Verrières (Vienne)
Verrières | |||||
Le château d'eau. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Vienne | ||||
Arrondissement | Montmorillon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Vienne et Gartempe | ||||
Maire Mandat |
Christophe Viaud 2020-2026 |
||||
Code postal | 86410 | ||||
Code commune | 86285 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Verriérois | ||||
Population municipale |
940 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 48 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 24′ 47″ nord, 0° 35′ 37″ est | ||||
Altitude | Min. 97 m Max. 151 m |
||||
Superficie | 19,58 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Poitiers (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Lussac-les-Châteaux | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
Liens | |||||
Site web | http://www.verrieres-vienne.fr | ||||
modifier |
Verrières est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie
Géologie et relief
La région de Verrières présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées. Le terroir se compose[1] : de groies superficielles (Les groies sont des terres du sud-ouest de la France, argilo-calcaires, peu profondes - en général de moins de 50 cm d’épaisseur – et plus ou moins riches en cailloux. Elles sont fertiles et saines et donc, propices à la polyculture céréalière mais elles s’assèchent vite) pour 30 % sur les plaines et, sur les plateaux du seuil du Poitou, d'argile à silex peu profonde pour 50 %, de terres de brandes pour 16 %, de bornais (ce sont des sols brun clair sur limons, profonds et humides, à tendance siliceuse) pour 3 % et, enfin, de terres fortes pour 1 %.
Communes limitrophes
Hydrographie
La commune est traversée par 5 km de cours d'eau. Comme pour l'ensemble de la région Poitou-Charentes, la commune a vu la qualité de son eau se dégrader ces dernières années. Au déficit récurrent s'ajoute une pollution engendrée par les diverses activités humaines, notamment agricoles. Ainsi, la commune se situe en zone de répartition des eaux, où l'on observe une insuffisance chronique des ressources en eau par rapport aux besoins. Par ailleurs, elle est concernée par le classement en zones sensibles, où une élimination plus poussée des paramètres azote et/ou phosphore présents dans les eaux usées est nécessaire pour lutter contre les phénomènes d’ eutrophisation[réf. nécessaire].
184 mares ont été répertoriées sur l’ensemble du territoire communal (30 000 recensées dans la région de Poitou-Charentes). Les mares de Poitou-Charentes ont été créées par l'homme, notamment pour répondre aux besoins en eau des habitants (mares communautaires), du cheptel ou à la suite d'activités extractives (argile, marne, pierres meulières). Très riches au niveau botanique, elles jouent un rôle majeur pour les batraciens (tritons, grenouilles), les reptiles (couleuvres) et les libellules. Elles sont un élément symbolique du patrimoine rural et du maintien de la biodiversité en zone de plaine et de bocage[2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Vernon », sur la commune de Vernon, mise en service en 1986[9] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de précipitations de 792,9 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 29 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[13] à 11,7 °C pour 1981-2010[14], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Verrières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[16],[17],[18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19],[20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,8 %), zones agricoles hétérogènes (42,2 %), zones urbanisées (4,7 %), forêts (3,7 %), eaux continentales[Note 8] (0,6 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire
Verrières accueille favorablement les avancées de la Révolution française. Elle plante ainsi son arbre de la liberté, symbole de la Révolution. Il devient le lieu de ralliement de toutes les fêtes et des principaux événements révolutionnaires, comme l’anniversaire de la fondation de la Première République française le . Abattu comme symbole de la Révolution par la réaction royaliste en 1799, il est replanté[22].
Le , les SAS du capitaine Tonkin parachutés avec quatre jeeps à Usson-du-Poitou, sont attaqués en forêt de Verrières. Trente d’entre eux sont capturés et fusillés en forêt de Saint-Sauvant, malgré leurs uniformes anglais[23].
Héraldique
Politique et administration
Liste des maires
Instances judiciaires et administratives
La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.
Services publics
Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.
Jumelages
Verrières est jumelée avec Coume depuis longtemps et de nombreux échanges perdurent.
Coume et Verrières se rencontrent régulièrement au fil des voyages organisés par les municipalités pour le jumelage.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].
En 2021, la commune comptait 940 habitants[Note 9], en évolution de −6,09 % par rapport à 2015 (Vienne : +1,03 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En 2008, la densité de population de la commune était de 44 hab./km2, 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.
Économie
Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[29], il n'y a plus que 17 exploitations agricoles en 2010 contre 26 en 2000.
Les surfaces agricoles utilisées ont paradoxalement augmenté de 9 % et sont passées de 1 599 hectares en 2000 à 1 755 hectares en 2010. Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre plus faible d’exploitations. Cette tendance est conforme à l’évolution constatée sur tout le département de la Vienne puisque de 2000 à 2007, chaque exploitation a gagné en moyenne 20 hectares[30].
42 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 28 % pour les oléagineux (colza et tournesol à parts égales), 23 % pour le fourrage et moins de 1 % reste en herbe. En 2000,5 hectares (0 en 2010) étaient consacrés à la vigne[29].
L'élevage d'ovins s'est effondré : 2 209 têtes en 2000 répartis sur 12 fermes contre 511 têtes en 2010 répartis sur 5 fermes. Cette évolution est conforme à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7 % de 1990 à 2007[31]. Les élevages de bovins, de caprins et de volailles ont disparu au cours de cette décennie[29].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- La Pierre à Mergault, figurant sur la carte IGN au 1/25 000 comme dolmen, et inscrite comme tel à tort au monument historique depuis 1952[32], est en fait une simple dalle naturelle sans aucun caractère mégalithique[33]. Elle n'est donc pas un monument préhistorique.
- Église Saint-Michel de Verrières. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[34].
- Le lavoir : il est situé sur la Dive, à côté du pont Saint-Brillard, et date de 1840. Il a été restauré en 2012.
- Le pont Saint-Brillard : le pont traverse la Dive. Dans sa paroi nord, au-dessus de l'arche unique, se trouve une sculpture récente de saint Brillard. Cette statue remplace une plus petite qui, pendant longtemps, a fait l'objet d'un pèlerinage : les habitants de la région venaient y présenter les enfants, pour selon la croyance populaire, les empêcher d'uriner au lit et de pleurer ("brailler") la nuit.
- Le monument de la Couarde : Le , dans la forêt de Verrières, un détachement d'allemands encercle un camp de parachutistes anglais et de résistants français. Sept maquisards et un lieutenant anglais sont tués, 31 parachutistes et un pilote américain sont faits prisonniers. Ils seront fusillés dans la forêt de Saint-Sauvant le . 3 anglais blessés seront ensuite éliminés discrètement. Le monument de la Couarde, placé en bord de route témoigne de cet événement tragique.
- L'étang de La Forge : c'est une vaste retenue d'eau. En 1901, une usine hydroélectrique a été installée sur le site, l'étang fournissant l'énergie nécessaire à son fonctionnement. L'usine alimentait Verrières et Lhommaizé. Elle est aujourd'hui désaffectée. Pendant l'entre deux guerres, une roue permettait le fonctionnement d'une scierie. De 1595 à 1886, une forge exista aussi en ce lieu. Aujourd'hui, il n'en reste plus de traces visibles. Seul exemple de produit manufacturé connu par cette forge est la grille du château. Elle a été réalisée entre juillet et . Elle exigea 16 000 livres de métal.
- La chapelle de la Rigaudière : la chapelle Sainte-Radegonde est construite, en 1827, sur le bord de la route menant de Verrières à Bouresse. Elle est à la limite des deux communes. Sur le sol,un bloc de pierre présente une cavité pouvant évoquer l'empreinte d'un pied. Il est nommé le "Pas de sainte Radegonde". Cette pierre fut l'objet de nombreux pèlerinages. Un blason est sculpté au-dessus de la porte. C'est celui des Rochechouart. À noter que la commune Valdivienne abrite la chapelle du Pas-de-Saint-Martin qui abrite, elle aussi, le pas d'un saint. En effet,à l'intérieur, affleure une roche présentant une cupule que la tradition populaire identifie à une empreinte laissée par saint Martin (316 ou 317 - 397), autre saint important comme sainte Radegonde (520-587), du Poitou.
Personnalités liées à la commune
- Émile Taudière (1890-1967), député et industriel sous la Troisième République.
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charente - 2007
- Mares répertoriées par maille, d’après cartes IGN, dans l’Inventaire des mares de Poitou-Charentes - Poitou-Charentes Nature 2003
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Vernon - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Verrières et Vernon », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Vernon - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Verrières et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Poitiers », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Robert Petit, Les Arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers : Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, 1989, p. 175 et 186
- Jean-Henri Calmon, Occupation, Résistance et Libération dans la Vienne en 30 questions, La Crèche, Geste éditions, coll. « 30 questions », , 63 p. (ISBN 2-910919-98-6), p 52
- « Christophe Viaud élu maire », La Nouvelle République, 3 avril 2014
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
- Agreste – Enquête Structure 2007
- Agreste – Bulletin n°12 de Mai 2013
- « Dolmen », notice no PA00105767, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Jean-Pierre Pautreau et Montserrat Mataro I Pladelasala, Inventaire des mégalithes de la France, 12 : Vienne, Chauvigny, A.P.C, , 319 p. (ISBN 2-909165-15-9), p. 222.
- « Eglise paroissiale Saint-Michel », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )