Tillières-sur-Avre

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Tillières-sur-Avre
Tillières-sur-Avre
La mairie de Tillières-sur-Avre.
Blason de Tillières-sur-Avre
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Bernay
Intercommunalité CC Interco Normandie Sud Eure
Maire
Mandat
Fabien Gouttefarde
2022-2026
Code postal 27570
Code commune 27643
Démographie
Gentilé Tilliérois
Population
municipale
1 048 hab. (2021 en diminution de 4,55 % par rapport à 2015)
Densité 63 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 45′ 32″ nord, 1° 03′ 26″ est
Altitude Min. 128 m
Max. 179 m
Superficie 16,76 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Verneuil-sur-Avre
Législatives 1re circonscription de l'Eure
Localisation
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Tillières-sur-Avre
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Tillières-sur-Avre est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Paysage urbain de la commune.

Tillières-sur-Avre est un village bâti sur un flanc de colline en bordure de l'Avre dans le sud de l'Eure, limitrophe du département d'Eure-et-Loir dont il est séparé par le lit du cours d'eau. Il est situé à 23 km à vol d'oiseau à l'ouest de Dreux, 47 km au nord-ouest de Chartres. 79 km au nord-est d'Alençon et 30 kmau sud d'Évreux.

Le village était autrefois traversé par la route nationale 12, aujourd'hui déviée plus au nord du territoire communal[1]. La ligne de Saint-Cyr à Surdon y passe également, mais les trains ne s'y arrêtent plus, et les stations de chemin de fer les plus proches sont les gares de Verneuil-sur-Avre ou de Nonancourt, desservies par des navettes Paris - Argentan (ainsi que quelques navettes Granville - Paris ou Dreux - Granville en semaine).

Le sentier de grande randonnée GR 22, confondu à Tillières avec le sentier de grande randonnée de pays GRP d'Avre et d'Iton passe dans le village.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Montigny-sur-Avre.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Tillières-sur-Avre est traversée par l'Avre.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant aux plaines agricoles de l’Eure, avec une pluviométrie beaucoup plus faible que dans la plaine de Caen en raison du double effet d’abri provoqué par les collines du Bocage normand et par celles qui s’étendent sur un axe du Pays d'Auge au Perche[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 648 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Piseux à 6 km à vol d'oiseau[5], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 676,7 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

La commune abrite le site Natura 2000 des « Cavités de Tillières-sur-Avre »[9].

Ces cavités, creusées dans la craie, ont été exploitées jusqu'en 1935 pour extraire la marne et comme four à chaux. Elles ont été utilisées comme abri par la population pendant la guerre puis exploitées comme champignonnières avant d’être laissées à l'abandon à la fin des années 1980.

C'est dans ce réseau de cavités qu’hibernent les chauves-souris. Les dernières études ont recensé la présence de plus de 180 individus. Les ouvertures des cavités se trouvent à flanc de falaise. Outre les cavités, le site occupe une superficie de 16 hectares.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Tillières-sur-Avre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74,8 %), zones agricoles hétérogènes (10,9 %), forêts (5,6 %), zones urbanisées (5 %), prairies (3,6 %), eaux continentales[Note 2] (0,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 649, alors qu'il était de 648 en 2013 et de 626 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 71,8 % étaient des résidences principales, 7,6 % des résidences secondaires et 20,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 73 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 26,7 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Tillières-sur-Avre en 2018 en comparaison avec celle de l'Eure et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (7,6 %) supérieure à celle du département (6,3 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 63,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (57,1 % en 2013), contre 65,3 % pour l'Eure et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Tillières-sur-Avre en 2018.
Typologie Tillières-sur-Avre[I 1] Eure[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 71,8 85,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 7,6 6,3 9,7
Logements vacants (en %) 20,7 8,3 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Tegulense castrum en 1017 (Orderic Vital)[16], Tegularias en 1033 et 1069, Tilleriæ en 1049 (grand cartulaire de Jumiéges), Teuleriæ en 1109 (grand cart. de Jumiéges)[17], Thielleriæ en 1194 (Roger de Hoveden), Tilers en 1202, Tilleriæ en 1231 (cartulaire de Jumiéges), Tileriæ en 1279, Tyllères en 1281 (cart. de St-Père), Tegulariæ, vulgo Tillieres ou Tuillieres en 1557 (Robert Cœnalis), Tuillieres en 1611 (Desrues, Singularitez des principales villes), Tilliers en 1631 (Tassin, Plans et profilz), Tillers en 1691 (titres de Cesseville), Tuilliers en 1708 (Th. Corneille)[18].

