Urville (Aube)

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Urville
Urville (Aube)
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Aube
Arrondissement Bar-sur-Aube
Intercommunalité Communauté de communes de la Région de Bar-sur-Aube
Maire
Mandat
Didier Jobert
2020-2026
Code postal 10200
Code commune 10390
Démographie
Gentilé Urvillois, urvilloises
Population
municipale
117 hab. (2021 en diminution de 18,18 % par rapport à 2015)
Densité 9,6 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 10′ 17″ nord, 4° 39′ 15″ est
Altitude Min. 212 m
Max. 365 m
Superficie 12,2 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Bar-sur-Aube
Législatives Première circonscription
Localisation
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Urville
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Urville
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Urville
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Urville

Urville est une commune française, située dans le département de l'Aube en région Grand Est.

La commune qui comptait plus de 600 habitants au milieu du XIXe siècle a vu sa population décroître régulièrement pour se stabiliser aux environs de 150 depuis le milieu du XXe siècle. D'importants vestiges d'un établissement gallo-romain sont « inscrits » à l'inventaire des monuments historiques.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

À vol d’oiseau, Urville est située à 8,1 km[1] au sud-est de Bar-sur-Aube et à 45,3 km à l'est de Troyes[2].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

À vol d'oiseau, les cinq communes les plus proches du territoire sont Bergères à 2,1 km, Bligny à 2,7 km, Champignol-lez-Mondeville à 3,7 km, Couvignon et Meurville à 4,2 km[3].

Six communes sont limitrophes d'Urville :

Les grandes villes les plus proches de Urville hors Paris sont Dijon (98,3 km) et Reims (129,3 km)[3].

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 1 220 hectares ; son altitude varie entre 212 et 365 mètres[4].

La commune, située dans la vallée de la rivière Requin, est dominée par deux coteaux marno-calcaires du Kimméridgien. Sur leurs sommets, les buttes de Montillet, Sainte-Eulalie et Landomont présentent des résurgences du plateau Thitonien[5].

Urville se situe dans Le « Barrois viticole », secteur où le plateau calcaire est fréquemment interrompu par de nombreuses rivière qui ont taillé des vallées généralement encaissées et ont créé un paysage de coteaux. Cette succession de plateaux et vallées est constituée de sols très contrastés. Les plateaux ont un sol argilocalcaire, caillouteux et d’une épaisseur plus faible sur ses bordures. Les vallées ont des sols plus épais dans leur partie basse et presque inexistants dans leur partie haute[6].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par le Requin[7], affluent rive droite d'un bras du Landion[8], lui-même affluent de l'Aube[9].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

La municipalité a réalisé un dossier d'information communal sur les risques majeurs (DICRIM) dans lequel elle expose que la commune est soumise à de nombreux risques dont les principaux sont les mouvements de terrain et fissures sur les façades des habitations, dus au phénomène d'absorption/résorption d'eau dans les sols qui sont argileux ; et les coulées de boues dues au ruissellement et à l'érosion des sols[10].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 857 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ailleville_sapc », sur la commune d'Ailleville à 9 km à vol d'oiseau[13], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 833,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,7 °C, atteinte le [Note 1],[14],[15].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[16]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Une voie romaine reliant les communes de Bar-sur-Aube et de Essoyes passe au nord de la Villa dites du Val de Millière[5].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Urville est une commune rurale[Note 2],[18]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[19],[20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21],[22].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (71,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (43,6 %), forêts (25,4 %), cultures permanentes (16,3 %), prairies (11,7 %), zones urbanisées (3 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Logement[modifier | modifier le code]

En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 85, alors qu'il était de 79 en 1999[I 1].

Parmi ces logements, 83,2 % étaient des résidences principales, 6,0 % des résidences secondaires et 10,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 45,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 53,7 % des appartements[I 2].

La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 78,6 %, en hausse par rapport à 1999 (69,8 %)[I 3].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le village est cité sous le nom de Urivillaen 1077-1089 dans la charte du prieuré de Montier-en-l'Île[5].

Les noms également attestés sont Urreville en 1793 et en 1801 puis Urville[24].

Histoire[modifier | modifier le code]

La commune a été fondée par des Gallo-romains qui y plantèrent la vigne. Au lieu-dit Val de Millières, subsistent les vestiges d'un établissement gallo-romain[25] qui a été fouillé sur une surface d'environ 500 m2. Les fouilles ont révélé les vestiges de deux bâtiments bordant une cour[5].

La seigneurie relevait des comtes de Champagne et de la chastellenie de Bar-sur-Aube. Parmi les seigneurs éponyme il faut citer Jobert d'Urville en 1179[26], mais aussi Guillaume qui acquit la motte ceinte de fossé en 1259 au comte de Champagne. Le dit château est de nouveau cité en 1654 comme appartenant à Charles de Blaisy, même ruiné, ces fossés donnaient l'énergie à un moulin.

Château et motte castrale.

Il y avait aussi des Espagne comme seigneurs d'Urville qui firent au XIIIe siècle des dons de leurs possessions d'Urville à l'abbaye de Clairvaux.

En 1361, l'église fut donnée à la collation du chapitre de Bar-sur-Aube, avec les églises de Baronville et de Montheries[27].

En 1789 le village dépendait de l'intendance et de la généralité de Châlons de l'élection de Bar-sur-Aube et du bailliage de Chaumont.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Au second tour de l'élection présidentielle de 2007, 75,81 % des suffrages se sont exprimés pour Nicolas Sarkozy (UMP), 24,19 % pour Ségolène Royal (PS), avec un taux de participation de 92,75 %[28].

Au second tour de l'élection présidentielle de 2012, 77,48 % des suffrages se sont exprimés pour Nicolas Sarkozy (UMP), 22,52 % pour François Hollande (PS), avec un taux de participation de 87,31 %[29].

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants de la commune étant compris entre 100 et 500, le nombre de membres du conseil municipal est de 11[30].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[31]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1857   Jean Brehaudat    
mars 2001 2008 Patricia Raveneau    
mars 2008 En cours Didier Jobert[32] DVD Salarié agricole

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

Urville relève du tribunal d'instance de Troyes, du tribunal de grande instance de Troyes, de la cour d'appel de Reims, du tribunal pour enfants de Troyes, du conseil de prud'hommes de Troyes, du tribunal de commerce de Troyes, du tribunal administratif de Châlons-en-Champagne et de la cour administrative d'appel de Nancy[33].

Début 2014, la commune met en place le dispositif Voisins vigilants[34].

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

La collecte, la valorisation et l'élimination des déchets sont assurés par la communauté de communes de la Région de Bar-sur-Aube[35].

Jumelages[modifier | modifier le code]

Au , Urville n'est jumelée avec aucune commune[36].

Finances locales[modifier | modifier le code]

De 2008 à 2013, la gestion municipale a permis de maintenir la capacité d'autofinancement nette du remboursement en capital des emprunts à un niveau élevé, très supérieur à celui des communes de même type[37] :

Capacité d'autofinancement nette
par habitant et par an.
Année Dans la commune Moyenne de la strate[Note 3]
2008 230 € 156 €
2009 864 € 150 €
2010 522 € 143 €
2011 440 € 179 €
2012 332 € 189 €

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[39].

En 2021, la commune comptait 117 habitants[Note 4], en diminution de 18,18 % par rapport à 2015 (Aube : +0,74 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
495569577532606633607608608
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
513567502531514487485460422
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
386323320229215198188154170
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
166172166188177148150151142
2018 2021 - - - - - - -
124117-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (35,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 37,9 % la même année, alors qu'il est de 27,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 64 hommes pour 60 femmes, soit un taux de 51,61 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[41]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,6 
90 ou +
1,7 
15,6 
75-89 ans
18,3 
15,6 
60-74 ans
23,3 
21,9 
45-59 ans
16,7 
14,1 
30-44 ans
15,0 
12,5 
15-29 ans
11,7 
18,8 
0-14 ans
13,3 
Pyramide des âges du département de l'Aube en 2020 en pourcentage[42]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,1 
7,2 
75-89 ans
10,1 
17,3 
60-74 ans
18,2 
19,5 
45-59 ans
19 
17,8 
30-44 ans
17,4 
18,2 
15-29 ans
16 
19,3 
0-14 ans
17,2 

Enseignement[modifier | modifier le code]

Urville est située dans l'académie de Reims.

La commune administre une école élémentaire qui comptait 17 élèves en 2013-2014[43] au sein du regroupement pédagogique intercommunal « Champignol - Arconville - Urville »[44],[45].

Médias[modifier | modifier le code]

Le quotidien régional L'Est-Éclair assure la publication des informations locales à la commune[46].

La commune ne dispose pas de nœud de raccordement ADSL installé dans cette commune, ni de connexion à un réseau de fibre optique. Les lignes téléphoniques sont raccordées à des équipements situés à Ville-sous-la-Ferté et à Meurville[47].

Cultes[modifier | modifier le code]

Seul le culte catholique est célébré à La Motte-Tilly. La commune est l'une des douze communes regroupées dans la paroisse « de Ville-sous-la-Ferté », l'une des neuf paroisses de l'ensemble « Côtes des Bar » au sein du diocèse de Troyes, le lieu de culte est l'église paroissiale Saint-Pierre-aux-liens[48].

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2011, le revenu fiscal médian par ménage était de 58 489 , ce qui plaçait Urville au 84e rang parmi les 31 886 communes de plus de 49 ménages en métropole[49].

En 2009, 26 % des foyers fiscaux n'étaient pas imposables[I 4].

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 92 personnes, parmi lesquelles on comptait 76,9 % d'actifs dont 75,8 % ayant un emploi et 1,1 % de chômeurs[I 5].

On comptait 106 emplois dans la zone d'emploi, contre 85 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 71, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 5] est de 149,8 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre trois emplois pour deux habitants actifs[I 6].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Au , Urville comptait 44 établissements : 36 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 2 dans l'industrie, 1 dans la construction, 2 dans le commerce-transports-services divers et 3 étaient relatifs au secteur administratif[I 7].En 2011, aucune entreprise n'a été créée à Urville[I 8].

