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Escatalens

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Escatalens
Escatalens
Façade de la Mairie
Blason de Escatalens
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Tarn-et-Garonne
Arrondissement Montauban
Intercommunalité Grand Montauban
Maire
Mandat
Michel Cornille
2020-2026
Code postal 82700
Code commune 82052
Démographie
Gentilé Escatalinois
Population
municipale
1 115 hab. (2021 en évolution de +1,73 % par rapport à 2015)
Densité 62 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 59′ 09″ nord, 1° 11′ 23″ est
Altitude Min. 75 m
Max. 101 m
Superficie 17,99 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Montauban
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Beaumont-de-Lomagne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Escatalens
Géolocalisation sur la carte : France
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Escatalens
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Escatalens
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Escatalens

Escatalens est une commune française située dans le département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie.

Ses habitants sont appelés les Escatalinois.

Géographie

Localisation

Commune située en Bas-Montauban sur la route départementale 813 entre Grisolles et Castelsarrasin à proximité de Montech.

Communes limitrophes

Escatalens est limitrophe de sept autres communes.

Carte de la commune de Escatalens et de ses proches communes.

Géologie et relief

La superficie de la commune est de 1 799 hectares ; son altitude varie de 75 à 181 mètres[2].

Voies de communication et transports

Accès par la SNCF en gare de Montbartier, par l'autoroute A62 et les ancienne route nationale 113 et route nationale 123.

Hydrographie

La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par la Garonne, le ruisseau de Larone, le ruisseau de Pantagnac, le ruisseau de Rafié, le ruisseau de Verdié, le ruisseau de Sanguinenc, le ruisseau de la Forêt, le ruisseau de Mailhol, le ruisseau de Majoureau, le ruisseau du Bois de Garrigou et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 32 km de longueur totale[4],[Carte 1].

La Garonne est un fleuve principalement français prenant sa source en Espagne et qui coule sur 529 km avant de se jeter dans l’océan Atlantique[5].

Le ruisseau de Larone, d'une longueur totale de 23,6 km, prend sa source dans la commune de Montech et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn à Castelsarrasin, après avoir traversé 8 communes[6].

Le ruisseau de Pantagnac, d'une longueur totale de 12,9 km, prend sa source dans la commune de Finhan et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Cordes-Tolosannes, après avoir traversé 4 communes[7].

Le ruisseau de Rafié, d'une longueur totale de 15,5 km, prend sa source dans la commune de Montech et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Castelsarrasin, après avoir traversé 5 communes[8].

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]

  • Moyenne annuelle de température : 13,6 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,6 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,1 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,8 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 736 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,3 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,6 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Castelsarrasin », sur la commune de Castelsarrasin, mise en service en 1990[14] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[15],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 691 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à 14 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour 1981-2010[18] à 14 °C pour 1991-2020[19].

Milieux naturels et biodiversité

Espaces protégés

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[20],[21].

Un espace protégé est présent sur la commune : le « cours de la Garonne, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 1 262,3 ha[22].

Réseau Natura 2000

Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[24] :

et un au titre de la directive oiseaux[24] :

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[27] : la « forêt d'Agre et d'Escatalens, bois de la Moutette, de la Barraque et de Fromissard » (671 ha), couvrant 6 communes du département[28], et « la Garonne de Montréjeau jusqu'à Lamagistère » (5 075 ha), couvrant 92 communes dont 63 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[29] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[27] : « la Garonne et milieux riverains, en aval de Montréjeau » (6 874 ha), couvrant 93 communes dont 64 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[30].

Urbanisme

Typologie

Escatalens est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[31],[I 1],[32].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montauban, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (82,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (50 %), zones agricoles hétérogènes (22,8 %), forêts (10,4 %), zones urbanisées (4,7 %), mines, décharges et chantiers (4,5 %), cultures permanentes (4,2 %), eaux continentales[Note 9] (3,3 %), prairies (0,2 %)[33].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Toponymie

Le nom de la localité est mentionné sous la forme El feus des Catalencs en 1179[34],[35].

Albert Dauzat et Charles Rostaing, reprenant une proposition d’Emil Gamillscheg[36] émettent l'hypothèse d’un nom de personne germanique pris absolument, plus spécifiquement gotique, Skathaling, surnom signifiant « personne nuisible » cf. allemand Schädling. Certes, les noms gothiques ou plus généralement germaniques, employés seuls, sont nombreux dans la toponymie occitane, mais ces auteurs ne citent aucune forme ancienne sur laquelle s'appuyer comme dans toute étude étymologique[37]. La forme des Catalencs relevée en 1179 est incompatible avec cette explication.

Ernest Nègre opte aussi pour un anthroponyme germanique pris absolument, mais de nature différente, à savoir : Gadelingus rapporté par Marie-Thérèse Morlet[38],[35]. Cela veut dire que Les Catalencs, s'est vu précéder de en dans une locution signifiant « chez les Catalencs », or la contraction régulière de en + les a donné la particule es (écrite ès de manière moderne) et signifiant « chez » que l'on rencontre fréquemment dans la toponymie, d'où es Catalencs « chez les Catelencs » devenu Escatalens par agglutination.

