Liste des commandeurs des provinces orientales de l'ordre du Temple

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La liste des commandeurs de province de l'ordre du Temple dans les États latins d'orient regroupe les noms de ces commandeurs selon un axe chronologique identifié par période de maîtrise et domaines territoriaux. Leur importance dans la hiérarchie templière est comparable à celle des maîtres (commandeurs, ministres, procurateurs) de province de l'ordre en Occident[N 1].

Province d'Antioche

Les États latins d'Orient en 1135.

Le commandeur de la terre d'Antioche, (fro) « Li comandeor de la terre d'Antyoche[1] »

La principauté d'Antioche et le comté de Tripoli sont deux provinces distinctes au même titre que le Royaume de Jérusalem mais formaient initialement une même province[2], les deux États latins se touchant, avant la perte de Lattaquié qui les sépara par un territoire resté aux mains de la principauté Ayyoubide d'Alep jusqu'en 1260[3] et par une zone contrôlée par les Nizârites (forteresse de Masyaf) que les croisés appelaient le territoire des Assassins.

La forteresse de Trapezac est la première forteresse connue comme ayant été occupée par les templiers dans cette province. Après l’échec de la deuxième croisade, les templiers construisent vers 1153 la forteresse de Baghras à la frontière avec le royaume arménien de Cilicie. Ils assuraient également la défense du nord de la ville d'Antioche avec la forteresse de la Roche-Guillaume et celle de la Roche de Roissel. En dehors des forteresses à vocation militaire et défensive, les templiers établirent plusieurs commanderies dont celle d'Antioche et peut-être une à Lattaquié[4].

La province disparaîtra avec la chute de la principauté en 1268 mais l'ordre réussira à conserver la forteresse de la Roche-Guillaume qui deviendra le siège de la nouvelle province d'Arménie à partir de 1285[5].

Commandeur Période de maîtrise Commentaires et autre(s) fonction(s)
Gilbert de Lacy 1162[4] (fro): Gileberz de Laci
(fr): Gilbert de Lascy
« li comanderres du Temple en ces parties [terre d'Antioche] / præceptor fratrum militiæ Templi[6] »

† 1163[7]
fr. Armangaud 1198[4] [Erreur[N 2], grand commandeur de l'ordre (1198) ][8]
(fr): Armengaud, Irmangaud, Irmengaud[N 3]
(en): Irmengaud
N. de Raiaco 1203[4] [À vérifier][N 4]
fr. Pierre de la Rajace 1203[9] (la): Petrus de Raiace, de Recazi
(en): Peter de Raiace, Peter of (la) Recazi/Raiace
1203: « fratris Petri de Raiace tunc temporis magni preceptoris domus Antiochie[10] »


Commandeur d'Acre (1198)[11]
fr. Aimon d'Aix 1211[9] [Sources contradictoires][N 5]
(en): Amio of Ays

Visiteur cismarin (1179-1186)
[12]
Sénéchal (1190)[15]
Au service du roi de Jérusalem (1198-1211)[16]
Guillaume de Montferrat ? - 1237[4],[17] (en): William of Montferrand[18]
Thomas [3]
fr. Pons 1242[19] : ?[N 6]
fr. Ferrand l'Espagnol 1249[21] (es): Fernán Español
: « frater ferrandus spagnolus preceptor Antiochie[22] »
fr. Gérard de Sauzet 1268[9] [Dernier commandeur de la terre d'Antioche]
(en): Gerard of Saucet, of Sauzet
(fr): Guiraud, Guiraut de Sauzet
1268: « Il avint que ffrere Gueraut de Saucet era comandaor de la terra d'Antiocha[23] »

Autres sources disponibles:[24]

Maître de la province de Hongrie (1278-1279)[25]
Maître de la province d'Auvergne-Limousin (1289-c.1291)[26]ou (1289-1294)[27]

Province d'Arménie (Cilicie, Petite-Arménie)

Le royaume arménien de Cilicie

Le déclin des États latins d'Orient entraîne la disparition de la province d'Antioche où les templiers n'ont pu conserver que la forteresse de la Roche-Guillaume. Celle-ci deviendra le siège de cette nouvelle province dont l'existence est attestée à partir de 1285 au sein du royaume arménien de Cilicie[5]. Mais en 1298, La Cilicie est de nouveau attaquée par les mamelouks et les templiers perdent leur dernière place forte dans ce royaume[28].

Maître Période de maîtrise Commentaires et autre(s) fonction(s)
fr. ? 1285 [ Peut-être Simon de Farabel qui suit ][29]
1285 (chronique)[N 7]: « On vit arriver le commandeur des templiers de la contrée de l'Arménie (Komendour-el-Djouïet) »[30]
fr. Simon de Farabel c.1288[31] Procès (Chypre, 1310): Pierre de Tripoli reçu par « frater Symon de Farabello, tunc preceptor in Armenia... XXII anni elapsi »[32]

Province de Chypre

Les États latins d'Orient au milieu du XIIIe siècle.

Le commandeur de la terre de Chypre, des maisons du Temple en Chypre

Cette province aurait pu devenir un état templier lorsque l'île leur fut vendue par Richard Ier d'Angleterre, qui l'avait conquise en 1190. Mais, à la suite d'une révolte de la population en 1192, elle fut cédée à Guy de Lusignan[33]. Le siège de la province se trouvait à Limassol et l'ordre détenait les châteaux de Gastria (en), Yermasoyia et Khirokitia ainsi que plusieurs commanderies (ou maisons du Temple) dont celles de Famagouste[34], Psimolofou[35], Nicosie, Paphos (Baffe), Phasouri et très probablement Temblos[36],[37].

À partir de 1292, à la suite de la perte de Saint-Jean d'Acre, le (grand) commandeur de la terre se trouve à Chypre et se substitue au commandeur de cette province[38].

