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St. Gallen Symposium
Situation
Création Février 1970
Type Organisation éstudiantine
Siège Saint-Gall
Organisation
Membres ca. 30

Site web www.stgallen-symposium.de

Le Symposium de Saint-Gall, auparavant Internationales Management Symposium respectivement ISC-Symposium, est une conférence annuelle qui a lieu dépuis 1970 sur le campus de Université de Saint-Gall (HSG) à Saint-Gall, Suisse, est qui offre une plateforme pour le dialogue interculturel et intergénérationnel entre le cadre dirigeant d’aujourd’hui et ceux de l’avenir. Le but est de contribuer au maintien et au développement d’un système économique et un ordre social libre.

Le Symposium de Saint-Gall qui a été créé comme mouvement opposé aux contestations internationales des étudiants pendant le mouvement des années 68, est organisé chaque année par le International Students' Committee (ISC) une initiative estudiantine de l’Université de Saint-Gall[1]. Au présent avec plus de 1.000 participants telles que Josef Ackermann, Robert Dudley, Mohammad Khatami, Christine Lagarde et Ratan Tata, le Symposium compte par une des plus grandes et des plus importantes réunions éstudiantine du monde[2],[3].

Objectif[modifier | modifier le code]

Le Symposium de Saint-Gall, en tant que plateforme de dialogue reconnue, aspire à alimenter des débats constructifs sur les différents thèmes actuels de l’économie, de la politique, des sciences et de la société[4]. Le dialogue entre les générations, fondé sur le respect et la confiance mutuelle, est à la base de l'esprit qui anime le Symposium et est de ce fait au coeur de son organisation. Afin d'assurer la qualité du débat, les étudiants sont sélectionnés selon des critères stricts qui prouvent leurs capacités d'analyse et d'argumentation. Le modèle de conférence propre au Symposium de Saint-Gall permet un échange direct entre les participants dans un cadre détendu[5].

Chaque année, les déabts s'articulent autour d'un nouveau thème qui se veut de rester au plus proche des évènements mondiaux actuels. Au fil des ans, le cadre donné par le thème général a évolué de sujets très économiques vers des questions plus globales et qui intègrent des aspects politiques et sociétaux. Les participants ont débattu autour de la thématique Facing Risk en 2012, Just Power en 2011, Entrepreneurs - Agents of Change en 2010 et The Revival of Political and Economic Boundaries en 2009 [6].

Histoire[modifier | modifier le code]

Origine[modifier | modifier le code]

Cinq étudiants de l’Université de Saint-Gall – Clemens Ernst Brenninkmeyer, Franz Karl Kriegler, Urs Schneider, Wolfgang Schürer et Terje I. Wølner-Hanssen – fondèrent en février 1970 comme alternative aux mainfestations internationales estudiantines dans le cadre du 68e mouvement le ISC qui avait organisé le Symposium de Saint-Gall depuis ce moment-là[7]. Les cinq fondateurs sont issus de cinq nations différentes – Allemagne, Norvège, Pays-Bas, Autriche et Suisse – ainsi est le choix du nom International Students’ Committee[8]. En 30 juin 1970 et 1 juillet 1970 le premier Symposium avait lieu à l’Université de Saint-Gall où 100 étudiants et 100 chefs d’entreprises y prenaient part[9].

Premières années[modifier | modifier le code]

Au troisième Symposium, en 1972, l’étude du Club de Rome, Halte à la croissance ?, a été présentée concernant la capacité mondiale des réserves de pétrole[10]. L’irruption mondiale conjoncturelle, suite à la crise de pétrole, ainsi que des problèmes de l’assurance de continuité de l’équipe estudiantine étaient la raison pour laquelle le Symposium n’a pas pu avoir lieu en 1974. Comme conséquence de la crise, la St. Gallen Foundation for International Studies fut fondée pour en assurer la continuité. D'un autre côté le Cercle de Soutien, dont les membres soutiennent le International Students' Committee idéellement et financièrement à travers de plusieurs années, était créé[9].

Les années 1980[modifier | modifier le code]

En 1986 un premier concept du numérique a pu être établi en coopération avec Hewlett-Packard Suisse, ce qui avait comme résultat que le ISC, comme une des premières institutions de la Suisse, disposait d’un propre serveur. Une autre incision comprenait l’introduction du St. Gallen Wings of Excellence Award en 1989 – qui compte aujourd’hui parmi le plus grand concours mondial d’étudiants. Pour ce concours d’essai seulement les auteurs des meilleurs travaux sont invités à participer au Symposium de Saint-Gall. Les trois meilleurs auteurs reçoivent, en plus de la participation au Symposium, un prix ainsi que la possibilité de présenter leur contribution (voir ci-dessous)[1].

Nouvelle orientation depuis 1995[modifier | modifier le code]

Depuis le milieu des années 1990, le ISC essaie progressivement d’améliorer la qualité du dialogue international du Symposium de Saint-Gall. Dans le cadre de cette nouvelle orientation, un nouveau logo s’impose et le nom de Internationales Management Symposium a changé en ISC-Symposium. En même temps, le soutien financier pour la construction du Weiterbildungszentrum (WBZ) de l’Université de Saint-Gall était mis à disposition par le ISC.

Avec l’éclatement de la bulle internet en 2000 ainsi que les attentats du 11 septembre 2001 et la faillite de Swissair – autrefois une des plus importantes entreprises dans le Cercle de Soutien – le changement d’année du siècle pour le Symposium de Saint-Gall engendra dans les années suivantes une grande provocation.

En 2002 le ISC fut chargé par le Conseil Fédéral d’organiser la Conférence Internationale du Fédéralisme à l’Université de Saint-Gall, avec la même construction que le ISC-Symposium[11].

Le nom actuel Symposium de Saint-Gall fut introduit en 2005. L’année suivante, Kofi Annan, Secrétaire Général des Nations unies, reçut aussi le Prix de la Liberté de la Fondation Max Schmidheiny[12].

Dans les années 2008 à 2010 le Symposium de l’Université de Saint-Gall pour cause de rénovation, fut pour la plupart transféré dans une ville des tentes. Les invitations d’autres universités, entre autres de l’École polytechnique fédérale de Zurich (EPFZ) ont été refusées[13],[14].

Pour le 40e Symposium de Saint-Gall en 2010 il s’ensuivit une nouvelle conception que devait améliorer le dialoque des générations. La durée fut écourtée d’un demi jour à deux jours, le groupe des orateurs fut complété par les Topic Leader et on a agrandi le nombre des étudiants par le Knowledge Pool. Ce dernier se compose de personnes sélectionnées qui seront invitées par les ISC et doivent offrir un contre-pôle pour le St. Gallen Wings of Excellence Award académique[15]. Une autre nouveauté est le Global Perspectives Barometer, un questionnaire annuel, en collaboration avec Crédit Suisse qui présente annuellement des questions économiques aux actuels et anciens participants estudiantins[16].

Déroulement du Symposium et Formats d’Organisation[modifier | modifier le code]

Chaque année, le Symposium de Saint-Gall est fixé traditionnellement en mai à deux – autrefois trois – jours. Le mercredi soir, les membres du Cercle de Soutien sont invités au Dîner du Cercle de Soutien, pendant que les étudiants sont invités à la Pre-Conference. Le programme du mercredi soir est seulement ouvert pour des groupes des participants sélectionnés et n’est pas part du programme officiel[17]. Le programme officiel s’étend sur un jeudi et vendredi et comprend des organisations en Plenum, appelées Plenary Sessions, ainsi que des petits groupes personnels, soi-disent qui forment le cœur du Symposium[18]:

  • Les Plenary Sessions doivent introduire les participants dans des grands termes et doivent soulever des questions discutés, qui peuvent être approfondis dans les Work Sessions. Le One-on-One est à distinguer durant la Plenary Session où deux personnes se rencontrent semblable au BBC Hardtalk, le Keynote Panel où une discussion à la ronde se rassemble, ainsi que la Keynote Address, où une personne fait un discours.
  • Les 30 Work Sessions ont lieu en petits groupes de 25 à 35 participants et doivent approfondir les Plenary Sessions dans un petit cadre personnel. L’input vient d’un orateur, mais la grande partie de la Work Session doit engendrer une discussion animée par un Topic Leader. Pour obtenir une discussion ouverte c’est la Règle de Chatham House qui règne.
  • Les Background Sessions doivent introduire les participants dans des complexes états des affaires, théories et les met à l’arrière-plan des thèmes du Symposium.
  • Des Social Sessions doivent donner la possibilité de continuer le dialogue dans un cadre informel par exemple au Dinner Nights ou déjeuners.

Les organisations ne sont en principe pas publiques. Un petit nombre d’organisations sélectionnées – dans le passé deux Background Sessions – sont cependant publiques. Là-dessus, des organisations sélectes, pour la plupart Plenary Sessions – sont retransmises publiquement à l’Audimax de l’Université de Saint-Gall[19]. Enfin, 100 journalistes du Symposium de Saint-Gall publient ce qui s’est passé antérieurement[20], entre autres des reportages de la Télévision Suisse[21] et du CNBC[22], ainsi que des séries d’interviews contenues dans le Spiegel[23].

Participants[modifier | modifier le code]

# Thème Orateurs prééminents
35 Liberty, Trust and Responsibility Philipp Hildebrand, André Kudelski, Moritz Leuenberger, Bernd Pischetsrieder, Jaap de Hoop Scheffer [24]
36 Inspiring Europe Christoph Blocher, Daniel Borel, Danuta Hübner, Christine Lagarde, Erkki Liikanen, Sergio Marchionne [25]
37 The Power of Natural Resources Gary Becker, Annemarie Huber-Hotz, Mohammad Khatami, Thomas Leysen [26]
38 Global Capitalism - Local Values Pascal Couchepin, Heinz Fischer, Jeannot Krecké, Luca Majocchi, Michel Pébereau, Ernest-Antoine Seillière, Dieter Zetsche [27]
39 Revival of Political and Economic Boundaries Paul Achleitner, Robert Aumann, Brady Dougan, John Elkann, Toomas Hendrik Ilves, Hans-Rudolf Merz, Tharman Shanmugaratnam, Boris Tadić [28]
40 Entrepreneurs - Agents of Change Josef Ackermann, Niall Ferguson, Anthony Giddens, Doris Leuthard, Robert Peugeot, Kaspar Villiger [29]
41 Just Power Thomas Borer, Steven Erlanger, Johan Galtung, Oswald Grübel, Yoshimasa Hayashi, Ayaan Hirsi Ali, Jorma Ollila, Eveline Widmer-Schlumpf [30]
42 Facing Risk Yukiya Amano, Ulrich Beck, Joachim Bitterlich, Sepp Blatter, Ivan Glasenberg, Kumi Naidoo, Geórgios Papandréou, Peter Sloterdijk, Peer Steinbrück, Jean-Claude Trichet [31]

Le Symposium de Saint-Gall répartit ses participants dans les Leaders of Today et Leaders of Tomorrow du même titre, qui se distinguent selon le recrutement[16],[32].

Les Leaders of Today sont 600 décideurs du monde économique, politique, social et scientifique. Ces Leaders of Today peuvent être séparés dans les groupes business participants, invitées, orateurs et Topic Leaders. Le rôle des orateurs est de stimuler la conversation avec leurs exposés. Les Topic Leaders sont responsables de la modération des discussions et de jeter un pont entre les générations[33].


Sous le concept du Leaders of Tomorrow 200 étudiants qui ont moins de 30 ans sont annuellement choisis et invités au Symposium de Saint-Gall. Le International Students’ Committee défraye[34]. La qualification s’ensuit sous le St. Gallen Wings of Excellence Award, ou le Knowledge Pool[35]. Ce dernier groupe de participants sera sélectionné par le ISC selon des critères comme le rapport au thème et sur la base de la performance accomplie en économie, politique, science et société. La sélection est accompagné par un Advisory Board. Ses membres sont Stephan Chambers, Victor Chu, Hans-Ulrich Doerig, Rekha Sethi et Dieter Thomä. Le Symposium de Saint-Gall veut offrir aux Leaders of Tomorrow une plate-forme à laquelle ils peuvent discuter et provoquer les Leader of Today ainsi de nouvelles idées et solutions[36].

