Effiat

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Effiat
Effiat
Ancien hospice d'Effiat.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Puy-de-Dôme
Arrondissement Riom
Intercommunalité Communauté de communes Plaine Limagne
Maire
Mandat
Marc Carrias
2020-2026
Code postal 63260
Code commune 63143
Démographie
Population
municipale
1 130 hab. (2021 en augmentation de 2,08 % par rapport à 2015)
Densité 57 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 02′ 27″ nord, 3° 15′ 23″ est
Altitude Min. 317 m
Max. 437 m
Superficie 19,96 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Clermont-Ferrand
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aigueperse
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Effiat

Effiat est une commune française, située dans le département du Puy-de-Dôme en région Auvergne-Rhône-Alpes

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La petite commune pourrait être l'archétype des bourgs de la Limagne bourbonnaise. Effiat reste une commune essentiellement agricole.

La commune se situe au nord du département du Puy-de-Dôme[1], à quelques kilomètres d'Aigueperse, dans le canton de cette même commune, dans l'arrondissement de Riom.

La plupart des habitants sont regroupés dans le bourg. Mais Effiat compte aussi trois hameaux isolés : le Bethueix, Denone et Olhat.

Huit communes jouxtent Effiat, dont trois dans le département de l'Allier[2] :

Transports[modifier | modifier le code]

La route départementale 984, qui fut la route nationale 684 entre les années 1930 et les années 1970, relie l'agglomération de Vichy (Bellerive-sur-Allier) à Aigueperse.

Du sud de la commune, la route départementale 223 relie la RD 984 à Bas-et-Lezat et à Randan par le village d'Olhat[2].

Le territoire communal est desservi par les routes départementales 51 (vers Montpensier), 93 (axe de Saint-Genès-du-Retz à Bas-et-Lezat), 436 (desservant le lieu-dit du Bethueix, reliant la RD 984 à Lezat), 437 (reliant le chef-lieu de commune à Denone et à Biozat, en devenant la RD 272 dans l'Allier) et 443 (vers Bussières-et-Pruns). Il existe aussi une RD 51b[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 694 mm, avec 8,5 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Charmes_sapc », sur la commune de Charmes à 4 km à vol d'oiseau[5], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 675,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Effiat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (90,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (88,7 %), zones urbanisées (6,8 %), forêts (3,4 %), zones agricoles hétérogènes (0,6 %), prairies (0,5 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Logement[modifier | modifier le code]

En 2013, la commune comptait 456 logements, contre 394 en 2008. Parmi ces logements, 85,8 % étaient des résidences principales, 4,9 % des résidences secondaires et 9,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 95,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 4,2 % des appartements[a 1].

La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 86,9 %, en hausse sensible par rapport à 2008 (84,6 %). Il n'existait aucun logement HLM loué vide[a 2].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Carte linguistique du Puy-de-Dôme (Atlas sonore des langues régionales, CNRS). En bleu clair : les parlers du Croissant ; en marron : le nord-occitan ; en vert : l'arpitan.

Effiat est une des premières communes au sud du Croissant, espace linguistique où se rejoignent et se mélangent la langue occitane et la langue d'oïl[15],[16],[17]. Son nom lui vient directement du parler local.

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Depuis le Moyen Âge la seigneurie d'Effiat est vassale de celle de Bourbon et fait ainsi partie du duché de Bourbon[18].

Par la suite, Effiat fait partie de la principauté de Montpensier avant de retourner dans la province du Bourbonnais à partir du XVIe siècle. Elle fait ainsi partie, tout au long de l'Ancien Régime, de la Généralité de Moulins et de son élection de Gannat.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune d'Effiat est membre de la communauté de communes Plaine Limagne[19], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Aigueperse. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[20]. Jusqu'au , elle faisait partie de la communauté de communes Nord Limagne[21].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Riom, à la circonscription administrative de l'État du Puy-de-Dôme et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[19].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton d'Aigueperse pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[19], et de la deuxième circonscription du Puy-de-Dôme pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010 (sixième circonscription avant 2010)[22].

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Élections de 2020[modifier | modifier le code]

Le conseil municipal d'Effiat, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[23], pour un mandat de six ans renouvelable[24]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 15[25]. Les quinze conseillers municipaux, issus d'une liste unique, sont élus au premier tour, le , avec un taux de participation de 52,70 %[26].

Deux sièges sont attribués à la commune au sein du conseil communautaire de la communauté de communes Plaine Limagne[26].

Chronologie des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2008 En cours
(au )
Marc Carrias[27]   Agriculteur, retraité[28]
Vice-président de la communauté de communes Plaine Limagne[29]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].

