Cernay-lès-Reims

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Cernay-lès-Reims
Cernay-lès-Reims
La place avec la mairie, un jour de braderie.
Blason de Cernay-lès-Reims
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Marne
Arrondissement Reims
Intercommunalité CU du Grand Reims
Maire
Mandat
Patrick Bedek
2020-2026
Code postal 51420
Code commune 51105
Démographie
Population
municipale
1 508 hab. (2021 en augmentation de 10,96 % par rapport à 2015)
Densité 91 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 15′ 51″ nord, 4° 06′ 14″ est
Altitude Min. 96 m
Max. 217 m
Superficie 16,49 km2
Type Commune urbaine
Aire d'attraction Reims
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Reims-8
Législatives 4e circonscription de la Marne
Localisation
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Liens
Site web www.cernay-les-reims.fr

Cernay-lès-Reims est une commune française située dans le département de la Marne en région Grand Est.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Cernay vue du ciel. Au loin, Reims.

Le village de Cernay-lès-Reims (1 400 habitants en 2011) exprime par son nom sa proximité avec l'agglomération de Reims (200 000 habitants environ). 5 km seulement le séparent du centre de la métropole régionale, cependant, le village a conservé tout son caractère agricole et viticole, sans activités péri-urbaines. Il est inséré dans le flanc sud-ouest du Mont de Berru (267 m), d'où peut-être son nom (Sarnacum, village du versant selon Charles Bosteaux).

Autour de l'agglomération rémoise, 140 communes constituent avec la ville-centre un bassin agricole et viticole (le Pays rémois est l'une des 432 régions agricoles françaises), un bassin d'emplois et d'activités économiques diversifiées ainsi que des ensembles résidentiels urbains, péri-urbains et ruraux. Depuis 1988, le SIEPRUR (Syndicat intercommunal d’études et de programmation de la région urbaine de Reims) donne un cadre à ces terroirs diversifiés ayant un centre d'attractivité commun à tous les villages constituants : Reims. Le sous-ensemble majeur et urbain de ce territoire du Pays Rémois, c'est l'agglomération, ou Reims Métropole, comptant 215 000 habitants.

Mais le plus grand espace, rural essentiellement, de ce Pays Rémois, s'étendant entre Saint-Souplet-sur-Py à l'est et Fismes à l'ouest, compte moins de 75 000 habitants est un paysage modelé par l'agriculture (et ici, la viticulture aussi) et parsemé de villages et clochers d'églises de loin en loin. Cernay-lès-Reims se situe exactement à la charnière entre l'espace urbain et le grand espace rural périphérique ; il est à l'image du village français typiquement rural.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Cernay-lès-Reims
Witry-lès-Reims
Reims Cernay-lès-Reims Berru
Saint-Léonard Nogent-l'Abbesse, Puisieulx

Transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la ligne de transport à la demande   TAD Est  du réseau de transports en commun de l'agglomération CITURA qui la relie directement à Reims.

Géologie[modifier | modifier le code]

À l’ère tertiaire, le bassin rémois était sous une mer dont émergeait le Mont de Berru. Une partie du terroir de Cernay était en bord de mer, comme l'attestent les sables et leurs fossiles en sortie nord du village.

La craie est en abondance sur tout le terroir du village (à 50 cm de profondeur environ), ce qui caractérise les bassins sédimentaires de l'ère secondaire. Le paléontologue Victor Lemoine, au XIXe siècle, identifia sur le terroir des os de gastornis, l'un des plus grands oiseaux ayant existé sur terre, au début de l'ère tertiaire (il mesurait deux fois la taille d'un homme, lequel n'existait pas encore à cette époque).

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 722 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mailly-civc », sur la commune de Mailly-Champagne à 12 km à vol d'oiseau[3], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 755,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,8 °C, atteinte le ; la température minimale est de −20 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Cernay-lès-Reims est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Reims, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 295 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (78,9 %), forêts (9,7 %), cultures permanentes (6,1 %), zones urbanisées (3,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,1 %), mines, décharges et chantiers (0,4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Au XIIIe siècle Sarneio et les villageois étaient les Sarnaisisens.

Le village portait autrefois le nom de Cernai[réf. nécessaire]

Histoire[modifier | modifier le code]

En remontant dans l'histoire, il semble difficile d'identifier ce qui a prévalu d'abord pour donner consistance au village : les activités agricoles ou l'adossement à la toute proche ville de Reims, qui émerge vers les années 50 apr. J.-C.

