Saint-Georges-sur-Loire

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Saint-Georges-sur-Loire
Saint-Georges-sur-Loire
L'hôtel de ville.
Blason de Saint-Georges-sur-Loire
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Angers
Intercommunalité Communauté de communes Loire Layon Aubance
(siège)
Maire
Mandat
Philippe Maillart
2020-2026
Code postal 49170
Code commune 49283
Démographie
Gentilé Saint-Georgeois
Population
municipale
3 718 hab. (2021 en augmentation de 5,3 % par rapport à 2015)
Densité 111 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 24′ 36″ nord, 0° 45′ 40″ ouest
Altitude 20 m
Min. 11 m
Max. 81 m
Superficie 33,36 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Georges-sur-Loire
(ville isolée)
Aire d'attraction Angers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chalonnes-sur-Loire
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Liens
Site web Site de Saint-Georges-sur-Loire

Saint-Georges-sur-Loire est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune angevine implantée sur la rive nord de la Loire, Saint-Georges-sur-Loire se situe à 17 km au sud-ouest d'Angers[1], sur les routes D 723 (ex-N 23), Angers - Nantes, D 961, Saint-Augustin-des-Bois - Chalonnes-sur-Loire, et D 311, Savennières[2].

Son territoire se situe sur les unités paysagères des marches du Segréen et de la Loire des promontoires[3].

Géologie[modifier | modifier le code]

La commune repose sur le bassin houiller de Basse Loire[4].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée » et « Moyenne vallée de la Loire »[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 704 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 5,9 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Beaucouzé à 12 km à vol d'oiseau[7], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 709,3 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Georges-sur-Loire est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Georges-sur-Loire, une unité urbaine monocommunale[14] de 3 718 habitants en 2021, constituant une ville isolée[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

Morphologie urbaine : La commune s'inscrit dans un territoire essentiellement rural.

En 2011 on trouvait 1 429 logements sur la commune de Saint-Georges-sur-Loire, dont 93 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 91 %, et dont 69 % des ménages en étaient propriétaires[19].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (46,9 %), terres arables (21,3 %), zones agricoles hétérogènes (16,1 %), forêts (4,4 %), eaux continentales[Note 3] (4 %), zones urbanisées (3,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,6 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Ecclesia santi Georgii en 1118-11438, Abbas sancti Georgii supra Ligerim en 1163. Durant la Révolution, la commune porte le nom de Beau-Site[21],[22].

Histoire[modifier | modifier le code]

La localité d'abord implantée auprès du fleuve et de la voie qui le longe, s'installe au Moyen Âge plus à l'intérieur. Le bourg et l'église sont attestés dès le XIe siècle à l'emplacement actuel[23].

L'abbaye est fondée en 1150 par le seigneur du Plessis-Macé. Sous l'Ancien Régime, l'abbé de St-Georges exerce les droits de justice, mais est réduit à un rôle secondaire par le patronage du Plessis-Macé et de Serrant. Ce dernier réunit à partir de 1642 tous les privilèges seigneuriaux par cession de Charles du Bellay[23].

Des mines de houille sont exploitées entre 1826 et 1848 sur le territoire de la commune[4].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[24]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1908 1919 Louis Cotte de Jumilly   Conseiller général
Inspecteur des Domaines
1919 1922 Charles Grelier    
1922 1945 Maurice Lair    
1945 1947 Théophile Harrault    
1947 1959 Jean Gasiorowski   Industriel
1959 1967
(démission)
Léon Draunet Centre gauche Médecin
avril 1967[25] mars 1989 Bernard Guitton[26] DVD Directeur de cabinet
Conseiller général de Saint-Georges-sur-Loire (1967 → 1979)
mars 1989 mars 2001 Denis Mercier    
mars 2001 mai 2020 Daniel Froger[27] PS Cadre de la MSA
mai 2020 En cours
(au 26 mai 2020)
Philippe Maillart[28]   Retraité

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté de communes Loire-Layon-Aubance. Jusqu'en 2016 elle était intégrée à l'intercommunalité Loire-Layon qui regroupait 10 communes[29] et qui faisait partie de la structure administrative d'aménagement du territoire Pays de Loire en Layon[30].

