Utilisateur:KarimAohh/Brouillon/Diaspora algérienne

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Diaspora algérienne

Populations importantes par région
Drapeau de la France France 5 000 000[1],[2]
Drapeau de l'Espagne Espagne 300 000[2],[1],[3]
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni 250 000[1],[2]
Drapeau du Canada Canada 160 000[2]
Drapeau des États-Unis États-Unis 115 000[4].
Drapeau de l'Italie Italie 100 000[5]
Drapeau des Émirats arabes unis Émirats arabes unis 30 000[6].
Drapeau de l'Allemagne Allemagne 22 000[2]
Drapeaux de la Nouvelle-Calédonie Nouvelle-Calédonie 15 000[7]
Drapeau de la Suisse Suisse 13 000
Drapeau de la Tunisie Tunisie 12 000
Drapeau des Pays-Bas Pays-Bas 11 700
Drapeau de la Suède Suède 11 600
Drapeau du Maroc Maroc 11 284
Drapeau du Danemark Danemark 5 100
Drapeau de la Norvège Norvège 4 650
Drapeau de l'Irlande Irlande 4 285
Drapeau de l'Écosse Écosse 4 026
Drapeau de la Finlande Finlande 3 050
Drapeau du pays de Galles Pays de Galles 2 600
Drapeau du Mexique Mexique 2 000
Drapeau de l'Égypte Égypte 2 000
Drapeau du Qatar Qatar 2 000
Drapeau de l'Autriche Autriche 1 180[8]
Drapeau du Portugal Portugal 1 000
Drapeau de l'Islande Islande 670
Autres
Régions d’origine Algérie
Langues Dzayriya, Amazighe, Français, Espagnol, Anglais, Italien, Néerlandais, Allemand, Portugais, Suédois, Norvégien, Danois, etc.
Religions Islam
Ethnies liées Diaspora berbère
Diaspora arabo-berbère

La diaspora algérienne regroupe la population d'origine ou de nationalité algérienne vivant à l'extérieur du pays. Bien présente avant mais, elle est la conséquence directe du fort taux d'émigration que connaît l'Algérie depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale en 1945 et la liberté donnée par l'administration coloniale française aux Algériens de s'installer en France métropolitaine à partir de 1947 parce qu'ils ont combattu pour la liberté de la France.

Dans les années 1960 et 1970, la conjoncture économique favorable que connaît la France contribue à amplifier le phénomène.

Démographie[modifier | modifier le code]

Selon Gilles Pison, en 2000, le nombre total des migrants algériens (c'est-à-dire nés en Algérie et vivant à l'extérieur du pays) dans le monde est estimé à plus de 2 millions d’individus, soit une proportion de 6,8 % par rapport à la population du pays

Selon l'Aida, l'Association internationale de la diaspora algérienne à l’étranger, créée à Londres en 2012, les Algériens ou personnes d'origine algérienne vivant à l’étranger en 2012 seraient au nombre de 6 millions.

Selon le sociologue Hocine Khalfaoui plus de 80 % de la diaspora algérienne installée en Amérique du Nord (États-Unis et Canada) est composée de hauts diplômés. Fateh Ouazzani, président de Reage (Réseau des Algériens diplômés des grandes écoles et universités françaises), recensait en 2013 entre 300 000 et 400 000 cadres et entrepreneurs algériens ou d’origine algérienne en France et en Europe.

Le pays connaît un taux important d'émigration. En 2000, l'Algérie est le 15e pays du monde ayant fourni le plus de migrants, estimés à plus de 2 millions d’individus, soit une proportion de 6,8 % par rapport à la population du pays[9]. La France abrite la plus importante communauté algérienne à l'étranger, estimée à un million de personnes, dont près de 450 000 binationaux[10]. Selon l'Association internationale de la diaspora algérienne, d'autres communautés importantes vivent en Espagne (300 000)[11], au Royaume-Uni (250 000)[11], au Canada (160 000)[12], aux États-Unis (115 000), en Allemagne (106 238)[13], en Italie (100 000)[14] et en Belgique (90 000)[15]. Le taux de migration est négatif (-0,33 ‰), car le taux d'émigration n'est qu'en partie compensé par l'immigration de populations venues des pays du sud. L'Algérie abrite notamment dans la région de Tindouf près de 165 000 réfugiés sahraouis[16] ayant fui le Sahara occidental en 1975.

