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Utilisateur:Gaël Dupret/Brouillon

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Gaël Dupret
Gaël Dupret photographié par Benjamin P
dans son studio de Chaville, en 2019.
Naissance
Nationalité
Activité
Maître
Mouvement
Distinction
Œuvres principales


Gaël Dupret, né le à Dreux) est un photographe, photojournaliste et photographe corporate français d'origine bretonne. Il considère son métier de photographe comme un métier militant qui peut faire bouger les lignes et aider à des prises de consciences. Photographe humaniste, il préfère le travail en noir et blanc à celui de la couleur surtout pour les scènes de rue et scènes de vie. Paris est pour lui un théâtre à ciel ouvert qu'il ne sait exprimer qu'en noir et blanc. Depuis 2017 il est en quête de l'authentique et revient aux fondamentaux de la photographie : Dès qu'il peut il favorise un travail en argentique pour le rendu imparfait et non lisse des grains de l'argentique qui sont en opposition à la recherche du détail ultime des pixels du numérique.


Biographie[modifier | modifier le code]

Gaël Dupret est le second fils de Jean-Jacques Dupret et de Marie Françoise Bidault. Né dans une famille modeste, son père était photographe de presse à l’agence locale de Dreux du journal La République du Centre et sa mère a travaillé dans le commerce avec un épisode en usine.
Le 2 juin 1982, à 5 ans 1/2 il fait sa première pellicule photo, lors du mariage de Gilles Bidault son parrain. A ce moment il prend conscience de la force d’une photo et se dit qu’il deviendra photographe de guerre. Cette ambition lui vient en se disant : « les grands font la guerre et s’il fait des photos de guerre il montrera au monde entier les atrocités de la guerre et donnera envie aux grands de ne plus faire la guerre ».

A 8 ans il rêve de travailler pour l’AFP car c’est la première agence de presse mondiale. A 14 ans il a son premier reflex, un Minolta X300 noir et un 35-70mm qui ouvre à 3.5-5.6. et apprend à tirer ses photos noir et blanc dans la cuisine de ses parents transformée en laboratoire photo.

Adolescent il est pigiste à l'agence de Dreux de la La République du Centre. Il est au service sport et travaille avec un Nikon F3. Les week-ends, il accompagne les journalistes sportifs à travers toute la France pour suivre l’équipe de Handball de Dreux qui, à l’époque, joue en N1. Durand cette période, la journaliste Valérie Beaudoin, amie de son père et ancienne journaliste de Libé Lyon (édition spécifique du journal Libération sur la ville de Lyon) lui apprend à conduire une interview, à écrire des articles ainsi que l’éthique de la presse et le respect du métier. A 16 ans il rencontre François Guillot, grand reporter à l’AFP qui le forme sur le cadrage pour rendre plus dynamiques ses photos.

Dès ses 16 ans, il alterne travail en presse et travail pour des clients et notamment l’école de danse de la chorégraphe Jeanine Lorca. Il collaborera plusieurs années pour réaliser les photos de ses spectacles de fin d’année jusqu'à l'obtention du diplôme de son baccalauréat qui l'amène à quitter Dreux.

Pendant ses études, il continue de collaborer comme pigiste pour différents médias à Tours, Rennes et Nantes. En 1999, il fait son entrée dans la vie active. La photographie numérique est arrivée sur le marché et les médias se séparent d'un grand nombre de photographes. Les prix de la photo s’effondrent. Pour survivre il développe son activité de photographe freelance. En 2007 il cofonde l'agence de communication Jaboo qui propose des services de photographie, de vidéo, de sites internet et de print.

le 16 avril 2011, le décès brutal de son père lui créé une prise de conscience : il ferme sa société et se remet a faire uniquement de la photographie. Il quitte Dun-sur-Auron pour revenir vivre en région parisienne. Le 25 septembre 2011 il se fait remarquer par l’agence de presse MaxPPP pour avoir couvert les résultats des sénatoriales et être entré au Sénat sans accréditation ni carte de presse. Il intégrera pendant 1 an l’effectif de l’agence. Mais le gout de l’indépendance lui fait reprendre son indépendance pour continuer la diffusion de ses photos par l’agence tout en développant son travail de photographe corporate. Via MaxPPP ses photos sont aussi diffusées par l’agence BELGA. Il diffuse aussi ses photos de concerts auprès de l’agence DALLE. En 2018 la photographie pour les entreprises (portrait de dirigeant-e-s et évènementiels) représente 80% de son chiffre d’affaire.

2017 marque un tournant dans sa carrière : En juin le projet "TUNIS, The Wind of Change" est sélectionné au SNAP (Salon National d'Art Photographique de Vernouillet)[1] [2] [3] [4] [5] [6]. Le 25 septembre son travail sur la vie en Côte d’Ivoire est récompensé par le Prix Photo « Les papillons » décerné par le Concours International de la Photographie de Carpentras [7] et le 5 octobre il crée le projet RED for Executive Women® - 100 photos pour l’Égalité Femmes-Hommes[8] [9] [10] [11] [12] [13] [14] [15] [16] [17]. Ce projet l’amène à une réflexion sur le développement et la valorisation de son travail d'auteur.

Mai 2018, la ville de Gennevilliers lui donne carte blanche pour questionner en photo La place des femmes dans l’espace urbain. Il devient le parrain du Prix photo « Les Papillons »[18]

En 2019 il est élu pour une année comme Président de l’UPP Ile de France (Union des Photographes Professionnels & Auteurs) et s’investit pour la défense du droit d’auteur[19]. Didier de Faÿs de la Bourse du Talent - BnF l'accompagne dans la rédaction de sa démarche artistique . En novembre il inaugure son travail RED for Executive Women® et il est invité aux Grandes Rencontres du Salon de la photo[20] [21].

2020, il crée le projet La Découverte ou l'Ignorance juste avant la pandémie du Coronavirus - Covid 19. Ce travail, inspiré du texte éponyme issu du livre Comment peut-on être breton ? de Morvan Lebesque reçoit les soutiens de Tri Yann et de Patrick BEILLON maire de Noyal-Muzillac. Les ayants-droits de Morvan Lebesque l'autorisent à utiliser le texte original de La Découverte ou l'Ignorance pour les expositions.

Ses roles models[modifier | modifier le code]

Les photographes qui ont influencé son regard sont Gilles CARON, Robert CAPA, Sebastião SALGADO, Marc GARANGER, Henri CARTIER-BRESSON, Sabine WEISS et bien sûr son père Jean-Jacques DUPRET.

Marc Garanger[modifier | modifier le code]

Présenté par son père le 6 décembre 1993 lors de la dédicace de son livre Carnets sibériens, Marc GARANGER a une forte influence dans sa carrière de photographe. Ils deviennent amis et il sera le photographe du mariage de son fils Martin Garanger. En 2017 il le conseille sur le choix de la photo qui lui permettra de gagner son 1er prix photo et il l’accueille chez lui pour lui transmettre la méthode qu'il a lui même appris de Bruce Dalle - photographe du National geographic, pour trier, classer et gérer son fond photographique composé d'un million huit cent milles photos.

Jean-Jacques Dupret[modifier | modifier le code]

C’est son père autodidacte qui lui apprend, dès ses 5 ans 1/2, la photographie sous forme de jeu. Puis à l’âge de 10 ans, il lui explique le concept du boitier reflex. Son père l’emmène dès l'age de ses 12 ans en reportage presse. A 14 ans il lui apprend à tirer ses photographies et à 16 ans à développer ses négatifs noir et blancs. En lui présentant les travaux de d'autres photographes il lui inculque une culture photographique ainsi que l'amour du Leica.

Matériel[modifier | modifier le code]

Au début de sa carrière, Gaël Dupret utilise un Minolta X300 noir, puis des Nikon argentiques et numériques. Juin 2018 qu'il acquière son premier Leica, le Leica CL argentique puis le Leica M6 en janvier 2019. Ce sont tous des boitiers format 24 × 36.

En lumière studio il travaille avec la marque allemande Henze. Pour le développement de ses pellicules noir et blanc il travaille avec la marque Paterson. Sa pellicule de prédilection est l'Ilford HP5 puis HP5+ pour son grain et sa souplesse de travail.

Les Mécènes[modifier | modifier le code]

Gaël Dupret bénéficie du soutien de plusieurs entreprises dans son activité quotidienne de photographe :

  • Reprotechnique : mécène en nature, la société Reprotechnique lui fournit ses cartes de visites
  • Imatag : mécène de compétences la société Lamark lui fournit, grace à la technologie Imatag, la protection par tatouage numérique de ses photographies publiées sur internet. Cela lui permet de traquer les contrefaçons et utilisations frauduleuses de ses photographies
  • Monuma : mécène en nature, la société Monuma lui fournit la certification d’œuvres d'art de ses tirages.

Citations[modifier | modifier le code]

« Être photographe c'est voir ce que les autres ne voient pas. »

« Paris est pour moi un théâtre à ciel ouvert. »

— Travail avec Didier de Faÿs de la Bourse du Talent - BnF pour la rédaction de la démarche artistique de Gaël Dupret )

Récompenses et distinctions[modifier | modifier le code]

Projets et travaux[modifier | modifier le code]

LMEP - Le Merveilleux Est Partout ![modifier | modifier le code]

C'est une interrogation sur le merveilleux : devons nous avoir du strass et des paillettes pour voir le merveilleux, ou est-il simplement autour de nous dans notre quotidien ? Pour répondre à cette question, Gaël Dupret à pris en photo des personnages du monde du merveilleux en action au milieu des humains. Parmi les 20 photographies, on y retrouve notamment le loup-garou dans une boucherie, le petit chaperon rouge sortant les galettes des rois d'un four industriel ou encore le minotaure choisissant ses fils dans une mercerie.

TUNIS, The Wind Of Change[modifier | modifier le code]

C'est une interrogation sur la place des femmes dans l'espace urbain Tunisien cinq années après le printemps arabe. La Tunisie était réputée pour être l'un des pays du moyen-orient les plus égalitaires pour les Femmes. Cinq ans après que disent les scènes de vie captées dans les rues ? Pour apporter sa répondre à cette question, Gaël Dupret à marché dans les rues de Tunis et de Sidi Bou Saïd, rencontré des femmes et des hommes et immortalisé des instants de vie. Le titre est inspiré de la chanson au nom éponyme de Scorpion écrite après la chute du mur de Berlin le 9 novembre 1989 qui célèbre les changements politiques du début des années 1990 en Europe de l'Est. C'est la visite de Moscou en 1989 par Scorpion qui a inspiré Wind of Change a Klaus Meine. C'est pour cette inspiration qu'il a inclus dans la chanson plusieurs références à la ville. Sectionné par le SNAP - Salon National d'Art Photographique - pour l'édition 2017[1],[2],[3],[4],[5],[6], il est présenté pour la première fois au public à Saint-Lubin-des-Joncherets.

RED for Executive Women® - 100 photos pour l’Égalité Femmes-Hommes[modifier | modifier le code]

RED for Executive Women®[8] [9] [10] [11] [12] [13] [14] [15] [16] [17], né le 5 octobre 2017 et inauguré le 27 novembre 2019, est constitué de 100 portraits de femmes qui ont pour dénominateur commun d'être engagée dans l’égalité femmes hommes et d'être des rôles modèles, c'est à dire être des femmes inspirantes pour les autres. Il a fait posé ces femmes avec du rouge sur elle. Le rouge symbolise les honneurs (le tapis rouge, la rosette), le danger (dans le monde professionnel, une femme sera plus facilement mis en difficulté par rapport à ses homologues masculins) et les interdits (le rouge du sens interdit - symbole des embuches rencontrées par les femmes dans leurs parcours professionnels). Chaque portrait est accompagné du témoignage des 100 femmes. Un logo, une charte graphique et un site dédié a été créé.
L'inauguration s'est fait le 27 novembre 2019 sous le haut patronage de Muriel Pénicaud - Ministre du Travail, de Laurence Rossignol - Sénatrice de l' Oise et de Carine Petit Maire du 14ème arrondissement et en présence de plus de 250 invité-e-s à l'ANNEXE, le bâtiment art déco de la mairie du 14ème arrondissement de Paris.

La Découverte ou l'Ignorance[modifier | modifier le code]

Ce projet, dont les photographies sont réalisées lors des 35èmes Noces Bretonnes à Noyal-Muzillac en 2017, est une interrogation sur la transmission du patrimoine Breton et l'interrogation, le moment venu, de se reconnaitre ou pas Breton. Réalisé dans une quête de transmission et d'ancrage dans le temps, il choisit un traitement noir et blanc de ses photographies numériques. Ce travail, inspiré du texte éponyme issu du livre Comment peut-on être breton ? de l'essayiste Morvan Lebesque, reçoit les soutiens de Tri Yann et de Patrick BEILLON maire de Noyal-Muzillac. Les ayants-droits de Morvan Lebesque l'autorisent à utiliser le texte original de La Découverte ou l'Ignorance pour les expositions.

Expositions[modifier | modifier le code]

Expositions personnelles[modifier | modifier le code]

  • 2020 : RED for Executive Women® - galerie Imag'in Art [17] - Saintes, France.
  • 2020 : RED for Executive Women® - Conseil Départemental de Haute Garonne pour les 1ère rencontres de l’Égalité Femmes-Hommes par le SDIS 31- Toulouse, France - Évènement annulé pour cause du Covid 19.
  • 2020 : RED for Executive Women® - colloque du Cercle InterElles 2020 - Paris, France.
  • 2019 : RED for Executive Women® - Mairie du 14ème arrondissement[14] [15] [16] - Paris, France.
  • 2017 : Tunis the Wind of Change au Salon National de l'Art Photographique[1] [2] [3] [4] [5] [6], - Saint-Lubin-des-Joncherets, France.

Expositions collectives[modifier | modifier le code]

Ouvrages[modifier | modifier le code]

Ouvrages personnels[modifier | modifier le code]

Gaël Dupret, #FocusOn, vol. 1, Paris, Livre Blanc, , 58 p. (lire en ligne).

Ouvrages collectifs[modifier | modifier le code]

Gaël Dupret, « Connecté certes mais l'Humain reste la priorité », dans Alban Jarry & collectif, 612 Rencontres sur les Réseaux Sociaux, Paris, Livre blanc, (lire en ligne), P66.

Gaël Dupret, « L'information des réseaux sociaux: ami ou ennemi de l'innovation ? », dans Alban Jarry & collectif, L'accès à l'information et aux réseaux sociaux rend-il plus innovant.e ?, Paris, Livre blanc, (lire en ligne), P115.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Édition de Verneuil, « Bientôt l'expo de Gaël Dupret, photographe humaniste », La Dépêche, édition Verneuil,‎ , ? (lire en ligne).
  2. a b et c Jean-Jacques Manchec, « La Tunisie en photographie à l’Ermitage », L'Echo Républicain, édition Eure-et-Loir,‎ , ? (lire en ligne).
  3. a b et c Jean-Jacques Manchec, « La Tunisie en photographie à l'Emitage », sur lechorepublicain.fr, L'Echo Républicain, (consulté le )
  4. a b et c XY, « Vent de changement sur Tunis à Saint-Lubin-des-Joncherets », sur paris-normandie.fr, Paris Normandie, (consulté le )
  5. a b et c Agglo de Dreux, « TUNIS, The wind of Change - Scènes de vie - du 8 au 18 juin 2017 », sur dreux-agglomeration.fr, 'Agglo du Pays de Dreux'Agglo du Pays de Dreux, (consulté le )
  6. a b et c Edition de Verneuil, « Gaël Dupret, regard militant », La Dépêche, édition Verneuil,‎ , ? (lire en ligne).
  7. a b et c Christine Blanc, « Les Papillons photos reviendront au printemps », sur laprovence.com, La Provence, (consulté le ).
  8. a et b Violaine Cherrier, « Les Rendez-Vous de l'Egalité - Gaël Dupret auteur photographe », sur violainecherrier.com, Violaine Cherrier, (consulté le )
  9. a et b Cécile Laurent, « Des photos pour avancer », Dreux.com, Dreux,‎ , p. 23 (lire en ligne).
  10. a et b Emilie Poyard, « 100 femmes inspirantes posent pour l'égalité femmes-hommes », sur elle.fr, ELLE, (consulté le )
  11. a et b Sophie Dancourt, « “RED FOR EXECUTIVE WOMEN” : 100 PORTRAITS DE ROLE MODELS FÉMININS », sur jaipiscineavecsimone.com, J'AI PISCINE AVEC SIMONE, (consulté le )
  12. a et b Pierre Evrard, « Gaël DUPRET - Le projet #REDforExecutiveWomen », OPENEYE, Strassbourg,‎ juin - juillet - aout 2018, de 166 à 173 (lire en ligne)
  13. a et b Marie-Hélène Cossé, « Gaël Dupret, photographe des femmes », sur midetplus.fr, Mid&Plus, (consulté le )
  14. a b et c Docpix, « Red For Executive Women de Gaël Dupret », sur docpix.fr, Docpix, (consulté le )
  15. a b et c Elodie Soulié, « Paris : cent femmes et un photographe en rouge pour l’égalité », sur leparisien.fr, Le Parisien, (consulté le )
  16. a b et c Anne-Marie Rocco, « Une expo photo pour l’égalité entre les femmes et les hommes », sur challenges.fr, Challenges, (consulté le )
  17. a b et c XY, « Saintes : cent femmes, cent paroles », sur sudouest.fr, Sud Ouest, (consulté le )
  18. a et b Les Papillons, « Parrain du Festival "Images d'Ici et d'ailleurs" », sur lespapillons.org, 'Les Papillons'Les Papillons, (consulté le )
  19. a et b Stéphanie Esposito, « Carpentras : les droits d'auteur des photographes dans le viseur », sur laprovence.com, La Provence, (consulté le ).
  20. a et b Salon de la photo de Paris, « Portraits des Grandes Rencontres », sur lesalondelaphoto.com, 'Salon de la Photo'Salon de la Photo, (consulté le )
  21. a et b Salon de la photo Paris, « Les Grandes Rencontres Gaël Dupret », Catalogue officiel, Paris, 'Salon de la Photo'Salon de la Photo,‎ , p. 92.

Liens externes[modifier | modifier le code]

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