Situé sur un point fort élevé de la rive gauche de l'Avre, « un château fut nommé Tillières ou Tuillières, parce qu'il y avait là une tuilerie »[19]. « Cette identification est incontestable, mais on ne saurait s'en autoriser pour la rattacher à l'industrie de la tuile »[20].

L'Avre traverse la commune.

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

1017, le Duc de Normandie Richard II, grand-père de Guillaume le Conquérant, fait édifier une fortification le long de l'Avre, protégeant la frontière entre son duché et le Royaume de France, le long de laquelle s'installe Tillières-sur-Avre[21].

La ville est l'enjeu de nombreux conflits entre la France et l’Angleterre et devient française sous Philippe Auguste en 1202[22]

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Profitant de l'énergie motrice de la rivière, une forge et un haut fourneau sont créés au début du XIXe siècle puis une tréfilerie, un moulin à papier et quatre tuileries[22].

Le chemin de fer dessert la commune en 1866 avec la mise en service de la gare de Tillières sur la ligne de Saint-Cyr à Surdon. Cette gare, désormais fermée, n'accueillait pour toute l'année 2015 qu'environ 18 voyageurs[23].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La commune instituée par la Révolution française, absorbe en 1810 celle d'Alincourt[24].

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Évreux du département de l'Eure.

Après avoir été le chef-lieu d'un fugace canton de Tillières de 1793 à 1801, elle faisait partie depuis cette date du canton de Verneuil-sur-Avre[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Verneuil d'Avre et d'Iton

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Eure.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Tillières-sur-Avre était membre de la communauté de communes du pays de Verneuil-sur-Avre, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre crééfin 1997 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes Interco Normandie Sud Eure, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
vers 1855   François Amand Notramy   Propriétaire
         
mars 2001 mai 2005 Gilles Conan[25]   Pharmacien
mai 2005 mars 2008 Christiane Vasse    
mars 2008 août 2022[26] Michel François[27],[28],[29] UMPLR Retraité
Conseiller départemental de Verneuil d'Avre et d'Iton (2015 → )
Président de l’Union des maires du canton de Verneuil (? → 2022)
Démissionnaire
août 2022[30] En cours
(au 16 décembre 2022)
Fabien Gouttefarde REN Juriste, cadre de la fonction, publique, officier de réserve
Député de l'Eure (2e circ.) (2017 → 2022)

Jumelages[modifier | modifier le code]

Drapeau de l'Allemagne Wendehausen (Allemagne)[31].

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'une école maternelle et d'une école primaire[32].

Santé[modifier | modifier le code]

Tillières se dote en 2019 d'une maison médicale à l'initiative de l'intercommunalité[33],[34].

Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]

La commune s'est dotée d'un système de vidéosurveillance de l'espace public[35].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[37].

En 2021, la commune comptait 1 048 habitants[Note 3], en diminution de 4,55 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9254088991 0071 1251 2831 3041 2801 301
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2521 2291 4221 2421 2031 1211 2401 1401 096
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0941 1081 1491 3001 5391 4239541 3071 310
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 1641 1631 2671 1741 1851 1791 2111 1311 080
2021 - - - - - - - -
1 048--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Tillières fête en 2017 le millénaire de sa création[21].

Économie[modifier | modifier le code]

L'entreprise Synova, leader français de la production de polypropylène recyclé, installée depuis 2001 à l’Espace Baron-Lacour, y étend ses capacités de production en 2021 de manière à passer 20 000 tonnes annuelles de polypropylène recyclé mécaniquement à près de 45 000 tonnes, et de 35 à 42 salariés[39].

Marché hebdomadaire le mardi matin sur la place de l'église.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Tillières-sur-Avre est un village pittoresque et typique de la Normandie, doté d'un important patrimoine médiéval, dont on peut signaler :

  • Ancienne porte fortifiée, du XIe siècle, inscrite au titre des monuments historiques en 1972[41]. Une reproduction au dixième réalisée par François Adeline orne le rond point situé à l’entrée de la commune[22].
  • Ancien château, des XIe, XIIe, XVIe et XIXe siècles, inscrit au titre des monuments historiques en 2014[42].
  • Ancienne gare de Tillières-sur-Avre, dont le bâtiment voyageurs date de 1866.
  • Nombreuses enseignes de commerçants en fer forgé[43].
  • Grand cadran solaire à côté de la Mairie[43].
  • Circuit historique « Au fil des pierres et de l’eau »[43].
  • Circuit nature « Le bord de l’eau, labeur de l’eau »[43].

