Aller au contenu

Jacques Chessex

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Jacques Chessex
Description de cette image, également commentée ci-après
Jacques Chessex en septembre 2009 à Lausanne
Naissance
Payerne, Canton de Vaud, Suisse
Décès (à 75 ans)
Yverdon-les-Bains, Canton de Vaud, Suisse
Activité principale
Écrivain, peintre, enseignant
Distinctions
Famille
Luc Chessex (cousin)
Auteur
Langue d’écriture Français
Genres

Œuvres principales

Signature de Jacques Chessex

Jacques Chessex, né le à Payerne et mort le [1] à Yverdon-les-Bains, est un écrivain, poète et peintre suisse de langue française. Il est le seul écrivain suisse ayant reçu le prix Goncourt[2], mais également le prix Goncourt de la poésie en 2004.

Jacques Chessex est le fils de Pierre Chessex, étymologiste, linguiste, directeur d'établissement secondaire et écrivain vaudois. Son grand-père, Albert Chessex, également enseignant, était quant à lui un fin commentateur des patois romands, au sujet desquels il co-anima une émission radiophonique jusqu'au milieu des années 1970. Jacques Chessex fait ses études à Fribourg, puis à Lausanne, où il a pour professeur Jacques Mercanton, qui l’encourage dans sa vocation littéraire et à qui il voue, d’abord, un véritable culte[3]. Il entreprend à Lausanne des études de lettres et rédige un mémoire sur Francis Ponge. Il s'oriente ensuite vers l'enseignement du français et du latin, mais écrit dès son plus jeune âge de la poésie. Il publie en 1954 un premier recueil Le Jour proche, bientôt suivi de trois autres volumes : Chant de printemps, Une voix la Nuit, Batailles dans l'air.

En 1956, Pierre, son père, se suicide. La suite de son œuvre tirera alors l’essentiel de sa dramaturgie et de sa thématique d’un scénario existentiel marqué par le départ subit de ce père sévère, mais aimé. Lauréat du prix Goncourt en 1973 pour son roman L'Ogre, l'écrivain occupe alors une position majeure dans la littérature romande. Se plaçant clairement dans une tradition littéraire vaudoise et romande, Jacques Chessex entretient des liens étroits avec Paris (chroniqueur de La Nouvelle Revue française, membre correspondant[4] de l'Académie Goncourt. Poète réputé, il reçoit le prix Mallarmé 1992 pour son recueil Les Aveugles du seul regard.

Une exposition lui étant consacrée a eu lieu en 2004 à la Bibliothèque nationale suisse à Berne. Intitulée « Il y a moins de mort lorsqu'il y a plus d'art » celle-ci fut constituée de sept parties : les écrits autobiographiques « Autographe », le thème de l'absolu et de la religion « Métaphysique », de la femme et de l'érotisme « Féminaire », l'attachement à « La Suisse romande » et à « La France », la fascination pour la nature et les animaux « Bestiaire », enfin les textes consacrés aux peintres ou écrits en collaboration avec eux « Peintres ».

Fait chevalier de la Légion d'honneur à Berne, le 18 septembre 2002, Jacques Chessex, également membre du jury du prix Médicis depuis 1996, reçoit en 2003 le grand prix de la langue française pour l'ensemble de son œuvre et le grand prix du rayonnement français de l'Académie française. En 2004, Jacques Chessex reçoit la Bourse Goncourt Poésie attribuée par l'Académie Goncourt.

Alors qu'il participe à une conférence à la bibliothèque publique d'Yverdon-les-Bains[5] au sujet de l'adaptation théâtrale de son roman la Confession du pasteur Burg, Jacques Chessex meurt subitement le vendredi 9 octobre 2009, à l'âge de 75 ans, des suites d'un malaise cardiaque[1] alors qu'il répondait à une personne « qui lui reprochait avec véhémence son soutien public à l'affaire Roman Polanski[6],[7],[8] ».

Après avoir reposé à la chapelle Saint-Roch à Lausanne, les obsèques eurent lieu le à la cathédrale de Lausanne, où environ 600 personnes lui ont rendu un dernier hommage. Parmi les personnalités publiques, figuraient notamment Jérôme Garcin, qui a prononcé un éloge funèbre, Marcel Imsand, Pietro Sarto, Freddy Buache, Lionel Baier, Michel Thévoz, Jean Romain. Il fut ensuite inhumé le même jour, dans l'intimité, au cimetière de Ropraz, qui fait face à la maison où il habitait depuis 1978[9].

Le fonds d'archives de Jacques Chessex se trouve aux Archives littéraires suisses à Berne.

