Cobonne

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Cobonne
Cobonne
Eglise Saint-Pierre de Cobonne
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Die
Intercommunalité Communauté de communes du Val de Drôme
Maire
Mandat
Philippe Ribière
2020-2026
Code postal 26400
Code commune 26098
Démographie
Gentilé Cobonnois
Population
municipale
170 hab. (2021 en augmentation de 3,66 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 45′ 37″ nord, 5° 04′ 32″ est
Altitude Min. 231 m
Max. 750 m
Superficie 11,2 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Crest
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Crest
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Cobonne
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Cobonne

Cobonne est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants sont dénommés les Cobonnois[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Plan de la commune de Cobonne.

Localisation[modifier | modifier le code]

Cobonne est située dans la vallée de la Sye, elle-même située à l'ouest de la vallée de la Gervanne.

La mairie se situe à 8 km au nord-est de Crest et à 33 km à l'est de Valence, préfecture de la Drôme, ainsi qu'à 140 km de Lyon, préfecture de la région Auvergne-Rhône-Alpes.

Carte
Les limites du territoire communal.
Carte interactive (double-cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est traversé, selon un axe nord-sud (légèrement orienté vers le sud-ouest) par le torrent de la Sye, affluent de la Drôme, d'une longueur totale de 12 km[2].

La source de cette rivière est estimée à une altitude de 706 m, au pied du plateau de Savel sur le territoire de la commune de Gigors-et-Lozeron.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Moyenne vallée du Rhône » et « Alpes du sud »[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 004 mm, avec 8,3 jours de précipitations en janvier et 4,9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beaufort-S-Gervanne »sur la commune de Beaufort-sur-Gervanne à 6 km à vol d'oiseau[5], est de 12,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 936,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Cobonne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

La commune fait partie de l'aire d'attraction de Crest dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 17 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (62,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (64 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (62,8 %), zones agricoles hétérogènes (17,9 %), prairies (16 %), terres arables (3,3 %), zones urbanisées (0,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Situé au sud du massif préalpin du Vercors, le bourg ancien se présente sous la forme d'un village perché dominant la vallée de la Sye.

La plus grande partie du territoire de la commune est située dans la vallée de la Sye, tandis que le vieux village de Cobonne, situé au nord du territoire, est répertorié comme un village perché du Val-de-Drôme[15], lieu d'une ancienne fortification.

Il s'agit d'un village à vocation rurale dont la grande majorité des habitations sont situées le long d'une unique route départementale remontant un torrent qui s'écoule depuis les contreforts du massif du Vercors. L'ancien bourg a été restauré et attire de nombreux touristes durant la période estivale[16].

La vallée de la Sye et le territoire de la commune de Cobonne (le vieux village est situé en haut à droite de la photo)

Quartiers, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Site Géoportail (carte IGN)[17] :

  • Baume Rousse
  • Bénistan
  • Bouliane
  • la Bouillonne
  • la Combe
  • la Gaye [nord]
  • la Gaye [sud]
  • la Grange
  • le Moulin
  • le Pont
  • les Claus
  • les Reynoirs
  • Marianne
  • Martinon
  • Mourier
  • Peyrinier
  • Roland
  • Tournon
  • Tramelas
  • Triolet

Logement[modifier | modifier le code]

Projets d'aménagement[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune de Cobonne est situé hors des grands axes de communinication. Elle est cependant traversée par un axe secondaire, la route départementale No 731 (RD 731) qui relie la commune d'Aouste-sur-Sye et la commune de Gigors-et-Lozeron.

Cette route se raccorde au sud à la RD 93 qui relie Crest à Aspres-sur-Buëch et au nord à la RD 732 qui relie Beaufort-sur-Gervanne à Combovin.

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risques sismiques[modifier | modifier le code]

Autres risques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[18] :

  • 1240 : Cobona (chartes valent., 12).
  • 1251 : villa de Cobonna (cartulaire de Léoncel, 173).
  • 1282 : Combonno (cartulaire de Léoncel, 245).
  • XIVe siècle : mention de la paroisse : capella de Cobono (pouillé de Die).
  • 1449 : mention de la paroisse : capella de Cobona (pouillé hist.).
  • 1509 : mention de l'église Saint-Pierre : ecclesia Sancti Petri de Cobona (visites épiscopales).
  • XVIIe siècle : Couboune (archives de la Drôme, E 509).
  • 1788 : Coubonne (alman. du Dauphiné).
  • 1891 : Cobonne, commune du canton de Crest-Nord.

Étymologie[modifier | modifier le code]

Le toponyme est peut-être issu du gaulois cumba signifiant « combe » et décrivant une petite vallée entourée de montagnes[réf. nécessaire].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Protohistoire[modifier | modifier le code]

Période celtique : le territoire fait partie de la tribu gauloise des Voconces.

Antiquité : les Gallo-romains[modifier | modifier le code]

À la suite de la conquête romaine de la Gaule, un village gallo-romain est créé[19]. Il est situé non loin de l'ancienne agglomération nommée Augusta Vocontiorum (ville actuelle d'Aouste-sur-Sye).

Du Moyen Âge à la Révolution[modifier | modifier le code]

Vers l'an 1000, le territoire est rattaché au royaume de Bourgogne[réf. nécessaire].

La seigneurie[18] :

  • Au point de vue féodal, c'était un terre (ou seigneurie) démembrée de celle de Gigors.
  • Possession des comtes de Valentinois.
  • 1291 : elle est donnée aux Quint.
  • Peu de temps après : elle passe (par mariage) aux Reynaud.
  • 1331 : vendue aux Clermont-Montoison, derniers seigneurs.

Avant 1790, Cobonne fait partie de l'élection de Montélimar et de la subdélégation et sénéchaussée de Crest.
Elle formait une paroisse du diocèse de Die dont l'église était dédiée à saint Pierre et dont les dîmes appartenaient au prieur de Gigors qui présentait à la cure[18].

De la Révolution à nos jours[modifier | modifier le code]

En 1790, la commune est comprise dans le canton d'Aouste. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans celui de Crest-Nord[18].

Pendant la Seconde guerre mondiale, des combats se déroulèrent dans les vallées de la Gervanne et de la Sye. Le village, situé dans une zone de maquis, a subi un bombardement intensif de la part des Allemands. Il fut quasiment abandonné par la suite[réf. nécessaire].

Depuis, la commune s'est peu à peu repeuplée et, dans les années 1970, des citadins ont restauré certaines maisons.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendance politique et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
1790 1871 ?    
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
1871 1874 ?    
1874 1878 ?    
1878 1884 ?    
1884 1888 ?    
1888 1892 ?    
1892 1896 ?    
1896 1900 ?    
1900 1904 ?    
1904 1908 Antoine Lombard   conseiller d'arrondissement (Canton de Crest-Nord)
1908 1912 ?    
1912 1919 ?    
1919 1925 ?    
1925 1929 ?    
1929 1935 ?    
1935 1945 ?    
1945 1947 ?    
1947 1953 ?    
1953 1959 ?    
1959 1965 ?    
1965 1971 ?    
1971 1977 ?    
1977 1983 ?    
1983 1989 ?    
1989 1995 ?    
1995 2001 Michèle Gascoin    
2001 2008 Michèle Gascoin   maire sortante
2008 2014 Michèle Gascoin   maire sortante
2014 2020 José Lothe (sans étiquette) retraité de l'enseignement
2020 En cours
(au 26 novembre 2020)
Philippe Ribiere[20][source insuffisante]    

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Administrativement la commune est comprise dans l'arrondissement de Die, dans le canton de Crest.
Elle est également une commune adhérente de la communauté de communes du Val de Drôme qui comprend trente communes et dont le siège est situé à Eurre.

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Finances locales[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

En 2020, la commune n'est pas répertoriée sur les annuaires de jumelage.

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Deux écoles accueillent les enfants de la commune qui est rattachée à l'académie de Grenoble[21] :

  • L'école maternelle de la commune voisine d'Aouste sur Sye accueille les enfants de petite et grande section.
  • L'école primaire de Cobonne (quartier Chamblard) accueille les grandes sections de maternelle et les primaires.

Santé[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[23].

En 2021, la commune comptait 170 habitants[Note 3], en augmentation de 3,66 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
260141241253244246245251263
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
255256249211205206272214219
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
208214181157133154142120115
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
12411696117119130156158165
2015 2020 2021 - - - - - -
164170170------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Début XXIe siècle : il reste encore quelques paysans originaires de la commune et des environs mais il y a une importante population de néoruraux, notamment dans la partie basse de la vallée de la Sye, en grande partie due au fait que l'agglomération valentinoise, bassin principal d'emplois de la région, est située à moins de 35 km du centre de la commune[réf. nécessaire].

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

La fête locale est célébrée le 15 août[26].

Loisirs[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

  • Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition de Valence au Diois, un ou plusieurs articles à l'actualité de la communauté de communes, du canton, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.
  • L'Impartial de la Drôme est un hebdomadaire régional distribué dans le département.

Cultes[modifier | modifier le code]

La communauté catholique et l'église paroissiale (propriété de la commune) sont rattachées à la paroisse Sainte Famille du Crestois, elle même dépendante du diocèse de Valence[27].

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

En 1992 : céréales, ovins, élevage de faisans[26].

Tourisme[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Pierre : elle dépendait du prieuré voisin de saint-Pierre de Gigors. Le premier édifice religieux fut construit au XIIe siècle. En 1998, des travaux de restauration ont été entrepris et comprenaient une réfection complète de la toiture, la reprise des maçonneries extérieures et des enduits intérieurs. Le décapage de ces maçonneries a permis de découvrir des peintures murales d'origine médiévale[28].
La cloche est un objet classé (C)[26].

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

  • La vallée de la Sye[26].
  • La forêt communale de Combone, soumise au règlement de l'ONF, est divisée en quatre parties, toutes situées dans la partie nord-ouest de la commune[29].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Blason à dessiner Blason
Inconnu.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Michèle Bois et Chrystèle Burgard, Fortifications et châteaux dans la Drôme, éditions Créaphis, 192 pages, 2004.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « le nom des habitants des communes de la Drôme » (consulté le ).
  2. « Cours d’eau de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Cobonne et Beaufort-sur-Gervanne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Beaufort-S-Gervanne », sur la commune de Beaufort-sur-Gervanne - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Beaufort-S-Gervanne », sur la commune de Beaufort-sur-Gervanne - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  15. Communauté de Communes du Val de Drôme – Cobonne Village Perché sur valdedrome.com
  16. Site de la mairie de Cobonne, page d'accueil
  17. « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  18. a b c et d J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 94 (Cobonne).
  19. Site Drôme Tourisme, page sur Cobonne
  20. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
  21. Site de la mairie, page sur l'enfance
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. a b c d e et f Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Cobonne.
  27. Site messes.info, page sur la paroisse Saint Famille du Crestois, consulté le 18 juin 2020
  28. Site de sauvegarde de l'art français, page sur Cobonne [PDF].
  29. Site IDE de la Drôme, carte des forêts de Combonne [PDF].