Selon Charles Bosteaux, Cernay apparaît pour la première fois dans des écrits au XIIe siècle[14] ; il évoque des traces d'habitat beaucoup plus anciennes autour du Mont de Berru (grottes du Néolithique). On peut penser que le village existe sous son nom bien avant les écrits du XIIe siècle mentionnés par Ch. Bosteaux depuis la publication par J. Diblick de son livre Comment lire une cathédrale en 1998 : commentant les sculptures du transept Nord de la cathédrale de Reims consacrées au baptême de Clovis, il précise qu'« un tonneau du vin de Cernay » figurant sur ce transept est apporté pour ce baptême. Au Ve siècle, Cernay existe donc déjà.

Cela semble confirmé par l'étymologie du village qui appartient à tout un groupe de Cernay, communs au nord de la Loire. Le nom semble procéder d'un primitif *(I)sarnako, nom celtique (gaulois) signifiant « endroit où il y a du fer » sur isarno « fer » et suffixe localisant *-āko (latinisé -acum). le village est mentionné sous la forme latinisée Sarnacum en 1103[15].

Pendant la guerre de Cent Ans, les habitants se réfugient plusieurs fois derrière les murailles de Reims, lors du siège de Reims seize habitants sont recensés dans le registre des étrangers reçus à Reims. Les Anglais ravagent la campagne et établirent un camp au nord de la ville.

Les principaux seigneurs de la ville étaient le chapitre Notre-Dame et les templiers de Reims.

Lors de la guerre franco-allemande de 1870, les troupes allemandes stationnaient en la commune du 4 septembre 1870 au 21 juillet 1871.

Première Guerre mondiale

Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[16] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [17].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

La commune se trouve dans l'arrondissement de Reims du département de la Marne.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Beine-Nauroy[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Reims-8

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de la Marne.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune, antérieurement membre de la communauté de communes du Mont de Berru, est devenue membre depuis le 1er janvier 2013 de la communauté d'agglomération de Reims Métropole.

En effet, conformément aux prévisions du schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) de la Marne du 15 décembre 2011[19],[20], la communauté de communes de Taissy a fusionné avec l'ancienne Communauté d'agglomération Reims Métropole pour former le la nouvelle communauté d'agglomération de Reims Métropole à laquelle se sont jointes les communes de Champigny, Sillery et Cernay-lès-Reims[21].

Le , cette communauté d'agglomération a fusionné avec d'autres intercommunalités pour former une communauté urbaine qui a conservé la dénomination de Grand Reims et dont la commune est désormais membre.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[réf. nécessaire]
Période Identité Étiquette Qualité
1er février 1790 10 octobre 1791 Jean Pérard   Démissionnaire
10 octobre 1791 mai 1793 Laurent Guérin    
mai 1793 15 brumaire An IV Éloi Collet    
15 brumaire An IV 11 germinal An IV Jean-Baptiste Pérard-Bègue    
Les données manquantes sont à compléter.
8 octobre 1874 16 mai 1875 M. Berthel    
Les données manquantes sont à compléter.
8 octobre 1876 pendant 30 ans Pierre Charles Bosteaux[Note 4]    
Les données manquantes sont à compléter.
1946 1965 Paul Pérard    
1995 2008 Claude Cucurulo    
2008[22] En cours
(au 11 juillet 2020)
Patrick Bedek SE[23] puis UDI Vice-président de la CU Grand Reims (2017 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[24],[25]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].

En 2021, la commune comptait 1 508 habitants[Note 5], en augmentation de 10,96 % par rapport à 2015 (Marne : −1,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
900807785778861833830861918
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
881856816764757732705700686
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
655639644271485513525577634
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
6849471 0021 1601 1521 2101 3071 3211 279
2017 2021 - - - - - - -
1 4261 508-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Principaux services[modifier | modifier le code]

* Une médiathèque ouvre le à côté de la mairie, le projet avait débuté en 2007.
  • Une épicerie et une résidence pour personnes âgées sont en construction[Quand ?] dans l'ancien château.

Économie[modifier | modifier le code]

Le versant ouest du Mont de Berru.

Le vignoble des versants du Mont de Berru est en appellation champagne. La coopérative vinicole de Nogent-Cernay, à Nogent-l'Abbesse, pressure et vinifie une grande partie de ces raisins de cépage pinot meunier et chardonnay. Les surfaces de vignes avoisinent à Cernay 80 hectares ce qui équivaut à la production annuelle de quelque 750 000 bouteilles (variable selon le niveau d'appellation fixé chaque année par l'interprofession du Champagne, variable aussi en cas de gel ou de grêle...).

Les grandes cultures, très hautement mécanisées, sont l'autre grande activité économique à Cernay. Il s'y ajoute quelques services ou commerces de proximité, la très faible distance entre Cernay et Reims en limitant certainement les assises et la diversification.