Romans et récits

[modifier | modifier le code]

Recueil de nouvelles

[modifier | modifier le code]
  • Le Séjour des morts, Paris, Grasset, 1977
  • Le Voyage d'hiver, avec Serge Rezvani, Jean Freustié et Georges Perec, Paris, Éditions du Seuil, coll. « Librairie du XXe siècle », 1993 et 2009
  • Où vont mourir les oiseaux, Paris, Grasset, 1980
  • Portrait d'une ombre, Genève, Zoé, 1999
  • Sosie d’un saint, Paris, Grasset, 2000
  • Monsieur, Paris, Grasset, 2001
  • Le Fort et autres nouvelles, Genève, Zoé, 2002
  • Passage de l'ombre, Paris, Grasset, 2019

Chroniques et morceaux

[modifier | modifier le code]
  • Reste avec nous, Lausanne, Cahier de La Renaissance Vaudoise, 1967
  • Portrait des Vaudois, Lausanne, Cahier de La Renaissance Vaudoise, 1969
  • Hommage au major 1970, avec Gaston Cherpillod, Henri Perrochon, Georges-André Chevallaz, dessins de Pierre Estoppey, Lausanne, Au Verseau, 1970
  • Des cinq sens, aquarelles d'Étienne Delessert, Lausanne, Au Verseau, 1983
  • Feux d'orée, Lausanne, L'Aire, 1984
  • Le Pays de Vaud de Jacques Chessex, photographies de Marcel Imsand, Lausanne, Caisse d'Épargne et de Crédit, 1992
  • Ropraz, avec Jacques-Henri Lador, Jacques-Étienne Bovard, Jean-Daniel Savary, photographies de Silvano Prada, Commune de Ropraz, 2004
  • Dans la buée de ses yeux, Yvonand, Bernard Campiche, 1995
  • L'Imparfait, Yvonand, Bernard Campiche, 1996
  • De l'encre et du papier, Lausanne, La Bibliothèque des Arts, 2001
  • Une chouette vue à l'aube, Lausanne, Chabloz, 2001
  • L'Adoration, illustrations de Pietro Sarto, Lausanne, Chabloz, 2004
  • Ce que je dois à Fribourg, avec François Gross, Gérard Froidevaux, Marius Michaud, Fribourg, Bibliothèque cantonale et universitaire Fribourg, 2005
  • Fribourg dans l'ici et l'ailleurs, photos de Noël Aeby, Fribourg, La Sarine, 2007
  • Les Têtes, Paris, Grasset, 2003
Jacques Chessex en 1991.
  • Le Jour proche, Lausanne, Aux Miroirs partagés, 1954
  • Chant de printemps, Genève, Jeune Poésie, 1955
  • Une voix la nuit, dessins de Jacques Berger, Lausanne, Mermod, 1957
  • Batailles dans l'air, dessins de Jean Bazaine, Lausanne, Mermod, 1959
  • Le Jeûne de huit nuits, Lausanne, Payot, 1966
  • L'Ouvert obscur, Lausanne, L'Âge d'Homme, 1967
  • Élégie soleil du regret, Vevey, Bertil Galland, 1976
  • Le Calviniste, Paris, Grasset, 1983
  • Pierre Estoppey, avec Charles-Henri Favrod et André Kuenzi, textes et poèmes, Denges et Lausanne, Au Verseau, 1986
  • Myriam, Lausanne, PAP, 1987
  • Comme l'os, Paris, Grasset, 1988
  • Dans la page brumeuse du sonnet, dessins d'Armand Abplanalp, Lausanne, PAP, 1989
  • Élégie de Pâques, Pully, PAP, 1989
  • Neige, gravures de Moïra Cayetano, Gavirate, Stamperia del Portico, 1989
  • Si l'arc des coqs, gravure d'André Clerc, Pully, PAP, 1989
  • Plaie ravie, illustrations de Cécile Muhlstein, Pully, PAP, 1990
  • Les Aveugles du seul regard, Pully, PAP, 1991 ; réédition, Paris, Éditions de La Différence, 1992 - Prix Mallarmé
  • Le Buisson, aquatinte de Pietro Sarto, Saint-Prex, Atelier de Saint-Prex, 1991
  • Songe du corps élémentaire, lithographies de Marcel Mathys, Neuchâtel et Lausanne, François Ditesheim et Françoise Simecek, 1992
  • La Fente, héliogravure de Pierre Keller, Saint-Prex, Atelier de Saint-Prex, 1993
  • Le Rire dans la faille, dessins de Chantal Moret, Martigny, Le Manoir, 1993
  • Les Élégies de Yorick, Yvonand, Bernard Campiche, 1994
  • Le Temps sans temps, Paris, Le Cherche midi éditeur, 1995
  • Cantique, Yvonand, Bernard Campiche, 1996
  • Poésie, 3 volumes (Œuvre poétique complète), Yvonand, Bernard Campiche, 1997
  • Le Désir de la neige, Paris, Grasset, 2002
  • Les Eaux et les Forêts, Genève, Le Miel de l'Ours, 2003
  • Douze poèmes pour un cochon, images de Jean Lecoultre, Lausanne, Chabloz, 2004
  • Allegria, Paris, Grasset, 2005 - Prix Goncourt de la poésie
  • Où va la rivière bue, Genève, Le Miel de l'Ours, 2005
  • Revanche des purs, Paris, Grasset, 2008
  • La Chattemite, images de Jacques Chessex, Cuenca, Cuadernos del Hocino, 2008