Maître Période de maîtrise Commentaires et autre(s) fonction(s)
fr. Arnaud (ou Renaud) Bouchard 1191-1192[9] [Premier commandeur de Chypre]
(en): Reynald Boschart
: « ? », insurrection de Nicosie
[39]
fr. Baudouin de Beuvrages 1219-1232[9],[40] (la): Balduin de Beuraje
(en): Balduin de beuraje, Baldwin of Beuvrages ; Baldwin of Benraiges (?)
(fr): Baudouin de Beurage

Règle du Temple: « Il avint en chipre... Et frere Johans estoit comandeor de Baffe, et dits a son comandeor qui avoit a nom frere Baudoin de Benrage... »[41]

Commandeur des chevaliers (sans date)[42]
fr. Marin 1249[9] : « frater marinus nomine (sic) preceptor uspri »[22]
fr. Mathieu Sauvage 1263[9] (ar): Ifrīr Māhī Sāfāj[43]

Commandeur de la terre de Jérusalem (1261)
Châtelain (seigneur) de Safed et de Tortose (1267-1268, peut-être 1271)
Châtelain de Sidon (c.1271)
[Geoffrey de Charny, futur commandeur de la baillie de Normandie (1307) était son compagnon en 1271]
fr. Bertrand de Fos v. 1271[9] [ sources indirectes, Procès ]
(la): Bertrandus de Fossa
(fro): Bertran de Fox
Procès (Cahors, 1307): Guillaume de Limoges (fils du seigneur Hugo) reçu à Acre « receptus... XXXVI anni elapsi... fr. Bertrandus de Fos, preceptor tunc Cipri, de mandato magistri maioris »
[44], soit vers 1271.
Procès (Poitiers, 1308): Guillaume de Limoges reçu à Nicosie « jam sunt XX anni et ultra per fratrem Bertrandum de Fossa, preceptorem Cipri...  »[45], donc v. 1288

Envoyé en Pouilles en chercher Guillaume de Beaujeu[46]
fr. Bérenger de Saint-Just 1292[9] 20 avr. 1292: « frere Berenguer de Saint Just comandor de la terre »[47]

Maître de la province d'Aragon (1283-1290)[48]
Commandeur de Miravet (1297-1307)[49]
Tenant lieu de maître d'Aragon ()[50]
fr. Baudouin de la Andrin 1293 [ Incertain, commandeur de Nicosie ][N 8]
(en): Baldwin of Ardan, of Andria
(fr): Baudouin de Ardan, de Laudrana
Procès (Paris, 1310): Frère Gérard du passage, « fuerat receptus sunt XVII anni... a fratre Baudoino de Ardan milite preceptore domus Templi civitatis Nicosiensis », le
[51]
Procès (Nicosie, 1310): Frère Etienne de Safed reçu par Jacques de Molay à Nicosie il y a 15 ans en présence de « frater Raymundus Osias provinçialis, frater Baldinus de Landrana et frater Hugo de Besaccono », en 1295[52]

Maréchal de l'ordre (1292)[53]
fr. Florentin de Velu 1299[54] [probablement grand commandeur]
(en): Florentin of Villa
: « fratri Florentino de Velu, preceptori sacre milicie domus Templi »
[55]
fr. Raimbaud de Caromb 1302/04-1307[9],[56] (en): Raimbald Of Caron
Procès (Nicosie, 1310): frère Garin de Raval, reçu à Famagouste il y a 8 ans par Jacques de Molay en présence de « frater Ranbaldus de Ciaren tunc magnus preceptor dicti ordinis »
[57], en 1302
25 oct. 1304 / fin déc. 1304: « Riambau de Caro qui es comanador de la terra »
[58]
10 nov. 1307: « frater Raymbaudus de Caron miles dicti ordinis preceptor Chipri », interrogé à Paris (procès)[59]

Commandeur de Limassol (1300)[60]
fr. Jacques de Dammartin 1307-1310[61] [ Tenant lieu ]
(la): Jacobus de Doumann, de Doumanin, de Doumany, de Doymalin
(en): James of Dammartin, of Doumanin
(fro): Domaranz ; (fr): Jacques de Dommarien
Procès (Nicosie, 1310): frère Pierre de Baneta reçu il y a 3 ans à Nicosie par Aimé d'Oiselay en présence de « frater Jacobus de Doymalin preceptor terre in Nimotio »
[62]
: « frater [Jacobus] de Doumanin preceptor ordinis Templi in Cypro », interrogé à Nicosie (procès).[63]

Reçu en 1295 à Dijon par Jacques de Molay[61]
Commandeur de Limassol (jan. 1307)[64]

Province de Jérusalem

Le commandeur de la terre de Jérusalem, du royaume de Jérusalem, (fro) « Li comandeor de la terre [de Jérusalem], dou royaume de Jerusalem[65] »

Ce dignitaire occupait un rang plus élevé dans la hiérarchie templière car initialement il occupait également la fonction de trésorier du couvent et pouvait remplacer le maître de l'ordre lorsque celui-ci était absent[66]. D'après Alain Demurger, ce n'est que vers la fin du XIIIe siècle que le grand commandeur (qui a remplacé le sénéchal) absorbe la fonction de commandeur de la terre[67] mais ce n'est pas l'opinion de Jochen Burgtorf qui ne fait pas de distinction entre ces deux rangs[68]. La liste des grands commandeurs qu'il propose inclut les noms des commandeurs de la terre de Jérusalem[69] car Burgtorf a constaté que l'on trouve de nombreuses chartes antérieures à 1191 avec le sénéchal et le commandeur de la terre puis, à partir de cette date jusqu'à la chute de Saint-Jean d'Acre (1291), on trouve fréquemment ensemble le maréchal, le (grand) commandeur et le commandeur d'Acre[70]. L'un des retraits de la règle du temple mentionne d'ailleurs le grand commandeur du royaume de Jérusalem afin de ne pas le confondre avec le commandeur de la cité de Jérusalem.

La liste ci-dessous ne prend donc pas en compte les dignitaires qui ont été grands commandeurs en attendant l'élection d'un nouveau maître de l'ordre (au sens de la règle du Temple) mais inclut ceux avec ce titre lorsque le maître de l'ordre est en fonction, suivant en ce sens l'opinion de Jochen Burgtorf[71].