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Saint-Martin date des XIIe et XIIIe siècles, de transition roman/gothique. Des remaniements postérieurs ont eu lieu aux XIVe et XVe siècles. Elle est détruite en grande partie en 1914-1915 ; sa reconstruction est achevée en 1957. Une Vierge à l'Enfant (sculpture en marbre d'époque gothique) originaire de cette église se trouve aujourd'hui au musée des Cloîtres à New York. Le baptistère semble très curieux. On trouve des escargots, symboles d'éternité, en chapiteaux de certaines colonnes. L'église est classée monument historique le 25 octobre 1911[29].
  • La mairie est construite en 1881. Brûlée le 24 septembre 1914, elle est reconstruite en 1926.
  • La salle des fêtes et le monument aux morts sont d'époque et de style Art déco (années 1930).

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Clovis, dont le baptême à Reims en 496 ou 498 a été célébré puis fêté en faisant venir un tonneau du vin de Cernay. Une sculpture sur le transept Nord de la cathédrale de Reims a immortalisé cette scène et le tonneau.
  • Jean-Baptiste Colbert et Jean-Baptiste Drouet d'Erlon ; durant leur prime jeunesse, ces Rémois devenus célèbres étaient en nourrice à Cernay-lès-Reims, « parce que l'air y était bon » selon Ch. Bosteaux.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Cernay-lès-Reims

Coupé en chevron : au premier d'azur à la double burèle potencée et contre-potencée d'or, au second de sinople à la pointe ondée cousue d'azur chargée d'une pointe d'or, rejoignant la pointe de la ligne de partition, accompagnée, à dextre, d'un cep de vigne et, à senestre, d'une gerbe de blé, le tout du même.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Charles Bosteaux[30], Histoire de Cernay-lès-Reims, 1889 ; réédition, ResUniversis, Paris, 1989.
  • Jean Diblick, Comment lire une Cathédrale : Reims, 1998.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • Carte spéciale des régions dévastées : 34 SE, Reims [Sud-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Il était membre de l'Association Française pour l'Avancement des Sciences, fondateur de la Société archéologique Champenoise, membre de l'Académie nationale de Reims et auteur d'une histoire de Cernay les Reims publiée en 1889.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Cernay-lès-Reims et Mailly-Champagne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Mailly-civc », sur la commune de Mailly-Champagne - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Mailly-civc », sur la commune de Mailly-Champagne - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. bulle de Adrien IV du 19 octobre 1154 confirmant les privilèges et immunités donnés par le comte Hugues à l'abbaye st-Remi de Reims.
  15. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud, .
  16. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  17. Journal officiel du 3 octobre 1920, p. 14741.
  18. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. « Jamais plus sans ma communauté de communes : La France et ses 36 000 communes pèsent à elles seules 37,5% du nombre de collectivités territoriales de premier niveau (les communes) de l'Union européenne ! Avec 1 600 habitants par commune en moyenne, la France est dernière de ce classement européen, à égalité avec la République tchèque, très loin de 36 000 habitants par commune aux Pays Bas ou au Portugal, des 17 400 en Belgique, des 10 300 en Slovénie, des 7 100 en Italie ou des 5 900 en Allemagne », L'hebdo du vendredi,‎ (lire en ligne).
  20. « Schéma départemental de coopération intercommunale de la marne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], Tout savoir sur votre SDCI, Association nationale des Pôles d'équilibre territoriaux et ruraux et des Pays (ANPP), (consulté le ), p. 2.
  21. « Arrêté préfectoral du 23 août 2012 portant création du nouvel établissement public de coopération intercommunale issu de la fusion de la Communauté d’Agglomération « Reims Métropole » et de la communauté de communes de Taissy et du rattachement des communes de Sillery, Champigny et Cernay-les-Reims », Bulletin d'information et recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Marne, no 9,‎ , p. 31-34 (lire en ligne [PDF]).
  22. [xls]« Liste des maires de la Marne au 1er août 2008 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur site de la préfecture de la Marne (consulté le ).
  23. Damien Le-Thanh, « Cantonales 2011 / Patrick Bedek convoite le canton de Beine-Nauroy », L'Union,‎ (lire en ligne).
  24. « Patrick Bédek candidat aux municipales à Cernay-lès-Reims en vue d’un 3e mandat : Il est maire depuis 2008 et espère bien l’être encore une fois, pour six ans, à partir de mars prochain. Patrick Bédek, maire sortant de Cernay-lès-Reims, brigue un 3e (et dernier) mandat », L'Union,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. « Municipales 2020 : Patrick Bédek réélu maire de Cernay-les-Reims », L'Union,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. « Église à Cernay-lès-Reims », notice no PA00078607, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. Ancien Maire de la ville