Essais et critique littéraire

[modifier | modifier le code]
  • Hommage à Gustave Roud, Lausanne, Arts et Lettres, 1957
  • Charles-Albert Cingria, essai, Paris, Seghers, 1967
  • Les Saintes Écritures, Vevey, Bertil Galland, 1972
  • Bréviaire, Vevey, Bertil Galland, 1976
  • Adieu à Gustave Roud, avec Maurice Chappaz et Philippe Jaccottet, Vevey, Bertil Galland, 1977
  • Entretiens avec Jacques Chessex, Jérôme Garcin, Paris, La Différence, 1979
  • Maupassant et les autres, Paris, Ramsay, 1981
  • Mort d'un cimetière, photographies de Luc Chessex, Lausanne, 24 Heures, 1989
  • Flaubert, ou le Désert en Abîme, Grasset, Paris, 1991
  • Avez-vous déjà giflé un rat?, pamphlet, Yvonand, Bernard Campiche, 1997
  • Le Désir de Dieu, Paris, Grasset, 2005
  • Écrits sur Ramuz, Vevey, L'Aire, 2005
  • Le Simple préserve l’énigme, Paris, Gallimard, 2008
  • L’Interrogatoire, Paris, Grasset, 2011

Écrits sur l'art

[modifier | modifier le code]
  • Dessins de Pablo Picasso, dessins de Pablo Picasso avec une lettre de Francis Ponge, Lausanne, Mermod, 1960
  • Hommage à Jacques Berger, avec Gustave Roud, Georges Peillex, Jacques Monnier, André Kuenzi, Lausanne, Pour l'Art, 1963
  • 6.6.66, sculpture de André Gigon, photographies de Henriette Grindat, Lausanne, Maurice Bridel, 1966
  • Les Dessins d'Étienne Delessert, Lausanne, Bertil Galand, 1974
  • Die fünf Sinne, illustrations d'Étienne Delessert, Denges et Lausanne, Au Verseau, 1983
  • L'Air d'Eros, dessins et aquarelles de Bernard Louedin, Paris et Lausanne, La Bibliothèque des Arts, 1984
  • Pierre Estoppey, avec Charles-Henri Favrod et André Kuenzi, textes et poèmes, Denges et Lausanne, Au Verseau, 1986
  • La Muerte y la Nada, œuvres d'Antonio Saura, Paris, Pierre Canova, 1990
  • Jean Lecoultre, avec Erika Billeter, Bertil Galand, Michel Thévoz, Christophe Gallaz, Claude Ritschard, Lausanne, Musée Cantonal des Beaux Arts, 1990
  • Zao Wou-Ki, Genève, Galerie Jan Krugier, 1990
  • Pierre Estoppey, Lausanne, Galerie Paul Vallotton, 1991
  • Marc Jurt ou La Lampe du Jour, Genève, Galerie Patrick Cramer, 1991
  • Marcel Poncet, avec Valentine Reymond, Paris, La Bibliothèque des Arts, 1992
  • Olivier Charles, Vevey, Musée Jenisch, 1992
  • Raoul Ubac, avec Bernard Blatter, Yves Bonnefoy, Anne Delfieu, Vevey, Musée Jenish, 1992
  • Pierre Raetz, Neuchâtel et Bruxelles, Galerie 2016, 1992
  • Le Rire dans la faille, dessins de Chantal Moret, Martigny, Le Manoir, 1993
  • Venise, aquarelles de Italo De Grandi, Lausanne, Jean Genoud, 1993
  • À l'Ange rouge, gravure de Jean-Pascal Bongard, Lausanne, Galerie HumuS, 1995
  • Bazaine, Paris, Skira, 1996
  • Paysages envisagés, photographies de Philippe Pache, Paris, Galerie Caméra Obscura, 1996
  • Dana, peintures et sculptures de Yves Dana, Neuchâtel, Galerie Ditesheim, 1996
  • Sur une gravure de Tal Coat, Saint-Prex, Atelier de Saint-Prex, 1997
  • La Bête de Tal Coat, Saint-Prex, Atelier de Saint-Prex, 1997
  • Figures de la métamorphose, Lausanne, La Bibliothèque des Arts, 1999
  • Le Dernier des monstres, Cuenca, Cuadernos del Hocinoco, 2000
  • Notes sur Saura, Cuenca, Cuadernos del Hocinoco, 2001
  • Les Dangers de Jean Lecoultre, Cuenca, Cuadernos del Hocinoco, 2002
  • Marcel Pierre, Lausanne, Cheneau de Bourg, 2002
  • Pietro Sarto, le discours de l'Hermitage, gravures de Pietro Sarto, Lausanne, Chabloz, 2003
  • Javier Pagola, Cuenca, Cuadernos del Hocinoco, 2004
  • Thomas Fougeirol, Paris, Operae, 2004
  • Dans la peinture de Sarto, Saint-Prex et Lausanne, Atelier de St-Prex et Chabloz, 2008
  • Avec Pietro Sarto, in Pietro Sarto 60 ans de peinture, avec Freddy Buache, Abbatiale et Musée de Payerne, 2008
  • Une nuit dans la forêt, héliogravures de Manuel Müller, Genève, Notari, 2009
  • Jean Lecoultre ou la haine de la peinture, avec Christophe Bataille, Sion, Matze, 2010

