4]. À vol d'oiseau, elle se situe à 60,5 km de Blois[5], préfecture du département, à 30,8 km de Vendôme[6], sous-préfecture, et à 18,1 km de Savigny-sur-Braye, chef-lieu du canton du Perche dont dépend la commune depuis 2015[7]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mondoubleau[8].

Les communes les plus proches sont[9] : Saint-Agil (4,5 km), Oigny (5,2 km), Le Plessis-Dorin (5,8 km), Valennes (6,2 km) (72), Choue (6,3 km), Mondoubleau (6,5 km), Arville (6,7 km), Saint-Avit (7 km) et Baillou (7,8 km).

Paysage et relief[modifier | modifier le code]

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage, adoptée le et entrée en vigueur en France le , un atlas des paysages de Loir-et-Cher a été élaboré en 2010 par le CAUE de Loir-et-Cher, en collaboration avec la DIREN Centre (devenue DREAL en 2011), partenaire financier[10]. Les paysages du département s'organisent ainsi en huit grands ensembles et 25 unités de paysage[Note 1],[11]. La commune fait partie de l'unité de paysage du Perche[12].

Le Perche Gouët présente des successions de vallons et de collines, dégageant des vues alternativement intimes et ouvertes et offrant de riches paysages, contrastant avec les autres paysages du département, marqués par de grandes étendues des plateaux et de larges vallées, et constituant ainsi une exception. Cette forme mouvementée des reliefs s'explique par la nature argileuse des sols dans lesquels les rivières et ruisseaux y ont facilement sculpté des vallons et vallées successives aux profils arrondis[13].

L'altitude du territoire communal varie de 106 mètres à 240 mètres[14],[15].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentantle réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Couëtron-au-Perche.

La commune est drainée par la Braye, le Couétron, le Guériteau le Roclane et par divers petits cours d'eau, constituant sur l'ancienne commune de Souday un réseau hydrographique de 25,76 km de longueur totale[16].

La Braye, d'une longueur totale de 75,1 km, prend sa source dans la commune de Ceton et se jette dans le Loir à Vallée-de-Ronsard, après avoir traversé 24 communes[17].

Le Couétron[Qui ?] traverse la commune du nord-est vers le sud-ouest. D'une longueur totale de 16,9 km, il prend sa source dans la commune de La Fontenelle et se jette dans la Braye à Valennes, après avoir traversé 4 communes[18].

La Braye est un cours d'eau de deuxième catégorie, où le peuplement piscicole dominant est constitué de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche), tandis que le Couétron est un cours d'eau de première catégorie, où le peuplement piscicole dominant est constitué de salmonidés (truite, omble chevalier, ombre commun, huchon)[19].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[20]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[21].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 725 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[20]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Choue à 6 km à vol d'oiseau[22], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 645,6 mm[23],[24]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[25].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

L'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d'améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d'aide à la prise en compte de l'environnement dans l'aménagement du territoire. Le territoire communal de Couëtron-au-Perche comprend quatre ZNIEFF[26] :

  • la « Basse vallée de la Braye entre Le-Gué-de-Launay et Valennes » (159,33 ha)[27] ;
  • le « Bois de Glatigny » (44,17 ha)[28] ;
  • la « Mare de la Pechardière » (1,66 ha)[29] ;
  • la « Vallée du Couëtron » (850,64 ha)[30].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Couëtron-au-Perche est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[31],[32],[33]. La commune est en outre hors attraction des villes[34],[35].

Infrastructures et occupation des sols de la commune de Couëtron-au-Perche.

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols est marquée par l'importance des espaces agricoles et naturels. La répartition détaillée ressortant de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover millésimée 2012 pour l'ancienne commune de Souday est la suivante : terres arables (64,7 %), zones agricoles hétérogènes (7,3 %), prairies (15,9 %), forêts (11,3 %), zones urbanisées (0,9 %)[16].

Planification[modifier | modifier le code]

La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d'un établissement public, pour déterminer les partis d'aménagement de l'espace au sein d'un SCoT, un document essentiel d'orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCOT des Territoires du Grand Vendômois, approuvé en 2006 et dont la révision a été prescrite en 2017, pour tenir compte de l'élargissement de périmètre[36],[37].

En matière de planification, la commune disposait en 2017 d'une carte communale approuvée, un plan local d'urbanisme était en élaboration[38].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Couëtron-au-Perche en 2016 en comparaison avec celle du Loir-et-Cher et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (26,2 %) supérieure à celle du département (18 %) et à celle de la France entière (9,6 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 79,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (80,2 % en 2011), contre 68,1 % pour le Loir-et-Cher et 57,6 pour la France entière.