Autres circonscriptions[modifier | modifier le code]

Jusqu'en 2014, Saint-Georges-sur-Loire est chef-lieu du canton de Saint-Georges-sur-Loire, et fait partie de l'arrondissement d'Angers[31]. Ce canton compte alors dix communes. C'est l'un des quarante-et-un cantons que compte le département ; circonscriptions électorales servant à l'élection des conseillers généraux, membres du conseil général du département. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du . La commune est alors rattachée au canton de Chalonnes-sur-Loire, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[32].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[34].

En 2021, la commune comptait 3 718 habitants[Note 4], en augmentation de 5,3 % par rapport à 2015 (Maine-et-Loire : +1,8 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 3492 3202 2582 5412 5322 5632 7122 8012 725
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 7142 7672 6982 5922 5092 4562 4642 3442 354
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 2332 2502 2162 0331 9721 8441 8541 9341 846
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 9602 0012 3303 0153 1013 0113 2123 2703 529
2018 2021 - - - - - - -
3 6493 718-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,6 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 803 hommes pour 1 846 femmes, soit un taux de 50,59 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,37 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,7 
6,2 
75-89 ans
8,7 
16,7 
60-74 ans
15,9 
18,5 
45-59 ans
16,8 
21,2 
30-44 ans
21,0 
13,4 
15-29 ans
14,4 
23,0 
0-14 ans
20,4 
Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2020 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,1 
6,9 
75-89 ans
9,4 
16 
60-74 ans
16,8 
19,4 
45-59 ans
18,7 
18,3 
30-44 ans
17,5 
18,7 
15-29 ans
17,6 
19,8 
0-14 ans
17,8 

Vie locale[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

On trouve sur la commune la pratique de plusieurs sports : basket, boule de fort, boule de sable, cyclotourisme, escalade, football, hand ball, judo, danse, tennis et tennis de table[38].

La 6e étape du Tour de France 1904 emprunte le territoire de la commune[39].

Économie[modifier | modifier le code]

Au XIXe siècle, on produit à Saint-Georges des vins blancs du blé, du chanvre. On y trouve des mines de houille, une magnanerie et une filature de soie, et du commerce de tissus, de fil, de cire, de chevaux, etc[40].