En 2021, la commune comptait 1 130 habitants[Note 3], en augmentation de 2,08 % par rapport à 2015 (Puy-de-Dôme : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 7451 8901 7431 8111 7671 7021 7081 6761 681
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6091 5391 5111 4401 4481 3841 2961 2941 205
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1441 1041 019861816771737746755
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
7667977997257307449149391 098
2017 2021 - - - - - - -
1 1191 130-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (34,2 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,1 % la même année, alors qu'il est de 27,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 530 hommes pour 594 femmes, soit un taux de 52,85 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,5 
90 ou +
6,1 
5,9 
75-89 ans
14,2 
15,1 
60-74 ans
11,1 
22,2 
45-59 ans
16,8 
22,9 
30-44 ans
21,3 
8,9 
15-29 ans
11,0 
23,4 
0-14 ans
19,7 
Pyramide des âges du département du Puy-de-Dôme en 2020 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
7,2 
75-89 ans
10,1 
17,7 
60-74 ans
18,4 
20,3 
45-59 ans
19,4 
18,4 
30-44 ans
17,4 
18,6 
15-29 ans
17,2 
17,1 
0-14 ans
15,4 

Enseignement[modifier | modifier le code]

Effiat dépend de l'académie de Clermont-Ferrand. Elle gère une école élémentaire publique[36].

Les élèves poursuivent leur scolarité au collège Diderot d'Aigueperse[37] puis dans les lycées de Riom (Virlogeux ou Pierre-Joël-Bonté)[38].

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2013, la population âgée de quinze à soixante-quatre ans s'élevait à 637 personnes, parmi lesquelles on comptait 81,6 % d'actifs dont 76,6 % ayant un emploi et 5,1 % de chômeurs[a 3].

On comptait 179 emplois dans la zone d'emploi. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone étant de 490, l'indicateur de concentration d'emploi est de 36,6 %, ce qui signifie que la commune offre moins d'un emploi par habitant actif[a 4].

428 des 489 personnes âgées de quinze ans ou plus (soit 87,6 %) sont des salariés[a 5]. 17,5 % des actifs travaillent dans la commune de résidence[a 6].

Entreprises[modifier | modifier le code]

Au , Effiat comptait 33 entreprises : deux dans l'industrie, sept dans la construction, vingt dans le commerce, les transports et les services divers et deux dans le secteur administratif[a 7].

En outre, elle comptait 35 établissements[a 8].

Agriculture[modifier | modifier le code]

Au recensement agricole de 2010, la commune comptait vingt-quatre exploitations agricoles. Ce nombre est en nette diminution par rapport à 2000 (32) et à 1988 (64)[39].

La superficie agricole utilisée sur ces exploitations était de 1 545 hectares en 2010, dont 1 513 ha sont allouées aux terres labourables et 27 ha sont toujours en herbe[39].

Commerce et services[modifier | modifier le code]

La base permanente des équipements de 2015 recensait une boulangerie ainsi qu'un magasin d'électroménager et de matériel audio-vidéo[40].

Tourisme[modifier | modifier le code]

Au , la commune ne comptait aucun hôtel[a 9], camping[a 10] ou autre hébergement collectif[a 11].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Effiat compte quatre édifices[41] et sept objets[42] inscrits ou classés aux monuments historiques.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Effiat Blason
De gueules au chevron fascé ondé d'argent et d'azur, accompagné de trois lions d'or[49].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Capitaine Bagès, « Histoire de l'École royale militaire d'Effiat », Bulletin historique et scientifique de l'Auvergne, Académie des Sciences, Belles-Lettres et Art de Clermont-Ferrand,‎ , p. 95-132, 135-188 (lire en ligne)
  • Marc Dousse, « L'École militaire d'Effiat et le « chevalier de Veygoux » », Journal des débats politiques et littéraires, no 982,‎ (lire en ligne)
  • Marie-Madeleine Compère et Dominique Julia, « Effiat, école militaire, collège de plein exercice », dans Les collèges français XVIe – XVIIIe siècles, Paris, Institut national de recherche pédagogique, coll. « Bibliothèque de l'Histoire de l'Education 10 / Répertoire 1 - France du Midi », , 759 p. (ISBN 2-7342-0003-1, lire en ligne), p. 268-275
  • Olivier Paradis, « Desaix, élève d'Effiat », Revue Sparsae, no 16,‎
  • Pierre Balme, « Une demeure historique. Effiat », Le tourisme en Auvergne, no 5,‎

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. LOG T2 – Catégories et types de logements.
  2. LOG T7 – Résidences principales selon le statut d'occupation.
  3. EMP T1 – Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
  4. EMP T5 – Emploi et activité.
  5. ACT T1 – Population de 15 ans ou plus ayant un emploi selon le statut en 2013.
  6. ACT T4 – Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la zone.
  7. DEN T3 – Nombre d'entreprises par secteur d'activité au .
  8. DEN T5 – Nombre d'établissements par secteur d'activité au .
  9. TOU T1 – Nombre et capacité des hôtels au .
  10. TOU T2 – Nombre et capacité des campings au .
  11. TOU T3 – Nombre d'autres hébergements collectifs au .
  • Autres références :
  1. « Effiat »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Lion 1906.
  2. a b et c Carte d'Effiat sur Géoportail.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Effiat et Charmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Charmes_sapc », sur la commune de Charmes - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Charmes_sapc », sur la commune de Charmes - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. Liste des communes composant l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand, sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod, « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  15. « Atlas sonore des langues régionales de France - Zone du Croissant », sur atlas.limsi.fr ; site officiel de l'Atlas sonore des langues régionales de France, Paris, CNRS, .
  16. Philippe Boula de Mareüil, Gilles Adda, Lori Lamel, « Comparaison dialectométriques de parlers du Croissant avec d’autres parlers d’oc et d’oïl », Le Croissant linguistique entre oc, oïl et francoprovençal : des mots à la grammaire, des parlers aux aires, Paris, L'Harmattan,‎ (ISBN 978-2-343-23050-4, lire en ligne).
  17. Philippe Boula de Mareüil, Gilles Adda (Limsi, CNRS), « Comparaison de dialectes du Croissant avec d’autres parlers d’oïl (berrichon-bourbonnais et poitevin-saintongeais) et d’oc », communication au colloque « 2èmes Rencontres sur les Parlers du Croissant », Montluçon, 2019, [lire en ligne].
  18. Albert Lecoy de La Marche, Titres de la maison ducale de Bourbon, vol. 2, Paris, Plon, (lire en ligne), acte n°5009, p. 201
  19. a b et c « Commune d'Effiat (63143) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  20. « CC Plaine Limagne (No SIREN : 200071199) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
  21. « CC de Nord Limagne (No SIREN : 246301006) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
  22. « Découpage électoral du Puy-de-Dôme », sur Politiquemania (consulté le ).
  23. Loi no 2013-403 du relative à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires, et modifiant le calendrier électoral, article 51, et son décret d'application no 2013-938 du .
  24. « Election des conseillers municipaux et du maire », sur le site de la DGCL.
  25. Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  26. a et b « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  27. « Liste des Maires du Puy-de-Dôme »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], sur mairesruraux63.fr, Association des maires ruraux du Puy-de-Dôme, (consulté le ), p. 3.
  28. Supplément « Annuaire des maires Puy-de-Dôme », La Montagne, , p. 27 (édition du Puy-de-Dôme).
  29. Site de la communauté de communes Plaine Limagne (consulté le 21 février 2017).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Effiat (63143) », (consulté le ).
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Puy-de-Dôme (63) », (consulté le ).
  36. Annuaire des établissements scolaires d'Effiat sur le site du ministère de l'Éducation nationale.
  37. « Sectorisation », sur puy-de-dome.fr, Conseil départemental du Puy-de-Dôme (consulté le ). Taper « EFFIAT » dans le formulaire de saisie.
  38. Direction des services départementaux de l'Éducation nationale du Puy-de-Dôme, « Sectorisation des lycées - Département du Puy-de-Dôme » [PDF], sur ac-clermont.fr, Académie de Clermont-Ferrand (consulté le ), p. 6.
  39. a et b « Données générales des exploitations ayant leur siège dans Effiat commune », Ministère de l'Agriculture (consulté le ).
  40. « Base permanente des équipements : commerce » [zip], Insee, .
  41. « Liste des édifices inscrits ou classés aux monuments historiques d'Effiat », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. « Liste des objets inscrits ou classés aux monuments historiques d'Effiat », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  43. « Château d'Effiat », notice no PA00092116, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  44. Capitaine Bagès, « Histoire de l'école royale militaire d'Effiat », Bulletin historique et scientifique de l'Auvergne, 2e série,‎ , p. 95-132, 135-187 (lire en ligne)
  45. « Eglise Saint-Blaise », notice no PA00092117, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  46. Pierre Maryse et Pierre Marcel, Clochers de Basse-Auvergne, Nonette, Créer, , 383 p. (ISBN 2-84819-039-6).
  47. « Château de Denone », notice no PA00092115, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  48. « Hospice », notice no PA00092118, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  49. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.