Le logement à Couëtron-au-Perche en 2016.
Couëtron-au-Perche[39] Loir-et-Cher[40] France entière[41]
Résidences principales (en %) 60,0 74,5 82,3
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 26,2 18 9,6
Logements vacants (en %) 13,8 7,5 8,1

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire communal de Couëtron-au-Perche est vulnérable à différents aléas naturels : inondations (par débordement de la Braye ou par ruissellement), climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains ou sismique (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique : le transport de matières dangereuses[42],[43].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Zones inondables de la commune de Couëtron-au-Perche.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles, soit des glissements de terrains[42]. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[44]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Georisques[45].

L'inventaire des crues historiques en France établi par Maurice Campion en 1864 ne mentionne pas la Braye. L'atlas des zones inondables de la Braye élaboré en mai 2007 s'est donc appuyé sur les relevés hydrométriques existants depuis la mise en place d'échelles de crues. Le débit de la crue de référence varie ainsi entre 140 et 320 m3/s selon les sections[46].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de marchandises dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une canalisation de transport de gaz. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d'avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu'à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d'urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[47].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Avant 2019[modifier | modifier le code]

Créée en 2019, Couëtron-au-Perche est la fusion des communes aujourd'hui déléguées de[Note 5] :

Événements communs aux cinq communes déléguées[modifier | modifier le code]

Depuis 2019[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Conseil municipal[modifier | modifier le code]

Jusqu'aux élections municipales de 2020, le conseil municipal de la commune est constitué de tous les conseillers municipaux issus des conseils des anciennes communes. Le maire de chacune d'entre elles devient maire délégué.


Liste des communes historiques
Nom Code
Insee
Code postal Superficie
(km2)
Population
(dernière pop. légale)
Densité
(hab./km2)
Modifier
Souday
(siège)
41248 36,42 510 (2015) 14 modifier les donnéesmodifier les données
Arville 41005 9,75 80 (2015) 8,2 modifier les donnéesmodifier les données
Oigny 41165 9,86 91 (2015) 9,2 modifier les donnéesmodifier les données
Saint-Agil 41197 15,61 270 (2015) 17 modifier les donnéesmodifier les données
Saint-Avit 41202 14,83 98 (2015) 6,6 modifier les donnéesmodifier les données

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
janvier 2018 En cours Jacques Granger[48],[49]   Agriculteur sur moyenne exploitation

Équipements et services[modifier | modifier le code]

Eau et assainissement[modifier | modifier le code]

L'organisation de la distribution de l'eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La compétence eau et assainissement des communes est un service public industriel et commercial (SPIC)[50].

Assainissement des eaux usées[modifier | modifier le code]

En 2019, la commune de Couëtron-au-Perche gère le service d'assainissement collectif en régie directe, c'est-à-dire avec ses propres personnels, avec le statut de régie à autonomie financière[51]. Trois stations de traitement des eaux usées sont en service au sur le territoire communal[52] :

  • « Bourg », un équipement utilisant la technique des filtres plantés, dont la capacité est de 200 EH, mis en service le [53] ;
  • « En Bordure Chemin De La Borde », un équipement utilisant la technique du lagunage naturel, avec prétraitement, dont la capacité est de 135 EH, mis en service le [54] ;
  • « Souday », un équipement utilisant la technique du lagunage naturel, avec prétraitement, dont la capacité est de 270 EH, mis en service le [55].

Sécurité, justice et secours[modifier | modifier le code]

La sécurité de la commune est assurée par la brigade de gendarmerie de Mondoubleau qui dépend du groupement de gendarmerie départementale de Loir-et-Cher installé à Blois[56].

En matière de justice, Couëtron-au-Perche relève du conseil de prud'hommes de Blois, de la Cour d'appel d'Orléans (juridiction de Blois)[57], de la Cour d'assises de Loir-et-Cher, du tribunal administratif de Blois, du tribunal de commerce de Blois et du tribunal judiciaire de Blois[58].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.

En 2021, la commune comptait 1 028 habitants[Note 6].

Évolution de la population  [ modifier ]
2020 2021
1 0311 028
(Sources : Insee à partir de 2016[59].)

Économie[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activité[modifier | modifier le code]

Le tableau ci-dessous détaille le nombre d'entreprises implantées à Couëtron-au-Perche selon leur secteur d'activité et le nombre de leurs salariés[60] :

Établissements actifs par secteur d'activité au .
total % com (% dep[61]) 0 salarié 1 à 9 salarié(s) 10 à 19 salariés 20 à 49 salariés 50 salariés ou plus
Ensemble 129 100,0 (100) 90 38 1 0 0
Agriculture, sylviculture et pêche 57 44,2 (11,8) 44 13 0 0 0
Industrie 11 8,5 (6,5) 9 2 0 0 0
Construction 11 8,5 (10,3) 4 7 0 0 0
Commerce, transports, services divers 42 32,6 (57,9) 31 10 1 0 0
dont commerce et réparation automobile 6 4,7 (17,5) 4 2 0 0 0
Administration publique, enseignement, santé, action sociale 8 6,2 (13,5) 2 6 0 0 0
Champ : ensemble des activités.

Le secteur agricole est important puisqu'il représente 44,2 % du nombre d'entreprises de la commune (57 sur 129), contre 11,8 % au niveau départemental. Sur les 129 entreprises implantées à Couëtron-au-Perche en 2016, 90 ne font appel à aucun salarié, 38 comptent 1 à 9 salariés et 1 emploie entre 10 et 19 personnes

Au , la commune est classée en zone de revitalisation rurale (ZRR), un dispositif visant à aider le développement des territoires ruraux principalement à travers des mesures fiscales et sociales. Des mesures spécifiques en faveur du développement économique s'y appliquent également[62].

Il convient de se reporter aux articles consacrés aux anciennes communes fusionnées.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Il convient de se reporter aux articles consacrés aux anciennes communes fusionnées.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Il convient de se reporter aux articles consacrés aux anciennes communes fusionnées.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Michel Provost, Carte archéologique de la Gaule : Le Loir-et-Cher, Paris, Académie des inscriptions et belles-lettres, , 159 p. (ISBN 2-87754-003-0)
  • Christian Poitou, Paroisses et communes de France : Loir-et-Cher, Paris, CNRS Editions, , 591 p. (ISBN 2-271-05482-6)
  • Stéphane Gendron, Les noms de lieux du Centre, Paris, éditions Bonneton, , 232 p. (ISBN 978-2-86253-226-4).
  • Claude Motte, Isabelle Séguy & Christine Théré, avec la collaboration de Dominique Tixier-Basse, Communes d'hier, communes d'aujourd'hui : Les communes de la France métropolitaine, 1801-2001. Dictionnaire d'histoire administrative, Paris, Institut National d'Études Démographiques,, , 408 p. (ISBN 978-2-7332-1028-4, lire en ligne)

Il convient de se reporter aux articles consacrés aux anciennes communes fusionnées.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Une unité de paysage est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d'une superficie en général limitée caractérisée par la présence d'espèces, d'association d'espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type sont des secteurs d'une superficie en général limitée caractérisée par la présence d'espèces, d'association d'espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. Il convient de se reporter aux articles consacrés aux anciennes communes fusionnées.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Julien Le Goff, « Recueil des actes administratifs no 41-2017-07-0092 : Arrêté préfectoral no 41-2017-07-10-003 portant création de la commune nouvelle Couëtron-au-Perche à compter du 1er janvier 2018 » [PDF], sur loir-et-cher.gouv.fr, , p. 147-151.
  2. « Commune de Couëtron-au-Perche (41248) », sur insee.fr (consulté en ).
  3. « Petites régions agricoles (PRA) par commune », sur geo.data.gouv.fr (consulté le ).
  4. [PDF]« Carte des petites régions agricoles de Loir-et-Cher », sur la plateforme de l'information territoriale de Loir-et-Cher (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre "Couëtron-au-Perche" et "Blois" »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre "Couëtron-au-Perche" et "Vendôme" »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre "Couëtron-au-Perche" et "Savigny-sur-Braye" »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
  8. « Métadonnées de la commune de Couëtron-au-Perche », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  9. « Communes les plus proches de Couëtron-au-Perche »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
  10. « Pourquoi un Atlas des paysages du Loir-et-Cher ? », sur le site de l'atlas des paysages de Loir-et-Cher (consulté le ).
  11. « Comment s'organise le contenu Internet de l'Atlas ? », sur le site de l'atlas des paysages de Loir-et-Cher (consulté le ).
  12. « Le Perche Gouët - intro », sur le site de l'atlas des paysages de Loir-et-Cher (consulté le ).
  13. « Le Perche Gouët - description », sur le site du CAUE dédié à l'atlas des paysages de Loir-et-Cher (consulté le ).
  14. Répertoire géographique des communes (RGC) 2015. En 2016, le RGC a été remplacé par la base Admin Express qui ne comporte plus que l'altitude moyenne de la commune, les altitudes minimale et maximale pouvant être trouvées par un système d'information géographique.
  15. Carte de Couëtron-au-Perche, sur Géoportail, consulté le 15 mars 2020.
  16. a et b « Fiche communale de Souday », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
  17. Sandre, « la Braye ».
  18. Sandre, « le Couétron ».
  19. « Décret no 58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories - Version consolidée », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  20. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  21. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  22. « Orthodromie entre Couëtron-au-Perche et Choue », sur fr.distance.to (consulté le ).
  23. « Station Météo-France « Choue », sur la commune de Choue - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  24. « Station Météo-France « Choue », sur la commune de Choue - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  25. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  26. « Liste des ZNIEFF de la commune de Couëtron-au-Perche » (consulté le ).
  27. « ZNIEFF la « Basse vallée de la Braye entre Le-Gué-de-Launay et Valennes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  28. « ZNIEFF le « Bois de Glatigny » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  29. « ZNIEFF la « Mare de la Pechardière » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  30. « ZNIEFF la « Vallée du Couëtron » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  31. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  32. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  33. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  34. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  35. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  36. « Révision du SCOT des Territoires du Grand Vendômois », sur scottgv.wordpress.com (consulté le ).
  37. « Les SCOT en Loir-et-Cher », sur le site de la préfecture de Loir-et-Cher (consulté le ).
  38. « Etat par commune des POS, PLU et cartes communales », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  39. « Chiffres clés - Logement en 2016 à Couëtron-au-Perche », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  40. « Chiffres clés - Logement en 2016 dans le Loir-et-Cher », sur insee.fr (consulté le ).
  41. « Chiffres clés - Logement en 2016 dans la France entière », sur insee.fr (consulté le ).
  42. a et b [PDF]« Le Dossier Départemental des Risques Majeurs (DDRM) de Loir-et-Cher - Liste des risques par commune », sur loir-et-cher.gouv.fr (consulté le ), p. 74-86.
  43. « Rapport présentant les risques affectant la commune »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur l'observatoire national des risques naturels, (consulté le ).
  44. « Argiles - Aléa retrait-gonflement des argiles - Description du phénomène »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site « Géorisques » du ministère de la transition écologique et solidaire (consulté le ).
  45. « Carte de zonage de l'aléa retrait-gonflement des argiles sur la commune de Couëtron-au-Perche »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  46. « Atlas des zones inondables de la Braye », sur le site de la préfecture de Loir-et-Cher, (consulté le ).
  47. [PDF]« Le Dossier Départemental des Risques Majeurs (DDRM) de Loir-et-Cher - Liste des risques par commune », sur loir-et-cher.gouv.fr (consulté le ), p. 58-66.
  48. « Compte rendu du conseil municipal du 25 mai 2020 », sur couetronauperche.fr (consulté en ).
  49. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  50. « Le service public local de l'eau potable et de l'assainissement », sur vie-publique.fr, (consulté le ).
  51. « composition communale des services d'assainissement collectif pour l'année 2019 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur services.eaufrance.fr, (consulté le ).
  52. « Catalogue des stations d'épuration en service en Loir-et-Cher au 31 janvier 2019 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de l'agence de l'eau Loire-Bretagne (consulté le ).
  53. « Fiche descriptive de l'ouvrage « Bourg » », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
  54. « Fiche descriptive de l'ouvrage « En Bordure Chemin De La Borde » », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
  55. « Fiche descriptive de l'ouvrage « Souday » », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
  56. « Compétence territoriale gendarmerie et police nationales », sur data.gouv.fr (consulté le ).
  57. « Les tribunaux - Juridictions du ressort », sur cours-appel.justice.fr (consulté le ).
  58. « Liste des juridictions compétentes pour la commune de Couëtron-au-Perche », sur le site du ministère de la Justice et des libertés (consulté le ).
  59. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  60. « CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité à Couëtron-au-Perche (41) au 31 décembre 2015 », sur insee.fr (consulté le ).
  61. « CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité pour le département de Loir-et-Cher », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  62. « Etat des ZRR au 1er juillet 2017 », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).