Magna International

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Magna International Inc.
logo de Magna International
illustration de Magna International

Création [1]Voir et modifier les données sur Wikidata
Fondateurs Frank StronachVoir et modifier les données sur Wikidata
Forme juridique Société par actions de droit canadien (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Action NYSE : MGA
TSX : MG
Siège social Aurora (Ontario)
Drapeau du Canada Canada
Directeurs Donald Walker (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Activité Sous-traitance et construction automobile
Filiales Magna International (United States) (d)
Magna Steyr
Magna Exteriors (Bohemia) (d)
Magna International (Germany) (d)
Magna Powertrain (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Effectif 108 000Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web www.magna.com
Le fondateur de Magna, Frank Stronach.

Magna International est une entreprise canadienne spécialisée dans l'équipement automobile et sous-traitant pour de nombreux constructeurs. Son siège est situé à Aurora, dans la banlieue nord de Toronto, Ontario. À la fin du 3e trimestre 2011, elle compte 107 100 employés et est présente dans 26 pays[2].

Activités

Un des leaders de la sous-traitance mondiale automobile de 1er rang. Il fournit ainsi ses clients en composants et pièces détachées, et suit les constructeurs dans leurs projets industriels : Magna International a ainsi ouvert une usine à Kalouga à côté de celle construite par son client Volkswagen AG[3]. Kalouga (au sud de Moscou) une usine de fabrication de pièces pour les plates-formes russes de Volkswagen, Skoda, Renault et PSA Peugeot Citroën. Selon le service de presse de Magna, l'usine de Kalouga produira des pare-chocs, enjoliveurs et grilles de radiateur.

Histoire

Le 30 mai 2009, l'État allemand autorisait la cession d'Opel au constructeur canadien Magna, alors que le groupe Fiat était pressenti pour le rachat[4].

Sites de production de Magna International dans le monde.

Après quelques mois d'incertitudes et de remous politiques, General Motors avait donné des signes, le 11 septembre 2009, d'une cession de sa filiale Opel à Magna et à un groupe d'investisseurs russes. Magna s'était engagé à investir 500 millions d'euros dans les opérations, alors que le gouvernement allemand s'est engagé à financer le plan de redressement en offrant des prêts pouvant atteindre 4,5 milliards d'euros [5].

Finalement, le rachat ne se fera pas, GM se rétractant à la dernière minute.

Notes et références

  1. ROR Data, , V1.19 éd. (DOI 10.5281/ZENODO.7644942)Voir et modifier les données sur Wikidata
  2. La Presse canadienne, « Magna veut fabriquer des voitures électriques au Canada », Le Devoir,‎ (lire en ligne, consulté le )
  3. Nikita Afanasyev, « Kalouga sort ses premières Peugeot », Le Figaro, (consulté le )
  4. Personnel de rédaction, « Magna peut reprendre Opel », Le Devoir,‎ (lire en ligne, consulté le )
  5. (en) John D. Stoll, Vanessa Fuhrmans et Marcus Walker, « At Last, GM Sets Deal to Cede Control of Opel », The Wall Street Journal,‎ (lire en ligne, consulté le )

Voir aussi

Liens externes