Cette émigration s'est encore accélérée depuis 2000. Entre 2000 et 2013, 840 000 Algériens ont quitté le pays portant le nombre d'Algériens expatriés à 1 770 000 en 2013. 82 % des émigrés algériens se trouvent en France. Cette émigration a pour conséquence une « hémorragie grave dans l'encadrement et les élites universitaires »[17]. En 2017, les chiffres de l'émigration repartent à la hausse. Entre les mois de juillet et septembre, les Algériens faisaient partie des cinq principales nationalités d'arrivants en Europe après la Syrie, le Maroc, le Nigeria et l'Irak[18].

Statistiques[modifier | modifier le code]

Répartition de la diaspora chinoise par pays en 2017
Continent/Pays Population % de la population locale % du total de Chinois d'outre-mer
Europe 945 000 (1998) 2,6 %
Drapeau de la France France 2 000 000 - 5 000 000 7.5 %
Drapeau de l'Espagne Espagne 300 000 0,7 %
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni 250 000 0,4 %
Drapeau de l'Italie Italie 100 000 0,2 %
Amérique 5 020 000 (1998) 14,5 %
Drapeau du Canada Canada 1 612 173 3,69 %
Drapeau des États-Unis États-Unis 3 376 031 1,1 %
Europe 945 000 (1998) 2,6 %
Drapeau de la Russie Russie 998 000 1,6 %
Drapeau de la France France 230 515 0,6 %
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni 250 000 0,4 %
Océanie 564 000 (1998) 1,5 %
Drapeaux de la Nouvelle-Calédonie Nouvelle-Calédonie 15 000 6 %
Afrique 126 000 (1998) 0,3 %
Drapeau de la Tunisie Tunisie 12 000 (2003) 0,2 %
Drapeau du Maroc Maroc 11 000 (2003) 0,2 %
Drapeau de l'Égypte Égypte 2 000 (2003) 0,2 %
Total 35 175 000 100 %

Europe[modifier | modifier le code]

France[modifier | modifier le code]

De la migration à l'immigration[modifier | modifier le code]

Il existe en Algérie française une distinction essentielle entre la citoyenneté française et la nationalité française. Ainsi, jusqu'en 1947, les « musulmans » sont sujets français, statut qui dissocie nationalité et citoyenneté[19]. Celle-ci est, en effet, déterminée par l’abandon du statut personnel musulman avec la soumission aux lois françaises et non plus aux lois islamiques. Influencé par les saint-simoniens, le Second Empire adopte la loi de sénatus-consulte du 14 juillet 1865 permettant aux « indigènes musulmans » d'Algérie de devenir des « citoyens français »[20]. En 1947, à la suite de l'entrée en vigueur de la loi Lamine Guèye et de la loi du portant Statut organique de l'Algérie, les Algériens musulmans deviennent des citoyens, appelés par l'administration des Français musulmans d'Algérie (FMA). Toutefois, il subsiste en Algérie française une différence fondamentale entre le statut « musulman » et le statut « européen ». En effet, si tous les habitants sont désormais citoyens, ils votent, jusqu'à la constitution française de 1958, dans deux collèges différents[21]. En métropole, en revanche, il n'existe pas de différence entre les deux statuts et les Algériens bénéficient des mêmes droits que les métropolitains sans avoir à renoncer à leur statut personnel. Ils sont donc des migrants régionaux comme les Bretons et les Corses avec le droit de vote, les mêmes droits et devoirs que les autres citoyens français[22]. L'article 3 de la loi du précisait « Quand les Français musulmans résident en France métropolitaine, ils y jouissent de tous les droits attachés à la qualité de citoyens français et sont donc soumis aux mêmes obligations »[23],[24].

L'immigration en tant que telle concerne nécessairement une population étrangère et non des ressortissants français d'Algérie (décret Crémieux) migrant vers la métropole (ou autre partie du territoire national). Durant l'intervalle compris entre 1830 et 1848, qui précède la création des départements français d'Algérie, les habitants de l'ex-Régence d'Alger (les colonies françaises établies dans l'ancien protectorat Ottoman) ne sont pas de nationalité algérienne. En outre, c'est précisément parce qu'ils sont français que les « musulmans » et « Européens » d'Algérie sont mobilisés dans l'armée française au cours des deux guerres mondiales.

époque moderne[modifier | modifier le code]

Il est compliqué de connaître véritablement le chiffre exact de la population algérienne de France puisque la loi française interdit de considérer les citoyens en fonction de critères comme la couleur de la peau, la religion ou « l’ethnie », terme qui fait déjà en lui-même débat[25].

Bernard Godard et Sylvie Taussig estiment que le nombre d’Algériens de nationalité ou d’origine en 2008 est à plus d'un 1,5 million de personnes en France, soit la communauté musulmane la plus importante et la plus ancienne dans le pays[26].

Les estimations en France se basent généralement sur les données officielles de l'Insee qui considère comme immigré ou personne issue de l'immigration uniquement les « personnes nées étrangères à l’étranger » ou descendants de ces personnes[27]. En 2012, selon cet institut, les immigrés algériens et leurs enfants (au moins un parent né en Algérie) étaient 1 713 000 en 2008[27].

Selon Gilbert Meynier, spécialiste de l'histoire de l'Algérie sous la domination française, et Tahar Khalfoune, le nombre de résidents d'origine algérienne en France en 2012 peut être estimé à 4 millions, dont 2 millions de bi-nationaux[28].

Pour Séverine Labat, politologue, chercheur au CNRS/CADIS, et auteur d’un livre en 2010 sur les binationaux franco-algériens La France réinventée. Les nouveaux bi-nationaux franco-algériens, « Même si le chiffre de 4 millions de Franco-Algériens doit être manié avec prudence, il signale l'ampleur du phénomène »[29],[30].

L'étude la plus récente à ce jour, effectuée par Michèle Tribalat en 2015[31], estime à environ 2,5 millions le nombre de personnes d'origine algérienne sur trois générations en 2011 selon la répartition suivante[32] :

Pays d'origine

(milliers)

Immigrés

(tous âges confondus)

1re génération née en France

(tous âges confondus)

2e génération née en France

(moins de 60 ans uniquement)

Total
Algérie 737 1 170 563 2 470

Note : pour la 2e génération née en France, seules les personnes âgées de moins de 60 ans sont prises en compte.

Par ailleurs, selon cette même étude de Michèle Tribalat, les personnes d'origine algérienne sur trois générations représentent 4,6 % de la population française des moins de 60 ans en 2011[31]. Cette estimation exclut les rapatriés européens et juifs, par définition français de naissance[33],[34].

Selon l'Insee, 4,0 % des enfants nés en 2011 en France métropolitaine, soit 30 426 sur 758 344, ont un père né en Algérie, avec la plus forte proportion dans les départements des Seine-Saint-Denis (10,5 %), Bouches-du-Rhône (9,5 %), Rhône (8,3 %), Val-de-Marne (8,0 %), Territoire de Belfort (7,3 %), Val-d'Oise (6,4 %), Haute-Garonne (6,3 %), Hauts-de-Seine (6,2 %), Loire (6,1 %), Haute-Vienne (5,5 %), Essonne (5,3 %), Paris (5,1 %), Nord (5,0 %), Pyrénées-Orientales (4,7 %), Haut-Rhin (4,7 %), Isère (4,6 %), Yvelines (4,4 %), Seine-et-Marne (4,1 %), Moselle (4,1 %), Gard (4,0 %), Alpes-Maritimes (3,7 %), Hérault (3,7 %), Drôme (3,7 %)[35].


Villes francaise à forte communauté algérienne[modifier | modifier le code]
Recensement Algériens[36]
Ville/territoire de naissance Population estimée (2019)
Drapeau de la France île-de-France 942 551
Drapeau de la France Marseille 514 997
Drapeau de la France Strasbourg 32 490

Royaume Uni[modifier | modifier le code]

Selon le Centre d'information sur l'asile et les réfugiés (ICAR), la population algérienne du Royaume-Uni n'est pas bien connue ou comprise par l'ensemble de la communauté. Le nombre d'Algériens était faible jusqu'au début des années 1990, depuis quand il a augmenté, en partie à cause de la guerre civile algérienne de 1991 à 2002. Cependant, la population reste petite par rapport à d'autres réfugiés plus bien établis groupes. L'ICAR soutient également qu '«il y a peu de sentiment d'une« communauté »unifiée» d'Algériens au Royaume-Uni et qu'il existe un certain degré de suspicion mutuelle parmi les Algériens britanniques.

Selon le recensement britannique de 2001 , 10 670 personnes nées en Algérie vivaient au Royaume-Uni. [3] Le recensement de 2011 a enregistré 23 601 résidents de l'Angleterre, 328 du Pays de Galles, [4] 895 de l'Ecosse [5] et 132 de l'Irlande du Nord qui sont nés en Algérie. [6] L'Office for National Statistics estime qu'en 2017, 33 000 résidents du Royaume-Uni sont nés en Algérie. [sept]

La plupart des Algériens du Royaume-Uni se trouvent dans la région du Grand Londres - en particulier Walthamstow , Edgware , Leyton et Finsbury Park (ce dernier est désormais connu sous le nom de «Little Alger»). [8] Outre la capitale britannique, d'importantes communautés d'Algériens résident à Glasgow , Sheffield , Birmingham , Manchester , Leicester et Bournemouth . [8]

L'Association nationale des Arabes britanniques classe les immigrants nés en Algérie comme des Arabes. Sur la base des données du recensement de 2011, il indique qu'ils sont la cinquième plus grande population d' Arabes britanniques par pays de naissance.


Espagne[modifier | modifier le code]

Les Algériens de plus en plus nombreux en Espagne. Plus de sept millions d’Algériens sont établis à l’étranger, dont près d’un million en Espagne.

Une étude effectuée par l’université d’Alicante a révélé que le nombre de la communauté algérienne établie en Espagne a augmenté de 5% ces cinq dernières années. En effet, les Algériens arrivent en deuxième position juste après le Maroc qui, lui aussi, a connu une évolution dans le nombre de Marocains installés depuis des années en Espagne. A sa grande surprise, le gouvernement espagnol constate que le nombre d’étrangers installés en Espagne ne cesse d’augmenter et cela, malgré les dispositions prises par les autorités espagnoles pour empêcher la propagation du phénomène harraga. A sa grande surprise, le gouvernement espagnol constate que le nombre d’étrangers installés en Espagne ne cesse d’augmenter et cela, malgré les dispositions prises par les autorités espagnoles pour empêcher la propagation du phénomène harraga.

L’étude a essayé d’analyser les caractéristiques de la migration algérienne sans faire abstraction des spécificités communes de la migration maghrébine en se basant notamment sur des rapports de l’administration espagnole selon lesquels pas moins de 160 mineurs algériens errent dans les rues d’Alicante. Parmi les causes, le retour non encadré et non contrôlé des émigrés vers leur pays. D’après cette administration, la grande majorité des émigrés algériens vit en premier lieu en France et en deuxième lieu en Espagne, même si l’Espagne n’arrive qu’en dixième position mais elle demeure toutefois l’un des pays les plus sollicités par les harraga.

Benelux[modifier | modifier le code]

La diaspora algérienne de Belgique est la sixième plus grosse communauté algérienne du monde, après celle de l'Italie, du Canada, du Royaume-Uni, de l'Espagne et de la France. Les Algériens seraient plus de 17 596 en Belgique1, ce qui en ferait le deuxième groupe de la communauté maghrébine de Belgique après les Marocains. Plus de la moitié des Algériens du Benelux vivent en Belgique. La plupart vivent dans la capitale Bruxelles ; d'autres importantes populations vivent à Charleroi, Anvers, Gand, Namur, Mons et Liège. La plupart des Algériens vivants en Belgique sont des Kabyles, faisant de ce pays la deuxième communauté kabyle dans le monde après la France.

Au Pays Bas contrairement, au Marocains ou même des Tunisiens, l'immigration algérienne est assez récente, ma diaspora algérienne en Belgique est la sixième plus grande communauté algérienne au monde, après celles de l' Italie (150 000), du Canada (200 000), du Royaume-Uni (500 000), de l' Espagne (530 000) et de la France (5 825 000). Le nombre d'Algériens devenus Belges depuis s'élève à 120 000 (2020), ce qui ferait d'eux le deuxième groupe de la communauté maghrébine en Belgique après les Marocains .

Plus de la moitié des Algériens du Benelux vivent en Belgique. La plupart vivent à Bruxelles , la capitale ; d'autres populations importantes vivent à Charleroi, Anvers, Gand, Namur, Mons et Liège. La plupart des Algériens vivant en Belgique sont kabyle , faisant de ce pays la deuxième communauté kabyle au monde après la France .

Italie[modifier | modifier le code]

Reste de l'Europe[modifier | modifier le code]

Amérique du Nord[modifier | modifier le code]

Selon l'Aida, l'Association internationale de la diaspora algérienne à l’étranger, les Algériens ou personnes d'origine algérienne seraient entre 120 000 et 140 000 en Amérique du Nord (110 000 au Canada, 30 000 aux États-Unis et 2 000 au Mexique). Entre 2001 à 2004, 15 739 Algériens ont ainsi émigré au Canada et, depuis cinq ans, l’Algérie se place au premier rang africain en matière de nombre d’émigrés qui choisissent le Canada[37].

On estime que plus de 80 % de la diaspora algérienne installée en Amérique du Nord (États-Unis et Canada) est composée de hauts diplômés, selon le sociologue Hocine Khalfaoui. Fateh Ouazzani, président de Reage (Réseau des Algériens diplômés des grandes écoles et universités françaises), recensait en 2013 entre 300 000 et 400 000 cadres et entrepreneurs algériens ou d’origine algérienne en France et en Europe[38].

Canada[modifier | modifier le code]

En 2016, la diaspora algérienne au Canada était composée d’environ 67 000 personnes, résidant principalement dans la région de Montréal. L’Algérie est également la quatrième source d’immigrants au Québec, après la France, Haïti et le Maroc. En 2018, près de 2 050 étudiants algériens étudiaient au Canada.

Quebec[modifier | modifier le code]



Etats-Unis[modifier | modifier le code]


Mexique[modifier | modifier le code]

Asie[modifier | modifier le code]

Israël[modifier | modifier le code]

Pays du Golf[modifier | modifier le code]

Afrique[modifier | modifier le code]

Afrique Nord (hormis Algérie)[modifier | modifier le code]

Océanie[modifier | modifier le code]

Concernant l'Océanie, Il n’existe pas d’estimation officielle sur le nombre de citoyens algériens résidant en Australie ou en Nouvelle-Zélande. Selon les informations recueillies sur différents forums de discussions, les Algériens d’Australie résideraient majoritairement à Melbourne et Sydney.

Nouvelle Calédonie[modifier | modifier le code]

Amérique du Sud[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Contributions à une publication périodique[modifier | modifier le code]

  • Myriam Hachimi Alaoui, L'exil des Algériens au Québec, vol. 13, Paris, Revue Européenne des Migrations Internationales, , 197-215 p.Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Hayette Rouibah, Le rôle du Hirak à l’étranger : une renaissance de la diaspora algérienne ?, vol. 13, Jijel, L'Harmattan, , 114e éd., 163-175 p.Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Emmanuelle Santelli, Les enfants d'immigrés algériens et leur pays d'origine. Modes de relations économiques et professionnelles, vol. 15, t. 2, Paris, Revue Européenne des Migrations Internationales, , 114e éd., 141-166 p.Document utilisé pour la rédaction de l’article

Articles & documentaire[modifier | modifier le code]

  • David Dieudonné, « Ces Algériens qui ont préféré l'Amérique », The Huffington Post, no 5,‎ (lire en ligne)
  • Kim Lévy Lévy, « En Nouvelle-Calédonie, chez les Algériens du Pacifique », TV5 Monde, no 2,‎ (lire en ligne)
  • Aziz Nafa, « Peut-on parler d'une diaspora Algérienne ? », Aleph,‎ (lire en ligne)Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (en) Hephaestus Books, « Articles on British People of Algerian Descent, Including: Simone Lahbib, Tarik O'Regan, Brian Capron, Kamel Rabat Bouralha, Rachid Harkouk, Fawzi Saadi, Cy Curnin, Zaida Ben-Yusuf, Karim Kerbouche, Aymen Tahar, Algerians in the United Kingdom. », Hephaestus Books, Londre, Hephaestus Books,‎ (ISBN 978-1242714887)
  • Jean Servier, « Un exemple d’organisation politique traditionnelle : Une tribu kabyle, les Iflissen-Lebhar », Revue de l’Occident musulman et de la Méditerranée, vol. 2, no 2,‎ , p. 169-187 (lire en ligne)

Biographies[modifier | modifier le code]

Sources[modifier | modifier le code]

  • « Algériens de l’étranger : Un lobby pour la diaspora kabyle au Canada », El Watan,‎ (lire en ligne)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Lien externe[modifier | modifier le code]

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Catégorie:Diaspora algérienne|*]]

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Portrait de la diaspora algérienne et de ses forces - Ecomnews Med », sur Ecomnews Med (consulté le ).
  2. a b c d et e « AIDA - Algerian International Diaspora Association », sur aida-association.org (consulté le )
  3. Selma Kasmi, « Les Algériens premiers clients du marché immobilier d'Alicante ( Espagne ) en 2014 », sur www.maghrebemergent.com (consulté le )
  4. « Les immigrés algériens veulent créer un lobby algérien aux USA », Liberté (Algérie),‎ (lire en ligne, consulté le )
  5. Algeriens en Italie (en)
  6. « 30 000 Algériens vivent aux Emirats selon le MAE de ce pays », Dernières Infos d'Algérie,‎ (lire en ligne, consulté le )
  7. Ces Algériens du bout du monde…, Journal El-Watan, Publié le 12 juin 2014, Lu le 28 août 2014
  8. « Portrait de la diaspora algérienne et de ses forces - Ecomnews Med », sur Ecomnews Med (consulté le ).
  9. Gilles Pison, Atlas de la population mondiale. Faut-il craindre la croissance démographique et le vieillissement ?, Paris, Autrement (Éditions), coll. « Atlas/Monde », , 80 p. (ISBN 978-2-7467-1259-1), p. 57
  10. « Présentation de l’Algérie » sur le site du ministère français des Affaires étrangères.
  11. a et b Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées :0
  12. Modèle {{Lien web}} : paramètre « titre » manquant. [1]
  13. Modèle {{Lien web}} : paramètre « url » manquant. (en) « https://www.bmi.bund.de › security Résultats Web Federal Criminal Police Office - BMI »
  14. Algeriens en Italie (en)
  15. (nl-BE) Joram Nijs, « OVERZICHT. België telt 1,25 miljoen buitenlanders », sur Het Nieuwsblad (consulté le )
  16. (en) « Humanitarian aid for the Sahrawi refugees living in the Tindouf region », par la direction générale de l'aide humanitaire (ECHO) de la commission européenne.
  17. 840.000 Algériens ont quitté le pays sous Bouteflika contre 110.000 dans la décennie 90, huffpostmaghreb.com, 20 septembre 2014
  18. L’émigration algérienne repart à la hausse, lemonde.fr, 6 décembre 2017
  19. Jean Monneret, La guerre d'Algérie en trente-cinq questions, L'Harmattan, 2008, p. 66
  20. Jean Monneret, La guerre d'Algérie en trente-cinq questions, L'Harmattan, 2008, p. 54-55
  21. Ceux du Premier collège (les Français non musulmans et quelques dizaines de milliers de musulmans « évolués ») représentent environ un million de personnes et élisent 50 % des représentants de l’Algérie. Ceux du Deuxième collège (tous les autres) représentent environ neuf millions de personnes et élisent les autres 50 %.
  22. Gérard Noiriel,Immigration, antisémitisme et racisme en France, Fayard, 2007, p. 517
  23. Benjamin Stora, L'immigration algérienne en France 1912-1992, Fayard, 1992, p. 20
  24. « Statut organique de l'Algérie Loi no 47-1853 du 20 septembre 1947 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?)
  25. Samuel Laurent, « L’interminable débat français sur les « statistiques ethniques » », Le Monde.fr,‎ (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le )
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  27. a et b Fiches thématiques - Population immigrée - Immigrés - Insee Références - Édition 2012, Insee 2012
  28. Gilbert Meynier, Après l'indépendance: les relations tumultueuses entre l'Algérie et la France in Abderrahmane Bouchène (dir.), Jean-Pierre Peyroulou (dir.), Ouanassa Siari Tengour (dir.), Sylvie Thénault et al. (postface Gilbert Meynieret Tahar Khalfoune), Histoire de l'Algérie à la période coloniale : 1830-1962, Paris Alger, la Découverte Éd. Barzakh, , 717 p. (ISBN 978-2-7071-7326-3, OCLC 913045855), p. 682
  29. « La France réinventée. Les nouveaux bi-nationaux franco-algériens »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?)
  30. « La binationalité au banc des accusés », Slate Afrique,‎ (lire en ligne, consulté le )
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  32. Tableau 2 pour les immigrés et la 1re génération née en France et tableau 5 pour la 2e génération née en France
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  34. Michèle Tribalat, « Mariages « mixtes » et immigration en France », Espace populations sociétés. Space populations societies, nos 2009/2,‎ , p. 203–214 (ISSN 0755-7809, DOI 10.4000/eps.3657, lire en ligne, consulté le )
  35. Enfants nés vivants suivant le pays de naissance du père par département et région de domicile de la mère en 2015, Insee 2015
  36. http://ibsa.brussels/fichiers/publications/focus-de-libsa/focus_20_aout_201
  37. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées AIDA - Algerian International Diaspora Association
  38. « La diaspora algérienne, un atout exceptionnel inexploité - Algérie Focus », Algérie Focus,‎ (lire en ligne, consulté le )