Prix décernés[modifier | modifier le code]

Le St. Gallen Wings of Excellence Award est décerné chaque année au Symposium de Saint-Gall dont il s’agit d’un concours d’essai. Entre 1979 et 2003 le Symposium de Saint-Gall était, entre autres, la plate-forme pour octroyer le prix de la Fondation Max Schmidheiny.

St. Gallen Wings of Excellence Award[modifier | modifier le code]

Le St. Gallen Wings of Excellence Award est un concours d’essai spécialement pour les étudiants du degré Master et Doctorat et est doté de 20 000 euros. En outre, les auteurs des 100 meilleurs travaux seront invités au Symposium de Saint-Gall[34]. Annuellement, avec plus de 1.000 travaux de 60 nations traitant le thème du Symposium, le St. Gallen Wings of Excellence Award compte pour le plus grand concours d’étudiants du monde[8],[37].

La recherche des montants du concours s’ensuit par un pré– et principal jury. Le premier se compose de doctorants de l’Université de Saint-Gall ainsi que de l’ETH Zurich, ces derniers sont des professeurs ainsi que des personnes qualifiés de la vie publique[38]. Le président actuel du jury principal est Georg von Krogh, Président du pré-jury est Günter Müller-Stewens. Les autres membres du jury principal sont, entre autres, Christoph Bitzer, Peter Day et Odd Gisholt[39].

Le St. Gallen Wings of Excellence Award était introduit en 1989 pour sélectionner les participants d’étudiants et fut adapté plusieurs fois. L’essentiel était la réduction des étudiants du Master et du degré de Doctorat en 2009 et en même temps la réduction des personnes qui se qualifient via le St. Gallen Wings of Excellence Award de 200 à 100 – les 100 autres étudiants seront dès lors recrutés vers le Knowledge Pool par le ISC[40].

Prix de la Liberté de la Fondation Max Schmidheiny[modifier | modifier le code]

Depuis 1979 la Fondation Max Schmidheiny confère au Symposium de Saint-Gall le Prix de la Liberté parmi lesquels sont Kofi Annan, Nicolas Hayek, la Croix Rouge Internationale, Jorma Ollila et Muhammad Yunus. En 2003 il fut décidé que la Fondation se basera sur d’autres activités en suspendant le Prix de la Liberté.

Organisation[modifier | modifier le code]

International Students' Committee (ISC)[modifier | modifier le code]

L’organisateur du Symposium de Saint-Gall est depuis sa fondation en 1970 le International Students’ Committee (ISC) dont il s’agit d’une organisation non-profit qui est juridiquement une association accréditée à l’Université de Saint-Gall. Elle se compose d’environ 30 étudiants de l’Université de Saint-Gall qui pour cela suspendent leurs études pour un an[41]. En outre, trois – autrefois deux – membres du team de l’année précédente prennent la direction du team et pour cela reculent une autre année de leurs études[42]. Dans l’immédiat et pendant le Symposium de Saint-Gall, le ISC sera, entre autres, soutenu par environ 300 aides bénévoles qui se recrutent par des étudiants de l’Université de Saint-Gall[1].

Parmi les anciens membres connus du ISC sont Martin Blessing, Konrad Hummler et Walter Kielholz.

St. Gallen Foundation for International Studies[modifier | modifier le code]

La St. Gallen Foundation for International Studies accorde depuis 1975 comme organe professionnel la continuité de l’équipe estudiantine qui change annuellement[43]. Dans ce but, la Fondation emploie environ une demi-douzaine de membres dont l’actuel dirigeant est Philip Erzinger. Des autres anciens dirigeants étaient Wolfgang Schürer et Andreas Kirchschläger.