Maître Période de maîtrise Commentaires et autre(s) fonction(s)
fr. Geoffroy Foulcher 1164 1164: « frater Gaufredus Fulcherii, Hierosolymitanae domus Templi praeceptor » ; « domorum pauperis militiae Templi procurator indignus »
fr. Gilbert Hérail 1183[72],[73] [Probable][N 9]
(ca): Girbert Erall ; (en): Girbert Eral
(fr): Girbert Eral ou Érail
1183, avant sept.: « frater Girbertus Arayl magnus preceptor »


Maître de la province de Provence et parties des Espagnes (1185-1189)
Grand commandeur (1190)[75]
Maître cismarin (1191, 1193)
Maître de l'ordre (1194-1200)
fr. O. De Vend. 1184 [Incertain, commandeur de la cité de Jérusalem ?][N 10]
fr. Gilbert Hérail 1190[73] [Incertain, grand commandeur par intérim ?][N 11]
oct. 1190: « fratri Giberto Eralio magno preceptore »
1190/1191: « fratris Gerberti ejusdem domus magni preceptoris »[78] ; « fratre Girberto magno preceptore »[79]

Voir 1183 pour le détail de sa carrière.
fr. Armangaud 1198 (fr): Armengaud, Irmangaud, Irmengaud
(en): Irmengaud
1198: « fratre siquidem Irmengaud tunc existente magno præceptore »
[8]
fr. Pierre de Manaia 1204-1207/08[80] (la): Petrus de Manaia, de Monea, de Moneta
(en): Peter of Manaia
: « Petri de Manaia magnis præceptoris »
[81]
22 fév. 1207/08: « de fratribus Templi: Petrus de Moneta praeceptor »[82]
fév. 1207/08: « de fratribus Templi: Petrus de Monea praeceptor »[83]
... ...
fr. Barthélemy de Moret 1240[84] (la): Bartholomeus de Moretto
(en): Bartholomew of Moret
nov. 1240: « fratris Bartholomei de Moretto, tunc temporis magni preceptoris dicte militie in regno Jerusalem »
[84]

Grand commandeur (1237-1240)[69],[85]
fr. Pierre de Saint-Romain 1241 (la): Petrus de Sancto Romano
(en): Peter of St. Romanus
18 nov. 1241: « de fratribus Templi: P. De S. Romain grant comandeor / P(etrus) de S. Romain magnus commendator »
[86]

Maître de la province de France (1225, 1236(?), 1238) [sources contradictoires][N 12]
Visiteur cismarin (1238)[91]
Commandeur de la terre de Tripoli (1243)
fr. Étienne d'Ostricourt 1249-1250[92] (la): Stephanus de Alta Turre
(en): Stephen of Ostricourt
(fr): Étienne d'Autricourt, d'Otricourt, de Hautetour
: « frater Sthephanus de Alta Turre preceptor terre regiminis Hierusalem »
[22]
: « frères Estiennes d'Ostricourt qui estoit commanderres dou Temple »[93]

[Frère Gilles, grand commandeur le ][N 13]
fr. Guy de Bazainville 1256[97] (la): Guidonis de Basainvilla
(en): Guy of Bazainville
(fr): Gui de Basenville
1256: « frater Guido de Basainvilla domorum militiae templi praeceptor in regno hyerosolimitano »
[98]

Maître de la province de France (1243, 1251-1255)[99]
Tenant lieu de maître et de visiteur cismarin (jan. 1259)[100]
Visiteur cismarin (1260)[101],[102]
Maître de la province d'Aquitaine (1262-1264)[99]
fr. Mathieu Sauvage ?-1261 fév. 1261: « freres Mahiex sauvages commandeur dou Temple / freres Mahius Salvages coumandour dou Temple », capturé en Galilée.[103]

Commandeur de Chypre (1263)
Châtelain (seigneur) de Safed et de Tortose (1267-1268, peut-être 1271)
Châtelain de Sidon (c.1271)
[Geoffrey de Charny, futur commandeur de la baillie de Normandie (1307) était son compagnon en 1271]
fr. Amaury de La Roche 1262[104] (fro): ?
: « frere Amaury de la Roche grant commandeor ; frere Amauri de la Roche grant comandeor »


Maître de la province de France (1256, 1265-1271)[104]
Compagnon du maître de l'ordre, Thomas Béraud (1262)
fr. Guillem de Montanyana 1262-?[105],[106],[107] (fro): Guillaume de Montaignane, de Montignan, de Montignane
(ca): Guillem de Montanyana ; (en): William of Montañana
(es): Guillén, Guillermo de Montañana ; (fr): Guillaume de Montanyana

18-19 déc. 1262: « frere Guillaume de Montignane grant comandeor / frere Guillaume de Montignan grant commandeor dou Temple  »[108]



Maître de la province d'Aragon (1258- fév. 1262)
Châtelain de Sidon (1262)[109]

--- --- ---
fr. Simon de la Tour 1271[110] (la): Simone de Turri, Simmonis de Turre
(en): Simon of la Tor
(it): Simone de la Tour
: « fratre Symone de Turri magno preceptore domus Templi »
[111]
Procès (Paris, 1310): 1271: « fratrem Symonem de Turri preceptorem regni Jerosolimitani »[112]
oct. 1274: « L'humble commandeur de la chevalerie du Temple dans le royaume de Jérusalem, [Simon de la Tor] »[113]

Châtelain de Safed (1262)[109]
Commandeur de la province des Pouilles (1275-1277)[114]
Visiteur des cinq royaumes d'Espagne (1277)[110]
fr. Arnaud de Castelnou 1277[115] (en): Arnold of Castellnou

Maître de la province d'Aragon (1267-1276/78) [date de fin ⇒ sources contradictoires][N 14]
fr. Thibaud Gaudin 1279-1291[118] [Dernier commandeur de la terre à Acre][N 15]
1279: « fratrem vocatum Monachum Gaudi preceptorem terre ultramarine »
: « Theobaldo Gaudi preceptore terre ultramarine »
/86: « frater Tibaldus Galdini tunc preceptor terre ultramarine »
: « le comandour dou Temple frere Tibaut Gaudin »
c. : « le grant coumandour de la terre... frere Tibaut Gaudy »
c. 1272/1291 (sans date): « humble comandor de la terre de la chevalerie dou Temple en roiaume de Ierusalem »


Commandeur d'Acre (1270-1271)[119]
Turcopolier (1277)[119]
Maître de l'ordre (1291-1292)
Bérenger de Saint-Just succède à Thibaud Gaudin comme commandeur de la Terre mais le siège de l'ordre se trouve dorénavant sur l'île de Chypre (Nicosie)
: « frere Berenguer de Saint Just commandor de la terre », lettre de Jacques de Molay[47]

Province de Romanie (Grèce)

La Grèce au début du XIIIe siècle.

Preceptor domorum militiæ Temple in Achia, Achaya, Romania

Cette province correspondait à la Grèce actuelle. Elle est aussi désignée par le nom de province de Morée mais plus tardivement[N 16].

À la suite de la quatrième croisade, les templiers reçurent des donations et s'installèrent principalement dans le royaume de Thessalonique et dans la principauté d'Achaïe[120]. L'empereur Henri Ier de Constantinople leur ayant également fait don d'Antalya (Turquie) en 1206[N 17],[121]. Mais une partie de ces nouvelles possessions en Thessalie furent éphémères comme Lamía et Ravennika dont ils furent dépossédés dès 1209 car ils avaient supportés la rébellion des barons lombards contre l'empereur[122]. Ils réussirent vraisemblablement à se maintenir dans l'Attique, notamment à Sykamino (en) dont le château passa aux hospitaliers en 1314[123] et ils établirent quelques commanderies dans le Péloponnèse.

Maître Période de maîtrise Commentaires et autre(s) fonction(s)
fr. Geoffroy de Sale 1280[124] (la): Jeffredus de Sale
(en): Geoffrey of Sale
Procès (Nicosie, 1310): frère Hugues de Bensano, reçu il y a 30 ans à Andravilla par « Jeffredus de Sale tunc preceptor dicti ordinis in Romania »
[125]
fr. Eustache de Guercheville 1294[126] (la): Heustasius de Guarchavilla
: « Pro preceptore domus Templi in Achaya ; fratrem Heustasium de Guarchavilla preceptorem domus Templi in Achaya »
[127]
fr. Jean de Neufchâtel 1301-1306/07[31],[128] (en): John the Constable
1305: Frère Jean de Neufchastel, Grand Commandeur du Temple en Romanie
[129]
Procès (Nicosie, 1310): frère Geoffrey de Portu, reçu à Palusioli par « frater Johannes dictus Conestabulus tunc preceptor dicti ordinis in Romania » [130]
Procès (Nicosie, 1310): frère Étienne de Centomaria, reçu il y a 3/4 ans à Antravilla par « frater Johannes Conestabulus tunc preceptor in Romania » [131]

Province de Tripoli

Le commandeur de la terre de Tripoli, (fro) « Li comandeor de la terre de Triple »[1]

Cette province apparaît dans l'article 87 des retraits en tant que Terre de Tripoli et d'Antioche[132], l'une des trois premières en Orient mais qui semble être une province autonome séparée d'Antioche au XIIIe siècle[N 18]. Il s'agissait du comté de Tripoli et cette province perdura jusqu'à la chute de l'ordre[133]. Le maître de cette province était parfois désigné par le titre de commandeur de la maison du Temple du comté de Tripoli[134], ce qui peut laisser penser qu'il n'y avait qu'une seule commanderie au sein de la ville de Tripoli pour administrer les forteresses de l'ordre dans cette province.

Maître Période de maîtrise Commentaires et autre(s) fonction(s)
fr. Florent 1152[135]
Gilbert de Lacy 1163[135]
fr. Pierre de Saint-Romain 1243[9] (la): Petrus de Sancto Romano
(en): Peter of St. Romanus
: « frere Pierre de S. Romain, comandeor en la terre de Triple »
[136]

Maître de la province de France (1225, 1236(?), 1238) [sources contradictoires][N 12]
Visiteur cismarin (1238)[91]
Grand commandeur de la terre (1241)
fr. Jaufré de Fos ... [Incertain][N 19]
(fro): Joffroi de Fos, de Fox ; (oc): Joufre de Fos ; (fr): Geoffroy de Fos
Règle (française): « Et quant la demande vint au comandeor de la terre de Triple... Et frere Joffroi de Fos maintint ceste raison aveuques... »
[138]
10 oct. 1258: « frère Geoffroy de Fos »[139]
v. 1256-66[140], règle (catalane): « la parola vint au chapitre, fo demandé a ffrere Joufre de Fos... acò fo à Çafet per davant ffrere Tòmas Berart »[23]

Prud'homme du maître Thomas Béraud (entre 1258 et 1267)
Guillaume de Beaujeu 1271[9] : « Guillelmus de Bel Jocho praeceptor pro domo Templi in comitatu Tripolitano »[141]

Châtelain de château Pèlerin
Peut-être châtelain de Beaufort (1268)[142]
Maître de la province du royaume de Sicile (1272-1273)[46]
Maître de l'ordre (1273-1291)
Rui de Cuero[143]
ou de Cuera(s)[144]
1281-1287[145] (la): Rodoricus de Cuyre
(en): Reddecoeur ; (fr): Reddecœur
(fro): Renddecuer, Reddeceur, Reddecuer, Ruidecuer

1282: « Ruidecuer, comandor de Triple »
Procès (Paris, 1310): Thomas de Pampelune, reçu à Tripoli « xxx anni vel circa, per fratrem quondam Rodoricum de Cuyre militem,
tunc preceptorem Tripolatinum, presentibus fratribus Rodoricum Ynanhes
[N 20] socio dicti preceptoris »[146]
Thomas de Pampelune 1285[9] [Incertain]

Reçu en 1281
[147]

Bibliographie

Notes

  1. Le « preceptor domorum militiæ Templi », littéralement Celui qui commande les maisons de la chevalerie du Temple dans une région donnée. En Orient, l'emploi du titre de « magister » semble exclusivement réservé au maître de l'ordre alors qu'en occident, on constate l'utilisation de titulatures très variables pour désigner les commandeur de province. On trouve le « magister , le minister, le procurator ou encore le preceptor » suivi généralement de « domorum militiae Templi » et d'une indication géographique. Chacun de ces termes ayant le même sens, ce qui peut prêter parfois à confusion d'autant que le titre de « preceptor » était aussi employé par le commandeur d'une baillie (une sous-province) et par le commandeur d'une maison en particulier (commanderie). En Orient, les provinces templières correspondent aux différents royaumes et principautés alors qu'en Occident ce n'est pas toujours le cas.
  2. Claude Cahen propose une liste des « titulaires » dans la province d'Antioche (la principauté) qui inclut Irmengaud or dans les références citées par l'auteur, celle qui se rapporte à l'année 1198 correspond à La revue de l'Orient latin, « Les chartes de l'abbaye de Notre-Dame de Josaphat », 1899, p. 166 (n°56) dans laquelle on peut lire : « fratre siquidem Irmengaud tunc existente Magno præceptore », ce qui montre qu'il était grand commandeur et non commandeur de la terre d'Antioche cette année là. cf. (Burgtorf 2008) et (Claverie 2005).
  3. Irmengaud est une forme ancienne du prénom germanique Armengaud. Ne pas le confondre avec Armengaud d'asp (Hermangard d'Asp).
  4. Le patronyme Raiaco paraît correspondre à celui de Pierre de la Rajace que l'on trouve la même année.
  5. Jochen Burgtorf ne le mentionne pas. il y a également un doute sur le fait que le dignitaire nommé Aimo ou encore Amions en 1183 et qualifié de maître en France soit le même que Amio de Ays ou des Haies attesté comme maître cismarin sans discontinuer de 1179 à 1186. J. Burgtorf pense que la charte de 1183 où Aimo s'intitule « magister milicie Templi » ne permet pas de corroborer le fait qu'il soit maître de la province de France cette année-là mais plutôt maître cismarin puisque l'on trouve un autre document en 1983 avec ce titre (« Amio magister milicie Templi citra mare, Paris »)[12]. Émile-Guillaume Léonard ne l'incluait pas non plus dans la liste des maîtres de la province de France[13] alors que Victor Carrière est formel sur l'existence du frère Amion, commandeur de la province de France en 1183 s'appuyant sur une charte dans laquelle il s'intitule « Amions fratrum templariorum in Francia commorantium [dictus] magister[14] »
  6. Cette charte du 07 juin 1242 a disparu. Il s'agit d'une sentence par Albert, patriarche d'Antioche réglant un différend qui opposait les templiers et les hospitaliers dans le comté de Tripoli. Jochen Burgtorf est le premier historien à avoir exhumé ce dignitaire de l' inventaire de Manosque, un manuscrit du XVIe siècle. Ni l' inventaire des chartes de Syrie par Jean Raybaud, ni la notice descriptive du manuscrit de Raybaud publiée par Delaville le Roux ne précisaient les noms de tous les dignitaires templiers présents dans cette charte[20] or c'est le cas du manuscrit conservé aux archives départementales des Bouches-du-Rhône (série H, Ordre de Malte, 56 H 68, Inventaire de Manosque, a. 1531) entre autres Pons, commandeur d'Antioche[19].
  7. Année 684 de l'hégire.
  8. Compte tenu qu'il ne s'agit que d'une source indirecte (procès, Paris 1310), J. Burgtorf avance l'hypothèse qu'il était peut-être grand commandeur en 1293, ayant été maréchal de l'ordre en 1292 plutôt que simple commandeur de Nicosie. Le siège du couvent de l'ordre se serait alors trouvé à Nicosie à cette période plutôt qu'à Limassol[38]. Mais il existe d'autres exemples de hauts dignitaires redevenus simples commandeurs de maison ensuite (ne serait-ce que Bérenger de Saint-Just qui le précède) soit en raison de leur âge ou d'une infirmité de guerre.
  9. Son titre est celui de grand commandeur or à cette époque ce titre était aussi employé par le dignitaire qui tenait lieu de maître de l'ordre en attendant l'élection d'un nouveau maître. C'est par exemple le cas de Robert Fraisnel en 1179-1180. Mais comme le relève Jochen Burgtorf concernant Gilbert Hérail, il n'y a pas de vacance en 1183[72], Arnaud de Toroge est maître de l'ordre, Gérard de Ridefort sénéchal. C'est également l'opinion de Josep M. Sans y Travé qui le qualifie de grand commandeur de Jérusalem et de trésorier du Temple[74]. Le problème se pose de nouveau en 1190 mais cette fois là, il n'y a pas de maître de l'ordre.
  10. Lettre de Gérard de Ridefort alors sénéchal de l'ordre au commandeur de Jérusalem « O. De Vend. ». Jochen Burgtorf l'inclut dans la liste des grands commandeurs[76] mais précise que l'on ne peut pas savoir quel rang exact il occupait[72]. Le deuxième dignitaire de l'ordre dans la hiérarchie est donc à ce moment-là Gérard de Ridefort, sénéchal en 1283-84 or on trouve également Gilbert Hérail comme grand commandeur en 1183. L'existence des sénéchaux du Temple est attestée jusqu'en 1195 avant la disparition de cette dignité, remplacée par celle de grand commandeur. Comme le retrait 123 de la règle du Temple mentionne le « grant Comandeor dou royaume de Jerusalem », Gilbert Hérail est plus probablement commandeur de la terre de Jérusalem à ce moment-là et O. De Vend. commandeur de la cité de Jérusalem. On ajoutera que Gilbert Hérail ne devient commandeur de la province de Provence et parties des Espagne qu'en 1285 au moment de l'accession de Gérard de Ridefort à la maîtrise de l'ordre[74].
  11. Contrairement à l'année 1183, cette fois-ci il n'y a pas de maître de l'ordre (Ridefort est mort en 1189, Robert de Sablé n'a pas été élu avant 1191) et il semblerait que l'ordre ait été dirigé au moins pour un temps par le chapelain du couvent, frère W.[77]. Si Hérail était grand commandeur par intérim (au sens de la règle), pourquoi figure-t-il comme témoin après le sénéchal dans les trois chartes que nous avons de lui? Jochen Burgtorf avance l'hypothèse de relations conflictuelles entre Amio de Ays, le sénéchal et Gilbert Hérail, le grand commandeur qui se disputaient la maîtrise de l'ordre[77].
  12. a et b Problème de chevauchement avec la période de maîtrise de Pons d'Albon en France. Jochen Burgtorf ne répertorie qu'une seule charte en novembre 1225 et deux chartes en juin/juillet 1238[87]. Il existe d'après Alphonse Wauters une charte du 05 juillet 1223 [sic] qui contient « frater P., perceptor [sic] domorum milicie Templi in Francia » mais c'est l'année 1236 qui figure en bas de l'extrait de cette charte et d'après cet auteur les arbitres désignés dedans rendent leur verdict le 18 novembre 1236[88]. L'abréviation P. ne permet pas de savoir s'il s'agit de Pierre de Saint-Romain ou de Pons d'Albon. D'autre part Delphine Marie indique que Pons d'Albon a occupé cette charge de 1236 à 1240[89], ce qui est en contradiction avec les documents mentionnés par Jochen Burgtorf pour l'année 1238. Pour ajouter à cette confusion, Émile-Guillaume Léonard mentionne Pons d'Albon, maître en France en 1236, 1238, 1240 et en 1246 mais aussi Pierre de Saint-Romain en 1238[90]. En conclusion, on peut supposer que l'abréviation P. pour l'année 1236 correspond peut-être à Pierre de Saint-Romain si tant est que les documents cités par Wauters soient les mêmes que ceux de Léonard et que Pons d'Albon ne lui aurait alors succédé qu'à partir de 1238.
  13. « freres Giles li granz coumanderrez du Temple[94] ». La source primaire est une chronique appelée le manuscrit de Rothelin[95] qui pourrait laisser à penser que la fonction de grand commandeur et celle de commandeur de la terre de Jérusalem sont distinctes au milieu du XIIIe siècle[96]. Ce frère Gilles ne figure dans aucune charte et aucune autre chronique relatant la bataille de Mansourah ne le nomme. Comme il s'agit d'une chronique, la précision temporelle n'est pas toujours de mise et frère Gilles peut très bien avoir été grand commandeur par intérim à la suite du décès de Guillaume de Sonnac. Dans ce cas il n'était pas encore grand commandeur au moment des faits relatés et encore moins commandeur de la terre de Jérusalem. † Mansourah ? Non s'il a remplacé Guillaume de Sonnac jusqu'à l'élection de Renaud de Vichiers ou alors le chroniqueur a écorché son nom et il s'agit de Guillaume de Sonnac ? Aucun historien n'a un avis tranché sur cette question. Étienne d'Ostricourt étant toujours commandeur de la terre de Jérusalem en mai 1250.
  14. Alan John Forey indique qu'il est maître de la province d'Aragon de 1267 à 1278 alors qu'il est en Orient en 1277 avec le titre de grand commandeur. De surcroît, Pierre de Montcada (ca) apparaît dès 1276 avec le titre de maître d'Aragon mais Forey pense que ce dignitaire n'est alors que "lieutenant" (Locum tenens) pour la période 1276-1277[116]. Jochen Burgtorf abonde dans le sens de Forey mais ne publie pas non plus ces documents[117].
  15. Le commandeur de la terre de Jérusalem commandait initialement les possessions templières dans le royaume de Jérusalem à partir de la Maison du Temple de Jérusalem jusqu'en 1187 puis à partir d'Acre jusqu'en 1291 et pour finir à Nicosie (Chypre) après la perte de la Terre sainte.
  16. On peut supposer qu'ils avaient perdu toutes leurs possessions dans le royaume de Thessalonique car ce titre correspond à leurs biens dans le Péloponnèse, cf. Morée.
  17. Antalya était connue au Moyen Âge sous le nom de Satalia et n'avait pas encore été conquise par les francs au moment de la donation.
  18. On trouve mention des commandeurs d'Antioche et des commandeurs de Tripoli à des dates qui se chevauchent.
  19. H. de Curzon indique qu'il s'agit vraisemblablement du nom du commandeur de Tripoli mais que ce n'est pas certain (retrait n°617). J. Burgtorf ne le mentionne pas dans sa prosographie du Temple. P.V. Claverie le distingue du commandeur de Tripoli et en fait un prud'homme du maître du Temple, opinion partagée par Damien Carraz[137].
  20. Rodrigo Yáñez, maître de Castille et León (1300-1307) qui était à l'époque le compagnon (socio dicti preceptoris) de Rui de Cuero.

Références

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    Thèse de doctorat soutenue à la Sorbonne en 1995.
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    15 août 1203 et non en juin. Charte de Gilbert Herail dans laquelle frère Irmangaud est alors le grand commandeur en exercice, Adam Bren le maréchal, Pierre de la Rajace, le commandeur d'Acre...
  9. a b c d e f g h i j k l et m Claverie 2005, p. 117
  10. Burgtorf 2008, p. 617 ; Claverie 2005, p. 41, 111, 117
  11. Burgtorf 2008, p. 617 ; Claverie 2005, p. 32
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  13. E.G Léonard, Introduction au Cartulaire manuscrit du Temple (1150-1317), constitué par le marquis d'Albon et conservé à la Bibliothèque nationale suivie d'un tableau des maisons françaises du Temple et de leurs précepteurs, E. Champion, , xv-259, p. 114-116
  14. Victor Carrière, « E.-G. Léonard - Introduction au cartulaire manuscrit du Temple (1150-1317), constitué par le marquis d'Albon et conservé à la Bibliothèque nationale, suivie d'un Tableau des maisons françaises du Temple et de leurs précepteurs - Paris, E. Champion, 1930. In-8°, xv-259 pages. », Revue d'histoire de l'église de France, vol. 18, no 79,‎ (lire en ligne), p. 203 ; Abbé Lebeuf et Hippolyte Cocheris, Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris, t. II, Paris, (lire en ligne), p. 474
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    «  Baudoin de Borrages estoit comandeor des chevaliers » à Château Pèlerin.
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    « Guillelmus de Lemovicinio filius quondam domini Hugonis de Lemovicinio defuncti ».
  45. Schottmüller 1887, p. 52, lire sur archive.org
    « frater Guillelmus de Lemocicinio, miles templarius, morans in domo de Capella, Caturicensis dioc. ». Il s'agit d'un homonyme du précédent, tous deux chevaliers.
  46. a et b Bulst-Thiele 1974, p. 260, 288 ; « L'Estoire de Eracles empereur et la conqueste de la terre d'Outremer », dans Recueil des historiens des croisades. Historiens occidentaux., t. II, , p. 463, lire en ligne sur Gallica
    1272: « Religioso fratri G. De Belloioco, magistro domorum militie Templi in regno Sicilie ».
    Mai 1273: « frere Guillaume de Biaujeu, qui estoit Outre mer commandeor du Temple en Puille. Et alerent por lui querre frere guillaume du Poncon, qui avoit tenu lieu de maistre, et frere Bertran de Fox ».
  47. a et b Burgtorf 2008, p. 494-496
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  49. Burgtorf 2008, p. 496 ; Forey 1973, p. 436
  50. Burgtorf 2008, p. 496 ; Forey 1973, p. 422
    Absence de Bérenger de Cardona qui s'est rendu en Orient (Chypre). Il y a eu également Raymond de Fals, châtelain de Monzón comme tenant lieu durant cette absence mais aussi Pierre de Tous, le commandeur de Huesca. cf. Forey, p. 314.
  51. Burgtorf 2008, p. 491-492 ; (la) Jules Michelet, Le procès des Templiers, vol. 1, Paris, Imprimerie nationale, coll. « Documents inédits sur l'histoire de France », , 681 p. (lire en ligne), p. 213, lire en ligne sur Gallica
  52. Schottmüller 1887, p. 191-192, lire sur archive.org
  53. Burgtorf 2008, p. 491-492
    20 avr. 1292: « frere Baudeuin de la Andrin, mareschal ».
  54. Burgtorf 2008, p. 142, 511-512 ; Claverie 2005, p. 261
  55. Burgtorf 2008, p. 512
  56. Burgtorf 2008, p. 625-628
  57. Schottmüller 1887, p. 210-211 (n°66), lire sur archive.org
  58. (de + oc) Heinrich Finke, « Acta Aragonensia / Nachträge und Ergänzungen : I-III. », dans Gesammelte Aufsätze zur Kulturgeschichte Spaniens, vol. IV, (présentation en ligne), p. 445-446 (n°9)
    Fin 1304: Lettre de Pere de Castellón (ou de Castellnou) à Pere de Saint-Just, commandeur d'Alfambra: « Al molt honrat e religios seynor frare P. de Senjust, honorable comanador Dalfambra del vostre hobedient frare P. de Casteyllo salutz... » dans laquelle il l'informe des noms des nouveaux dignitaires désignés par Jacques de Molay ; précédente lettre du maître pour le commandeur de Miravet en date du 25 octobre 1304.
  59. Michelet 1851, p. 374, lire en ligne sur Gallica
  60. Burgtorf 2008, p. 142, 626 ; Forey 1973, p. 414 (n°44)
    10 nov. 1300: « Riambaldus de Carona preceptor Nimocii ».
  61. a et b Burgtorf 2008, p. 577-578 ; Gilmour-Bryson 1998, p. 117-118 (n°40)
  62. Schottmüller 1887, p. 173 (n°12), lire sur archive.org
  63. Schottmüller 1887, p. 192-193 (n°40), lire sur archive.org
  64. Burgtorf 2008, p. 577 ; Claverie 2005 (vol. 3), p. 346-347 (n°417)
  65. Curzon 1886, p. 94-100
    Retraits n°110 à 119
  66. Burgtorf 2008, p. 252
  67. Demurger 2008, p. 146
  68. Burgtorf 2008, p. 49
    « the (grand) preceptor of the land (or kingdom of Jérusalem) » qui diffère par contre du « grand preceptor of the interim ».
  69. a et b Burgtorf 2008, p. 271-274, 386-387, 397, 408-409
  70. Burgtorf 2008, p. 704
  71. Burgtorf 2008, p. 253
  72. a b et c Burgtorf 2008, p. 49
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  74. a et b (ca) Josep M. Sans y Travé, Arnau de Torroja : Un català mestre major del Temple (1118/1120?-1184), Reial Academia de Bones Llenes de Barcelona, (ISBN 84-9779-464-8, lire en ligne), p. 123
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  77. a et b Burgtorf 2008, p. 79
  78. (de + la) Hans Eberhard Mayer, Die Kanzlei der lateinischen Königen von Jérusalem, vol. 2, Hahn, coll. « Schriften der Monumenta Germaniae Historica, vol. 40 », (présentation en ligne), p. 909-911 (n°13)
    Dans cette charte Amio de Ays, alors sénéchal de l'ordre est cité juste avant. « Amionis de Ais domus Templi senescalli ».
  79. Mayer 1996, p. 911-914 (n°14)
    Également avec Amio de Ays. « fratre Aimione de Ays senescallo ». Les deux chartes (n°13-14) sont postérieures au 28 juillet 1190 et antérieures au 13 avril 1191.
  80. Burgtorf 2008, p. 614-615
  81. Joseph Delaville Le Roulx, Cartulaire général de l'Ordre des Hospitaliers de. S. Jean de Jérusalem (1100-1310) : 1201-1260, vol. 2, , 919 p. (OCLC 630240667, présentation en ligne), n°1197 ; Reinhold Röhricht, Regesta regni Hierosolymitani (MXCVII-MCCXCI) : Additamentum, (lire en ligne), p. 52 (n°797a)
  82. Delaville Le Roulx 1897, n° 1250 ; Reinhold Röhricht, Regesta regni Hierosolymitani (MXCVII-MCCXCI), (lire en ligne), p. 219-220 (n°818)
  83. Delaville Le Roulx 1897, n° 1251 ; Röhricht 1893, p. 220 (n°819)
  84. a et b Burgtorf 2008, p. 274 ; Claverie 2005 (vol. 3), p. 113 (n°90) ; Röhricht 1893, p. 285 (n°1096) ; (fr + la) Archives de l'Orient latin publiées sous le patronage de la société de l'Orient latin, t. II, Ernest Leroux, (lire en ligne), « Fragment d'un cartulaire de l'ordre de Saint Lazare, en Terre-sainte », p. 155-157 (n°39)
    Claverie indique novembre 1240, « M CC XL, mense novembris » dans la charte alors que Burgtorf indique septembre 1240 (faute de frappe ?)
  85. Burgtorf 2008, p. 493
  86. Burgtorf 2008, p. 618 ; Delaville Le Roulx 1897, n°228 ; Röhricht 1893, p. 286-287 (n°1102), lire en ligne sur archive.org ; (it + fro) Sebastiano Paoli, Codice diplomatico del sacro militare ordine Gerosolimitano oggi di Malta, (lire en ligne), p. 133, n°118 (p. 129-133)
    Röhricht publie une traduction de cette charte en latin mais l'originale est en vieux français.
  87. Burgtorf 2008, p. 617-618
  88. Alphonse Wauters, « Exploration des chartes et des cartulaires belges existants à la bibliothèque nationale, à Paris », Compte rendu des séances de la commission royale d'histoire, ou recueil de ses bulletins, 4e série, t. II,‎ (lire en ligne), p. 173
  89. Delphine Marie, Les Templiers dans le diocèse de Langres : des moines entrepreneurs aux XIIe et XIIIe siècles, Langres, D. Guéniot, , 189 p. (ISBN 2-87825-260-8, présentation en ligne), p. 154
    En contradiction avec les chartes indiquées par J. Burgtorf pour Pierre de Saint-Romain en 1238.
  90. Léonard 1930, p. 115
  91. a et b Burgtorf 2008, p. 618
    Juillet 1238: « frater Petrus de sancto Romano, humilis preceptor domus milicie Templi in Francia et in partibus cismarinis ». Pons d'Albon est attesté le même mois comme « précepteur des maisons de la milice du Temple en France » dans un accord entre la chartreuse de Lugny et les templiers de Voulaines et de Bures.
  92. Burgtorf 2008, p. 661 ; Bulst-Thiele 1974, p. 123 (note a), 231
  93. (fro) Jean de Joinville et Natalis de Wailly (contributeur), Histoire de Saint Louis, , p. 135 (fo 252-254), lire en ligne sur Gallica
  94. Burgtorf 2008, p. 126, 274, 456
  95. « Continuations de Guillaume de Tyr dite du manuscrit de Rothelin », dans Recueil des historiens des croisades. Historiens occidentaux, t. II, , p. 604, lire en ligne sur Gallica
  96. Burgtorf 2008, p. 107
  97. Burgtorf 2008, p. 274, 409, 548-551
  98. (de + la) Reinhold Röhricht, Beiträge zur Geschichte der Kreuzzüge, vol. 2, Scientia-Verlag, (présentation en ligne)
  99. a et b Burgtorf 2008, p. 548-551
  100. Amédée-Louis Léchaudé d'Anisy, « Documents historiques touchant les Templiers et les Hospitaliers en Normandie, tirés des Archives [départementales] du Calvados et d’autres dépôts publics [1258-1376] », Mémoires de la Société des antiquaires de Normandie, t. XIV,‎ , p. 354, 378-379 (notes 1-3), lire en ligne sur Gallica
    Jeudi après l'Épiphanie 1258 (a°.s.) ⇒ 09 janvier 1259 (n.s.)
  101. Claverie 2005 (vol. 3), p. 536
  102. Röhricht 1893, p. 341 (n°1303)
    18 juin 1261: « Guido de Basainvilla, visitator Templi in partibus citramarinis ».
  103. Burgtorf 2008, p. 593 ; Reinhold Röhricht et Gaston Raynaud, Annales de Terre sainte 1095-1291, Paris, Ernest Leroux, (lire en ligne), p. 24
  104. a et b Burgtorf 2008, p. 470-474
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  108. Claverie 2005 (vol. 3), p. 157-158
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  110. a et b Burgtorf 2008, p. 656-657
  111. Burgtorf 2008, p. 275, 656 ; Paoli 1733, p. 194-195 (n°152), lire sur Google Livres
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    Inventaire des titres de la trésorerie des chartes de Hainaut à Mons, J 52. N°242, p. 248 dans Sigillographie avec erreur de prénom: Jacques au lieu de Jean
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  131. Schottmüller 1887, p. 179 (n°20), lire sur archive.org
  132. Demurger 2008, p. 147
  133. Demurger 2008, p. 153
  134. Pierre-Vincent Claverie, L'ordre du Temple en Terre Sainte et à Chypre au XIIIe siècle , catalogue analytique des actes relatifs à l’histoire de l’ordre en Terre Sainte et à Chypre aux XIIe et XIIIe siècles., vol. 3, Nicosie, Centre de Recherche Scientifique, coll. « Sources et études de l'histoire de Chypre », , 680 p. (ISBN 978-9-9630-8094-6, présentation en ligne), p. 324
  135. a et b Claverie 2005, p. 24
  136. Burgtorf 2008, p. 618
  137. Damien Carraz (préf. Alain Demurger), L'Ordre du Temple dans la basse vallée du Rhône (1124-1312) : Ordres militaires, croisades et sociétés méridionales, Lyon, Presses universitaires de Lyon, coll. « Collection d'histoire et d'archéologie médiévales / 17 », (ISBN 978-2-7297-0781-1, lire en ligne), p. 307 (note 107)
    Entre 1258 et 1267. L'auteur indique aussi l'année 1252, p. 79 (note 229) sur la base d'une information tirée de Laurent Dailliez, Les Templiers et les règles de l'ordre du Temple, 1972, p. 240. Information que l'on trouve au départ chez Curzon sauf que l'acte de Thomas Béraud dans lequel il apparaît est daté du 10 octobre 1258 par monsieur Claverie (Claverie 2005 (vol. 3), p. 143-144).
  138. Curzon 1886, p. 318-319 (n°617), lire en ligne sur Gallica
  139. Claverie 2005 (vol. 3), p. 144
  140. Claverie 2005, p. 178
  141. Röhricht 1893, p. 359 (n°1378), lire sur archive.org ; Paoli 1733, p. 194-195 (n°152), lire sur Google Livres
  142. Bulst-Thiele 1974, p. 260
    Auquel cas la forteresse de Beaufort a été perdue sous son commandement.
  143. Claverie 2005, p. 85, 209
  144. Philippe Josserand, « Et succurere Terre sancte pro posse : Les Templiers castillans et la défense de l’Orient latin au tournant des XIIIe et XIVe siècles », Cahiers de recherches médiévales [En ligne], no 15,‎ (ISSN 2273-0893, lire en ligne), p. 222
  145. Claverie 2005, p. 209
  146. (la) Jules Michelet, Le procès des Templiers, vol. 2, Paris, Imprimerie nationale, coll. « Documents inédits sur l'histoire de France », , 540 p. (lire en ligne), p. 15-16, lire en ligne sur Gallica
  147. Claverie 2005, p. 209