Histoire

En accord avec l'abbé de Moissac, leur seigneur, les habitants d'Escatalens résolurent, en 1360, de construire un fort au milieu de la bastide ou auprès du château abbatial et ils s'engagèrent à fournir dix hommes la nuit et quatre le jour pour la garde du château[40].

Politique et administration

Administration municipale

Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[41],[42].

Rattachements administratifs et électoraux

La commune fait partie de la deuxième circonscription de Tarn-et-Garonne du Grand Montauban et du canton de Beaumont-de-Lomagne (avant le redécoupage départemental de 2014, Escatalens faisait partie du canton de Montech) et avant le elle faisait partie de la communauté de communes Garonne et Canal puis de la communauté de communes Grand Sud Tarn-et-Garonne jusqu'au .

Tendances politiques et résultats

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2001 En cours Michel Cornille DVD  
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[44].

En 2021, la commune comptait 1 115 habitants[Note 10], en évolution de +1,73 % par rapport à 2015 (Tarn-et-Garonne : +3,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2001 0811 0191 1071 2131 1781 2251 2291 200
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1551 1711 1631 1161 0901 0831 0271 0431 026
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
993971901806775741768734768
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
7677665926236916899359971 056
2018 2021 - - - - - - -
1 1071 115-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[47] 1975[47] 1982[47] 1990[47] 1999[47] 2006[48] 2009[49] 2013[50]
Rang de la commune dans le département 39 88 59 61 66 56 52 56
Nombre de communes du département 195 195 195 195 195 195 195 195

Économie

Revenus

En 2018, la commune compte 379 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 1 034 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 450 [I 4] (20 140  dans le département[I 5]).

Emploi

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 7,3 % 8,9 % 9,8 %
Département[I 7] 8,4 % 10,2 % 10,3 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 665 personnes, parmi lesquelles on compte 79,8 % d'actifs (70,1 % ayant un emploi et 9,8 % de chômeurs) et 20,2 % d'inactifs[Note 12],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montauban, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 179 emplois en 2018, contre 184 en 2013 et 177 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 472, soit un indicateur de concentration d'emploi de 37,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 61,4 %[I 10].

Sur ces 472 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 60 travaillent dans la commune, soit 13 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 94,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,3 % les transports en commun, 3,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 1,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Activités

Viticulture : Lavilledieu (IGP).

Enseignement

Escatalens fait partie de l'académie de Toulouse.

La commune possède une école élémentaire Antoine de Saint-Exupéry, ainsi qu'une maison familiale rurale Sud Agromat.

Culture et festivités

Film tourné à Escatalens

Activités sportives

Chasse, pétanque, pêche,

Écologie et recyclage

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Modèle:Message galerie

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Blason de Escatalens Blason
D'argent au chevron de gueules, au chef du même.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].
  5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  9. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  11. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  12. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique d'Escatalens » sur Géoportail (consulté le 1 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Montauban » (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Escatalens » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Escatalens » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Escatalens » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
  4. « Fiche communale d'Escatalens », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
  5. Sandre, « la Garonne »
  6. Sandre, « le Ruisseau de Larone »
  7. Sandre, « le Ruisseau de Pantagnac »
  8. Sandre, « le Ruisseau de Rafié »
  9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  10. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  11. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  13. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
  14. « Station Météo-France Castelsarrasin - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  15. « Orthodromie entre Escatalens et Castelsarrasin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  16. « Station Météo-France Castelsarrasin - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  17. « Orthodromie entre Escatalens et Montauban », sur fr.distance.to (consulté le ).
  18. « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  19. « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  20. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
  21. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
  22. « le « cours de la Garonne, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  23. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  24. a et b « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Escatalens », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  25. « site Natura 2000 FR7301822 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  26. « site Natura 2000 FR7312014 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  27. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune d'Escatalens », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  28. « ZNIEFF la « forêt d'Agre et d'Escatalens, bois de la Moutette, de la Barraque et de Fromissard » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  29. « ZNIEFF « la Garonne de Montréjeau jusqu'à Lamagistère » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  30. « ZNIEFF « la Garonne et milieux riverains, en aval de Montréjeau » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  31. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  32. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  33. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  34. Clovis Brunel, Les plus anciennes chartes en langue provençale, Paris, 1926, 1952, p. 166
  35. a et b Ernest Nègre, Toponymie Générale de la France, Droz, Genève, t. II, 1991, p. 840, n° 14640.
  36. Romania Germanica, Berlin-Leipzig, 1934-1936
  37. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 269b.
  38. Marie-Thérèse Morlet, Les noms de personnes sur le territoire de l’ancienne Gaule du VIe au XIIe siècle, Paris, CNRS, t. I, 1968, p. 97a.
  39. Histoire de la commune : Escatalens, un lieu, une histoire, par Jean-Michel Garric, aux éditions « En ço nostre », Le mont de Saule, Albias (1993, 1 127 p. (ISBN 2-910334-02-3))
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Pour approfondir

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Bibliographie

Articles connexes

Liens externes