Correspondance

[modifier | modifier le code]
  • Une vie nouvelle, correspondance avec Michel Moret, Vevey, Éditions de l'Aire, 2010
  • Correspondance 1953-1976, correspondance avec Gustave Roud, Gollion, Infolio, 2011
  • Fraternité secrète, correspondance avec Jérôme Garcin, Grasset, Paris, 2012
  • Le Renard qui disait non à la Lune, illustrations de Danièle Bour, Paris, Grasset, 1974
  • Marie et le Chat sauvage, illustrations de Danièle Bour, Paris, Grasset, 1979
  • Neuf, l’Œuf, illustrations de Danièle Bour, Paris, Grasset, 1990
  • François dans la forêt, illustrations de Danièle Bour, Paris, Grasset, 1991

Revues littéraires

[modifier | modifier le code]

Jacques Chessex a publié des textes et des poèmes dans les revues suivantes :

  • La N.R.F. (Nouvelle Revue française), Paris
  • Cahiers Jean Paulhan, Paris
  • Les Cahiers du Sud, Marseille
  • Sud, Marseille
  • La Règle du Jeu, Marseille
  • Nota Bene, Paris
  • Voix, Paris
  • La Revue de Belles-Lettres, Genève
  • Poésie, Paris
  • Les Cahiers des Saisons, Paris
  • L'Alphée, Paris
  • Écriture, Lausanne
  • Entailles, Montpellier
  • L'Hippocampe, Paris
  • Lire, Paris
  • Pays du Lac, Lausanne
  • Romandie, Chiba, Japon
  • Tra-jectoires, Mantes-la-Jolie
  • Voir, Lausanne
  • Europe, Paris
  • Le Nouveau Recueil, Seyssel
  • Webster Review, Webster Grove, Royaume-uni
  • Archipel, Lausanne
  • La cinquième Saison, Vevey

Expositions

[modifier | modifier le code]

« On voit moins les morts lorsqu'il y a plus d'art »

Participation à des jurys littéraires

[modifier | modifier le code]

Filmographie

[modifier | modifier le code]

Adaptations théâtrales

[modifier | modifier le code]
  • La Confession du Pasteur Burg, mis en scène par Didier Nkebereza, 2009.
  • L’Interrogatoire, mis en scène par Laurent Gachoud, 2013.
  • Écoutons Jacques Chessex, mis en scène par François Landolt, 2014.
  • Portrait des Vaudois, mis en scène par Michel Toman, 2015.
  • Un Juif pour l'Exemple, mis en scène par Miguel Fernandez, 2016.