Le nombre des exploitations agricoles diminue à la fin du XXe siècle avec un accroissement de la superficie et le développement de l'élevage[41]. En 2011, sur les 275 établissements présents sur la commune, 12 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 8 % du secteur de l'industrie, 15 % du secteur de la construction, 51 % de celui du commerce et des services et 15 % du secteur de l'administration et de la santé[19]. Fin 2015, sur les 301 établissements actifs, 9 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour 11 % sur le département), 8 % du secteur de l'industrie, 14 % du secteur de la construction, 53 % de celui du commerce et des services et 16 % du secteur de l'administration et de la santé[42].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'ancienne abbaye, édifiée en 1152 par le seigneur du Plessis-Macé. Elle subit les ravages des guerres entre Français et Anglais, puis celles entre le roi de France et les grands seigneurs coalisés. L’abbaye est reconstruite au XVIe siècle, mais ne prend son aspect définitif qu’à partir de 1680. Depuis 1970, l’abbaye abrite l’hôtel de ville. Inscrite MH par arrêtés du et du , bâtiment conventuel classé MH par arrêté du [43].
  • Le château de la Bénaudière.
  • Le château de Chevigné.
  • Le château de la Comterie.
  • Le château de Serrant est un château Renaissance qui a pour base les anciens fondements d’un château médiéval en schiste ardoisier. Les douves témoignent de cette période reculée où Serrant est une place forte qui surveille le passage de la Loire. Classé MH par arrêté du [44].
  • Le prieuré (dépendant de l'abbaye de St-Georges) puis château d'Épinay, est transformé en chambres d'hôtes. Au XVIIe siècle, Racine est en concurrence avec un certain Valéran-Jean Le Ferron pour en être le prieur commendataire d'Epinay et l'affaire finit en justice ; expérience qui inspire au dramaturge Les Plaideurs[45].
  • L’église Saint-Georges, édifiée à partir de 1824, inscrite MH par arrêté du [46].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Théobald Walsh de Serrant (1796-1836), maire de Saint-Georges-sur-Loire de 1826 à 1832[24].
  • Arthur de Cumont (1818-1902), ancien député et ministre français, mort à Saint-Georges-sur-Loire[47].
  • Jacques-Ambroise Monprofit (1857-1922), né à Saint-Georges-sur-Loire, médecin et chirurgien, député de 1910 à 1914 et de 1919 à 1922[48].
  • Stani Nitkowski (1949-2001), artiste peintre installé sur la commune en 1976, avant de terminer sa vie à Angers[49]. Il est l'auteur d'un chemin de croix de l'actuelle église[50].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Célestin Port (édition révisée par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : S-Z, t. 4, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1878) (BNF 35857376, lire en ligne), p. 82-88.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Lionel Delvarre, « Distances orthodromiques à partir de Saint-Georges-sur-Loire (49) », sur Lion1906 (version du sur Internet Archive), consulté le 21 octobre 2012 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
  2. IGN et BRGM, Géoportail Saint-Georges-sur-Loire (49), consulté le 21 octobre 2012.
  3. Département de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 56 — Données consultables sur WikiAnjou.
  4. a et b H. Etienne et J.-C. Limasset, Ressources en charbon de la région Pays-de-la-Loire : Loire-Atlantique, Maine-et-Loire, Mayenne, Sarthe et Vendée, Nantes, BRGM, (lire en ligne [PDF]).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  7. « Orthodromie entre Saint-Georges-sur-Loire et Beaucouzé », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Beaucouzé », sur la commune de Beaucouzé - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Beaucouzé », sur la commune de Beaucouzé - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Unité urbaine 2020 de Saint-Georges-sur-Loire », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  15. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. a et b Insee, Statistiques locales du territoire de Saint-Georges-sur-Loire (49283), consultées le 23 novembre 2014.
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  21. Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7, BNF 39295447), p. 159.
  22. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. a et b Célestin Port 1996, p. 85.
  24. a et b Célestin Port 1996, p. 83, liste des maires jusqu'en 1995.
  25. « M. Bernard Guitton, directeur du cabinet de M. Jeanneney, élu à Saint-Georges-sur-Loire (Maine-et-Loire) », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  26. A apporté son parrainage à la candidature de Michel Debré en vue de l'élection présidentielle de 1981. legifrance.
  27. Préfecture de Maine-et-Loire, Liste des maires élus en 2014, document du 11 avril 2014.
  28. « Saint-Georges-sur-Loire. Philippe Maillart en bleu, blanc, rouge », Le Courrier de l'Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. Insee, Composition de l'EPCI de Loire Layon (244900833), consulté le 4 août 2013.
  30. Insee, Observation sociale du territoire du Pays de Loire en Layon, février 2007.
  31. Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Saint-Georges-sur-Loire, consultée le 15 février 2015.
  32. Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Georges-sur-Loire (49283) », (consulté le ).
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
  38. Mairie de Saint-Georges, Sports, consulté le 4 juillet 2013.
  39. Collectif, « Tour de France 1904. La sixième étape. Itinéraire de la sixième étape », L'Auto-vélo, vol. 5, no 1380,‎ , p. 1 et 3 (lire en ligne, consulté le ).
  40. Jules Verne, Géographie illustrée de la France et de ses colonies, Paris, J. Hetzel, (BNF 43866613), p. 398.
  41. Célestin Port 1996, p. 87, activités économiques.
  42. « Dossier complet - Commune de Saint-Georges-sur-Loire (49283) », sur Insee, (consulté le ).
  43. Fiche de présentation de l'abbaye dans la base Mérimée.
  44. Fiche de présentation du château de Serrant dans la base Mérimée.
  45. Célestin Port 1996, p. 86, Jean Racine et le prieuré de l'Epinay.
  46. Fiche de présentation de l'église dans la base Mérimée.
  47. « Arthur, Thimotée, Antoine, Victor de Cumont », sur Assemblée nationale (assemblee-nationale.fr) (consulté le ).
  48. « Jacques Monprofit », sur Assemblée nationale (assemblee-nationale.fr) (consulté le ).
  49. Présentation du peintre Stani Nitkowski.
  50. « Visiter - L'église », sur Mairie de Saint-Georges-sur-Loire (saint-georges-sur-loire.fr) (consulté le ).