Lauzun (Lot-et-Garonne)

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Lauzun
Lauzun (Lot-et-Garonne)
Le château avec le pavillon central construit en 1685.
Blason de Lauzun
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Marmande
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Lauzun
(siège)
Maire
Mandat
Jean-Pierre Barjou
2020-2026
Code postal 47410
Code commune 47142
Démographie
Gentilé Lauzunais, Lauzunaises
Population
municipale
735 hab. (2021 en augmentation de 0,68 % par rapport à 2015)
Densité 31 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 37′ 51″ nord, 0° 27′ 41″ est
Altitude Min. 53 m
Max. 122 m
Superficie 24,09 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Val du Dropt
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Lauzun
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Lauzun
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Lauzun
Liens
Site web http://www.ville-lauzun.fr/

Lauzun est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).

Les habitants s'appellent les Lauzunais et Lauzunaises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune située entre Castillonnès et Miramont-de-Guyenne, c'est une commune limitrophe avec le département de la Dordogne.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Lauzun est limitrophe de huit autres communes, dont trois dans le département de la Dordogne. À l'ouest, le territoire communal est distant de celui d'Agnac de moins de 30 mètres. Les communes limitrophes sont Saint-Aubin-de-Cadelech, Eymet, Serres-et-Montguyard, Bourgougnague, Douzains, Lalandusse, Saint-Colomb-de-Lauzun et Sérignac-Péboudou.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 807 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cancon à 17 km à vol d'oiseau[5], est de 13,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 852,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Lauzun est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (65,3 %), prairies (12,2 %), zones agricoles hétérogènes (11,4 %), forêts (6,7 %), zones urbanisées (3,1 %), cultures permanentes (1,3 %)[14].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Lauzun est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le Dropt. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1994, 1999, 2009 et 2021[17],[15].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[18].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lauzun.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[19]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 2],[20].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1991, 2005, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Lauzun fut le lieu d'implantation d'un oppidum dès l'époque gallo-romaine. Un château fort est attesté dès le VIe siècle. Les Gontaut sont attestés comme seigneurs de Lauzun dès le XIIe siècle. Les Caumont de La Force sont seigneurs de Lauzun à la fin du Moyen Âge[réf. nécessaire].

Charles IX et Catherine de Médicis sont reçus au château en 1565. En 1570, la seigneurie de Lauzun devient un comté au profit de François de Caumont[21]. Henri de Navarre est à Lauzun en 1576. Le comté de Lauzun est érigé en duché en 1692 pour Antonin Nompar de Caumont, puis à nouveau en 1766 pour Armand Louis de Gontaut-Biron (1747-1793).

À l'entrée du village en venant d'Eymet, sur la droite à l'intérieur d'un virage, il est possible d'observer au milieu des arbres un monticule de terre arrondi d'une dizaine de mètres de haut. Longtemps, les gens du cru ont pensé qu'il s'agissait d'un tumulus, amas de terre en forme de cône que nos ancêtres élevaient au-dessus des sépultures. En fait, il semblerait que cette butte soit beaucoup plus récente et date du Moyen Âge. Il s'agirait en fait d'une motte féodale sur laquelle s'élevaient des fortifications en bois, l'ancêtre des châteaux forts féodaux. Vu l'emplacement de cette motte, il s'agissait peut-être d'un poste avancé de fortifications afin de prévenir toute infiltration hostile en provenance de la vallée du Dropt[réf. nécessaire].

Elle fut chef-lieu de district de 1790 à 1795.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Lauzun Blason
Tiercé en bande d’or, de gueules et d’azur[22].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
juin 1995 mars 2008 Michel Marsalet PCF  
mars 2008 juillet 2020 Fabrice Esposito DVG  
juillet 2020 En cours Jean-Pierre Barjou    

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[23].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25].

En 2021, la commune comptait 735 habitants[Note 3], en augmentation de 0,68 % par rapport à 2015 (Lot-et-Garonne : −0,66 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 7081 0801 1831 2321 3901 3911 3491 3231 315
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3071 2371 2591 3181 3241 3151 2891 2131 116
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0621 031941856884870883888900
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
9041 043942776766778751707743
2021 - - - - - - - -
735--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le château de Lauzun vers 1900.
  • Château de Lauzun, construit du XIIIe au XVIIIe siècle[28],[29],[30],[31].
    Au XIIIe siècle il y avait un donjon et un bâtiment de 20x10 m qui correspondait peut être à l’ancienne chapelle. Le château est cité une première fois en 1259. Le roi d'Angleterre Édouard Ier autorise en 1305 Pierre Ier de Gontaut à surélever et renforcer sa maison à Lauzun. On ne sait pas quels étaient ses titres sur la seigneurie et le château de Lauzun. À la fin du Moyen Âge, la seigneurie appartient aux Caumont. Au XIVe siècle de nouveaux bâtiments voient le jour. Ils comportaient trois travées dont ne subsiste que la partie la plus proche du donjon. L’espace vide entre cette travée et le donjon, est comblé par une extension du XVe siècle, laquelle s’adosse sur la façade nord du donjon. Cette extension comportait une tourelle qui a été conservée et que l'on peut voir aujourd’hui.
    Gabriel-Nompar de Caumont, comte de Lauzun, vicomte de Montbahus, baron de Puyguilhem, fils de François de Caumont et marié à Charlotte, fille de Louis d'Estillac, fait commencer les travaux de l’aile Renaissance en 1576. Ce nouveau bâtiment de 60 m de long se développe au nord du donjon et de la première extension. Il comprend à son extrémité orientale une petite chapelle. Toutefois, c’est l’entrée monumentale et la vaste salle des Gardes qui symbolisent le mieux l’importance de ce patrimoine. De la fin du XVIIe à la fin du XVIIIe siècle, les travaux visent à aérer les anciens bâtiments, à les rendre plus agréables. C’est ainsi que le donjon est ouvert sur le logis gothique et qu’un vaste rez-de-chaussée voûté porte une terrasse ouverte sur le sud. Ces travaux sont l’œuvre de Gabriel de Caumont et sont datés de 1623. Enfin, c’est à l’époque du duc de Lauzun que débute, en 1685, la construction du Dôme, qui assure la liaison entre la partie ancienne du château et l’aile Renaissance. En raison de cette fonction, ce nouveau bâtiment est aussi appelé « le Pont ».
    Le château de Lauzun a terriblement souffert pendant la période révolutionnaire. Le château est acheté par Joseph Nicolas Becquey-Beaupré en . Il continua l’œuvre de destruction entreprise par le dernier duc et pendant la Révolution. Les pierres étaient vendues et servaient à construire d’autres bâtiments. C’est M. Becquey-Beaupré en effet qui fit démolir tous les éléments à caractère défensif : donjon du XIIIe siècle, terrasses, remparts au midi et à l’est.
    À la mort de M. Becquey-Beaupré, sa veuve et les trois enfants continuèrent de s’occuper de ce château pendant quelques années. C’est elle qui le vend à Augustin Charrié, longtemps maire de Lauzun et conseiller général, le . Étienne Charrié le frère d’Augustin, était l’ami des Becquey-Beaupré au barreau de Bordeaux.
    Le château est resté dans la famille Charrié entre 1837 et 1921. Henri, fils d’Augustin, puis Martial son fils, gérèrent le domaine qui comprenaient plusieurs métairies. On doit à la famille Charrié, consciente de la valeur patrimoniale de ce château, la restauration de ce qui pouvait l’être. Ainsi, la partie restante du XVe a été relevée dans le style de l’époque : croisées à meneaux, corniches et leurs fines et délicates moulures prismatiques. Le Dôme reliant les deux corps de logis a été restauré par Augustin Charrié, le rendant habitable. Enfin, l’aile Renaissance miraculeusement préservée, avec sa porte et ses deux cheminées, a été régulièrement constamment entretenue.
    À la mort de Martial leur père, le château et les propriétés reviennent à ses deux enfants, Henriette et à Jean Charrié. Il s’avère que les propriétés ne permettent pas d’entretenir le château et de le maintenir en état. Aussi, Henriette et Jean Charrié décident de vendre la propriété en 1920. À cette date, outre le château et son parc, la propriété comptait cinq métairies d’environ 30 ha chacune. La production était à dominante céréalière ; s’y ajoutaient quelques hectares de vigne et des pruniers. La première vente a été annulée, l’acheteur se révélant désargenté. Une seconde vente a eu lieu en .
    En , Jean Charrié décidait de réaliser une campagne photographique de l’ensemble de la propriété. Il a utilisé un Vérascope. La plupart de ces photos peuvent être consultées en ligne.
  • Église Saint-Étienne[32]. L'église a d'abord été dédiée à Notre-Dame-de-l'Assomption. Il ne reste de l'église romane que le portail roman tardif avec sept voussures en arc brisé de la fin du XIIIe siècle et deux colonnes avec des chapiteaux placées sous la tribune. Le portail a été modifié au XVIe siècle orné d'une statue de la Vierge couronnée.
    L'église a été remaniée sous le Second empire, entre 1866 et 1871, avec surélévation de la voûte.
    Le maître-autel et le retable proviennent de l'ancienne chapelle du couvent des Recollets fondé en 1623 par Gabriel-Nombar de Caumont et supprimé à la Révolution. Le devant d'autel représenta l'adoration des mages. À côté des colonnes torses de chaque côté on voit l'ange Gabriel qui salue la Vierge[33].
    Les panneaux de la chaire est aussi de 1623. Les panneaux de l'escalier de la chaire sont plus récents.
    Sur l'autel de la Vierge on peut voir une Vierge noire datant du XIIIe siècle "Nostro Damo de la Molo" (Notre-Dame de la Meule) qu'un seigneur de Lauzun aurait trouvé dans une meule de foin et qui fut l'objet de pèlerinages sur la route de Compostelle. À gauche de l'autel, une Vierge à l'Enfant datant du XIIIe siècle et qui ornait le portail de l'église. Reliquaire de vraie Croix, en cristal et argent, du XVIIe siècle, aux armes de Caumont. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historique en 2012[34].
Maison à cariatides.
  • Maison à cariatides[36]
  • À voir également, la venelle de Pompéï et le Carrérou, petit passage couvert donnant dans la rue principale Eugène-Mazelié et remontant vers le haut du village et les tours du XIIIe siècle du château.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Christian Martin, Christophe Sireix, Sylvie Faravel, Le château de Lauzun (Lot-et-Garonne), évolution de la partie résidentielle de la fin du XIIe au XVIIIe siècle, p. 365-388, Archéologie du Midi médiéval, année 2006, numéro supplémentaire 4 ( lire en ligne )

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Lauzun et Cancon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Cancon » (commune de Cancon) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Cancon » (commune de Cancon) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Lauzun », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  21. Google Livres : François-Alexandre Aubert de La Chesnaye des Bois, Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire et la chronologie des familles nobles de France. Tome IV, Paris, 1772
  22. Cercle Héraldique, Généalogique, Historique du 47
  23. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris, consulté le .
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. « Château », notice no PA00084153, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Château
  29. Jean Burias, Le guide des châteaux de France. 47. Lot-et-Garonne, pp.48-49, Hermé, Paris, 1985 (ISBN 2-86665-009-3).
  30. Philippe Lauzun, Le château de Lauzun, p. 5-36, 152-161, 215-234, 334-358, 385-412, 510-530, Revue de l'Agenais, 1908, tome 35 (lire en ligne)
  31. Philippe Lauzun, Le château de Lauzun, p. 5-24, 252-274, Revue de l'Agenais, 1909, tome 36
  32. Dictionnaire des Églises de France, Belgique, Luxembourg, Suisse. Tome IIIB. Guyenne, pp. 87, Robert Laffont, Paris, 1967
  33. J.-Raoul Marboutin, Notre-Dame-de-la-Mollo et les œuvres d'art de l'église de Lauzun,p. 205-219, Revue de l'Agenais, 1932, tome T9
  34. « Eglise Saint-Etienne », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  35. « Eglise Saint-Pastour, dite de Queyssel », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  36. « Maison à cariatides », notice no PA00084154, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).