Bettencourt-Saint-Ouen

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Bettencourt-Saint-Ouen
Bettencourt-Saint-Ouen
La mairie-école.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité CC Nièvre et Somme
Maire
Mandat
Claude Fourcroy
2020-2026
Code postal 80610
Code commune 80100
Démographie
Gentilé Bettencourtois
Population
municipale
617 hab. (2021 en diminution de 1,44 % par rapport à 2015)
Densité 77 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 01′ 35″ nord, 2° 06′ 44″ est
Altitude Min. 17 m
Max. 103 m
Superficie 8,04 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Léger-lès-Domart
(banlieue)
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Flixecourt
Législatives 1re circonscription de la Somme
Localisation
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Bettencourt-Saint-Ouen
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Bettencourt-Saint-Ouen
Liens
Site web http://www.bettencourt-saint-ouen.fr/

Bettencourt-Saint-Ouen est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Bettencourt-Saint-Ouen est un village périurbain picard du Ponthieu situé à 20 km au nord-ouest d'Amiens, 21 km au sud-est d'Abbeville et à la même distance au sud-ouest de Doullens.

Le territoire communal est traversé par l'autoroute A16, dont la sortie 21 donne un accès aisé au village, ainsi que l'ex-route nationale 1 (actuelle RD 1001). La rue principale de la commune est constituée par la RD 57

Le territoire communal, situé sur le versant sud de la vallée de la Nièvre, s'étend depuis la rivière au nord-ouest jusqu'à la forêt de Vignacourt au sud (bois de Varennes et du Prieur). Jusqu'au milieu du XIXe siècle, le massif se prolongeait en partie au nord jusqu'aux limites du village[1].

La commune comprend un hameau, la Briqueterie, qui fait partie de l'agglomération de la commune de Saint-Ouen (Somme).

En 2019, la localité est desservie par la ligne d'autocars no 28 (Saint-Léger - L'Étoile - Flixecourt - Amiens) du réseau inter-urbain Trans'80 [2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Bettencourt-Saint-Ouen est arrosée par la Nièvre, affluent du fleuve côtier picard la Somme. A côté se trouvent des zones humides et un marais communal.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 748 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bernaville à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 877,3 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bettencourt-Saint-Ouen est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Léger-lès-Domart, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[12] et 7 327 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (80,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (69,9 %), forêts (22,9 %), zones urbanisées (4,8 %), prairies (2,4 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Présentation[modifier | modifier le code]

Le bâti a conservé, surtout dans le haut du village, l'alignement sur rue des maisons ou des granges de fermes. L'habitat est essentiellement formé de maisons et de petites fermes. Quatre fermes de taille moyenne sont situées, pour l'une à l'entrée ouest du village, et pour les trois autres dans le haut de la Rue Principale[1].

Au début des années 2000, les Glycines, un lotissement de 55 logements, est créé sur le territoire communal. Une médiathèque et une micro-crèche complètent les services municipaux[18].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Bettencourt est attesté sous la forme Bethincurt (1150.) ; Bettencort (1168.) ; Bettincort (1210.) ; Betencort (1232.) ; Betencourt (1301.) ; Bethencourt (1507.) ; Bentencourt (1634.) ; Benrecourt (1657.) ; Bettencourt (1763.) ; Bettencourt-Saint-Ouen (1801.) ; Bettencourt-Saint-Ouin (1857.) ; Bethencourt-Saint-Ouen[19].
Sens du toponyme : le domaine (-court) de Betto, nom de personne germanique.

Saint-Ouen est un hagiotoponyme.

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Cinq lieux d'occupation paléolithiques ont été révélés par une fouille préventive réalisée en 1995, sur le tracé de l'autoroute A16, Amiens-Boulogne (112 000 à 68 000 ans av. J.-C.)[20].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Le village est cité en 1150.

Frédéric Fournis indique « Le village et ses terres formaient au Moyen Âge et sous l'Ancien Régime une seigneurie dépendant de Picquigny, domaine des vidames d'Amiens. Possession de la famille du Bois, celle-ci passe par alliance, à la fin du XVe ou au début XVIe siècle, à la famille de Soissons-Moreuil, puis à la fin du XVIIe siècleà Jean-Noël de Barbezières, comte de Chémerault, conseiller du roi et lieutenant général. Vers 1730, le domaine passe aux Desfriches-Doria, cousins de Louise de Soissons-Moreuil. André-Joseph Desfriches, marquis Doria, porte les titres de seigneur de Cernoy, de Cayeux, de Bettencourt et de Payens[1] »

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Le château a été détruit vers 1760. Un second château a été construit sans doute pour André-Joseph Desfriches, marquis Doria et seigneur de Bettencourt vers 1777. Occupé par l'armée allemande durant la Seconde Guerre mondiale, le château est vendu en 1954. Le logis est mentionné en 2009 comme ruiné tandis que les communs ont été réhabilités et convertis en habitation[21]

Circonscriptions d'Ancien Régime

La paroisse de Bettencourt relevait du diocèse et de l'archidiaconé d'Amiens, et du doyenné de Vignacourt. La cure était à la présentation du titulaire du personnat[C'est-à-dire ?]. La dîme était partagée en trois tiers entre deux chapelains de la cathédrale d'Amiens, le titulaire du personnat et le collège d'Amiens[22].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

En 1851, le village a une importante activité textile. Cinquante-quatre fileuses, 22 tisserands, ainsi qu'un contremaître sont recensés. À partir de 1872, on note une diversification des métiers et l'apparition des ouvriers de fabrique, qui passent de 7 en 1872 à 27 en 1881. En 1906, Saint Frères emploie 110 personnes habitant le village, ce qui représente 82% des ménages[1].

Dès 1858, la municipalité prévoit la construction d'une nouvelle école, devant remplacer l'ancien édifice situé en bordure du cimetière. L'édifice, destiné à abriter l'école de garçons, la salle de mairie et le logement de l'instituteur, a été construit de 1860 à 1861, d'après les plans établis en 1859 par l'architecte amiénois C. Masse. L'existence d'une école de filles est attestée, dès 1872[23].

La construction d'une nouvelle école de filles et l'extension de l'école de garçons est réalisée d'après le devis de l'architecte Caron approuvé le 7 mai 1896. Les travaux réalisés par l'entrepreneur Léon Boitelle sont achevés en 1898. En 1899, l'école accueille 37 garçons et 36 filles. Le recensement de 1906 indique que les classes sont dispensées par un couple d'enseignants, logeant dans l'école[23].

Les destructions de la Première Guerre mondiale, qui ont notamment touché la façade de l'église, ont entraîné la reconstruction d'une partie des maisons et fermes du village[1].

L'école est agrandie dans la seconde moitié du XXe siècle et le rez-de-chaussée abrite la mairie et les classes, qui s'étendent également sur la cour et les extensions arrières[23].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme.

Elle faisait partie depuis1801 du canton de Picquigny[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Flixecourt

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de la Somme.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Bettencourt-Saint-Ouen était membre de la communauté de communes du Val de Nièvre et environs, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1992 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des prescriptions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du prescrit, dans le cadre de l'approfondissement de la coopération intercommunale, que les intercommunalités à fiscalité propre doivent, sauf exceptions, regrouper au moins 15 000 habitants, cette intercommunalité fusionne avec la petite communauté de communes de l'Ouest d'Amiens (CCOA) pour former, le , la communauté de communes Nièvre et Somme, dont la commune est désormais membre.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mai 2020[25] Michel Villain[26]    
mai 2020[27],[28] En cours
(au 8 octobre 2020)
M. Claude Fourcroy    

Politique de développement durable[modifier | modifier le code]

Un parc éolien constitué de 5 aérogénérateurs (trois sur Bettencourt, deux sur Saint-Ouen), conçu à partir de 2005 par la société Ostwind, a été inauguré en 2018[29].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

En 2021, la commune comptait 617 habitants[Note 3], en diminution de 1,44 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
286316467368416446437456470
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
447436442402397410415428420
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
439432411421381376379395405
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
398377340345389410459493623
2015 2020 2021 - - - - - -
626619617------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Les recensements de populations montrent une croissance continue du nombre de maisons dans le village, qui passe de 98 en 1836 à 137 en 1911[1].

Enseignement[modifier | modifier le code]

En 2015, la commune gère une école élémentaire de trois classes[18].

Autres équipements[modifier | modifier le code]

Durant les mandats de Michel Villain, la commune a été dotée d’une micro-crèche, d’une médiathèque et de deux nouvelles classes pour l’école[25]

La salle communale.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Martin.
    Le conseil municipal ayant décidé la démolition de l'église primitive, devenue trop petite, en 1848, l'édifice actuel est construit d'après les plans et devis de Charles Demoulins, architecte à Doullens, en conservant le clocher en façade. Elle est consacrée en 1850.
    Endommagée durant la Première Guerre mondiale, la façade occidentale est reconstruite en 1929, sur le projet de Louis Raquet, architecte à Amiens, avec remplacement du clocher par un campenard dans les années 1930.
    L'édifice, de plan allongé à vaisseau unique et chevet semi-circulaire, est construit en brique et couvert d'ardoise. La façade-pignon, de style classique, est ponctuée de pilastres et surmontée d'un clocher-mur[22].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e et f Frédéric Fournis, « Le village de Bettencourt-Saint-Ouen : Dossier IA80009623 », Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
  2. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Bettencourt-Saint-Ouen et Bernaville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Bernaville » (commune de Bernaville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Bernaville » (commune de Bernaville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Saint-Léger-lès-Domart », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a et b Émilie Da Cruz, « De nombreux projets pour l'avenir », Le Courrier picard, édition maritime, 1er octobre 2015, p.20.
  19. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 119 (lire en ligne sur DicoTopo) [1]
  20. Jacqueline Léopold-Kerymel, « J.-L Locht, Bettencourt-Saint-Ouen (Somme). Cinq occupations paléolithiques au début de la dernière glaciation [compte-rendu] », Revue archéologique du Centre de la France, t. 42,‎ , p. 247 (lire en ligne, consulté le ), sur Persée.
  21. Frédéric Fournis, « Ancien château de Bettencourt-Saint-Ouen (vestiges) : Dossier IA80009716 inclus dans Le village de Bettencourt-Saint-Ouen », Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
  22. a et b Frédéric Fournis, « Église paroissiale Saint-Martin et ancien cimetière de Bettencourt-Saint-Ouen : Dossier IA80009650 inclus dans Le village de Bettencourt-Saint-Ouen », Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
  23. a b et c Frédéric Fournis, Isabelle Barbedor, « Anciennes écoles primaires de garçons et de filles et mairie de Bettencourt-Saint-Ouen : Dossier IA80009670 inclus dans Le village de Bettencourt-Saint-Ouen », Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
  24. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. a et b Delphine Richard, « Enfouir les réseaux, le dernier chantier du mandat à Bettencourt-Saint-Ouen : Depuis 15 jours, des travaux d’enfouissement de plusieurs réseaux animent la rue de Vignacourt », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Élu depuis 1977, maire depuis 19 ans, Michel Villain ne se représentera pas en mars 2020 ».
  26. Réélu pour le mandat 2014-2020 : Le Courrier picard, édition d'Abbeville, 2 avril 2014, p. 22..
  27. « Claude Fourcroy dans la lignée de Michel Villain au municipales de Bettencourt-Saint-Ouen », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le maire sortant, Michel Villain, ne se représentant pas, l’adjoint au maire Claude Fourcroy a monté une liste « Ensemble pour l’avenir de notre commune » composée de 15 candidats (six sortants et neuf nouveaux). « Depuis mars 2008, élu conseiller puis adjoint au maire, vous m’avez fait confiance pour servir l’action communale ».
  28. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  29. Olivier Bacquet, « Bettencourt Saint-Ouen. Le parc de cinq éoliennes a enfin été inauguré : Le parc de 5 éoliennes réparties sur Bettencourt Saint-Ouen et Saint-Ouen, a enfin pu être inauguré. Treize ans après le lancement du projet… », Le Journal d'Abbeville,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique du département de la Somme, tome 1, vue 63/269, p.119, Archives départementales de la Somme, Amiens.
  34. Lire en ligne sur le site des Archives départementales.