Saint-Lary (Ariège)

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Saint-Lary est une commune française située dans le département de l'Ariège, en région Occitanie.

Ses habitants sont appelés les Saint-Hilariens.

Saint-Lary
Saint-Lary (Ariège)
Maisons d'habitation avec l'église en arrière-plan.
Blason de Saint-Lary
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Ariège
Arrondissement Saint-Girons
Intercommunalité Communauté de communes Couserans-Pyrénées
Maire
Mandat
Gérard Dubuc
2020-2026
Code postal 09800
Code commune 09267
Démographie
Gentilé Saint-Hilariens
Population
municipale
137 hab. (2021 en augmentation de 3,79 % par rapport à 2015)
Densité hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 55′ 48″ nord, 0° 53′ 42″ est
Altitude Min. 654 m
Max. 2 210 m
Superficie 33,91 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Couserans Ouest
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Lary
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Saint-Lary
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Saint-Lary
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Saint-Lary
Liens
Site web saint-lary-ariege-pyrenees.com

Géographie

Localisation

Carte

La commune de Saint-Lary se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 58 km à vol d'oiseau de Foix[1], préfecture du département, et à 21 km de Saint-Girons[2], sous-préfecture.

Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Augirein (1,9 km), Galey (1,9 km), Portet-d'Aspet (2,7 km), Saint-Jean-du-Castillonnais (3,1 km), Orgibet (3,4 km), Herran (5,1 km), Buzan (5,8 km), Illartein (5,9 km).

Sur le plan historique et culturel, Saint-Lary fait partie du Couserans, pays aux racines gasconnes structuré par le cours du Salat (affluent de la Garonne), que rien ne prédisposait à rejoindre les anciennes dépendances du comté de Foix[4].

Hydrographie

Carte en couleur présentant les réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Lary.

La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par la Bouigane, le ruisseau de Ruech, Goutè de la Dèze, Goutè de la Gauzière, Goutè de la Mouillère Rouge, Goutè de la Sapinière, Goutè des Cascades, Goute de Sipet, Goutè des Plats, Goutè Doule, Goutè du Pré, le ruisseau d'Artigueprat, le ruisseau de Caudéron, le ruisseau de gaudère, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 51 km de longueur totale[7],[8].

La Bouigane, d'une longueur totale de 24,2 km, prend sa source dans la commune de Saint-Lary et s'écoule du sud vers le nord puis d'ouest en est. Elle traverse la commune et se jette dans le Lez à Audressein, après avoir traversé 8 communes[9].

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat semi-continental », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[11]. À l'ouest du département, le climat océanique, avec ses entrées d’air atlantique, apporte des perturbations qui arrosent les reliefs[12].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[10].

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

  • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 7,1 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,2 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,4 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 1 167 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,3 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15],[16] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Augirein », sur la commune d'Augirein, mise en service en 1990[17] et qui se trouve à 2 km à vol d'oiseau[18],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 188,8 mm pour la période 1981-2010[19]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, mise en service en 1949 et à 20 km[20], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[21], à 12,3 °C pour 1981-2010[22], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[23].

Milieux naturels et biodiversité

Espaces protégés

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[24],[25].

La commune fait partie du parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises, créé en 2009 et d'une superficie de 245 973 ha, qui s'étend sur 138 communes du département. Ce territoire unit les plus hauts sommets aux frontières de l’Andorre et de l’Espagne (la Pique d'Estats, le mont Valier, etc) et les plus hautes vallées des avants-monts, jusqu’aux plissements du Plantaurel[26].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[27] :

et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[27] :

Urbanisme

Typologie

Saint-Lary est une commune rurale[Note 7],[34]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 2],[35]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (90,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (20,7 %), prairies (9,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (4,6 %)[36].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Hameaux et lieux-dits

Anos, Autrech, Coume-Eoumengue, Coumecure, Rouech...

Histoire

Saint-Lary se trouve sur le chemin du piémont pyrénéen (GR78), une des variantes des chemins de Saint-Jacques de Compostelle.

En 1668, Louis de Froidour, grand-maître des forêts nommé par Colbert, réglemente les droits d’usage des communautés de Saint-Lary, Augistrou et Orgibet.

Sous le Consulat et l’Empire, l’État reprend les forêts aux communes et en , les besoins en charbon de bois des forges d’Engomer ont nettement contribué à la « Guerre des Demoiselles » qui commença dans le Castillonnais.

Au début du XXe siècle, des mines d’argent et de plomb étaient exploitées à l’Estremaille au lieu-dit Barguerasses et à la Sapinière, ainsi que des ardoisières.

Politique et administration

Découpage territorial

La commune de Saint-Lary est membre de la communauté de communes Couserans-Pyrénées[I 5], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Saint-Lizier. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[37].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Saint-Girons, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 5].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton du Couserans Ouest pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 5], et de la première circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[38].

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 En cours Gérard Dubuc LR Retraité Fonction publique
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[40].

En 2021, la commune comptait 137 habitants[Note 8], en augmentation de 3,79 % par rapport à 2015 (Ariège : +1,38 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9749301 2141 4461 4601 4901 6301 6971 591
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6201 6831 3951 4401 3571 3331 2311 2201 103
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2231 080867789639643630427341
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
293245165147133136151153134
2017 2021 - - - - - - -
131137-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

Emploi

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 6] 10,1 % 14,1 % 18,6 %
Département[I 7] 8,9 % 11,1 % 11,2 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 69 personnes, parmi lesquelles on compte 62,9 % d'actifs (44,3 % ayant un emploi et 18,6 % de chômeurs) et 37,1 % d'inactifs[Note 9],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 9]. Elle compte 26 emplois en 2018, contre 27 en 2013 et 35 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 34, soit un indicateur de concentration d'emploi de 74,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 41 %[I 10].

Sur ces 34 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 20 travaillent dans la commune, soit 57 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 74,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5,7 % les transports en commun, 5,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 14,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Activités hors agriculture

17 établissements[Note 10] sont implantés à Saint-Lary au [I 13]. Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 35,3 % du nombre total d'établissements de la commune (6 sur les 17 entreprises implantées à Saint-Lary), contre 12,9 % au niveau départemental[I 14].

  • Fromagerie : « Le Pic de la Calabasse » est un fromage de vache au lait cru affiné au village dans la tradition des fromages du Couserans.
  • Restaurant « L'auberge de l'isard », dépôt de presse.
  • Épicerie.
  • Chapelière modiste, à Anos.
  • Créations artisanales, en cuir, plumes, perles d'argile, à Rouech.
  • Extraction et mise en bouteilles de sève de bouleau « Sève de montagne » certifiée biologique, aux Bantines.

Agriculture

La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Région pyrénéenne »[43]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est l'élevage d'herbivores hors bovins, caprins et porcins[44].

1988 2000 2010
Exploitations 25 12 11
Superficie agricole utilisée (ha) 535 334 334

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 25 lors du recensement agricole[Note 12] de 1988 à 12 en 2000 puis à 11 en 2010[44], soit une baisse de 56 % en 22 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 48 % de ses exploitations[46]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 535 ha en 1988 à 334 ha en 2010. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 21 à 30 ha[44].

Culture locale et patrimoine

Lieux et bâtiments

Le village de Saint-Lary en Ariège avec vu sur le clocher de l'église en arrière-plan.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Blason de Saint-Lary Blason
D'azur à la montagne de sinople enneigée d'argent ; au chef tiercé en pal, au 1er d'or à la croix tréflée de gueules, au 2e d'azur à la coquille couchée d'or, au 3e d'or à l'orle de gueules[47].
Devise
Se pasas per aqui, y retornaras (« Si tu passes par ici, tu y reviendras »)
Détails
La montagne est pour le pic de la Calabasse, la coquille symbolise le chemin du piémont pyrénéen, itinéraire du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, qui traverse la commune et enfin l'orle est repris des armes du Couserans.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Les normales servent à représenter le climat dans lequel nous vivons. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[13].
  3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  7. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  11. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[45].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

  1. « Métadonnées de la commune de Saint-Lary » (consulté le ).
  2. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  5. a b et c « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Saint-Lary » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Lary » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 en Ariège » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Lary » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Lary » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 en Ariège » (consulté le ).

Autres sources

  1. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Lary et Foix », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Lary et Saint-Girons », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  3. « Communes les plus proches de Saint-Lary », sur www.villorama.com (consulté le ).
  4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 300-301.
  5. Carte IGN sous Géoportail
  6. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
  7. « Fiche communale de Saint-Lary », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
  8. « Carte hydrographique de Saint-Lary » sur Géoportail (consulté le 29 octobre 2021).
  9. Sandre, « la Bouigane »
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
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  13. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
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  16. [PDF]« Le changement climatique dans les Pyrénées : impacts, vulnérabilités et adaptation. », sur opcc-ctp.org (consulté le ).
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  20. « Orthodromie entre Saint-Lary et Lorp-Sentaraille », sur fr.distance.to (consulté le ).
  21. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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