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Fénelon

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François de Salignac de La Mothe-Fénelon
Image illustrative de l’article Fénelon
Portrait de Fénelon par Joseph Vivien (XVIIIe siècle).
Biographie
Nom de naissance François de Salignac de La Motte-Fénelon
Naissance
Sainte-Mondane
Père Pons de Salignac (d)
Ordination sacerdotale à Sarlat
Décès (à 63 ans)
Cambrai
Évêque de l'Église catholique
Ordination épiscopale par Jacques-Bénigne Bossuet à Saint-Cyr-l'École
Dernier titre ou fonction Archevêque de Cambrai
Archevêque de Cambrai

Signature de François de Salignac de La Mothe-Fénelon

(en) Notice sur www.catholic-hierarchy.org

François de Salignac de La Mothe-Fénelon, dit couramment Fénelon, surnommé « le Cygne de Cambrai », est un homme d'Église, théologien, pédagogue et écrivain français, né le au château de Fénelon à Sainte-Mondane (Quercy, aujourd'hui la Dordogne) et mort le à Cambrai.

Précepteur du duc de Bourgogne, archevêque de Cambrai (1695-1715), il s'opposa à Bossuet et tomba en disgrâce lors de la querelle du quiétisme, et surtout, après la publication de son roman, Les Aventures de Télémaque (1699), considéré comme une critique de la politique de Louis XIV et dont l'influence littéraire fut considérable pendant plus de deux siècles[1]. Fénelon a également écrit plusieurs autres ouvrages concernant la pédagogie ou bien didactiques (Traité de l'éducation des filles, Recueil des fables, Dialogues des morts, notamment)[2].

Biographie

Plus connu sous le nom de Fénelon, François Armand de Salignac de La Mothe Fénelon naquit au château le 6 août 1651.

Après de premières études à Cahors, il entre au séminaire de Saint-Sulpice, à Paris, où il est ordonné prêtre en 1667. Ses sermons et la publication, en 1687, de son Traité de l’éducation des filles, écrit à l’attention des filles du ministre Colbert, le rendent célèbre.

Présenté à la cour de Versailles en 1689, et sur recommandation de Bossuet, il sera choisi par Louis XIV comme précepteur de son petit-fils, le duc de Bourgogne.

Son esprit brillant lui valut d’amblée l’admiration de la Cour et surtout l’attachement de Mme de Maintenon.

Reçu en 1693 à l’Académie française, il est nommé par le roi, en 1695, archevêque-duc de Cambrai.

D’un caractère doux et idéaliste, mais très volontaire dans le fond, il exposa des théories littéraires parfois subtiles et étonnantes. Ainsi, ses prises de position envers la doctrine mystique de Mme Guyon, et la violente controverse qui s’ensuivit avec Bossuet dans ce qu’on appellera la querelle du quiétisme, provoquèrent sa chute et son exil de Versailles pour Cambrai.

En 1699, la publication de son chef-d’œuvre, Les Aventures de Télémaque, célèbre roman mythologique qui dépeint une sorte d’idéal de monarchie tout en condamnant indirectement la royauté despotique et belliqueuse de Louis XIV, achèvera sa disgrâce.

Pour autant, Fénelon ne cessera jamais de travailler à la réforme de la France, mais la mort prématurée du dauphin, le duc de Bourgogne, en 1712, mettra un terme tragique à ses ambitions personnelles (retourner à la Cour) et collectives (mettre en place un gouvernement éclairé). Il consacrera le reste de sa vie à œuvrer pour le bienfait de son diocèse de Cambrai qu’il parcourra inlassablement.

Il s’éteint le 7 janvier 1715, quelques mois avant Louis XIV. Ses craintes et son idéalisme politique feront de lui le précurseur des philosophes des Lumières.

