WWF

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Fonds mondial pour la nature
Histoire
Fondation
(World Wildlife Fund)Voir et modifier les données sur Wikidata
Cadre
Zone d'activité
International (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Type
Forme juridique
Domaines d'activité
Siège
Gland (depuis )Voir et modifier les données sur Wikidata
Organisation
Volontaires
16 000 ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Effectif
6 000 employés ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Fondateurs
Président
Adil Najam (en) (depuis )Voir et modifier les données sur Wikidata
Directrice
Kirsten Schuijt (d) (depuis )Voir et modifier les données sur Wikidata
Récompenses
Peabody Awards ()
Prix Princesse des Asturies de la concorde ()
Reklame for Alvor ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web
(en) wwf.orgVoir et modifier les données sur Wikidata
Identifiants
data.gouv.fr

Le WWF (de l'anglais : World Wildlife Fund) ou Fonds mondial pour la nature est une organisation non gouvernementale internationale (ONGI) créée en 1961, vouée à la protection de l'environnement et au développement durable.

C'est l'une des plus importantes ONGI environnementalistes du monde avec plus de six millions de soutiens à travers le monde, travaillant dans plus de cent pays, et soutenant environ 1 300 projets environnementaux.

Historique

Création

Le WWF a été fondé le [1] par les biologistes britanniques Julian Huxley, Peter Markham Scott, Guy Mountfort et Max Nicholson.

L'idée d'une organisation pour collecter des fonds d'aide pour les animaux en voie de disparition est initialement proposée par l'homme d'affaires Victor Stolan (en) à Julian Huxley à la suite de la lecture de trois de ses articles publiés dans le journal britannique The Observer sur la chasse et la dégradation de l'environnement en Afrique de l'Est qui menacent la grande faune[2]. Huxley met alors en contact Stolan avec l'ornithologue Max Nicholson, directeur général du Nature Conservancy qui décide au printemps 1961 de rassembler un groupe de scientifiques et d’experts en relations publiques pour créer ce type d'organisation[3]. Parmi ces experts, il fait appel à Scott qui devient le premier président de WWF International et au docteur en biologie, Luc Hoffmann, héritier des laboratoires Hoffmann-La Roche qui sera vice-président de WWF International jusqu’en 1988. Président du conseil d'administration du WWF France créé en 1973, Hoffmann est aussi le créateur de la réserve naturelle régionale de la Tour du Valat en Camargue[4].

Cette fondation privée a pour but la protection de la faune, de ses habitats, de la nature en général. Son réseau international est présent dans 100 pays proposant 12 000 programmes de protection de la nature et bénéficie du soutien de plus de cinq millions d'adhérents[1]. Sur le plan financier, il disposait d'un budget de 447 millions d'euros en 2008 apporté à 56 % par des particuliers[1]. Ses ressources financières proviennent pour l'essentiel : de ses adhérents, d'activité commerciale de promotion (magazines et d'objets fétiches), de subventions gouvernementales, de partenariats avec les entreprises qui s'engagent résolument dans la protection de l'environnement, de dotation du WWF Mondial[5].

Cette association tient l'une des premières places mondiales de par le nombre de ses membres, mais également par le montant de ses engagements financiers dans les études scientifiques de diagnostic et les réalisations d'opérations de protection de la nature. Le , Greenpeace et WWF annoncent qu'elles quittent la Conférence sur le changement climatique de Varsovie au motif qu'elle ne « débouche sur rien ».

Dénominations

WWF est le sigle de la dénomination anglaise World Wildlife Fund (en français : « Fonds mondial pour la vie sauvage ») lors de la création de l'organisation en 1961. En 1986, elle est rebaptisée World Wide Fund for Nature (en français : « Fonds mondial pour la nature »)[6], puis simplement WWF en 2003. Le terme World Wildlife Fund demeure l'appellation officielle aux États-Unis et au Canada.

En 2002, la WWF (World Wildlife Fund) a gagné un procès contre l'autre WWF (World Wrestling Federation), et a obligé cette dernière à se nommer WWE, pour World Wrestling Entertainment, depuis le .

