Cobonne
Cobonne | |||||
Eglise Saint-Pierre de Cobonne | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Die | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Val de Drôme | ||||
Maire Mandat |
Philippe Ribière 2020-2026 |
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Code postal | 26400 | ||||
Code commune | 26098 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Cobonnois | ||||
Population municipale |
170 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 15 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 45′ 37″ nord, 5° 04′ 32″ est | ||||
Altitude | Min. 231 m Max. 750 m |
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Superficie | 11,2 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Crest (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Crest | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Cobonne est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Ses habitants sont dénommés les Cobonnois[1].
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Cobonne est située dans la vallée de la Sye, elle-même située à l'ouest de la vallée de la Gervanne.
La mairie se situe à 8 km au nord-est de Crest et à 33 km à l'est de Valence, préfecture de la Drôme, ainsi qu'à 140 km de Lyon, préfecture de la région Auvergne-Rhône-Alpes.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est traversé, selon un axe nord-sud (légèrement orienté vers le sud-ouest) par le torrent de la Sye, affluent de la Drôme, d'une longueur totale de 12 km[2].
La source de cette rivière est estimée à une altitude de 706 m, au pied du plateau de Savel sur le territoire de la commune de Gigors-et-Lozeron.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Moyenne vallée du Rhône » et « Alpes du sud »[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 004 mm, avec 8,3 jours de précipitations en janvier et 4,9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beaufort-S-Gervanne »sur la commune de Beaufort-sur-Gervanne à 6 km à vol d'oiseau[5], est de 12,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 936,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Cobonne est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Crest, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[10]. Cette aire, qui regroupe 17 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (62,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (64 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (62,8 %), zones agricoles hétérogènes (17,9 %), prairies (16 %), terres arables (3,3 %), zones urbanisées (0,1 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
[modifier | modifier le code]Situé au sud du massif préalpin du Vercors, le bourg ancien se présente sous la forme d'un village perché dominant la vallée de la Sye.
La plus grande partie du territoire de la commune est située dans la vallée de la Sye, tandis que le vieux village de Cobonne, situé au nord du territoire, est répertorié comme un village perché du Val-de-Drôme[14], lieu d'une ancienne fortification.
Il s'agit d'un village à vocation rurale dont la grande majorité des habitations sont situées le long d'une unique route départementale remontant un torrent qui s'écoule depuis les contreforts du massif du Vercors. L'ancien bourg a été restauré et attire de nombreux touristes durant la période estivale[15].
Quartiers, hameaux et lieux-dits
[modifier | modifier le code]Site Géoportail (carte IGN)[16] :
- Baume Rousse
- Bénistan
- Bouliane
- la Bouillonne
- la Combe
- la Gaye [nord]
- la Gaye [sud]
- la Grange
- le Moulin
- le Pont
- les Claus
- les Reynoirs
- Marianne
- Martinon
- Mourier
- Peyrinier
- Roland
- Tournon
- Tramelas
- Triolet
Logement
[modifier | modifier le code]Projets d'aménagement
[modifier | modifier le code]Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune de Cobonne est situé hors des grands axes de communinication. Elle est cependant traversée par un axe secondaire, la route départementale No 731 (RD 731) qui relie la commune d'Aouste-sur-Sye et la commune de Gigors-et-Lozeron.
Cette route se raccorde au sud à la RD 93 qui relie Crest à Aspres-sur-Buëch et au nord à la RD 732 qui relie Beaufort-sur-Gervanne à Combovin.
Risques naturels et technologiques
[modifier | modifier le code]Risques sismiques
[modifier | modifier le code]Autres risques
[modifier | modifier le code]Toponymie
[modifier | modifier le code]Attestations
[modifier | modifier le code]Dictionnaire topographique du département de la Drôme[17] :
- 1240 : Cobona (chartes valent., 12).
- 1251 : villa de Cobonna (cartulaire de Léoncel, 173).
- 1282 : Combonno (cartulaire de Léoncel, 245).
- XIVe siècle : mention de la paroisse : capella de Cobono (pouillé de Die).
- 1449 : mention de la paroisse : capella de Cobona (pouillé hist.).
- 1509 : mention de l'église Saint-Pierre : ecclesia Sancti Petri de Cobona (visites épiscopales).
- XVIIe siècle : Couboune (archives de la Drôme, E 509).
- 1788 : Coubonne (alman. du Dauphiné).
- 1891 : Cobonne, commune du canton de Crest-Nord.
Étymologie
[modifier | modifier le code]Le toponyme est peut-être issu du gaulois cumba signifiant « combe » et décrivant une petite vallée entourée de montagnes[réf. nécessaire].
Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire
[modifier | modifier le code]Protohistoire
[modifier | modifier le code]Période celtique : le territoire fait partie de la tribu gauloise des Voconces.
Antiquité : les Gallo-romains
[modifier | modifier le code]À la suite de la conquête romaine de la Gaule, un village gallo-romain est créé[18]. Il est situé non loin de l'ancienne agglomération nommée Augusta Vocontiorum (ville actuelle d'Aouste-sur-Sye).
Du Moyen Âge à la Révolution
[modifier | modifier le code]Vers l'an 1000, le territoire est rattaché au royaume de Bourgogne[réf. nécessaire].
La seigneurie[17] :
- Au point de vue féodal, c'était un terre (ou seigneurie) démembrée de celle de Gigors.
- Possession des comtes de Valentinois.
- 1291 : elle est donnée aux Quint.
- Peu de temps après : elle passe (par mariage) aux Reynaud.
- 1331 : vendue aux Clermont-Montoison, derniers seigneurs.
Avant 1790, Cobonne fait partie de l'élection de Montélimar et de la subdélégation et sénéchaussée de Crest.
Elle formait une paroisse du diocèse de Die dont l'église était dédiée à saint Pierre et dont les dîmes appartenaient au prieur de Gigors qui présentait à la cure[17].
De la Révolution à nos jours
[modifier | modifier le code]En 1790, la commune est comprise dans le canton d'Aouste. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans celui de Crest-Nord[17].
Pendant la Seconde guerre mondiale, des combats se déroulèrent dans les vallées de la Gervanne et de la Sye. Le village, situé dans une zone de maquis, a subi un bombardement intensif de la part des Allemands. Il fut quasiment abandonné par la suite[réf. nécessaire].
Depuis, la commune s'est peu à peu repeuplée et, dans les années 1970, des citadins ont restauré certaines maisons.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendance politique et résultats
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Administrativement la commune est comprise dans l'arrondissement de Die, dans le canton de Crest.
Elle est également une commune adhérente de la communauté de communes du Val de Drôme qui comprend trente communes et dont le siège est situé à Eurre.
Politique environnementale
[modifier | modifier le code]Finances locales
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]En 2020, la commune n'est pas répertoriée sur les annuaires de jumelage.
Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]Deux écoles accueillent les enfants de la commune qui est rattachée à l'académie de Grenoble[20] :
- L'école maternelle de la commune voisine d'Aouste sur Sye accueille les enfants de petite et grande section.
- L'école primaire de Cobonne (quartier Chamblard) accueille les grandes sections de maternelle et les primaires.
Santé
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[22].
En 2021, la commune comptait 170 habitants[Note 2], en évolution de +3,66 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Début XXIe siècle : il reste encore quelques paysans originaires de la commune et des environs mais il y a une importante population de néoruraux, notamment dans la partie basse de la vallée de la Sye, en grande partie due au fait que l'agglomération valentinoise, bassin principal d'emplois de la région, est située à moins de 35 km du centre de la commune[réf. nécessaire].
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]La fête locale est célébrée le 15 août[25].
Loisirs
[modifier | modifier le code]Sports
[modifier | modifier le code]Médias
[modifier | modifier le code]- Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition de Valence au Diois, un ou plusieurs articles à l'actualité de la communauté de communes, du canton, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.
- L'Impartial de la Drôme est un hebdomadaire régional distribué dans le département.
Cultes
[modifier | modifier le code]La communauté catholique et l'église paroissiale (propriété de la commune) sont rattachées à la paroisse Sainte Famille du Crestois, elle même dépendante du diocèse de Valence[26].
Économie
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]En 1992 : céréales, ovins, élevage de faisans[25].
Tourisme
[modifier | modifier le code]Revenus de la population et fiscalité
[modifier | modifier le code]Emploi
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Pierre : elle dépendait du prieuré voisin de saint-Pierre de Gigors. Le premier édifice religieux fut construit au XIIe siècle. En 1998, des travaux de restauration ont été entrepris et comprenaient une réfection complète de la toiture, la reprise des maçonneries extérieures et des enduits intérieurs. Le décapage de ces maçonneries a permis de découvrir des peintures murales d'origine médiévale[27].
- La cloche est un objet classé (C)[25].
- Restes d'enceintes du XIVe siècle avec une tour cylindrique appuyée sur l'abside de l'église romane (aujourd'hui détruite) et la porte de la Herse avec passage couvert d'un arc brisé et assommoir entre deux voûtes en tuf[réf. nécessaire].
- Four à pain banal, visible dans la rue principale[réf. nécessaire].
-
Porte de la Herse.
-
Place du village.
-
Ruines du donjon.
-
Ruelle du village.
Patrimoine culturel
[modifier | modifier le code]Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]- La vallée de la Sye[25].
- La forêt communale de Combone, soumise au règlement de l'ONF, est divisée en quatre parties, toutes situées dans la partie nord-ouest de la commune[28].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique, logotype et devise
[modifier | modifier le code]Blason | Inconnu. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Michèle Bois et Chrystèle Burgard, Fortifications et châteaux dans la Drôme, éditions Créaphis, 192 pages, 2004.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- Cobonne sur le site de l'Institut géographique national / page archivée depuis 2007.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « le nom des habitants des communes de la Drôme » (consulté le ).
- « Cours d’eau de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Cobonne et Beaufort-sur-Gervanne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Beaufort-S-Gervanne », sur la commune de Beaufort-sur-Gervanne - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Beaufort-S-Gervanne », sur la commune de Beaufort-sur-Gervanne - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Crest », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Communauté de Communes du Val de Drôme – Cobonne Village Perché sur valdedrome.com
- Site de la mairie de Cobonne, page d'accueil
- « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 94 (Cobonne).
- Site Drôme Tourisme, page sur Cobonne
- Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
- Site de la mairie, page sur l'enfance
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Cobonne.
- Site messes.info, page sur la paroisse Saint Famille du Crestois, consulté le 18 juin 2020
- Site de sauvegarde de l'art français, page sur Cobonne [PDF].
- Site IDE de la Drôme, carte des forêts de Combonne [PDF].