Origine et parcours

Fénelon, né le au château de Fénelon à Sainte-Mondane, était issu d'une famille noble du Périgord, ancienne mais appauvrie. Il est le fils de Pons de Salignac (1601-1663)[3], marquis de La Mothe-Fénelon et de la seconde épouse de ce dernier, Louise de La Cropte de Chantérac. Plusieurs des ancêtres de Fénelon s'étaient occupés de politique, et sur plusieurs générations certains avaient servi comme évêques de Sarlat. Comme il était un cadet (son père ayant eu neuf enfants de sa première épouse, Isabeau d'Esparbes de Lussan, et trois de sa seconde, dont Fénelon), il fut destiné de bonne heure à une carrière ecclésiastique, tout comme son demi-frère homonyme issu du premier lit, François Pons de Salignac comte de La Mothe-Fénelon, sulpicien et missionnaire au Canada.

Dans son enfance Fénelon reçut l'enseignement d'un tuteur au château de Fénelon, qui lui donna une solide connaissance du grec ancien et des classiques. En 1667, à l'âge de seize ans, on l'envoya à l'université de Cahors où il étudia la rhétorique et la philosophie. Quand le jeune homme exprima son attirance pour une carrière dans l'Église, son oncle, le marquis Antoine de Fénelon (ami de Jean-Jacques Olier et de saint Vincent de Paul, il avait participé à la fondation de la Compagnie du Saint-Sacrement dont les principes influenceront profondément son neveu) l'envoya étudier au collège du Plessis, dont les étudiants en théologie recevaient le même enseignement que ceux de la Sorbonne. Il s'y lia avec Louis Antoine de Noailles, qui plus tard devint cardinal et archevêque de Paris. Fénelon montra un tel talent au collège du Plessis qu'il y prêcha avec succès dès l'âge de quinze ans[4].

Après avoir, à partir de 1672, étudié au séminaire Saint-Sulpice, également proche des jésuites, il fut reçu docteur en théologie à l'université de Cahors le et ordonné prêtre à Sarlat, le [5]. Attirant l’attention sur lui par de belles prédications, il fut nommé en juin 1679 par l'archevêque de Paris supérieur de l’Institut des nouvelles catholiques, un internat parisien consacré à la « rééducation » de jeunes filles de bonne famille dont les parents, d’abord protestants, avaient été convertis au catholicisme[6].

Une ascension remarquable

Photographie montrant la statue de François Fénelon sur la place Saint-Sulpice à Paris.
Statue de Fénelon par François Lanno (fontaine Saint-Sulpice, Paris).

Ses fonctions l'inspirèrent et dès 1681 il consigna son expérience pédagogique dans son Traité de l'éducation des filles (qui ne fut publié qu’en 1687) initialement pour l'usage du duc et de la duchesse de Beauvilliers. À la fin de 1685, après la révocation de l'Édit de Nantes de 1598, sur la recommandation de Bossuet, Louis XIV lui confia la direction d'une mission en Aunis et Saintonge : convertir les protestants[7].

Pendant ces années-là, il fit partie du cercle qui entourait Bossuet, le fougueux porte-parole de l’épiscopat français. En 1688 il fut présenté à Madame de Maintenon, seconde épouse de Louis XIV. Celle-ci sympathisait à l’époque avec Madame Guyon, femme mystique et pieuse, et avec son quiétisme. Elle l’impressionna profondément quand ils firent connaissance.

Saint-Simon le décrit ainsi :

« Plus coquet que toutes les femmes, mais en solide, et non à misères, sa passion était de plaire, et il avait autant de soin de captiver les valets que les maîtres, et les plus petites gens que les personnages. Il avait pour cela des talents faits exprès : une douceur, une insinuation, des grâces naturelles et qui coulaient de source, un esprit facile, ingénieux, fleuri, agréable, dont il tenait, pour ainsi dire, le robinet pour en verser la qualité et la quantité exactement convenable à chaque chose et à chaque personne ; il se proportionnait et se faisait tout à tous. »

Illustration présentant Fénelon et duc de Bourgogne, par Alphonse de Neuville (1835-1885), dans le livre de François Pierre Guillaume Guizot : A Popular History of France From The Earliest Times.

Dans l’été 1689, sur la proposition de Madame de Maintenon dont il était entretemps devenu le conseiller spirituel, il fut nommé précepteur du duc de Bourgogne, âgé de sept ans, petit-fils de Louis XIV et son éventuel héritier. Il sut enseigner à son élève « toutes les vertus d'un chrétien et d'un prince », et lui inspira pour sa personne une affection qui ne se démentit jamais. En 1690, il fut également chargé de l'éducation des deux frères du duc de Bourgogne, le duc d'Anjou et le duc de Berry[8].