Domaines d'activité

Activités principales

Les activités du WWF sont multiples :

  • surveillance de l'application de la réglementation internationale et nationale ;
  • étude scientifique pour diagnostic ou proposition ;
  • restauration d'espaces naturels dégradés ;
  • formation ou éducation ou sensibilisation de tout public de tout âge à l'environnement (biodiversité, réchauffement climatique, espèce menacée, pollution, exploitation industrielle de la faune et de la flore au-delà du raisonnable : développement durable, attitude éco-citoyenne, bois et forêt, mer et océan, eau douce, empreinte écologique, etc.).

Son logo est depuis l'origine un panda géant (il a été créé à partir des esquisses réalisées par les deux co-fondateurs, Gerald Watterson and Sir Peter Scott, de Chi Chi un panda chinois emmené dans le zoo de Londres en 1957) et son slogan est « pour une planète vivante » (For a living planet en anglais). Le choix s'est porté sur un panda puisqu'il fallait représenter un animal apprécié de tous et en voie de disparition ; les couleurs noir et blanc du panda ont également permis de minimiser les coûts d'impression des tracts et affiches[7].

Son objectif est de : « Stopper la dégradation de l'environnement dans le monde et construire un avenir où les êtres humains pourront vivre en harmonie avec la nature : en préservant la biodiversité du globe, en garantissant une utilisation durable des ressources naturelles renouvelables ; en encourageant les mesures destinées à réduire la pollution et la surconsommation ».

Le WWF publie tous les deux ans (les années paires) un « Rapport Planète Vivante », qui a pour objectif d'alerter sur la pression qu'exerce l'homme sur les écosystèmes, menaçant plus de la moitié des espèces sauvages, et rappelle les solutions pour commencer à y remédier. Ce rapport s'appuie sur l'Indice planète vivante (IPV), qui mesure la biodiversité en collectant les données recueillies sur les populations de différentes espèces de vertébrés et en calculant la variation moyenne de l'abondance au fil du temps. L'IPV a été développé initialement par le WWF, en collaboration avec les services et bases de données de l'UNEP-WCMC[8].

Autres actions

Le WWF a entrepris de travailler en partenariat avec les institutions religieuses, tout en conservant sa culture laïque. En 1986, en marge des Rencontres d'Assise, le WWF invite les représentants de cinq grandes religions pour un colloque interreligieux sur le thème de l'environnement afin de permettre aux religions de s'intégrer davantage dans le mouvement écologique et d'éveiller les consciences des fidèles des grandes religions et spiritualités. Le processus engagé à travers différentes rencontres culmine en 2000 à Katmandou avec la déclaration d'engagements en faveur de la protection de l'environnement des représentants bahaïstes, bouddhistes, chrétiens, hindous, jaïns, juifs, musulmans, shintos, sikhs, taoïstes et zoroastriens[9].

Le WWF est à l'origine, avec Google, de la création en 2007 de la Climate Savers Computing Initiative, qui vise à limiter les impacts environnementaux dans le secteur de l'informatique[10].

Le WWF mène divers projets en faveur de la protection et l'observation des cétacés : Cap cétacés, Life Linda, Aires marines protégées (AMP), Cap Ligures, notamment[11].

Le , le WWF organise Earth Hour, une manifestation mondiale d'une heure (de 20 h 30 à 21 h 30) pendant laquelle citoyens, pouvoirs publics, villes et entreprises sont invités à éteindre la lumière, pour lutter contre le réchauffement climatique.

Le WWF participe, au moyen du label « Quartier Durable WWF », au développement d'une urbanisation respectueuse de l'environnement — concept de ville durable — et de la biodiversité. En 2010, plusieurs quartiers ont reçu ce label, au Portugal, aux Émirats arabes unis et au Royaume-Uni. En France, le premier quartier à recevoir ce label est le quartier de la Confluence, à Lyon[12].

Panda Magazine

Panda Magazine est un magazine trimestriel créé en 1980 et réalisé par le WWF, dont le but est de sensibiliser les lecteurs à la protection de la nature. Diffusé en France, il a cessé de paraître en 2011[13].

Présidents

Période Nom Pays
1961-1976 Bernhard de Lippe-Biesterfeld Pays-Bas
1976-1981 John H. Loudon Pays-Bas
1981-1996 Philip Mountbatten Royaume-Uni
1996-1999 Syed Babar Ali (en) Pakistan
2000 Ruud Lubbers Pays-Bas
2001 Sara Morrison (intérim) Royaume-Uni
2002-2009 Emeka Anyaoku Nigeria
2010-2017 Yolanda Kakabadse[14]. Équateur
Depuis 2018 Pavan Sukhdev Inde

Organisations locales

WWF-France

En France, 180 000 donateurs soutiennent les activités de la fondation WWF. Environ soixante collaborateurs y travaillent. Le , Isabelle Autissier (Ingénieur agronome, spécialisée dans le domaine halieutique) est élue présidente du WWF France[15].

