Luc Carvounas

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Luc Carvounas
Illustration.
Luc Carvounas en juin 2017.
Fonctions
Maire d'Alfortville
En fonction depuis le
(3 ans, 11 mois et 1 jour)
Élection
Prédécesseur Michel Gerchinovitz

(5 ans, 5 mois et 23 jours)
Élection
Réélection [1]
Prédécesseur René Rouquet
Successeur Michel Gerchinovitz
Vice-président de la Métropole
du Grand Paris
En fonction depuis le
(3 ans, 9 mois et 5 jours)
Élection
Président Patrick Ollier
Député français

(3 ans et 2 jours)
Élection 18 juin 2017
Circonscription 9e du Val-de-Marne
Législature XVe (Cinquième République)
Groupe politique NG puis SOC
Prédécesseur René Rouquet
Successeur Sarah Taillebois
Sénateur français

(5 ans, 9 mois et 28 jours)
Élection 25 septembre 2011
Circonscription Val-de-Marne
Groupe politique SOC
Successeur Laurent Dutheil
Conseiller général du Val-de-Marne

(3 ans, 7 mois et 1 jour)
Élection 16 mars 2008
Circonscription Canton d'Alfortville-Nord
Prédécesseur Roger Tisseyre
Successeur Isabelle Santiago
Biographie
Date de naissance (52 ans)
Lieu de naissance Charenton-le-Pont
Nationalité française
grecque
Parti politique PS (depuis 1995)
Profession Cadre territorial

Luc Carvounas, né le à Charenton-le-Pont (Val-de-Marne), est un homme politique français, ayant également la nationalité grecque[2]. Val-de-Marnais, il est sénateur de 2011 à 2017, député de 2017 à 2020 et maire d'Alfortville de 2012 à 2017 avant d'être réélu en 2020.

Biographie[modifier | modifier le code]

Origines et études[modifier | modifier le code]

Petit-fils de grands-parents paternels originaires d'Izmir en Turquie, Luc Carvounas est le fils de Joseph Carvounas, né à Paris qui travaille dans la marine française avant d'être ouvrier électronicien puis commercial chez Citroën, et d'une mère grecque[3],[4], Luc Carvounas a une maîtrise (1994) et un DEA en histoire (1997)[5]. Il est cadre territorial.

Parti socialiste[modifier | modifier le code]

Entré au Parti socialiste en 1995[3],[4] après avoir participé à la campagne à l'élection présidentielle de Lionel Jospin[3], Luc Carvounas entre dans les instances fédérales en 1996. De 2003 à 2008, il est premier secrétaire de la section PS d'Alfortville. En , il est élu premier secrétaire de la Fédération PS du Val-de-Marne[6].

Tête de liste de toute la gauche aux élections sénatoriales de septembre 2011 dans le Val-de-Marne, il fait son entrée au Sénat le , à l'âge de 40 ans[7] et démissionne alors de son mandat au conseil général[8]. Vice-président du groupe socialiste au Sénat, il est désigné par ses collègues secrétaire de la commission sénatoriale pour l'application des lois, dont il est membre.

Luc Carvounas est directeur de campagne de Manuel Valls dans le cadre des premières primaires du Parti socialiste visant à désigner le candidat de ce dernier à l’élection présidentielle de 2012[9], chargé de négocier avec les autres partis[6]. En tant que maire d'Alfortville, il parraine ensuie la candidature de François Hollande à l'élection présidentielle de 2012[10].

Il est le directeur de campagne de Claude Bartolone, tête de liste PS pour l'élection régionale de 2015 en Île-de-France[11]. Le , lors du Conseil national d'élection du PS, Luc Carvounas est élu secrétaire national chargé des relations avec le Parlement[réf. nécessaire].