Il acquit ainsi une position influente à la cour et fut admis à l’Académie française (1693) comme les autres précepteurs princiers. Cependant, il fut écarté de l'éducation princière d'abord par un éloignement temporaire à l'archevêché de Cambrai (nommé le , confirmé le et ordonné le [9]) avant d'être disgracié. Il fut alors surnommé « le Cygne de Cambrai ».

Télémaque

Pour son élève royal (qui cependant devait mourir en 1712 sans être devenu roi, pas plus que son père mort l’année précédente), Fénelon écrivit plusieurs œuvres amusantes et en même temps instructives : d'abord une suite de fables, les Aventures d'Aristonoüs et les Dialogues des morts modernes, mais surtout, en 1694-1696, un roman éducatif d'aventures et de voyages Les Aventures de Télémaque, fils d'Ulysse.

Dans ce roman à la fois pseudo-historique et utopique, il conduit le jeune Télémaque, fils d’Ulysse, flanqué de son précepteur Mentor (manifestement le porte-parole de Fénelon) à travers différents États de l’Antiquité, qui la plupart du temps, par la faute des mauvais conseillers qui entourent les dirigeants, connaissent des problèmes semblables à ceux de la France des années 1690, plongée dans des guerres qui l’appauvrissent, problèmes qui cependant peuvent se résoudre (au moins dans le roman) grâce aux conseils de Mentor par le moyen d’une entente pacifique avec les voisins, de réformes économiques qui permettraient la croissance, et surtout de la promotion de l'agriculture et l’arrêt de la production d’objets de luxe.

La disgrâce

Le plus grand adversaire de Fénelon à la cour fut Bossuet, qui l’avait d’abord soutenu. Déjà en 1694, il s’était opposé à lui dans l’affaire du quiétisme, querelle théologique, et en 1697, il avait essayé de le faire condamner par le pape pour son Explication des maximes des saints sur la vie intérieure, où il prenait la défense de Madame Guyon arrêtée en 1695 et condamnée à de longues années d'enfermement. Tous deux constituent des références majeures de ce que l'on appelait au XVIIe siècle « le christianisme intérieur, la vie du chrétien intérieur ».

Fénelon se soumit avec humilité et abjura publiquement ses erreurs. À partir de 1698, Télémaque commença à circuler à la cour sous forme de copies, et on y vit tout de suite une critique à peine voilée contre la manière autoritaire du gouvernement de Louis XIV, contre sa politique étrangère agressive et belliqueuse et contre sa politique économique mercantiliste, orientée vers l'exportation. Cet ouvrage, que Fénelon n'avait pas voulu rendre public, lui avait été soustrait par un domestique infidèle.

Au début de 1699, Fénelon perdit son poste de précepteur et quand, en avril, son Télémaque fut publié (d'abord anonymement et sans son autorisation), Louis XIV y vit une satire de son règne, arrêta l'impression et disgracia l'auteur : Fénelon fut banni de la cour.

Le bannissement

Le tombeau de Fénelon
par David d'Angers (1826)
dans la cathédrale de Cambrai.
Modèle du tombeau de Fénelon
avec ses trois bas-reliefs
à la Galerie David d'Angers, à Angers.

Vers 1700, il habita quelque temps en Belgique dans une demeure, longtemps appelée « la Belle Maison », se trouvant aux limites des communes de Pâturages et d’Eugies, puis il se retira dans son archevêché de Cambrai où, cessant toute activité en théologie et en politique, il essaya de se conduire de façon exemplaire, conformément aux enseignements de son personnage de Mentor (qui, dans le roman, n’était autre que Minerve alias Athéna, déesse de la Sagesse qui s’était ainsi déguisée).

Pendant le cruel hiver de 1709, il se dépouilla de tout pour nourrir l'armée française qui campait près de chez lui. La réputation de ses vertus attira à Cambrai nombre d'étrangers de distinction, entre autres Andrew Michael Ramsay qu'il convertit et qui ne le quitta plus. Il mourut en 1715 à l'âge de 63 ans.

Un chapitre des Mémoires de Saint-Simon est consacré à sa mort, en des termes plutôt élogieux.

Son dessein

Il a également été le précepteur du duc de Bourgogne, petit-fils de Louis XIV, auquel il tentera d'inculquer une éducation éclairée sur les réalités du pouvoir, en lutte contre « l'excès de guerre » notamment. Il définit pour le jour où celui-ci deviendra roi de France un programme de gouvernement, les Tables de Chaulnes. Celles-ci, rédigées avec le duc de Chevreuse, prônaient la monarchie, seule capable de maintenir l'unité et la cohésion d'un grand État comme la France. Mais cette monarchie devait selon lui confier à la noblesse un large pouvoir : le roi gouverne certes, mais entouré de conseils reconstituant l'ancienne curia médiévale telle que se l'imaginaient Fénelon et Chevreuse ; le roi devait vivre des revenus de son domaine. Les États généraux doivent être réunis régulièrement ; composés des « meilleurs », ils sont seuls habilités à voter l'impôt, d'ailleurs modéré car les dépenses de l’État doivent être modérées, notamment par la limitation maximale de la guerre. L'administration du royaume doit être unifiée et en même temps décentralisée grâce à la suppression des commissaires et des intendants et par le rétablissement des pouvoirs des officiers et des assemblées locales. La vénalité des offices doit être abolie : officiers et magistrats doivent être nommés selon leur mérite et selon leur naissance. Fénelon veut, tout comme Saint-Simon, mettre un terme à l'ascension de la bourgeoisie en limitant drastiquement les possibilités d'anoblissement. Le commerce doit être libre. Enfin la France, abandonnant tout gallicanisme, rend autonomie et pouvoirs aux évêques. Les Tables de Chaulnes développent la pensée politique du Télémaque.

Fénelon sera l’auteur préféré de Louis XVI qui retiendra de sa doctrine que si « le péché originel a rendu l’inégalité nécessaire pour empêcher que chacun ne veuille être le maître et le tyran de tous les autres » et donc justifie la primauté du roi, dans les faits « tous les hommes, y compris le roi, sont égaux de nature[10] ».

Citation célèbre

« Sur-tout ne vous laissez point ensorceler par les attraits diaboliques de la géométrie. »

Œuvres complètes De François de Salignac De La Mothe Fénélon. TOME V Briand 1810 LETTRE CXLII (142) p. 106

Analyse littéraire

Dans la France des XVIIIe et XIXe siècles, Télémaque fut un des livres pour les jeunes les plus lus (Aragon et Sartre l'avaient lu dans leur jeunesse). On le considère parfois comme un précurseur de l'esprit des Lumières.

On lui doit un assez grand nombre d'ouvrages, dont quelques uns sont perdus, Louis XIV ayant fait brûler, à la mort du duc de Bourgogne, plusieurs de ses écrits qui se trouvaient dans les papiers du prince.

Œuvres de Fénelon

  • Traité de l'éducation des filles[11] (1687) ;
  • Traité du ministère des pasteurs, (1688) ;
  • Réfutation du système du père Malebranche sur la nature et la grâce (1688) ;
  • Lettre à Louis XIV (1693) (sur le site recherche-fenelon.com).
  • Explication des maximes des saints sur la vie intérieure (1697) ;
  • Les Aventures de Télémaque (1699) ; sur Gutenberg.org
  • Fables composées pour l'éducation du duc de Bourgogne (1700) ;
  • Dialogues des morts (1712) ;
  • Lettre sur les occupations de l'Académie (1714) ;
  • Démonstration de l'existence de Dieu, tirée de la connaissance de la Nature et proportionnée à la faible intelligence des plus simples (1712), et avec une deuxième partie, 1718, souvent réimprimé, notamment en 1810 avec notes de Louis-Aimé Martin ;
  • Fables et opuscules pédagogiques (1718).
  • Dialogues sur l'éloquence en général et sur celle de la chaire en particulier avec une lettre écrite à l'Académie française, (1718)[12] ;
  • Examen de la conscience d'un roi (pour le duc de Bourgogne), imprimé seulement en 1734 ;
  • des Sermons, qui pour la plupart furent prêches d'abondance ;
  • Œuvres spirituelles , 2 volumes Anvers 1718 (Post mortem dont lettres spirituelles, T2).