On peut également signaler les sites naturels de la commune :

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Tillières-sur-Avre Blason
D'argent à la bande d'azur chargée de trois billettes d'or, posées à plomb et accompagnée de deux lions de gueules, celui de la pointe contourné.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. ORTF, « Tillières sur Avre : La France défigurée - 05.11.1972 - 08:04 - vidéo », L'INA éclaire l'actu (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  5. « Orthodromie entre Tillières-sur-Avre et Piseux », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Piseux » (commune de Piseux) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Piseux » (commune de Piseux) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Cavités de Tillières-sur-Avre »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Stéphane Gendron, La toponymie des voies romaines et médiévales, Page 100, (ISBN 2877723321).
  17. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, Librairie Droz, , 671 p., p. 1357.
  18. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 217.
  19. Louis Léon Gadebled, Dictionnaire topographique, statistique et historique du département de l'Eure, Canu, , p. 500.
  20. Auguste Longnon, Les noms de lieu de la France: leur origine, leur signification, leurs transformations, Page 563[réf. non conforme].
  21. a et b « Célébration. Venez fêter le millénaire de Tillières-sur-Avre », Le Réveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. a b c et d « Tillières-sur-Avre », Communauté de communes > Le Territoire > Nos communes > Tillières-sur-Avre, sur inse27.fr (consulté le ).
  23. SNCF Open Data, estimation de la fréquentation des gares en 2015.
  24. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Listes des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République, JO du 10 avril 2002, sur Légifrance.
  26. Bernard Geffroy, « Fabien Gouttefarde, ancien député, élu maire de Tillières-sur-Avre », Le Réveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Quelques jours plus tôt, en effet, la démission de Michel François était acceptée par le préfet. Après quatorze ans comme maire et vingt-sept en comptant ses mandats d’adjoint et de conseiller, le Tilliérois a souhaité passer la main ».
  27. Valentin Mauduit, « SDL de Tillières. Michel François, côté cycliste », Le Réveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. Bernard Geffroy, « Élections municipales. Michel François, maire, sortant, dévoile sa liste renouvelée à Tillières-sur-Avre », Le Réveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ). « Une équipe qui compte également, en 5e position, Fabien Gouttefarde, actuel député de La République en marche pour la 2e circonscription de l’Eure [...]. « Tilliérois depuis bientôt deux ans, Fabien Gouttefarde, membre de la commission Défense nationale à l’assemblée, souhaite s’investir dans la commune et le bassin de vie où il réside ».
  29. Réélu pour le mandat 2020-2026 : Bernard Geffroy, « Tillières-sur-Avre. Michel François réélu pour un troisième mandat de maire », Le Réveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ). « Michel François a été réélu maire pour un 3e mandat dans cette fonction avec 14 voix, une allant à Marie-Claude Franchet ».
  30. « L’ex-député LREM Fabien Gouttefarde devient maire dans le sud de l’Eure », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ). « Battu par la candidate du Rassemblement national aux dernières législatives, Fabien Gouttefarde a retrouvé un poste ».
  31. « Jumelage : des Allemands dans l'Eure à Tillières-sur-Avre », Le Réveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Ainsi, pour la 26e année consécutive, les familles allemandes et françaises ont vécu ce temps d’échange dans l’amitié et la convivialité ».
  32. Bernard Geffroy, « Tillières-sur-Avre. La fermeture de la classe de maternelle met élus et parents en colère », Le Réveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. Bernard Geffroy, « Première pierre. Une maison médicale sort de terre à Tillières », Le Réveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ). « Le projet remonte à 2007 quand l’équipe de Christiane Vasse, le maire de l’époque, décide de racheter un premier bien en centre-ville ». Puis il a évolué pour arriver à l’acquisition de cinq maisons, soit un programme de Maison de santé pluridisciplinaire (MSP) et de logements ».
  34. Bernard Geffroy, « Tillières-sur-Avre. Un nouveau médecin attendu à la maison de santé », Le Réveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Depuis son ouverture en plein centre-ville, elle fonctionne avec un médecin généraliste – le Dr Pierson, à Tillières depuis une vingtaine d’années – deux infirmières, un ostéopathe, deux kinésithérapeutes et une podologue ».
  35. Bernard Geffroy, « Tillières-sur-Avre. Les deux écoles bientôt vidéosurveillées », Le Réveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ). « Des caméras qui s’ajouteront aux trois autres du centre-ville ».
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. Bernard Geffroy, « Tillières-sur-Avre. TotalEnergies investit 12 M€ pour agrandir Synova », Le Réveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  40. « Église », notice no PA00099587, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. « Ancienne porte fortifiée », notice no PA00099588, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. « Ancien château », notice no PA27000085, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. a b c et d Site Normandie sud tourisme, mentionné en Liens externes.
  44. « Le terrain communal dit « Grand Parterre » avec ses 133 tilleuls », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).
  45. « Le terrain en conte-bas du « Grand Parterre » », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).