Loigny-la-Bataille

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Loigny-la-Bataille
Loigny-la-Bataille
Église Saint-Lucain
Logo monument historique Classé MH (1983), Logo monument historique Inscrit MH (1983).
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Châteaudun
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Beauce
Maire
Mandat
Hugues Robert
2020-2026
Code postal 28140
Code commune 28212
Démographie
Population
municipale
209 hab. (2021 en stagnation par rapport à 2015)
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 07′ 26″ nord, 1° 44′ 02″ est
Altitude Min. 123 m
Max. 139 m
Superficie 18,05 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Villages Vovéens
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Loigny-la-Bataille
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Loigny-la-Bataille
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Loigny-la-Bataille

Loigny-la-Bataille est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire. Elle fait partie d'une zone écologique protégée du réseau Natura 2000. C'est une zone importante pour la conservation des oiseaux de la vallée de la Conie et Beauce centrale.

Géographie

Situation

Carte
Territoire de la commune de Loigny-la-Bataille

Modèle:Message galerie

Communes limitrophes

La ligne ferroviaire ChartresOrléans a une gare à Orgères-en-Beauce, à 4 km de Loigny-la-Bataille .

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

  • Moyenne annuelle de température : 10,9 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,4 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 640 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,8 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,5 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Guillonville_ca28 », sur la commune de Guillonville, mise en service en 1995[7] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 611,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Orléans - Bricy », sur la commune de Bricy, dans le département du Loiret, mise en service en 1937 et à 14 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,2 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,7 °C pour 1991-2020[13].

Urbanisme

Typologie

Loigny-la-Bataille est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (100 %)[19].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Luigniacum in Belsia en 1224[21], Loigny en 1836 (Cadastre).

Le nom de la commune est vraisemblablement issu de l'anthroponyme Lucaniacum au Ve siècle « pays de Lucain », suivi du suffixe gallo-roman -iacum' ou -iacus (-acon) signifiant domaine, propriété.

Après la Guerre franco-allemande de 1870, on ajouta le complément « la Bataille » en souvenir des combats qui se déroulèrent sur le territoire de la commune le 2 décembre 1870.

Par décret du 7 décembre 1901, la commune au cœur de la bataille de la nuit du 2 décembre 1870, était officiellement dénommée Loigny-la-Bataille .

Histoire

Préhistoire

Dans l'ancien cimetière de Loigny a été découverte en 1885 une nécropole à incinération et à inhumation[22].

Antiquité

Une voie romaine de Chartres à Orléans traverse la commune du nord-ouest au sud-est : elle correspond partiellement à la route D3.9 au nord-ouest de Loigny, puis poursuit en plein champ vers Terminiers. Une voie romaine de Châteaudun à Allaines traverse la commune au nord : c'est aujourd'hui la route D927.

Des restes d'habitations gallo-romaines et des tessons de tuiles et monnaies gauloises et romaines ont été découverts[22].

XIXe siècle

Le village fut le lieu d'une bataille opposant près de 40 000 soldats français à 35 000 soldats des États allemands le et qui fit près de 9 000 victimes. C'est lors de cette bataille que le général Louis-Gaston de Sonis ordonna au colonel Athanase de Charette de La Contrie de déployer la bannière du Sacré-Cœur lors de la charge des Volontaires de l'Ouest, les anciens zouaves pontificaux.

Jules-Antoine Duvaux : La bataille de Loigny (tableau daté de 1875).
Les zouaves pontificaux à La bataille de Loigny, Charles Castellani (1838-1913), 1879, Musée de l'Armée, Paris.

Politique et administration

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2014 En cours Hugues Robert[23],[24]   Agriculteur sur petite exploitation
Les données manquantes sont à compléter.

Politique environnementale

Loigny fait partie d'une zone écologique protégée du réseau Natura 2000.

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].

En 2021, la commune comptait 209 habitants[Note 7], en stagnation par rapport à 2015 (Eure-et-Loir : −0,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
342335365318363372391381389
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
412430435409437440483508528
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
454426415382374356351400350
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
344287238202178174218222208
2021 - - - - - - - -
209--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

Loigny bénéficie du système scolaire intercommunal et du transport scolaire de la communauté de communes du Cœur de Beauce.

Manifestations culturelles et festivités

Les festivités liées au calendrier agricole à l'époque moderne ont fait la place à l'activité associative du Cœur de Beauce.

Économie

Loigny est inséré dans l'économie agricole de Beauce.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Ensemble mémorial

Le champ de bataille de Loigny est encore aujourd'hui constellé de monuments commémorant les durs combats des 1er et qui virent s'affronter dans la plaine de Beauce les armées françaises et allemandes. L'ensemble mémorial constitué par l'église, la chapelle mortuaire, la crypte, le musée et le chemin de mémoire fait de Loigny-la-Bataille le premier site mémorial créé en France en souvenir d'une bataille.

  • Musée de la Guerre de 1870
  • Église Saint-Lucain de Loigny-la-Bataille, Logo monument historique Classé MH (1983) Logo monument historique Inscrit MH (1983)[29] ;
    • Chapelle mortuaire
      Construite à partir de 1872, elle est décorée de peintures murales de Charles Lameire et Charles de Coubertin, ainsi que de vitraux de Nicolas Lorin.
    • Crypte
      Dans ce lieu sont rassemblés les ossements de plus de 1 200 soldats français, prussiens et bavarois... ainsi que les tombes du général Louis-Gaston de Sonis et du général Athanase de Charette de la Contrie ;
Lionel Royer : La communion des zouaves.

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Château de Goury

Personnalités liées à la commune

  • Saint Lucain
Loigny est le lieu du martyre et de l'hagiographie chrétienne d'un saint céphalophore du Ve siècle : Lucain[33],[34] : à quelques centaines de mètres au sud de Loigny, « ce fut entre Villours et Villepion que fut martyrisé, l'an 407, saint Lucain, généreux missionnaire qui avait eu le courage de se mettre à la suite des Alains et des Suèves pour leur annoncer l'Évangile[35]. » Lucain était un prédicateur chrétien de l'Orléanais et fut condammé à avoir la tête tranchée[36]. « Elle ne fut pas plus tôt abattue que Lucain se leva sur ses pieds, la reprit entre ses mains et la porta comme en triomphe à une demi-lieue de l'endroit où il avait été exécuté ; il la mit sur une pierre qui, en mémoire d'un si grand prodige, a été depuis appelée la Pierre de saint Lucain[37]. » Le « pays de Lucain » (Lucaniacum) est devenu le village de Loigny, avec son église consacrée à Saint-Lucain.
Cet officier très pieux a combattu en 1870 à la tête des zouaves pontificaux et des volontaires de l'Ouest sous l'étendard du Sacré-Cœur de Jésus et la devise Miles Christi (soldat du Christ), aux côtés du futur général de Charette. Grièvement blessé lors du combat, il passa la nuit (-20°) sur le champ de bataille de Loigny à rassurer les soldats blessés eux aussi autour de lui. On lui amputa la jambe le lendemain de ce funeste [38]. Il est anobli par le pape Léon XIII et est titré comte romain et de Sonis en 1880.
Après l'occupation de Rome par les troupes piémontaises (), Charette embarque pour Marseille avec ses troupes. Il négocia avec Gambetta l'emploi des zouaves français au service de la France contre l'Allemagne et fut autorisé à les organiser sous le nom de Légion des volontaires de l'Ouest, corps remarquablement discipliné qui fut attaché au 17e corps d'armée, et se battit bravement avec elle aux batailles de Patay et de Loigny (2 décembre), où il fut grièvement blessé, fait prisonnier, mais s'évada.

Voir aussi

Articles connexes

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Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  7. « Station Météo-France Guillonville_ca28 - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Orthodromie entre Loigny-la-Bataille et Guillonville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France Guillonville_ca28 - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre Loigny-la-Bataille et Bricy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station météorologique d'Orléans - Bricy - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  12. « Station météorologique d'Orléans - Bricy - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  13. « Station météorologique d'Orléans - Bricy - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  21. A.D. 28-G, Prieuré Notre-Dame de la Bourdinière.
  22. a et b Anne Ollagnier, Dominique Joly et Michel Provost (dir.), Carte archéologique de la Gaule : L'Eure-et-Loir, 28, Paris, Fondation maison des sciences de l'homme, coll. « Académie des inscriptions et belles-lettres ; Ministère de la culture et de la francophonie ; Ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche », , 372 p. (ISBN 2-87754-032-4 et 9782877540322, BNF 35838160).
  23. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  24. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. « Église », notice no PA00097135, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. « Tableau : la communion des zouaves », notice no PM28000776, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  31. « Tableau : le général Gaston de Sonis », notice no PM28000777, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  32. « Château de Goury », notice no PA00097134, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. (la) « De S. Lucano martyre, in dicecesi carnutensi in Gallia ; commentarius criticus », dans Société des Bollandistes, Acta Sanctorum octobris (tomus tertius decimus) : ex latinis et graecis, aliarumque gentium monumentis, servata primigenia veterum scriptorum phrasi, 1765-1883 (BNF 37571965, lire en ligne), NUMM-6084 p.244-245.
  34. Abbé Théophile Cochard, Les Saints de l'Église d'Orléans, Orléans, Herluison, , X-548 p. ; in-18 (BNF 30252889), p. 73-76.
  35. Bulletin trimestriel, vol. 3, t. 32 à 39, Société archéologique et historique de l'Orléanais, 1859-1862 (BNF 34422791, lire en ligne).
  36. « Nominis : saint Lucain », sur nominis.cef.fr.
  37. Paul Guérin, Les petits Bollandistes : vies des saints de l'Ancien et du Nouveau Testament, Paris, Bloud et Barra, (BNF 37268348, lire en ligne).
  38. Abbé Provost, Loigny-la-Bataille, de 1870 à 1912, Lille, Impr. de H. Morel, coll. « Imprimerie catholique », , 535 p. (BNF 34200620, lire en ligne).