Publications anciennes

Les Œuvres de Fénelon ont été publiées par l'abbé Querbeuf aux frais du clergé de France, Paris, 1787-1792, 9 volumes in-4; mais cette publication fut interrompue par la Révolution.

La seule édition vraiment complète est celle qu'ont donnée Gosselin et Caron, d'après les manuscrits de l'auteur et avec sa Correspondance, 1830, 36 volumes in-8.

Édition récente

Fénelon, Œuvres, deux tomes (1983 et 1997), Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard. (édition présentée, établie et annotée par Jacques Le Brun)

Famille

Notes et références

  1. « Les Aventures de Télémaque : destins d’un best-seller », sur cairn.info
  2. Gabriel Compayré, « Fénelon », sur www.inrp.fr (consulté le )
  3. Sabine Melchior-Bonnet, Fénelon, Perrin, , p. 28.
  4. Sabine Melchior-Bonnet, op. cit., p. 31.
  5. Catalogues régionaux des incunables des bibliothèques publiques de France : Bibliothèques de la Région Basse-Normandie, Librairie Droz, 1984, 186 pages, [lire en ligne], p. 228.
  6. Henri Gouhier, Fénelon philosophe, Vrin, , p. 10.
  7. Sabine Melchior-Bonnet, op. cit., p. 59.
  8. Henri Gouhier, op. cit., p. 11.
  9. (en) « Archbishop François de Salignac de La Mothe-Fénelon † », Catholic-Hierarchy.
  10. « Entretien avec Jean de Viguerie », La Nouvelle Revue d'histoire, n°14 septembre 2004
  11. François de Fénelon, De l'éducation des filles, dixième édition, texte collationné sur l'édition de 1687, avec une introduction et des notes pédagogiques et explicatives, à l'usage des institutrices et des instituteurs, par Charles Defodon, Librairie Hachette et Cie, Paris, 1909 [https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5496987b (lire en ligne)
  12. icône Commons Pierre Larousse, « Éloquence de la chaire (dialogues sur l’) », Grand Dictionnaire universel du XIXe siècle, vol. 7e,‎ , p. 386-387 (lire en ligne).

Annexes

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Sources archivistiques

Les Archives nationales de France conservent, sous la cote MC/ET/LXXI/79, la minute de l’inventaire des titres et papiers de la famille Fénelon datée du (environ 20 pages manuscrites).

Sources et bibliographie

Bibliographie ancienne

Bibliographie récente

  • Lucien Bély (dir.), Dictionnaire Louis XIV, Paris, Robert Laffont, 2015.
  • Michel Dussart, Visages de Fénelon, Cambrai, Société d'émulation de Cambrai, 2015.
  • Michel Dussart, Fénelon, Grez, éditions Pardès, 2018.
  • S. Gendry, « Fénelon en Saintonge. L'affaire du Ministre Mariocheau », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1960, tome 87, 3e livraison, p. 184-186 (lire en ligne)
  • Philippe Loiseleur des Longchamps Deville, "Fénelon et le Quercy", Actes du Colloque international francophone de Payrac, sept. 1995.
  • Jeanne-Lydie Goré, La Notion d'indifférence chez Fénelon, PUF, 1956
  • Marguerite Haillant, Fénelon et la prédication, Éd. Klincksieck, 1969.
  • Sabine Melchior-Bonnet, Fénelon, Paris, Perrin, 2008.
  • Jean Orcibal, Fénelon, sa famille et ses débuts, Éd. Klincksieck, 1972
  • Aimé Richardt, Fénelon, Paris, In fine, 1994.
  • François Varillon, Œuvres spirituelles de Fénelon, Paris, Aubier, 1954

Articles

Articles connexes

Liens externes

Bases de données et dictionnaires

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