Castéra-Lectourois

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Castéra-Lectourois
Castéra-Lectourois
Vue sur l'église depuis la rue centrale.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Condom
Intercommunalité Communauté de communes de la Lomagne gersoise
Maire
Mandat
Michel Pascau
2020-2026
Code postal 32700
Code commune 32082
Démographie
Gentilé Castourois, Castouroise
Population
municipale
346 hab. (2021 en augmentation de 0,58 % par rapport à 2015)
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 58′ 35″ nord, 0° 36′ 38″ est
Altitude 203 m
Min. 64 m
Max. 260 m
Superficie 18,86 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Lectoure
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lectoure-Lomagne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Castéra-Lectourois
Liens
Site web https://castera-lectourois.fr

Castéra-Lectourois (Lo Casterar Leitorés en occitan[1]) est une commune française située dans le département du Gers en région Occitanie.

Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'église Sainte-Madeleine, classée en 1986.

Géographie

Localisation

La commune de Castéra-Lectourois se situe dans le canton de Lectoure et dans l'arrondissement de Condom, dans la vallée du Gers. Le centre de Castéra-Lectourois est à 7 km au nord de Lectoure[2].

Communes limitrophes

Communes limitrophes de Castéra-Lectourois[3]
Saint-Mézard Sempesserre
Saint-Martin-de-Goyne Castéra-Lectourois Saint-Avit-Frandat
Lectoure

Géologie et relief

Castéra-Lectourois se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[4].

Voies de communication et transports

Hydrographie

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[5]. Elle est drainée par le Gers, le ruisseau de Maurens, le Hiron, le ruisseau de Baylé, le ruisseau de la montée, le ruisseau de Laudé, le ruisseau de Nauton et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 20 km de longueur totale[6],[Carte 1].

Le Gers, d'une longueur totale de 175,4 km, prend sa source dans la commune de Lannemezan et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Layrac, après avoir traversé 47 communes[7].

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]

  • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,7 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,7 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 742 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,3 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,2 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lectoure », sur la commune de Lectoure, mise en service en 1984[13] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[14],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de précipitations de 726,2 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, dans le département de Lot-et-Garonne, mise en service en 1941 et à 20 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000[17], à 13,4 °C pour 1981-2010[18], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[19].

Milieux naturels et biodiversité

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[20],[21],[22].

Urbanisme

Typologie

Castéra-Lectourois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[23],[I 1],[24].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lectoure, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,3 %), zones agricoles hétérogènes (15,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,7 %), forêts (1,5 %)[25].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Toponymie

Le nom de Castéra, fréquent dans le Sud-Ouest, vient du gascon casterar et désigne l’emplacement d’un castrum (village fortifié sur une hauteur, et non un simple château). Le nom gascon Lo Casterar, avec article, implique l’usage en français d’appeler le village « Le Castéra-Lectourois ».

Histoire

Castéra Lectourois, était nommé en 1834 par le Sous Préfet de Condom, le « Petit Lectoure ». Ayant la même structuration, rue centrale délimitant deux îlots de constructions (« Darre lo Soc » au sud, « Darre Houquet » au nord), des remparts épousant les contours de la corniche calcaire, ainsi que deux châteaux (un à chaque extrémité) dont il ne reste aujourd’hui que quelques vestiges.

Le terme de « castéra est une variante de « Castelnau » liée à son rôle de défense avancée du Château des Comtes d’Armagnac.

L’église fragilisée par sa situation sur un sous-sol composé de calcaire fracturé, connaîtra en 1878 des dommages provoqués par la foudre suivi en 1895 par un incendie qui détruisit la toiture et la voûte.

En 1986 l’église est classée monument historique et fermée au public en 1989.

Les municipalités successives ont eu pour but de restaurer l’édifice jusqu’au parfait achèvement des travaux en 2016.

[26]

Politique et administration

Administration municipale

Liste des maires

Liste des maires successifs[27]
Période Identité Étiquette Qualité
1790   Dieuzaide    
1792   Dauraud    
1792   Cluzet    
1816   Descat    
1828   François Lasserre    
1848   Augustin Dupouy    
1848   François Lasserre    
1852   Augustin Dupouy    
1870   Peres    
1871   Augustin Dupouy    
1874   Joseph Castanet    
1881   Michel Dupont    
1892   Dominique Denux    
1908   Olivier Darrous    
1925   Joseph Darrous    
1929   Eugène Lafforgue    
1945   Max Truilhe    
1947   Emile Laboubee    
1952   Louis Coustere    
1959   Alcée Rizon    
1989 2001 Gisèle Maire    
2001 2020 Guy Verdier[28] DVG  
mai 2020 En cours Michel Pascau    
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].

En 2021, la commune comptait 346 habitants[Note 6], en augmentation de 0,58 % par rapport à 2015 (Gers : +0,79 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
850817859915911906904852833
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
765782783677676665602588591
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
552580505490492422383450382
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
307245223241296298298325350
2021 - - - - - - - -
346--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

Manifestations culturelles et festivités

Santé

Sports

Économie

Revenus

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 138 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 336 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 900 [I 4] (20 820  dans le département[I 5]).

Emploi

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 5,2 % 6,7 % 7,2 %
Département[I 7] 6,1 % 7,5 % 8,2 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 194 personnes, parmi lesquelles on compte 75,7 % d'actifs (68,5 % ayant un emploi et 7,2 % de chômeurs) et 24,3 % d'inactifs[Note 8],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Lectoure, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 54 emplois en 2018, contre 67 en 2013 et 61 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 136, soit un indicateur de concentration d'emploi de 39,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 52,2 %[I 10].

Sur ces 136 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 45 travaillent dans la commune, soit 33 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 76,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,5 % les transports en commun, 1,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 20,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Activités hors agriculture

28 établissements[Note 9] sont implantés à Castéra-Lectourois au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 10],[I 13]. Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28,6 % du nombre total d'établissements de la commune (8 sur les 28 entreprises implantées à Castéra-Lectourois), contre 14,4 % au niveau départemental[I 14].

Agriculture

La commune est dans le « Haut-Armagnac », une petite région agricole occupant le centre du département du Gers[33]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est l'exploitation de grandes cultures (hors céréales et oléoprotéagineuses)[Carte 4].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 31 21 18 17
SAU[Note 12] (ha) 1 475 1 342 1 315 1 360

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 31 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 21 en 2000 puis à 18 en 2010[35] et enfin à 17 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 45 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[36],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 475 ha en 1988 à 1 360 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 48 à 80 ha[35].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  9. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  10. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  11. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  12. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[34].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Castéra-Lectourois » sur Géoportail (consulté le 11 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Castéra-Lectourois » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gers » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Castéra-Lectourois » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gers » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Castéra-Lectourois » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Castéra-Lectourois » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).

Autres sources

  1. Carte du Gers en occitan sur le site du Conseil général
  2. Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. II : Arrondissement de Condom, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 469 p. (ISBN 2-9505900-7-1, BNF 39919209).
  3. Carte IGN sous Géoportail
  4. Plan séisme
  5. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
  6. « Fiche communale de Castéra-Lectourois », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
  7. Sandre, « le Gers »
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  10. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  11. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
  13. « Station Météo-France Lectoure - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  14. « Orthodromie entre Castéra-Lectourois et Lectoure », sur fr.distance.to (consulté le ).
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  16. « Orthodromie entre Castéra-Lectourois et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  17. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  18. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  19. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  20. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Castéra-Lectourois », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « Liste des ZNIEFF de la commune de Castéra-Lectourois », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. « Liste des espaces protégés sur la commune de Castéra-Lectourois », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  27. « Les maires de Castéra-Lectourois », sur Site francegenweb, (consulté le ).
  28. Site de la préfecture - fiche de Castéra-Lectourois
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  34. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  35. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Castéra-Lectourois - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  36. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Gers » (consulté le ).