La fondation WWF France est basée au cœur du bois de Boulogne, dans le site environnemental pilote du domaine de Longchamp. Les bâtiments visent la norme HQE (haute qualité environnementale). Le site héberge de nombreuses espèces animales, en majorité des oiseaux[16].

En 2010, le WWF France donne son soutien officiel au chef Raoni dans sa lutte contre le barrage de Belo Monte[17].

À la suite d'une crise interne entre la direction et les salariés[18], le directeur général Serge Orru quitte ses fonctions en [19],[20]. Philippe Germa, docteur en économie et ancien conseiller technique auprès du ministre de l’Environnement Brice Lalonde, prend sa suite en . Fin 2013 le bilan économique affiche un déficit d'1,3 million d'euros[21]. En 2014, le bilan social dressé par les salariés est mauvais avec de nombreux départs et arrêts maladie, ainsi qu'une dizaine de procédures en cours devant les prud'hommes, la cour d'appel ou le tribunal administratif de Paris[21]. Philippe Germa décède en août 2015 lors d'une plongée en Polynésie[22]. Pascal Canfin, ancien ministre et député européen EELV, est désigné pour prendre sa suite en novembre, il prend ses fonctions début [23]. Le , Pascal Canfin rejoint la liste La République En Marche dans le cadre des élections européennes du , il quitte donc ses fonctions de directeur général.

Les archives de l'antenne française de l'association sont conservées aux Archives nationales sous la cote 148 AS[24].

WWF-Suisse

Lobbying

Aux États-Unis

Selon le Center for Responsive Politics, les dépenses de lobbying du WWF aux États-Unis s'élèvent en 2019 à 580 000 dollars[25].

Auprès des institutions de l'Union européenne

Plusieurs organisations du WWF sont inscrites au registre de transparence des représentants d'intérêts auprès de la Commission européenne. WWF European Policy Programme, inscrit en 2008, déclare en 2019 pour cette activité des dépenses annuelles d'un montant compris entre 2 750 000 et 3 000 000 euros[26]. La branche suédoise du WWF déclare en 2018 des dépenses d'un montant inférieur à 200 000 euros[27], la branche d'Europe centrale et orientale des dépenses inférieures à 100 000 euros[28], la branche italienne des dépenses inférieures à 400 000 euros[29], WWF Adria des dépenses inférieures à 400 000 euros[30], la branche allemande des dépenses inférieures à 1 250 000 euros[31], entre autres[32].

En France

Le WWF déclare à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique exercer des activités de lobbying en France pour un montant qui n'excède pas 800 000 euros sur l'année 2019[33].

Controverses

Premiers présidents

Parmi les premiers présidents du WWF, il se trouve John H. Loudon (de 1976 à 1981)[34], qui fut aussi président de la compagnie pétrolière Shell de 1951 à 1965. Par la suite, c'est le duc d'Edimbourg qui préside l'organisation de 1981 à 1996. Les présidents qui se succèdent ensuite font pour les uns partie du monde politique, comme Ruud Lubbers qui fut Premier ministre hollandais, et Eleazar Chukwuemeka Anyaoku secrétaire général du Commonwealth, les autres présidents font partie du monde des affaires, comme le Pakistanais Babar Ali, directeur d'une entreprise de packaging, ou Sara Morrison à la fois engagée politiquement mais également membre de conseils de surveillance de grandes compagnies.

Club des 1001

The 1001: A Nature Trust (en)

Écoblanchiment et conflits d'intérêt

De nombreux observateurs dénoncent la connivence entre le WWF et certaines multinationales[35]. Ils dénoncent aussi l'opacité du financement de cette fondation qui refuse de fournir une liste détaillée des entreprises qui font partie de ses donateurs.

