Bois-de-Céné

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Bois-de-Céné
Bois-de-Céné
L'église Saint-Étienne.
Blason de Bois-de-Céné
Blason
Bois-de-Céné
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Vendée
Arrondissement Les Sables-d'Olonne
Intercommunalité Communauté de communes Challans-Gois Communauté
Maire
Mandat
Yoann Grall
2020-2026
Code postal 85710
Code commune 85024
Démographie
Gentilé Cenéen
Population
municipale
2 159 hab. (2021 en augmentation de 10,04 % par rapport à 2015)
Densité 51 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 56′ 20″ nord, 1° 53′ 03″ ouest
Altitude 10 m
Min. 0 m
Max. 42 m
Superficie 42,71 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Challans
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Challans
Législatives Première circonscription
Localisation
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Liens
Site web Site officiel

Bois-de-Céné[1] ([bwa.d(ə).sə.ne], prononcer « Cené ») est une commune française située dans le département de la Vendée en région Pays de la Loire. La commune a fait partie d'une région que l'on appelle les marches de Bretagne et du Poitou.

Géographie[modifier | modifier le code]

Le territoire municipal de Bois-de-Céné s’étend sur 4 271 hectares. L’altitude moyenne de la commune est de 10 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 0 et 42 mètres[2],[3].

La commune est composée d'environnements différents, le marais avec le Marais breton dans l'ouest de la commune et à l'est une campagne bocagère. La commune est limitrophe du département de la Loire-Atlantique.

La commune est entourée des communes de Bouin, Villeneuve-en-Retz, Machecoul-Saint-Même, Paulx, La Garnache, Châteauneuf, et Saint-Gervais.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 802 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Même-le-Tenu », sur la commune de Machecoul-Saint-Même à 8 km à vol d'oiseau[6], est de 12,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 866,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bois-de-Céné est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Challans, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (54 %), zones agricoles hétérogènes (22,8 %), terres arables (12 %), zones humides intérieures (8,4 %), zones urbanisées (2,9 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

En poitevin, la commune est appelée Boes-de-Cene[16].

L'ancienneté de la commune implique une multiplicité des origines étymologiques.

Le toponyme semble d'origine gallo-romaine avec la racine Seno : vieux / ancien (issue du gaulois)[17].Le bourg de Bois-de-Céné abritait dès l'époque romaine une villa avec ses dépendances, preuve d'une très ancienne implantation humaine.

Une autre origine ultérieure rapprocherait Bois-de-Céné de Bosco-de-Saigne, la saigne (saygne) étant une plante proche du tamaris très présente dans les marais[18].

Histoire[modifier | modifier le code]

Bois-de-Céné était au bord de l'océan il y a 1000 ans. Des moines y établirent l'abbaye de l'Île-Chauvet, aux environs de 1130, dans la Baie de Bourgneuf (ou « baie de Bretagne »), qui petit à petit ne fut plus une île. Ces moines dirigèrent les travaux de mise en valeur du marais, en particulier pour la saliculture puis l'élevage. Le maillage d'étiers et fossés actuel est le fruit de ces travaux.

Des anciennes salines sont toujours visibles dans le marais de Bois de Céné, les plus éloignées de la mer étant situées à proximité de l'Ile Chauvet.

Le marais de Bois de Céné est parsemé d'anciens ilots calcaires comme l'Ile Chauvet, l'Ile Jean ou l'Ile Bouroux.

Aux alentours des années 1120, une négociation a lieu, menée entre Bernard de Machecoul et Pierre de La Garnache sur le statut de cette petite paroisse sise à la frontière entre Bretagne et Poitou. Son compte-rendu connu, sous le nom d'Assises de Bois-de-Céné, pose les bases de ce qui deviendra le statut des marches communes entre Bretagne et Poitou : indivision, prévention, privilèges et neutralité...

Sous l'Ancien Régime, la paroisse de Bois-de-Céné jouissait du statut de marche commune, située dans les Marches de Bretagne-Poitou (les Basses-Marches plus exactement). Elle dépendait de l'évêché de Luçon du Poitou, mais sa cure dépendait de l'intendance de Bretagne.

Vers 1569, le marais commença à souffrir des guerres de Religion. La seigneurie de Beauvoir et la Garnache, dont dépendait Bois-de-Céné, appartenant à la famille de Françoise de Rohan, qui avait embrassé le parti de la Réforme, fut en butte aux rivalités entre catholiques et calvinistes.

La commune se situait entre une Bretagne acquise à la Ligue, gouvernée par le duc de Mercoeur, et un Bas-Poitou acquis aux idées calvinistes depuis son bastion de la Rochelle. Cependant, Françoise de Rohan tenait ses fiefs en neutralité[19], ce qui n'empêcha ni les chevauchées protestantes, ni les assauts catholiques.

En 1569, Pontivy, puîné de la maison de Rohan, rendit le château de Beauvoir-sur-Mer, appartenant à sa sœur Françoise de Rohan.

En 1580, La Boulaye, gouverneur de Fontenay, enlève la Garnache et pille quelques églises des environs.

Le château de Beauvoir-sur-Mer est repris par les calvinistes en 1588, menés par Henri de Navarre en personne. Le château de la Garnache, quant à lui, est repris par Henri de Navarre en 1587 avant d'être occupé par les forces catholiques du duc de Nevers le 14 janvier 1589[20].

L'abbaye de l'Île-Chauvet et l'église Saint-Etienne de Bois-de-Céné sont incendiées par les capitaines calvinistes De Granville et De Boury en mars 1588[21].

L’Édit de Nantes, qui met fin aux guerres de religion, garantit aux calvinistes les places fortes de Beauvoir-sur-Mer, puis la Garnache, avec des garnisons huguenotes soldées par l’État. En 1622, après la bataille de l'île de Riez contre Soubise, Louis XIII ordonne le démantèlement de la forteresse.

Ses habitants ont parlé, jusqu'à une période récente, le patois maraichin d'origine poitevine (voir notamment Le premier dictionnaire du patois de la Vendée par Charles Mourain de Sourdeval). Le groupe folklorique du Bouquet d'Ajoncs représente, depuis 1949, la culture vendéenne locale, en particulier au plan des chansons et des danses, par exemple lors des XXIIes fêtes internationales de la vigne à Dijon, les et (selon reportage du journal Ouest-France en septembre 1967, sous l'en-tête de la commune de Challans).

Sur la carte du "Gouvernement de La Garnache" publiée en 1634 par Christophe Tassin, on peut lire à l'emplacement de Bois-de-Céné : "Bois de Val Geve."

Le marais[modifier | modifier le code]

Le marais, composé de parcelles privées, s'étend sur environ 2 000 ha et est géré par l'Association Syndicale Autorisée des Marais de Bois de Céné et Châteauneuf.

Chaque propriétaire d'une parcelle située dans le périmètre de l'ASA, a l'obligation d'y d'adhérer.

L'association gère l'entretien du réseau hydraulique primaire ( 3 étiers), du réseau secondaire (écours), qui permettent l'évacuation de l'eau en hiver et l'apport d'eau douce en été, mais aussi la gestion des niveaux d'eau par les manœuvres de 3 écluses.

En période hivernale, les écluses sont manœuvrées de façon à éviter l'inondation par l'eau du marais et arrivant du bassin versant. L'eau passe par l'une des 3 écluses (Guillaudière, Frette et Censerie) pour arriver en mer, par les étiers du Falleron (Port du Collet) ou du Dain (Port du Bec).

En début de printemps, elles sont alors fermées pour conserver de l'eau dans les fossés.

Le reste du réseau hydraulique (environ 80 %) est entretenu par les propriétaires privés.

Depuis le milieu des années 60, les fossés ne sont plus gérés avec de l'eau salée mais avec de l'eau douce. Depuis cette date, de l'eau douce, captée en Loire lorsque les débits le permettent, alimente les marais en période estivale. L'eau est acheminée par le canal de la Martinière puis par les rivières Acheneau et Tenu, pour être finalement pompée à Machecoul, à la Pommeraie.

Emblèmes[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
Écartelé : au premier d'azur à la moucheture d'hermine d'or, au deuxième de sinople à l'arbre d'argent, au troisième de sinople à la tour d'argent, maçonnée de sable et ouverte du champ, au quatrième d'azur à la fleur de lis d'or ; sur le tout, d'or au cœur vidé, couronné et croiseté de sinople.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1812 1814 Pierre Boucher    
Les données manquantes sont à compléter.
1830 1832 Joseph Honoré Boucher    
1832 1839 Pierre-André Boucher    
Les données manquantes sont à compléter.
mai 1892 mai 1929 Adam Boucher[22] Républicain Docteur en droit
Conseiller général de Challans (1901 → 1907)
mai 1929 mai 1933
(démission)
M. du Mans de Chalais    
mai 1933 ? M. Daviaud   Instituteur libre, ancien secrétaire de mairie
Les données manquantes sont à compléter.
1947 ? M. Badaud    
avant 1955 mars 1971 Robert Bruneau    
mars 1971 mai 1992[23]
(démission)
Guy de La Brosse   Maire honoraire
Président du SIVOM de la région de Challans
juin 1992[24] juin 1995 Pol-Albert Bugnot    
juin 1995[25] Michel Deriez[26] CPNT Électricien
Président de la CC du Pays-de-Challans (2000-2014)
En cours Yoann Grall[27] DVD Artisan informaticien
8e vice-président de Challans-Gois-Communauté
Réélu pour le mandat 2020-2026

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].

En 2021, la commune comptait 2 159 habitants[Note 3], en augmentation de 10,04 % par rapport à 2015 (Vendée : +4,91 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 6001 3381 4801 7881 7321 7071 6811 6801 676
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6881 6701 7061 5381 6901 6421 7321 8181 888
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 8941 9601 9341 6761 6421 6711 6071 5551 454
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 3771 3011 2141 2511 2321 2631 4101 7371 991
2021 - - - - - - - -
2 159--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,3 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 016 hommes pour 1 008 femmes, soit un taux de 50,20 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,84 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
1,4 
7,9 
75-89 ans
9,7 
14,6 
60-74 ans
16,7 
17,8 
45-59 ans
15,6 
21,9 
30-44 ans
21,3 
13,2 
15-29 ans
14,3 
24,2 
0-14 ans
21,0 
Pyramide des âges du département de la Vendée en 2020 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,2 
8,5 
75-89 ans
11 
20 
60-74 ans
20,8 
20 
45-59 ans
19,4 
17,7 
30-44 ans
16,9 
14,9 
15-29 ans
13,2 
18,1 
0-14 ans
16,4 

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La commune compte quatre monuments historiques :

  • l'abbaye de l'Île-Chauvet, dont il reste deux bâtiments du XIIe siècle, classée par arrêté du 30 janvier 1992[34] ;
  • l'église Saint-Étienne, inscrite par arrêté du 29 octobre 1926[35] ;
  • une maison du XVIe siècle située près de l’église, dont la porte a été inscrite par arrêté du 26 décembre 1927[36] (une inscription sur la maison indique "1627");
  • une motte féodale datant du Moyen Âge, inscrite par arrêté du 5 avril 1988[37].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Les sculpteurs Jean et Joël Martel (1896-1966), frères jumeaux, sont enterrés dans le cimetière de la commune.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Le nom de la commune a été traduit Koad-Keneg en breton mais le breton n'y a jamais été parlé, et l'on y a toujours parlé le poitevin, puis le français.
  2. « Commune 20466 », Géofla, version 2.2, base de données de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
  3. « Bois-de-Céné », Répertoire géographique des communes, fichier de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Bois-de-Céné et Machecoul-Saint-Même », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Saint-Même-le-Tenu », sur la commune de Machecoul-Saint-Même - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Saint-Même-le-Tenu », sur la commune de Machecoul-Saint-Même - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Challans », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Jean-Loïc Le Quellec, Dictionnaire des noms de lieux de la Vendée, La Crèche, Geste Éditions, coll. « Geste Poche » (no 14), , 3e éd. (1re éd. 1995), 443 p. (ISBN 2-84561-263-X), p. 45.
  17. Lingüística diacrònica i dialectologia: comunicacions, Moll, coll. « Actes », (ISBN 978-84-273-0329-4 et 978-84-273-0466-6)
  18. « Bois de Céné bulletin n° 51 juillet 2012 », sur calameo.com (consulté le )
  19. Théodore Agrippa d' Aubigné et André Thierry, Histoire universelle, Droz [diff. Champion], coll. « Textes littéraires français », (ISBN 978-2-600-00331-5)
  20. Société des Amis Du Bas-Poitou, « La Revue du Bas-Poitou et des provinces de l'ouest, Volumes 52 à 53 »
  21. Arsène Cochois, Mémoire Historique Sur l'Abbaye de l'Île-Chauvet, Ordre de St-Benoît, Dans Le Diocèse de Luçon, HACHETTE LIVRE, , 72 p.
  22. « Bois-de-Céné. Adam Boucher, maire de 1892 à 1929 », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  23. Démissionnaire pour raisons de santé.
  24. « Pol-Albert Bugnot élu maire », Ouest-France, 6 juin 1992 (sur le site des archives du journal Ouest-France, consulté le 17 septembre 2020)
    « Bois-de-Cené a un nouveau maire. Pol-Albert Bugnot a été élu hier soir par 9 voix contre 4 à Jean-Claude Marécaille et un bulletin nul. ».
  25. « Les élections de maires », Ouest-France, 24 juin 1995 (sur le site des archives du journal Ouest-France, consulté le 17 septembre 2020)
    « Michel Deriez est le nouveau maire de Bois-de-Cené. Il succède à Pol-Albert Bugnot, non partant au deuxième tour de l'élection municipale. ».
  26. « Deux élus et un employé communal mis à l’honneur », Ouest-France,‎ .
  27. Philippe Gilbert, « Yoann Grall, 32 ans, maire de Bois-de-Céné », Ouest-France,‎ .
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bois-de-Céné (85024) », (consulté le ).
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Vendée (85) », (consulté le ).
  34. Notice no PA00110048, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. Notice no PA00110049, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. Notice no PA00110050, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. Notice no PA00110051, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.