Après la victoire de Benoît Hamon à la primaire citoyenne de 2017, il est nommé co-responsable du conseil des parlementaires de sa campagne présidentielle avec Laurence Dumont[12],[13]. Attaché au Parti Socialiste et à l'Union de la Gauche, Luc Carvounas rompt avec Manuel Valls sur fond de désaccords politiques majeurs[14]

Candidat du PS lors des élections législatives de 2017 dans la 9e circonscription du Val-de-Marne, Luc Carvounas se fait nationalement remarquer pendant la campagne en dansant le Ndombolo à l'occasion de la fête du jeu et de l'amitié organisée le sur l'esplanade du Siècle des Lumières d'Alfortville. La séquence, filmée, est partagée sur les médias sociaux le et fait rapidement le buzz[15],[16]. Devancé au premier tour par la candidate LREM Gaëlle Marceau le [17], Luc Carvounas l'emporte finalement avec 58,74 % des suffrages exprimés au second tour le [18]. Il est alors le seul candidat socialiste élu dans le département à l'issue du scrutin[19]. En , il intègre la direction collégiale du PS[20].

Luc Carvounas en 2018 en séance dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale au centre du 4e rang.

À la fin de 2017, il annonce sa candidature au poste de premier secrétaire du Parti socialiste[4]. À l'issue du premier tour de l’élection du premier secrétaire du PS, la motion dont il est le premier signataire arrive en dernière position avec 6,38 % des voix[21],[22]. En , il fonde la Gauche-Arc-En-Ciel, à Marseille[23], qui se présente comme une « confluence » des forces et des idées de gauche, visant à rassembler diverses associations et sensibilités de gauche.

Fin novembre 2020, il rejoint la majorité d’Olivier Faure au sein de la direction nationale du Parti socialiste, dont il devient porte-parole[24].

Début janvier 2022, il est nommé porte-parole de campagne présidentielle de la candidate du PS Anne Hidalgo[25].

Maire d'Alfortville[modifier | modifier le code]

Le , il est élu par le conseil municipal à la tête de la mairie d'Alfortville, à la suite de la démission de René Rouquet qui dirigeait la commune depuis vingt-quatre années[26],[27]. Le , il est réélu maire d'Alfortville au second tour avec 58,2 % des voix exprimées[28].

Le , Michel Gerchinovitz, premier adjoint d'Alfortville, lui succède à la mairie à la suite de l'application du non-cumul des mandats. Il maintient ses mandats de conseiller municipal et conseiller métropolitain[29].

Le lendemain, le 11 novembre 2017, la chambre régionale des comptes (CRC) publie un rapport sur la gestion de la ville d'Alfortville depuis 2010 pointant « de nombreuses anomalies »[30],[31]. Les charges de fonctionnement d’Alfortville ont progressé de 22,8 % entre 2010 et 2015, une hausse qui a concerné les charges générales (+ 34,8 %), les subventions aux associations (+ 37 %) et les dépenses de personnel (+ 18,5 %). Les magistrats évoquent une « politique de recrutement contestable », contrevenant « au principe d'emplois publics par des fonctionnaires, ou permettant à des contractuels d'accéder à des postes qui ne leur sont pas ouverts », assorti de « rémunérations anormalement favorables »[30]. Malgré cette augmentation, les dépenses de fonctionnement par habitant de la ville restent inférieures aux moyennes régionale et nationale[32],[33],[31].

Selon StreetPress, le 18 novembre 2019, alors en campagne our les élections municipales, Carvounas aurait promis au directeur du club de football US Alfortville (Abdoulaye Diakité, aussi membre de la liste d'opposition LREM aux municipales du mois de mars-juin 2020) l'effacement des dettes du club en échange de son soutien politique[34], ce que Carvounas nie[35]. L'été suivant, la municipalité dirigée par Luc Carvounas expulse les licenciés de l'US Alfortville de leurs installations sportive au profit d'un club nouvellement créé: le FC Alfortville. Abdoulaye Diakité dénonce une décision politique et quitte l'US Alfortville[36]. Le club porte plainte contre le maire auprès du Tribunal administratif de Melun qui rejette sa requête en référé-liberté en octobre 2020[37].

Luc Carvounas est de nouveau élu maire d'Alfortville en mai 2020 au terme des élections municipales du 15 mars précédent[38]. Contraint par la législation limitant le cumul des mandats, il démissionne de son siège de député du Val-de-Marne[39]. Sa suppléante Sarah Taillebois étant elle-même en situation d'incompatibilité ne peut siéger ; une élection législative partielle a donc été organisée[40] ; son adjointe Isabelle Santiago est élue pour lui succéder[41],[42].

Autres fonctions[modifier | modifier le code]

En septembre 2014, il est élu à l'unanimité président de l'Association des maires du Val-de-Marne[43]. Le 25 septembre 2020, il est réélu président de l’Association des maires du Val-de-Marne (AM94)[44]. Il intègre le Bureau de l’association « Villes de France »[45], qui regroupe les communes de 10 000 à 100 000 habitants. Il est aussi secrétaire général de l'Association des maires d'Île-de-France (AMIF)[46]. À la suite du renouvellement des instances de l'Association des maires de France (AMF) lors du congrès de novembre 2021, il intègre son comité directeur et se voit confier la co-présidence de la commission des Affaires sociales[47].

Le , il est nommé secrétaire du bureau de l'Assemblée nationale, plus haute instance collégiale et membre de la commission de la Défense nationale et des Forces armées[48].

Il est élu le vice-président de la métropole du Grand Paris[49]. Au mois de septembre 2020, il devient vice-président de la métropole du Grand Paris en charge de l’industrie du Tourisme[50]. Il participe ainsi en septembre 2021 au Sommet du Grand Paris[51] lors d'une table ronde avec le directeur général d'Aéroports de Paris sur l'avenir du tourisme du Grand Paris dans la mondialisation post-crise sanitaire[52]. En mars 2021, il devient vice-président de l'Office de tourisme de Paris (OTCP). Il y anime notamment un groupe de travail relatif au développement du tourisme fluvial.

En décembre 2020, Luc Carvounas est élu président de l’Union nationale des centres communaux d'action sociale (UNCCAS)[53].

Vie privée[modifier | modifier le code]

Pacsé depuis avec Stéphane Exposito, chef de cabinet de la secrétaire d'État Pascale Boistard chargée des droits des femmes du gouvernement Valls II, ils se marient le . C'est la première fois dans l'histoire qu'un parlementaire français épouse une personne du même sexe[54],[3],[9], l'ancienne députée socialiste Françoise Gaspard l'a tout de même devancé, s'étant mariée avec sa compagne le [55], mais elle n'avait alors plus de mandat électoral.

En 2017, il obtient la nationalité grecque grâce à ses liens de filiation maternelle[2].

Publications[modifier | modifier le code]

  • Luc Carvounas, La politique autrement : Réinventons nos institutions, Fondation Jean Jaurès, (ISBN 9782362440779)
  • Luc Carvounas, Destination(s) FRANCE, pour un Tourisme à l'offensive, Fondation Jean-Jaurès, (ISBN 978-2362440892)
  • Luc Carvounas, Construire la résilience territoriale pour anticiper les chocs à venir, Fondation Jean Jaurès,

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Compte-rendu du Conseil Municipal d'Alfortville du 05 avril 2014 - ALFORTVILLE CONFLUENCE », sur alfortvilleconf.canalblog.com, (consulté le ).
  2. a et b « Le député d'Alforville Luc Carvounas (PS) a obtenu la nationalité grecque », leparisien.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  3. a b c et d Laure Bretton, « Luc Carvounas, la Valls du marié » sur Libération, 8 juillet 2015.
  4. a b et c « Luc Carvounas, cet inconnu qui rêve de diriger le PS », sur parismatch.com, (consulté le )
  5. Voir sur sudoc.fr.
  6. a et b « Parti socialiste : Luc Carvounas, l'homme de la situation ? », sur europe1.fr (consulté le ).
  7. « Luc Carvounas », Sénat (consulté le ).
  8. « Les nouveaux élus à l'épreuve du cumul », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ (lire en ligne)

