Utilisateur:Hymass/Rilhac-Lastours

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Rilhac-Lastours
Hymass/Rilhac-Lastours
Le village de Lastours avec les ruines du château et la mairie.
Blason de Rilhac-Lastours
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Limoges
Intercommunalité Communauté de communes Pays de Nexon Monts de Chalus
Maire
Mandat
Jacques Barry
2020-2026
Code postal 87800
Code commune 87124
Démographie
Population
municipale
377 hab. (2021 en augmentation de 1,62 % par rapport à 2015)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 38′ 55″ nord, 1° 07′ 13″ est
Altitude Min. 315 m
Max. 557 m
Superficie 16,32 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Yrieix-la-Perche
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Rilhac-Lastours
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Rilhac-Lastours
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Rilhac-Lastours
Liens
Site web www.rilhac-lastours.fr

Rilhac-Lastours est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine.

La commune fait partie du parc naturel régional Périgord-Limousin.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation de la commune de Rilhac-Lastours en Haute-Vienne.

Lors du renouvellement de sa charte, le parc naturel régional Périgord-Limousin a intégré la commune de Rilhac-Lastours, par décret no 2011-998 du [1].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rilhac-Lastours est limitrophe de cinq autres communes. Au sud, Ladignac-le-Long est très proche de Rilhac-Lastours, séparée par un corridor d'une vingtaine de mètres joignant deux zones de Bussière-Galant. Au nord, Flavignac est limitrophe sur seulement 500 mètres.

Communes limitrophes de Rilhac-Lastours
Les Cars Flavignac Nexon
Rilhac-Lastours Saint-Hilaire-les-Places
Bussière-Galant

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

  • Moyenne annuelle de température : 11 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,3 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 137 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,7 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,2 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nexon », sur la commune de Nexon, mise en service en 1970[8] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de précipitations de 1 026 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, mise en service en 1973 et à 25 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[12] à 11,4 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[14].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Rilhac-Lastours est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (60,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (36,4 %), prairies (34,9 %), zones agricoles hétérogènes (22,8 %), zones urbanisées (2,2 %), terres arables (2,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,5 %)[20].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Rilhac-Lastours est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Rilhac-Lastours.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[23]. 23,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[24].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[21].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Rilhac-Lastours est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[25].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Durant la Révolution, la commune porte le nom de Rilhac-Chaumière[26].

En occitan, le nom de la commune est Rilhac las Tors.

Histoire[modifier | modifier le code]

De l'outillage lithique du mésolithique, des fragments de poteries du chalcolithique et du bronze moyen attestent de la présence humaine à ces périodes de la préhistoire et protohistoire[27].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires successifs[28]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 2001 mars 2008 Jacques Fissot    
mars 2008 mars 2014 Jean-Claude Goby PS  
mars 2014 En cours Jacques Barry    

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Dans son palmarès 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[29].

Démographie[modifier | modifier le code]


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].

En 2021, la commune comptait 377 habitants[Note 9], en augmentation de 1,62 % par rapport à 2015 (Haute-Vienne : −1,09 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
745950602644680671690668858
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
682679745735731728822887851
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
828840753694687647578543535
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
497416356321302313335338370
2017 2021 - - - - - - -
371377-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Château de Lastours, inscrit au titre des monuments historiques depuis 1956[33], construit du XIIe au XVIe siècle, aujourd'hui en ruines, est l'ancien siège des seigneurs puis barons de Lastours. Il conserve plusieurs tours d'angle et la base de son donjon, remaniée au XVIe siècle. C'est une association de bénévoles qui, depuis plusieurs décennies, restaure ce haut lieu de l'histoire limousine.
  • Église Saint-Pierre-ès-Liens, inscrite au titre des monuments historiques depuis 1982[34].
  • Église (ou chapelle) Sainte-Marguerite de Lastours, construite sur une ancienne motte castrale, endroit où était édifié un premier château en bois, avant l'érection du château de Lastours en pierre[35].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armoiries de Rilhac-Lastours se blasonnent ainsi :

D'azur à trois tours d'argent ordonnées 2 et 1, accompagnées de six fleurs de lis d'or ordonnées 3, 2 et 1.

La commune a relevé le blason des Barons de Lastours.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références[modifier | modifier le code]

  1. Décret n° 2011-998 du 24 août 2011 sur Legifrance, consulté le 27 août 2011.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  8. « Station Météo-France Nexon - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Orthodromie entre Rilhac-Lastours et Nexon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France Nexon - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Rilhac-Lastours et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  14. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur insee.fr (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  21. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Rilhac-Lastours », sur Géorisques (consulté le )
  22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  24. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
  25. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
  26. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. « Informations archéologiques. Circonscriptions des Antiquités préhistoriques, Limousin, D. Vuillat, Gallia préhistoire, Année 1985, Volume 28, Numéro 28-2, p.305 », sur Persée, revues scientifiques, (consulté le )
  28. « Les maires de la commune » (consulté le ).
  29. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris consulté le .
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. « Ruines du château de Lastours », notice no PA00100425, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 9 juin 2016.
  34. « Église Saint-Pierre-ès-Liens », notice no PA00100426, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le=9 juin 2016.
  35. Panneau « Église Sainte-Marguerite de Lastours », à l'intérieur de la nef, vu le 5 juin 2016.

Rilhac-Lastours Catégorie:Commune ayant porté un nom révolutionnaire dans la Haute-Vienne Catégorie:Villes et villages fleuris dans la Haute-Vienne Catégorie:Aire d'attraction de Limoges