Industrie agroalimentaire

WWF France est partenaire du groupe Carrefour depuis 1998. Dans le cadre de ce partenariat, l'ONG accompagne l'enseigne sur le développement de pratiques durables, notamment sur la question de l'huile de palme ou du thon rouge, mais elle participe également à des actions de communication sur la consommation responsable[36]. Les résultats de ce partenariat : l'enseigne a cessé de vendre du thon rouge, a retiré l'huile de palme d’une partie de ses produits et a changé sa politique concernant le bois non certifié utilisé pour son mobilier de jardin[37]. Le montant exact de ce partenariat n'est pas connu. En 2016, WWF France publie un rapport qui épingle de grandes entreprises françaises, dont Carrefour. Dans ce rapport [38], l'ONG met en cause les grandes enseignes agroalimentaires pour leur consommation des ressources agricoles.

Lafarge

Le cimentier Lafarge et le WWF signent leur premier contrat de partenariat en 2000, et ce pour une durée de 5 ans. Il est renouvelé en 2005 puis en 2009. Lafarge devient ainsi le premier Conservation Partner de l’ONG[39]. Lafarge, entreprise de construction, s’est tout d’abord engagée auprès de WWF sur les questions du réchauffement climatique et de la biodiversité. En 2005 et 2009 l’accord s’est étendu pour inclure le problème des polluants, la question de l’eau, l’idée de la construction durable ainsi que le développement des initiatives locales[40]. En 2010, c'est au tour de WWF France de signer un accord avec Lafarge[41]. De tels partenariats sont souvent décriés. D'un côté Lafarge affirme avoir réduit ses émissions de CO2 depuis la signature de son accord en 2000[42], mais dans le même temps, le groupe industriel aurait financé des sénateurs américains climato-sceptiques, selon un rapport du Réseau Action Climat d'Europe[43].

Crédit agricole

En , l'émission Cash Investigation met en lumière la caution environnementale accordée par le WWF à la banque Crédit agricole alors que celle-ci est classée par l'association écologiste Les Amis de la Terre[44] comme enseigne la plus nocive en France pour ses investissements réalisés dans les secteurs du forage pétrolier, de l'exploitation des sables bitumineux et du nucléaire.

Sea World

À la suite de la sortie du documentaire américain Blackfish, remettant en cause la captivité des orques, les liens du WWF avec SeaWorld Parks & Entertainment, une des principales entreprises gestionnaires de parcs aquatiques présentant des orques, ont été dénoncés[45],[46].

Présidents du WWF et chasseurs

Le roi d'Espagne Juan Carlos Ier, président d'honneur du WWF-Espagne depuis la création de cette branche en 1968[47], est un fameux passionné de chasse. Ceci n'a pas empêché sa nomination alors que dès 1962, il était invité par le baron allemand Werner von Alvensleben dans la réserve de chasse Safarilandia, au Mozambique, pour y chasser le buffle[48],[49]. Au cours de son mandat au WWF, certaines de ces parties de chasse ont fait scandale. En , le gouvernement polonais lui a permis de tuer un bison d'Europe dans la forêt de Białowieża[50], bien que cet animal appartenait à une espèce classée en danger par l'UICN. En , il a participé à une chasse dans les Carpates, en Roumanie au cours de laquelle il a tué, légalement, un loup et neuf ours bruns, dont une femelle pleine[51]. Cette partie de chasse fut critiquée par une porte-parole du WWF-Roumanie[52]. En 2006, il a également été accusé par un fonctionnaire régional russe d'avoir chassé un ours brun élevé en captivité et préalablement rendu ivre, suscitant une controverse dans plusieurs pays[53],[54],[55]. Une dernière affaire a éclaté en , lorsque la participation du roi dans une chasse à l'éléphant au Botswana a été découverte à la suite d'une fracture et de son rapatriement d'urgence en Espagne[56]. En réponse, de nombreuses personnes[57], des groupes écologistes et des partis de gauche[58] ont critiqué le passe-temps du monarque. Face à l'importante médiatisation internationale de ce scandale, le WWF-Espagne a supprimé en le poste de président d'honneur, destituant de fait le roi de son poste après 44 ans, dans une assemblée approuvant la décision avec 94 % des voix[59].

Le prince Philip, quelque temps avant de fonder le WWF-Royaume-Uni[60], a chassé un tigre du Bengale dans le parc national de Ranthambore en Inde, c'était selon lui sa seule participation à ce genre de chasse[61].

Son fils, le prince Charles, président du WWF-Royaume-Uni depuis 2011[62], est aussi un passionné de chasse. Il est connu pour aimer la chasse traditionnelle britannique[63] mais s'oppose ouvertement à la chasse d'espèces menacées.

Le roi de Suède Charles XVI Gustave, président du WWF-Suède[64] depuis 1988, chasse régulièrement l'élan, et a encouragé la chasse au loup pour éviter que ceux-ci ne fassent diminuer le nombre d'élans[65],[66].

Violations des droits humains

En 2017, WWF est accusé de « violation des droits de l’homme » au Cameroun[67], en Asie et en Afrique[68], à cause de sa participation au financement de milices paramilitaires, censées lutter contre le braconnage mais soupçonnées d'exactions contre les populations locales[69]. Par ailleurs, WWF est soupçonnée d'avoir fait pression sur les autorités népalaises pour étouffer les affaires qui concernent ce pays[68]. Selon l'article du Monde de 2017, WWF a créé une commission chargée d'enquêter sur ces accusations[67].

La branche allemande de WWF a conduit sa propre enquête après les révélations de BuzzFeed News, et l'Allemagne a gelé une partie de sa participation au parc de Salonga[70].

En mai 2020, l'Union européenne limite son soutien au WWF, à qui elle reproche de bafouer les droits des Pygmées au Congo, particulièrement dans le cadre de la création du parc naturel de Messok Dja[71].

Références

  1. a b et c (en) WWF in Brief - Site officiel.
  2. (en) Paul Kevin Wapner, Environmental Activism and World Civic Politics, SUNY Press, , p. 76.
  3. (en) Roger Courtney, Strategic Management for Voluntary Nonprofit Organizations, Psychology Press, , p. 235.
  4. (en) Cathy Hartley, Gareth Wyn Jones, Alison Neale, Environment Encyclopedia and Directory, Routledge, , p. 291.
  5. (en) « WWF Annual review 2013 » [PDF], sur WWF.panda.org.
  6. PNUE Annuaire : Avancées scientifiques et développements dans notre environnement en mutation, « Acronymes et abréviations » p. 65, Programme des Nations unies pour l'environnement, 2010.
  7. Le panda WWF, histoire du logo le plus célèbre de la planète, marcelgreen.com, consulté le .
  8. Rapport planète vivante, sur le site du WWF.
  9. Elisabeth Bourginat et Jean-Pierre Ribaut, "Des animaux pour quoi faire ?: approches interculturelles, interreligieuses, interdisciplinaires", éd. Charles Léopold Mayer, 2003, p. 127.
  10. Site officiel Climate Savers Computing Initiative [1].
  11. Site institutionnel du WWF [2].
  12. David Naulin, « Lyon confluence, premier quartier durable WWF en France », sur cdurable.info, (consulté le ).
  13. Notice BNF [3].
  14. « Yolanda Kakabadse named as new President of WWF International ».
  15. WWF-France.
  16. Véronique Smée, « Le domaine de Longchamp devient un site pilote environnemental », Novethic.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  17. « cgi-bin/pandaerror404.cgi »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  18. « Les salariés du WWF demandent la tête de leur patron Serge Orru », sur rue89.nouvelobs.com, .
  19. « Serge Orru quitte la présidence de WWF-France », sur lexpansion.lexpress.fr, .
  20. « Serge Orru quitte WWF », sur tempsreel.nouvelobs.com, .
  21. a et b « WWF : coup de bambou sur le panda », sur marianne.net, .
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  23. « Pascal Canfin nommé directeur du WWF France », sur lemonde.fr, .
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  28. « Registre des représentants d'intérêts - Rechercher dans le registre », sur ec.europa.eu (consulté le )
  29. « Registre des représentants d'intérêts - Rechercher dans le registre », sur ec.europa.eu (consulté le )
  30. « Registre des représentants d'intérêts - Rechercher dans le registre », sur ec.europa.eu (consulté le )
  31. « Registre des représentants d'intérêts - Rechercher dans le registre », sur ec.europa.eu (consulté le )
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  33. « Fiche Organisation «  Haute Autorité pour la transparence de la vie publique », sur www.hatvp.fr (consulté le )
  34. http://wwf.panda.org/who_we_are/organization/presidents/.
  35. Fabrice Nicolino, Qui a tué l’écologie ?, Éditions Les liens qui libèrent, 2011, p. 84-85. (ISBN 978-2-918597-25-4).
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Voir aussi

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Bibliographie

Articles connexes

Liens externes