Parmi les entreprises, on compte des producteurs de vins de Champagne dont l'un, connu[50], « entreprise intergénérationnelle »[51] depuis 1808[52], produit 1 500 000 bouteilles par an[53], ce qui avait fait dire que « À Urville, le champagne coule au robinet. »[54]. Ce producteur a été choisi en mai 2006 pour participer à l’élaboration du schéma régional pour l’aménagement, le développement et l’organisation touristique et du plan marketing en Champagne-Ardenne[55].

La commune, dont la vocation essentielle au début du XXe siècle était agricole, a « trouvé une nouvelle richesse dans les rangs de son vignoble »[56].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église paroissiale Saint-Pierre-aux-liens.

La commune compte un site inscrit à l'inventaire des monuments historiques[57] et 140 lieux et aucun lieu ou monument répertorié à l'inventaire général du patrimoine culturel[58]. Par ailleurs, elle ne compte aucun objet répertorié à l'inventaire des monuments historiques[59] et 29 objets répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel, tous à l'intérieur de l'église paroissiale Saint-Pierre-aux-liens[60].

Les vestiges d'un établissement gallo-romain du Val de Millières sont « inscrits » depuis le 3 novembre 1988[25].

L'église paroissiale Saint-Pierre-aux-liens avec sa poutre de gloire et cloture de chœur en fer forgé[61]. C'était une paroisse du doyenné du Barrois qui était à la collation du chapitre Saint-Maclou de Bar-sur-Aube depuis la donation de l'évêque Robert de Torote de Langres. Elle date du XIIe siècle pour l'abside qui est carré, le reste étant du XVIIIe.

En , les travaux d'aménagement du centre du bourg ont été achevés : rue Sainte-Eulalie, rue de la rue de l’Abreuvoir, rue de l’École et place Armand (place de la mairie), ces travaux ont respecté « le caractère rural du village »[62].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Daniel Delattre, Emmanuel Delattre, Nathalie Delattre-Arnould, Odette Delattre et Laëtitia Delattre-Rigaux, L'Aube, les 433 communes, Éditions Delattre, (réimpr. 2013), 240 p. (ISBN 978-2-36464-035-1)
    Ce livre consacre un chapitre à chaque commune du département de l'Aube.
  • Laurent Denajar, L'Aube, volume 10 de Carte archéologique de la Gaule, Les Éditions de la MSH, 2005, (ISBN 978-2-87754-093-3), [lire en ligne].
  • Aménagement foncier d'Urville (Aube), Société d'aménagement des friches et taillis pauvres de l'Est, 1962.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Pour cette commune, la strate représente l'ensemble des communes de moins de 250 habitants appartenant à un groupement fiscalisé (4 taxes).
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Insee[modifier | modifier le code]

  1. LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.
  2. LOG T2 - Catégories et types de logements.
  3. LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
  4. REV T1 - Impôts sur le revenu des foyers fiscaux.
  5. EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
  6. EMP T5 - Emploi et activité.
  7. CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2010.
  8. DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. « Orthodromie entre "Urville" et "Bar-sur-Aube" », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
  2. « Orthodromie entre "Urville" et "Troyes" », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
  3. a et b « Urville », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
  4. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  5. a b c et d Laurent Denajar, L'Aube, volume 10 de Carte archéologique de la Gaule, Les Éditions de la MSH, 2005, (ISBN 978-2-87754-093-3), [lire en ligne]
  6. Atlas régional et départementaux des paysages, Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement de Champagne-Ardenne (DREAL CA), [lire en ligne]
  7. Sandre, « Le Requin » (consulté le ).
  8. Sandre, « Bras du Landion » (consulté le ).
  9. Sandre, « Le Requin » (consulté le ).
  10. Dossier d'information communal sur les risques majeurs d'Urville, 24 juillet 2007, [lire en ligne].
  11. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  12. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  13. « Orthodromie entre Urville et Ailleville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Ailleville_sapc », sur la commune d'Ailleville - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  15. « Station Météo-France « Ailleville_sapc », sur la commune d'Ailleville - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  16. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  17. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  18. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  24. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. a et b « Établissement gallo-romain (vestiges) », notice no PA00078285, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  26. Archives départementales de l'Aube, Cartulaire, Clairvaux, Fravilla, IX.
  27. « Montheries, église paroissiale », sur le site du conseil régional, (consulté le ).
  28. « Résultats de l'élection présidentielle 2007 », sur le site du ministère de l'Intérieur (consulté le )
  29. « Résultats de l'élection présidentielle 2012 », sur le site du ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  30. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  31. « Les maires de Saint-Mards-en-Othe », sur le site de l'association FranceGenWeb (consulté le ).
  32. Site officiel de la préfecture de l‘Aube
  33. « Liste des juridictions compétentes pour une commune », sur le site du ministère de la Justice et des Libertés (consulté le ).
  34. « Les habitants ouvrent l’œil », sur le site du quotidien L'Est-Éclair, (consulté le ).
  35. « Déchets », sur le site de la communauté de communes de la Région de Bar-sur-Aube (consulté le ).
  36. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
  37. « Les Comptes des Communes », sur le site du ministère de l’Économie et des Finances (consulté le ).
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