    « Luc Carvounas dit au revoir au conseil général. "Je suis un élu local d'Alfortville avant tout." Pas question donc pour le premier adjoint au maire d'Alfortville de quitter son ancrage local. Surtout à quelques mois de succéder au maire PS, René Rouquet, qui a fait savoir qu'il ne se représentait pas. De même, il n'entend pas donner les clés de la fédération PS du Val-de-Marne. Alors le tout jeune sénateur de 40 ans va laisser le fauteuil de conseiller général et vice-président chargé de la politique de la ville obtenu il y a trois ans. C'est sa remplaçante, Isabelle Santiago, qui va occuper la place. Sauf que cette dernière a été élue elle-même conseillère générale en 2011 sur le canton sud. Résultat : son remplaçant, Mohamed Chikouche, conseiller municipal d'Alfortville, va faire son entrée au conseil général. »

  9. a et b « Premier mariage gay d'un parlementaire en France », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  10. « Présidentielle : les 500 noms de parrains de François Hollande », sur Les Echos, (consulté le )
  11. Virginie Le Guay et Caroline Fontaine, « L'affiche des élections régionales - Le match Pécresse/Bartolone », Paris Match no 3444, semaine du 21 au 27 mai 2015, page 41.
  12. Marie-Pierre Haddad , « Présidentielle 2017 : ce que traduit le nouvel organigramme de l'équipe de Hamon », rtl.fr, 26 février 2017.
  13. Organigramme de campagne de Benoît Hamon
  14. « Luc Carvounas : "Je ne dois rien à Manuel Valls" », sur lejdd.fr, (consulté le )
  15. Léa Stassinet, « VIDÉO - La danse endiablée de Luc Carvounas, porte-parole du PS aux législatives », RTL, (consulté le )
  16. Romain Herreros, « Vous n'êtes pas prêts pour cette danse endiablée de Luc Carvounas », sur Le HuffPost, (consulté le )
  17. « Législatives 2017 : la vague LREM balaie l’Ile-de-France », sur Le journal du Grand Paris, (consulté le )
  18. Martine Bréson, « Législatives 2017 : qui est Luc Carvounas, socialiste, le nouveau député du Val-de-Marne ? », France Bleu Paris, (consulté le )
  19. Florent Bascoul, « Luc Carvounas, seul rescapé du PS en Val-de-Marne, élu haut les voix », sur 94 Citoyens, (consulté le )
  20. « Le Parti socialiste a désigné sa direction collégiale provisoire », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  21. « Olivier Faure élu comme prévu premier secrétaire du Parti socialiste », sur France 3 Paris Ile-de-France (consulté le ).
  22. « Élection du premier secrétaire du PS : Faure en tête devant Le Foll ».
  23. « Le sauvetage du PS par Luc Carvounas et sa Gauche Arc-en-ciel passe par Marseille », LaProvence.com,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. « Val-de-Marne. Luc Carvounas et Isabelle Santiago intègrent le secrétariat national du PS », sur actu.fr (consulté le ).
  25. « Présidentielle : Anne Hidalgo muscle son équipe de campagne avant de présenter son programme », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  26. « Votre Sénateur-Maire », alfortville.fr (consulté le ).
  27. Philippe Foussier, « Luc Carvounas : Sénateur du Val-de-Marne, maire d’Alfortville, secrétaire national du PS aux relations extérieures, Luc Carvounas est un homme pressé. Non de conquérir des mandats – c’est chose faite – mais pressé d’agir, et d’abord pour sa ville », L’élu de la semaine, FNESR - La maison des élus, (consulté le ).
  28. Élection municipale mars 2014 - Alfortville, sur linternaute.com (consulté le 31 mars 2014).
  29. François Clay, « Alfortville - Michel Gerchinovitz remplace Luc Carvounas », sur L'Écho Île-de-France, (consulté le )
  30. a et b « Val-de-Marne : la gestion de l'ex-maire d'Alfortville Luc Carvounas (PS) épinglée », leparisien.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. a et b Cour des comptes, « Commune - Alfortville - (Val-de-Marne) », sur ccomptes.fr (consulté le ).
  32. « La Chambre régionale des comptes étrille la gestion d’Alfortville », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. « La Cour des comptes étrille les finances d'Alfortville », sur 94 Citoyens, (consulté le ).
  34. StreetPress, « Clientélisme à Alfortville : un enregistrement compromettant pour le maire PS », sur StreetPress (consulté le ).
  35. « Affaire du club de foot d'Alfortville: Luc Carvounas attaque le journal Streetpress », sur 94 Citoyens, (consulté le ).
  36. « Football. Création de club, expulsion d'un autre : que se passe-t-il à Alfortville ? », sur actu.fr (consulté le ).
  37. « L’US Alfortville Football perd son premier match juridique contre la mairie », sur Citoyens.com (consulté le ).
  38. Corinne Nèves, « Alfortville : Luc Carvounas (PS) retrouve son fauteuil de maire : L’ancien député PS tient à se consacrer entièrement à la ville et promet de "tout axer sur la gouvernance circulaire" », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  39. Cessation du mandat et remplacement d'un député, sur Légifrance.
  40. Agnès Vives, « Alfortville-Vitry : une élection législative partielle en septembre : Après la désignation du député PS Luc Carvounas comme maire d’Alfortville ce dimanche, sa suppléante Sarah Taillebois annonce ce lundi soir renoncer au poste de député », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  41. « Alfortville-Vitry : Isabelle Santiago (PS) élue députée », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  42. Par Agnès VivesLe 28 septembre 2020 à 21h29 et Modifié Le 28 Septembre 2020 À 22h00, « Qui est la nouvelle députée PS du Val-de-Marne ? », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  43. « Luc Carvounas élu à l'unanimité président des maires du Val de Marne », sur Citoyens.com, (consulté le )
  44. Par Agnès VivesLe 26 septembre 2020 à 11h08, « Luc Carvounas de retour à la tête de l’Association des maires du Val-de-Marne », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  45. « Conseil d'administration », sur villesdefrance.fr (consulté le ).
  46. « Le Bureau de l’AMIF Partenaires – Amif : L'association des maires d'ile-de-france » (consulté le ).
  47. AMF Association des maires de France et des présidents d'Intercommunalités, « FONCTIONNEMENT DES INSTANCES DE L’AMF », sur Association des Maire de France et des présidents d'intercommunalité de France - AMF (consulté le ).
  48. « M. Luc Carvounas - Val-de-Marne (9e circonscription) - Assemblée nationale », sur assemblee-nationale.fr (consulté le ).
  49. Laurent Terrade, « Métropole du Grand Paris : "Nous avons tout à construire" : Patrick Ollier, député-maire (LR) de Rueil-Malmaison a été élu vendredi 22 janvier président de la Métropole du Grand Paris (MGP). Il devient ainsi le premier président de cette nouvelle collectivité née le 1er janvier 2016. Retour sur la mise en place et la gouvernance d'une entité aussi inédite que complexe avec ses douze "territoires" se substituant aux anciens EPCI. », Localtis Info,‎ (lire en ligne).
  50. « Luc Carvounas nommé Vice-président délégué au Tourisme », sur Hospitality ON (consulté le ).
  51. « Sommet du Grand Paris », sur La Tribune Events (consulté le ).
  52. « #SommetduGrandParis - Dans la nouvelle mondialisation, quel tourisme veut-on pour le Grand Paris ? » (consulté le ).
  53. « Luc Carvounas succède à Joëlle Martinaux à la présidence de l'Unccas », sur Hospimedia, (consulté le ).
  54. Florian Bardou, « Luc Carvounas, sénateur PS, premier parlementaire à épouser une personne du même sexe », yagg.com, 24 juin 2015.
  55. « Françoise Gaspard et Claude Servan-Schreiber, le mariage n'a pas d'âge », sur Gala.fr (consulté le ).

Liens externes[modifier | modifier le code]

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