L’organe supérieur de la St. Gallen Foundation for International Studies comprend douze membres du Conseil de Fondation dont le Président est Josef Ackermann et la Vice-Présidente Karin Keller-Sutter. Les autres membres sont Thomas Bieger, Alexander Biner, Peter Gomez, Bénédict G.F. Hentsch, Nicola Leibinger-Kammüller, Manfred Leo Mautner Markhof, Walter Kielholz, Peter Schmidhuber, Ralph Schmitz-Dräger et Gerhard Schwarz[44].

Financement[modifier | modifier le code]

L’élément central du financement de l’organisation non-profit est le Cercle de Soutien, fondé en 1974. 400 entreprises lui appartiennent et elles s’engagent à soutenir financiellement et pour une durée de trois ans avec un certain montant le Symposium de Saint-Gall. Par cette longue relation la continuité matérielle est assurée et un deficit, comme en 1974 doit être empêché. En contrepartie, les membres du Cercle de Soutien reçoivent certains privilèges, qui à côté de la participation au Symposium, spécialement la participation au Dîner du Cercle de Soutien le soir avant l’ouverture officielle de l’organisation[45]. Dans le Cercle de Soutien il existe en outre un groupe d’actuellement dix principaux partenaires – Accenture, BMW, Credit Suisse, Hewlett-Packard, Microsoft, Orange, PwC, Swiss Re, UBS et Xerox –, que le Symposium soutient pleinement dans un domaine d’une certaine manière[46].

Là-dessus, il y a encore un grand nombre de donateurs pour financer le Symposium de Saint-Gall. En outre il existe un partenariat avec la Fondation Max Schmidheiny et l’Université de Saint-Gall, qui chaque année met à disposition le lieu d’organisation[47]. En tout, le budget pour le Symposium en 2005 était de 6,2 Millions CHF, dont deux tiers sous forme de dons en natures qui ont été apportées[42].

Awards[modifier | modifier le code]

En 2000 le ISC a reçu le Lilienberg Prize dans la catégorie institutions[48], qui désigne une performance entrepreneuriale spéciale[49].

Organisations semblables[modifier | modifier le code]

Selon le modèle du Symposium de Saint-Gall, des organisations semblables ont été fondées plus tard dans des diverses universités. À souligner sont spécialement depuis 1987 le World Business Dialogue qui a lieu à l’Université de Cologne, ainsi qu’en 1989 le EBS Symposium à l’EBS Universität für Wirtschaft und Recht qui, en partie, sont très orientés au Symposium de Saint-Gall.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c St. Galler Tagblatt, 13 mai 2011, St. Gallen Symposium.
  2. St. Galler Tagblatt, Ab und zu ein Lächeln entlocken. Consulté le 10 décembre 2011.
  3. St. Galler Tagblatt, Die Freiheit verdienen. Consulté le 16 janvier 2012.
  4. Citizen Lab, Munk School of Global Affairs, University of Toronto, Rafal Rohozinski and Rex Hughes on Cybercrime at the 41st St. Gallen Symposium. Consulté le 11 décembre 2011.
  5. Handelsblatt News am Abend, 12 mai 2011, St. Gallen stellt die Machtfrage.
  6. Lichtensteiner Volksblatt, 8 mai 2010, Zukunftsmärkte Brauchen Technologie und Innovation.
  7. swissinfo.ch Student symposium spans tow eras of unrest. Consulté le 2 décembre 2011.
  8. a et b Japan Times, Young urged to pursue St. Gallen Forum. Consulté le 11 décembre 2011.
  9. a et b International Students' Committee, About: History. Consulté le 22 novembre 2011.
  10. Meadows, Donella H. (1974), The Limits to growth, Universe Books: University of Virginia.
  11. news aktuell, Internationale Föderalismuskonferenz 2002 an der Universität St. Gallen. Consulté le 2 novembre 2011.
  12. Max Schmidheiny-Stiftung, Preisträger 2003: Kofi Annan. Consulté le 22 novembre 2011.
  13. St. Galler Tagblatt, Weltspitze trifft sich im Zelt. Consulté le 11 décembre 2011.
  14. HSG Alumni, Zeltstadt für 40. St. Gallen Symposium im Aufbau. Consulté le 11 décembre 2011.
  15. Dr Kiyoshi Kurkawa, St. Gallen Symposium. Consulté le 11 décembre 2011.
  16. a et b HSG Alumni, 40. St. Gallen Symposium. Consulté le 11 décembre 2011.
  17. Walliser Bote, 14 mai 2011, Energiesicherheit hat einen hohen Preis.
  18. International Students' Committee, Programm. Consulté le 11 décembre 2011.
  19. St. Galler Tagblatt, HSG bereit für Symposium. Consulté le 11 décembre 2011.
  20. International Students' Committee, Medienvertreter. Consulté le 12 décembre 2011.
  21. Schweizer Fernsehen, Rundschau: Elite-Studenten. Consulté le 12 décembre 2011.
  22. CNBC, St. Gallen Symposium Roundup. Consulté le 12 décembre 2011.
  23. Spiegel, St. Galler Gespräche. Consulté le 12 décembre 2011.
  24. International Students' Committee, Speakers of the 35th St. Gallen Symposium, consulté le 28 mai 2012.
  25. International Students' Committee, Speakers of the 36th St. Gallen Symposium, consulté le 28 mai 2012.
  26. International Students' Committee, Speakers of the 37th St. Gallen Symposium, consulté le 28 mai 2012.
  27. International Students' Committee, Speakers of the 38th St. Gallen Symposium, consulté le 28 mai 2012.
  28. International Students' Committee, Speakers of the 39th St. Gallen Symposium, consulté le 28 mai 2012.
  29. International Students' Committee, Speakers of the 40th St. Gallen Symposium, consulté le 28 mai 2012.
  30. International Students' Committee, Speakers of the 41th St. Gallen Symposium, consulté le 28 mai 2012.
  31. International Students' Committee, Speakers of the 42th St. Gallen Symposium, consulté le 28 mai 2012.
  32. Neue Zürcher Zeitung, 9 mai 2011, Prominenz in St. Gallen.
  33. Swiss Embassy China, 14 mai 2010, St. Gallen Symposium reaches out in China.
  34. a et b wirtschaft.ch, St. Gallen Wings of Excellence Award. Consulté le 11 décembre 2011.
  35. Semestra.ch, 40 Jahre St. Gallen Symposium. Consulté le 12 décembre 2011.
  36. Süddeutsche Zeitung, 17 mai 2011, Die Verunsicherten.
  37. e-fellows.net, St. Gallen Wings of Excellence Award. Consulté le 12 décembre 2011.
  38. International Students' Committee, Vorjury. Consulté le 11 décembre 2012.
  39. International Students' Committee, Jury. Consulté le 11 décembre 2011.
  40. Market Magazine, 24 août 2010, Architekten unserer Zukunft – Interview mit Shama Kabani.
  41. Tages-Anzeiger, 19 mai 2005, Der kleine Bruder des WEF, gefunden auf www.stgallen-symposium.org.
  42. a et b Frankfurter Allgemeine Zeitung, ISC-Symposium: Praktisches Management in der Villa Kunterbunt. Consulté le 12 décembre 2011.
  43. International Students' Committee, St. Galler Stiftung für Internationale Studien. Consulté le 11 décembre 2011.
  44. International Students' Committee, Stiftungsrat. Consulté le 11 décembre 2011.
  45. International Students' Committee, Fördererkreis. Consulté le 11 décembre 2011.
  46. Netzwoche, 5 mai 2010, Wir sind ein Paradebeispiel dafür, dass Inhouse Lösungen immer noch relevant sind.
  47. International Students' Committee, Partner. Consulté le 11 décembre 2011.
  48. Stiftung Lilienberg Unternehmerforum, Frühere Preisträger. Consulté le 11 décembre 2011.
  49. Stiftung Lilienberg Unternehmerforum, Lilienberg Preis. Consulté le 11 décembre 2011.