Récompenses et distinctions

[modifier | modifier le code]

Décorations

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. a et b « Jacques Chessex est décédé », sur 24heures.ch via Wikiwix (consulté le ).
  2. « Décès du romancier Jacques Chessex, le Goncourt suisse » Aujourd'hui en France le 9 octobre 2009
  3. Jacques Chessex, Les saintes écritures : critique, Lausanne, Paris, l'âge d'homme, , 224 p. (ISBN 978-2-8251-2504-5, lire en ligne).
  4. Lisbeth Koutchoumoff Arman, « Jacques Chessex, Janus des lettres romandes », Le Temps,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  5. « Jacques Chessex : mort parmi les livres » de Patricia Gnasso pour Le Matin du 9 octobre 2009
  6. « Jacques Chessex, mort sur scène » de Sophie Anmuth pour L'Express le 12 octobre 2009
  7. « Jacques Chessex : un homme d’une grande écoute » Frédéric Ravussin et François Barras La Tribune de Genève le 12 octobre 2009
  8. Le dernier jour de M. Chessex par Jérôme Garcin
  9. Jacques Chessex: dernier hommage à Lausanne, Radio télévision suisse, 14 octobre 2009
  10. Archives des nominations et promotions dans l'ordre des Arts et des Lettres.

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Jacques Chessex, un dossier de lectures établi par Jérôme Garcin, une biographie par Gilbert Salem, L'Aire, Lausanne, 1985.
  • L'après-midi à Ropraz, Pierre-Olivier Walzer, PAP, Lausanne, 1990.
  • Jacques Chessex - L'Itinéraire, Bibliothèque Cantonale et Universitaire, Lausanne, 1994.
  • Une lecture de La Confession de Pasteur Burg de Jacques Chessex, par Christine Arquembourg, L'Âge d'Homme, Lausanne, 1996.
  • Jacques Chessex - La lumière de l'obscur, par Anne-Marie Jaton, Zoé, Genève, 2001.
  • Jacques Chessex - Transcendance et transgression, entretiens avec Geneviève Bridel, La Bibliothèque des arts, Lausanne 2002.
  • Jacques Chessex et la Bible - Parcours à l'orée des Écritures, par Serge Molla, Labor et Fides, Genève, 2002.
  • Jacques Chessex : Une espèce d'épiphanie, par Amaury Nauroy [Revue de Belles-Lettres, 2014, 1, p. 195-205], Rondes de nuit, Le Bruit du temps, 2017, p. 155-169.
  • Bertil Galland, Une aventure appelée littérature romande, Slatkine, Genève, 2014.
  • Bibliothèque Cantonale et Universitaire Lausanne, Jacques Chessex, L'Itinéraire, 1er mars - , Bibliothèque Cantonale et Universitaire Lausanne, 1994.
  • Christine Arquembourg, Une lecture de La Confession de Pasteur Burg de Jacques Chessex, L'Âge d'Homme, Lausanne, 1996.
  • Anne-Marie Jaton, Jacques Chessex - La lumière de l'obscur, Zoé, Genève, 2001.
  • Serge Molla, Jacques Chessex et la Bible - Parcours à l'orée des Écritures, Labor et Fides, Genève, 2002.
  • Geneviève Bridel, Jacques Chessex - Transcendance et transgression, La Bibliothèque des arts, Lausanne 2002.
  • Jérôme Garcin et Roland Jaccard, Le Nouvel Observateur, 2010, no 2357, p. 56-57.
  • Alain Nicollier, Henri-Charles Dahlem, Dictionnaire des écrivains suisses d'expression française, vol. 1, p. 220-229.
  • Henri-Charles Dahlem, Sur les pas d'un lecteur heureux, guide littéraire de la Suisse, p. 113-116.
  • Gérald Froidevaux et Anne-Marie Jaton, « Jacques Chessex », dans Histoire de la littérature en Suisse romande. Nouvelle édition, Carouge-Genève, Éditions Zoé, (ISBN 978-2-88182-943-7), p. 1088-1101.
  • Pierre-Olivier Walzer, Dictionnaire des littératures suisses, p. 77-78.
  • François Conod, Entretien avec Jacques Chessex, Le Passe-muraille, 1995, , p. 12-13
  • Jean-Dominique Humbert, Jacques Chessex, Le Passe-muraille, 1995, no 22 décembre, p. 3.
  • 24 Heures, 2003/02/12 et 2002/09/19, p. 13, 2009/10/10-11, p. 2-3, 2009/10/12, p. 2-4.
  • L'Hebdo, no 39 (2001), p. 84-89 / no 13 (2003), p. 88-89 / no 8 (2006), p. 70. / no 42 (2009), p. 64-76.
  • Cahier spécial Les 80 qui font Vaud p. XII + 2005/02/24, p. 72-74.
  • La Revue de Belles-Lettres, 1967, no 1, p. 1-19 consacrée à Jacques Chessex.
  • Transfuge, 2008, no -juin, p. 28-31.
  • Archives TSR.

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :