Barret-de-Lioure
Barret-de-Lioure | |||||
Église de Barret-de-Lioure. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Nyons | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Baronnies en Drôme Provençale | ||||
Maire Mandat |
Ginès Achat 2020-2026 |
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Code postal | 26570 | ||||
Code commune | 26026 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Barretiers, Barretières | ||||
Population municipale |
63 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 1,8 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 11′ 13″ nord, 5° 29′ 39″ est | ||||
Altitude | Min. 708 m Max. 1 440 m |
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Superficie | 34,64 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Nyons et Baronnies | ||||
Législatives | Troisième circonscription Canton de Séderon (avant mars 2015) |
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Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Barret-de-Lioure est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Vieux village perché, accroché à la montagne, il surplombe la vallée de l'Anary et ses pics rocheux, au milieu des prés et des champs de lavande avec, en toile de fond, toute la chaîne du massif du Ventoux.
Ses habitants sont dénommés les Barretiers.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Barret-de-Lioure est située à 7 km de Montbrun-les-Bains et à 7 km de Séderon, par le col de Macuègne (1 068 m).
Montbrun-les-Bains Mévouillon |
Villefranche-le-Château Séderon |
Séderon | ||
Montbrun-les-Bains | N | Séderon Les Omergues (Alpes-de-Haute-Provence) | ||
O Barret-de-Lioure E | ||||
S | ||||
Ferrassières | Ferrassières | Les Omergues (Alpes-de-Haute-Provence) |
Relief et géologie
[modifier | modifier le code]Sites particuliers : Site Géoportail (carte IGN)[1] :
- Adret de Lachau
- Col de Lombard
- Col de Macuègne
- Col des Sires
- Col du Négron
- Collet Court
- Col Nu
- Col Pointu
- Combe Chamatte
- Combe Grenier
- Combe du Tay
- Croix Blanche
- Croix de Barret
- Fontenelle
- Grand Col
- Grand Vallon de Baïs
- la Combe
- la Crau
- la Serrière de Piberos
- la Sinas
- le Génisseau
- le Grand Collet
- le Grand Terme
- le Jambard
- le Négron
- le Petit Ubac
- Massugeaye
- Montagne d'Albion
- Montagne de Bergiès
- Petit Col
- Peyméan
- Pouzounière
- Seuil
- Sommet du Col de Lérol
- Ubac de Baïs
Géologie
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est arrosée par :
- la rivière la Méouge qui a sa source sur la commune[1],[2], cours d'eau de 39,7 km, sous-affluent de la Durance par le Buëch ;
- le Torrent d'Anary qui a sa source sur la commune[1],[3], rivière de 7,4 km, sous-affluent de l'Ouvèze par le Toulourenc ;
- le Ravin de Fontanille[1] ;
- le Ravin de Gourerette[1] ;
- le Ravin de Riou[1] ;
- le Ravin des Bournaux[1] ;
- le Ravin de Touissas[1],[4] ;
- le Ravin Papillon[1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Provence, Languedoc-Roussillon » et « Alpes du sud »[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 092 mm, avec 7,5 jours de précipitations en janvier et 4,7 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Séderon à 4 km à vol d'oiseau[7], est de 9,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 032,4 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est séparée de celle de Ferrassières par le col de l'Homme Mort.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Barret-de-Lioure est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12] et hors attraction des villes[13],[14].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (87,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (90,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (41,1 %), zones agricoles hétérogènes (9,8 %), terres arables (2,4 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
[modifier | modifier le code]Le village ancien est perché[16].
Quartiers, hameaux et lieux-dits
[modifier | modifier le code]Site Géoportail (carte IGN)[1] :
- Bacatelles
- Baïs
- Bigonnet
- Bois des Ubacs
- Chanaux
- Clos du Défens
- Côte Laurent
- Estourailles
- Eyrolle
- Forêt du Tay
- la Côte Masseline
- la Doude
- la Passière
- la Peyrière
- la Plaine d'Eyrolle
- la Justice
- la Lauze
- le Buis
- le Clos
- le Farnet
- le Fort
- le Moulin
- la Pauchette
- le Pied du Clos
- le Refra
- les Blaches
- les Mourres
- les Plaines
- le Terron
- Macuègne Bas
- Macuègne Haut
- Plaine de Mause
- Pramesclat
- Pré Long
- Souvechane
- Valaury de Barret
Logement
[modifier | modifier le code]Projets d'aménagement
[modifier | modifier le code]Risques naturels et technologiques
[modifier | modifier le code]Toponymie
[modifier | modifier le code]La commune est dénommée Barret do Liore en occitan[réf. nécessaire].
Attestations
[modifier | modifier le code]- 1277 : castrum de Barreto (inventaire des dauphins, 9)[17].
- 1337 : Barreto de Libra (Duchesne, Dauphins, 18)[17].
- 1442 : Barretum (choix de documents, 283)[17].
- 1516 : mention du prieuré : prior curalus de Barrelo Libra (pouillé de Gap)[17].
- 1539 : Barret de Liure (archives de la Drôme, E 3143)[17].
- 1891 : Barret-de-Liourre, commune du canton de Séderon[17].
- 1891 : Barret-de-Lioure[18].
Étymologie
[modifier | modifier le code]Barret dériverait de l'oronyme gaulois barro désignant en toponymie une « barrière montagneuse » et du suffixe diminutif -et[19].
Lioure viendrait de l'occitan loira / loeria « loutre », du latin lutra[20].
Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire
[modifier | modifier le code]Le Rocher du Moulin est un site néolithique[réf. nécessaire].
Antiquité : les Gallo-romains
[modifier | modifier le code]Vestiges d'une villa gallo-romaine[16].
Du Moyen Âge à la Révolution
[modifier | modifier le code]La seigneurie[17] :
- Au point de vue féodal, la terre (ou seigneurie) était du fief de la baronnie de Mévouillon.
- 1293 : elle est acquise par les Rigaud.
- Elle passe aux Algoult de Sault.
- 1460 : passe (par mariage) aux Montauban.
- 1611 : passe aux Artaud.
- 1637 : une moitié est vendue aux Dupuy-Montbrun.
- L'autre moitié passe (par mariage) aux Ripert, derniers seigneurs.
Aux XIIe et XIIIe siècles, l'église et ses revenus appartiennent à l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon[21].
1270 : charte de franchises[16].
1682 : À Barret-de-Lioure, la ligne est surveillée par des hommes du régiment de Poitou[22] revenant d'Espagne[23] à partir de fin octobre. La communauté est requise pour construire des corps de garde pour loger les soldats le long de la ligne : deux sont prévus[24], mais finalement, douze corps de garde sont construits, ainsi que 24 guérites placées dans les intervalles, à une moyenne de 250 m[25]. Les soldats sont renforcés par huit hommes levés dans la population de Barret-de-Lioure (en plus de ceux envoyés à la compagnie de milice placée sur la Durance)[26].
1720 à 1722 : Lors de l'épidémie de peste de 1720-1722, Barret-de-Lioure est située au nord de la ligne du Jabron, élément du cordon sanitaire allant de Bollène à Embrun et isolant la Provence du Dauphiné (et dont fait partie le mur de la peste)[27]. L'interdiction de franchir le Jabron, sous peine de mort, est décidée par le gouverneur d'Argenson début août, et le cordon est mis en place le 26 septembre[28] pour n'être levé par ordonnance royale que le 19 novembre 1722[28].
Avant 1790, Barret-de-Lioure était de l'intendance et parlement d'Aix, et de la viguerie et recette de Sisteron. Elle formait une paroisse du diocèse de Gap[17].
De la Révolution à nos jours
[modifier | modifier le code]Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendance politique et résultats
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Politique environnementale
[modifier | modifier le code]Finances locales
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].
En 2021, la commune comptait 63 habitants[Note 1], en évolution de −26,74 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Services et équipements
[modifier | modifier le code]- Cosmodrôme (observatoire et antennes)[1].
Enseignement
[modifier | modifier le code]Barret-de-Lioure dépend de l'académie de Grenoble.
Santé
[modifier | modifier le code]Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]- Fête : le 6 août[16].
Loisirs
[modifier | modifier le code]Sports
[modifier | modifier le code]Médias
[modifier | modifier le code]Cultes
[modifier | modifier le code]La paroisse catholique de Barret de Lioure dépend du diocèse de Valence, doyenné de Buis-les-Baronnies[34].
Économie
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]En 1992 : forêts (bois), lavande, vignes, caprins, ovins[16].
Tourisme
[modifier | modifier le code]- Site du village en belvédère[16].
Revenus de la population et fiscalité
[modifier | modifier le code]Emploi
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Château en ruine[16].
- Église Saint-Sauveur-et-Saint-Sébastien de Barret-de-Lioure (IMH)[16] : église de Barret-de-Lioure. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[35].
- Calvaire Trois-Croix[réf. nécessaire].
Patrimoine culturel
[modifier | modifier le code]Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]- Nombreux panoramas (en particulier du col de Macuègne)[16].
- Grottes à stalagmites[16].
- Grotte des Faux-Monnayeurs[réf. nécessaire].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique, logotype et devise
[modifier | modifier le code]Selon Louis de Bresc, les armes de Barret-de-Lioure se blasonnaient ainsi en 1866 :
« de gueules, à un grand rocher d'argent, sur le haut duquel est bâti un bourg composé d'une église et de quelques maisons essorées de sable[36]. »
De gueules au rocher d’argent sommé d’un bourg composé d’une église et de quelque maisons du même essorées de sable[37]. |
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Barret-de-Lioure sur le site de l'Institut géographique national / page archivée depuis 2008.
- Ressources relatives à la géographie :
- Office du tourisme des Baronnies
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- https://www.geoportail.gouv.fr/
- Fiche de la Méouge sur le site du SANDRE
- Fiche de l'Anary sur le site du SANDRE
- Fiche du Ravin de Toussas sur le site du SANDRE
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Barret-de-Lioure et Séderon », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Séderon », sur la commune de Séderon - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Séderon », sur la commune de Séderon - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Barret-de-Lioure.
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 21 (Barret-de-Liourre).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 7 (Anary).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, page 130, (ISBN 2600028838).
- Y.-L. Martinent, Toponymie ardéchoise autour de Lagorce, 2011
- Guy Barruol, Michèle Bois, Yann Codou, Marie-Pierre Estienne et Élizabeth Sauze, « Liste des établissements religieux relevant de l'abbaye Saint-André du Xe au XIIIe siècle », dans Guy Barruol, Roseline Bacon et Alain Gérard (directeurs de publication), L'abbaye de Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, histoire, archéologie, rayonnement (Actes du colloque interrégional tenu en 1999 à l'occasion du millénaire de la fondation de l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon), Mane, Alpes de Lumières, coll. « Cahiers de Salagon » (no 4), , 448 p. (ISBN 2-906162-54-X, ISSN 1254-9371), p. 214.
- Joly, op. cit., p. 26
- Joly, op. cit., p. 14
- Joly, op. cit., p. 19
- Joly, op. cit., p. 27-29
- Joly, op. cit., p. 37
- Jean-Pierre Joly, « La ligne du Jabron pendant la peste de 1720 », Chroniques de Haute-Provence, no 360, , p. 9.
- Joly, op. cit., p. 11
- Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- paroisse de Barret de Lioure
- « Eglise Saint-Laurent », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence ou Dictionnaire géographique et héraldique des villes et villages des Bouches-du-Rhône, du Var, des Basses-Alpes, de Vaucluse et des Alpes-Maritimes, Paris, Librairie Bachelin-Deflorenne, , VIII-370 p. (lire en ligne).
- Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence